Une décision importante à prendre, et lourde de conséquences.
à la fin de ce récit, tu peux donner ton avis
( texte proposé par Alicya black )

Bonjour à toutes.
Comme beaucoup d entre nous je suis fille depud aussi loin que je puisse me souvenir. Je suis née comme beaucoup a l époque dans un environnement assez fermé niveau sexualité, ou un garçon joue au voiture et une fille a la poupée. D aussi loin que je me souvienne j ai toujours entendu ma tante et ma grand mère maternelle dire que ma mère avait toujours voulu avoir une fille à ma place ( je suis l année de 3 garcons).
Depuis toute petite, je me suis battu pour etre ce garçon que physiquement j etais. Je jouais avec des garçons a des jeu de garçons. Pourtant je ne me sentais jamais aussi bien que l orsque j etais avec des filles, a les regarder jouer a la poupée, a porter des vêtements qui m etaient interdit. Parfois je jouais avec elle en prétextant que c etait pour avoir la paix. En vérité j adorais ca mais je devais mentir a tout le monde et surtout a moi même. Alors je suis devenue au fil des ans un garçon, qui n avait peur de rien qui n hésitait pas a rentrer dans le tas pour défendre ses amis, je pouvais même etre tres dure. Et j ai réussi a donner le change, mais je ne me supportais pas he n aimais pas ce que j etais, et je n avais aucun moyen d etre autre chose, au risque d avoir mon pète sur le dos. Ce père qui quand il voit un homme en femme , dis mais t as vu cette espèce de travelo, on devrait les tuer a la naissance. Oui désolée on ne choisit pas sa famille, on tombe dedans. Alors autant dire que jamais il ne devait savoir que je pouvais beaucoup aimer les robes et les poupées de mes petites cousines.
Et le temps a passé et je devais me battre tout les jours pour garder ca enfoui au fond de moi. Alors a mes 17 ans je me suis trouvée une petite amie, et suis partie de la maison, contre l avis de tout le monde, mais la encore je me mentais a moi même. Je suis restée 11 ans avec elle et nous avons eu 3 enfants , 2 filles et un garçon. J etais folle de joie quand j ai appris que notre premier enfant etait une fille, je crois que personne ne pouvait l etre plus que moi, c etait un peu comme si c etait moi qui naissait. Puis nous avons eu un garçon et une fille, le choix du roi comme on dit. Et tout ce temps je devais etre l homme de la maison et ne pouvais rien dire a ma compagne , je savais qu elle n aimaiw pas ce que j etais , je l avais entendu en parler a une de ces amies. Je me sentais seule, s l époque il y avait des personnes comme moi , mais elles etaient toutes isolées les unes des autres. Je n avais absolument personne a qui j aurai pu en parler, me libérer de ce poids au moins quelques minutes. Alors j ai joué mon rôle du mieux que j ai pu. Je me suis mise dans des métiers "d hommes" pour me convaincre que j en etais un, je me suis ruinée ka santé a forcer plus que de raison. La routine c est tees vite installée et bien avant la fin on vivait en coloration avec ma compagne. Et au bout de 11 ans je suis partie . Je n en pouvais plus. Pendant 25 ans j ai vécu seule , en ayant quelques histoires de cœur avec des femmes mais jamais ca n a pu marcher, quelques chose etait bizarre chez moi.
La dernière, on a eu une discutions a sa demande, sur l'echangisme. Ça m a surprise je n y avais jamais songé. Alors apres plusieurs discutions on s est mises d accord sur kes règles que nous devrions suivre pour ne mas w égarer dans se mo de encore inconnu.parmi ces règles, il y avait le fait que nous devions le faire qu ensemble et pas chacune de son côté, les personnes que nous rencontrions devaient toutes etre bi, a la demande de ma compagne et j aquiessais de mon côté "par curiosité "
Notre première rencontre avec un couple bi se passa, tant bien que mal et c est a cet occasion que je fus pénétrée pour la première fois. Ce fut comment dire, paw très agréable au début et j y ai pris un peu de plaisir sur la fin. Mais pendant cet acte. Une petite lumière a du s allumer quelque part dans ma tête , mais je ne savais pas ce que c etait. La vie est faite ainsi les mois passèrent et j avais de plus en plus de mal a faire l amour a ma compagne, j avais du mal a avoir des herections sans comprendre pourquoi. J ai consulté et pris des traitements mais rien n y faisait, pourtant le matin elle fonctionnait tres bien. Et le temps passa et l histoire s arrêta. Je repis ma vie de célibataire en ne m occupant que de ma vie professionnelle, je m y suis noyée pendant 4 ans. Mais pendant ces 4 ans des changements se sont produits en moi, la fille que j avais enfermé a double tour, commençait a faire de plus en plus de bruit, et la fin de ce combat contre moi même,contre ma nature profonde, allait arriver.un jour en recherchant je ne sais plus quoi dur amazon, je suis tombée sur une petite roberouge et des bas noirs, et sans comprendre comment je les ai commandé, 2 jours apres ils etaient la devant moi. C etait quelques choses que je m etais toujours interdit même quand j en avais l occasion. Et la ils etairnh là. Je les ai sortis de leur emballage tout doucement, je les touchais et j adorais cette sensation, alors j enfilais la robe et j etais surprise de lbeffet que ca me procurait de la porter, si légère et di d'où e au touché, alors j enfilais les bas noirs , et la sensation fût tout aussi intense. Alicya naissait a cet instant, pendant que mon moi masculin laissait tomber les armes et laissait Alicya enfin vivre un peu. On ne peut pas gagner contre sa propre nature, c est un combat perdu dès le départ, on peu lutter mais au final on est toujours perdant.je me regardais dans le miroir et j aimais ce que je voyais je n avais pas l impression d etre déguisée, mai d etre juste moi Alicya.
Les jour passaient et je me mis a commander de plus en plus de choses, des petites culottés en dentelles, des chaussures a talon de 10cm, des chemises de nuit en dentelle, suelsues bijoux.et plus j achetais mieux je me sentais j etais plus apaisée. Je partais au boulot le matin, je n avais qu une hate que la journée se finisse pour qu enfin je sente ses vêtements sur mon corps, et je passais toute la soirée ainsi vêtue et le lendemain matin c etait un déchirement de les retirer pour remettre mes affaires de travail, alors parfois je gardais sur moi une petite culotte, ca me rassurait surement.
Mais cela a dû arriver a beaucoup x entre nous, ca n etait pas assez il m en fallait plus, toujours plus , je voulais pouvoir sortir dehors ainsi. Mais dehors c est un environnement hostile, ou un tien peut zmrner a unf dituation incontrôlable et dangereuse. Comment faire? Alors un soir je m habillait de ma petite robe noire, de jolis bas que je dissimulation sous mes affaires d homme, et hd pris la voiture en essayant de trouver un rndroit calme et sécurisé. Endroit que j ai trouvé assez facilement , c etait déser et personne n y venait jamais la nuit , c etait pres de un lac entouré de forêt, je me suis arrêtée sur le parking et et me suis défait de mes afaire d hommes. J ai refilé mes escarpins a talon de 10cm, je me suis recoiffée dans le rétroviseur de la voiture, et me suis mise a marre her sur le parking. Il ne faisait pas froid ce soir la et la pleine lune etait la et m éclairait quand même beaucoup. Je sentais l air frais passer sous ma robe, sur mes jambes et mon décollé. C etait si agreable. J entreprise de marcher sur le chemin le long du lac.je ne croisais personne et je ne sais pas comment j aurai réagit si j avais du croiser du monde. De retour chez moi, j etais heureuse et d un calme, j etais moi même.j en ai rêvé toute la nuit. Et celle d apres.
Et je recommençais plusieurs autres fois dans d autres endroits, a chaque fous en prenant toujours un peu plus de risque. Et un jour je marchait toute dormante, il faisait noire et dans la pénombre, j ai croisé un couple, de personnes d un certain âge, j etais surprise, excitée, mais surtout paniquée. Nous nous sommes croisés et une voix me dit ,bonsoir mademoiselle, je sursautais intérieurement ne sachant que faire. Et la sans que je n ai rien décidé ni même voulu faire, je dis d une petite voix mais calme et sans trembler, bonsoir messieurs dames. Et je continuais mon chemin. C etait comme si je n etais pas dans mon corps et que je voyais la scène de l exterieur. Je reproduisait encore les sorties presque tout les soirs quand le temps le permettait. Mais ca ne diffusait toujours pas alors je commençais a sortir avant la nuit, au risque de rencontrer du monde que je connais ou même de ma famille. A force je prends un peu d assurance. Surtout que depuis peu je mets un minimum de maquillage, je ne suis pas tres douée pour ca et surtout mon problème de vu me gêne énormément pour me maquiller, je ne peux faire mes yeux du moins je n ai pas encore trouver comment.
Et la en ce moment même se pose des questions , comment faire pour avoir plus? Comment faire juste pour vivre la vie que je veux? Comment faire pour prévenir les miens sa.ns risquer de les perdre? Comment etre en paix avec moi mrme et avec ma famille. Je ne veux plus me cacher. Mais je ne veux blesser , ni choquer personne. Je ne veux pas etre une caricature de femme, j en suis une depuis toujours. Je ne suis juste pas dans le corps qui correspond. Mais j en suis une.
Il y a quelques temps j ai parlé avec ma mère et dans la co versatile, je lui ai dit que depuis toute petite sa sœur et sa mère me disaient su elle rêvait d avoir une fille , et que c est moi qui sui arrivée. Alors je lui diw. Tu aurais aimé que je dois une fille a ma naissance. Et là elle me dit, mais pourquoi elles t ont dit ça ? J ai toujours voulu avoir des garçons, et c est exactement ce que j ai eu et j en suis très heureuse. Et là je ne trouvais plus mes mots, j etais a une phrase de lui dire, maman je suis ta fille. Je n ai rien pu dire.
Et la ça devient de plus en plus oppressant pour moi , j ai besoin de vivre sans me cacher, sans mentir sur ce que je suis. Mais comment le faire après tout ça ? Comment ne pas perdre toute ma famille, j ai déjà perdu mes deux filles et mes 3 petites filles sans zucune explication. Je risque de perdre ma mère mon frère et mes nièces. Mais ai je vraiment le choi? Comment pourrai je ne rien perdre? J ai l impression que pour pouvoir vivre ma vie, le prix est considérablement élevé.
Alors je me demande parfois si je ne devrais pas aller chez mes parents en demandant a tout le monde de s y rendre, et y aller munie des mes boucles d oreilles bagues et collier, ou tout simplement vêtue comme je le suis chez moi, et maquillée. Je me dis que aubmoins il n y a rien a dire c est comme ça et pas autrement. Mais je dous ménager ma mère qui est malade du cœur. Je ne sais que faire, mais ca ne peux plus durer ainsi, je suis a un tournant de ma vie, je le sens.
Si vous avez des avis ou des vécus qui pourraient ressembler au mien, je serai ravie de vous lire.
Merci de votre écoute
Alicya