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« Toutes les différenciations fondées sur la division du monde en sexe masculin et sexe féminin, qu'elles soient d'ordre économique, social, érotique ou mystique, résultent des seuls arbitraires imposés par la société environnante. Ces distinctions dépendent le plus souvent de conditions locales et s'exercent par l'intermédiaire et pour les besoins des autorités civiles, militaires ou religieuses en place. »
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j'ai des souvenir III

à la fin de ce récit, tu peux donner ton avis

( texte proposé par Auxane Dufour )
ben voila, je suis grand, mais grand avant les autres, les autres eux ils croissent à leur vitesse, c'est à dire lentement, moi à coté je suis un sprinter...
Passé maître dans la dissimulation de mes activités pouponnières, là c'est la catastrophe, je suis comme un phare au milieu de la tempête, on ne vois que moi, une tête au dessus de cette marée enfantine, je suis désigné aux moqueries des autres galèriens scolaire et désigné d'office, fautif de tous les troubles aux yeux nos garde chiourme.
et comble de malheur, me voila en pension, c'est a dire sous surveillance des uns et des autres...
les grand qui bombent le torse le soir en étalant leurs savoirs et surtout les supposés conquêtes féminines...aux autres les écoutant bouche bée, la bave d'envie aux lèvres préparant ainsi leurs futurs tartarinades....
il ne me restait que le soir pour dans ma solitude m'endormir en serrant contre moi mes imaginaires nounours consolateur...
au milieu de ce naufrage, essayant de garder en moi ce que je chérissais, c'est à dire cette douceur perdue je traversais les jours et les mois comme accroché à quelques débris au milieu d'un océan en furie...
au milieu de ce champ de ruines je trouvais consolation auprès d'un camarade qui voulu bien m'écouter avec cette attention qui le faisait, à mes yeux, paraître comme un ange de bonté.
je me cramponnais à lui comme misère sur le bas clergé, et lui m'accordait son temps ...nos mains furtivement s'effleuraient, nos regards toujours prudents se croisaient à l'abri des interférences ennemies, nous avions construit une sorte de muraille derriere laquelle nous pouvions nous rencontrer et ou je découvrais des mots entre ses lèvres qui m'apaisaient, des moments certes rares mais au combien chéris... je pouvais complètement me relâcher de toutes les tensions accumulées et me laisser aller à de douces confidence sur ce que je désirais au plus profond de moi sans en connaître la porté...
et puis un jour ce fut ses lèvres, effleurant ma bouche qui m'ouvrir un monde que je ne soupçonnais pas, je trouvais là cette douceur qui me faisait tant défaut, qui me fuyait, et à près la quelle je courais depuis longtemps sans pouvoir seulement supposer qu'elle fût si proche et insaisissable.
double frayeur, je me devais être en plus de mon invisibilité construite passer comme passe muraille pour protéger cette parcelle de bonheur arrachée à un monde dont le tumulte m'était étranger pour ne pas succomber aux bûchers de l'incompréhension des torquemadas de la morale établie.


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