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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !
laetitia satine

laetitia satine

(publié: 23-10-2010 03:10:54 )

Bonjour à toutes,

Je m'appelle Laetitia, je suis de Tours et comme beaucoup ma vie de fille a commencé (vraiment) vers l'adolescence. Après les affaires de ma mère ( surtout les sous vêtements...) je suis tombé en fouinant dans ses anciennes affaire : sous vêtement sexy ( année '70) et sa robe de mariée... Inutile de vous dire que les mercredi après midi où j'étais seule à la maison furent bien occupés !

Comme beaucoup d'ados je regardais les catalogues de VPC, mais si je me masturbais devant c'est surtout en m'imaginant porter la lingerie et autres vêtements féminins que j'y voyait !

Lorsque je sortais avec une fille, outre le fait de l'embrasser et lui carresser les seins, j'aimais le fait de voir et toucher ses sous vêtement. Ensuite lorsque je croisais une fille ou une femme (plus tard) j'essayais de deviner ce quelle pouvait porter comme sous vêtement ( bas, collant ? culotte, body ?).

L'avancé dans ma vie en tant que Laetitia est arrivé vers 18-19 ans, je travaillais pendant les vacances, j'avais une voiture, donc je m' émancipais. Les 1 ers achats furent ceux de la lingerie, enfin plutôt des collants et autre bricoles.

Mais au fur et à mesure, je complétais maladroitement ma garde robe, ou plutôt mon sac, puis ma valise... au final j'ai dû tout planquer dans le garage pour que ma mère ne les trouve pas.

Parallèlement aux tenues de filles, j'avais par hasard découvert le bondage ( mais je ne savais pas que cela s'appelait comme ça). Je devait avoir 10 ans environ et l'un de mes voisins plus âgé, m'avait invité à venir "jouer" dans sa chambre. Au final je crois que je me suis retrouvé + ou - nu avec des entraves ou des chaines. Mon frère est arrivé, l'a envoyé ballader et m'a "sauvé" de ce pervers ! Je ne m'en suis souvenu que bien plus tard.

Toujours est-il qu'après ça, j'ai commencé à m'entraver. d'abord les pieds, puis les mains par devant, puis à me baillonner. Un jour je me suis retrouver prise au piège et c'est ma mère qui m'a détachée...
Par la suite, je me suis entrainé à toujours garder une solution de secours en cas de lien trop serré !

Donc ma garde robe s'étoffant, j'ai eu envie de prendre l'air, de connaitre cette sensation de bruit de talons sur le bitume, de vent entre les cuisses. Alors le soir lorsque je rentrais d'une soirée chez des copains, je faisait une halte dans le garage familial. Je rentrais ma voiture, je fermais la porte derrière moi et je sortais ma valise secrète. Vite nue comme un vers, je m'habillais en fille. Ensuite un semblant de maquillage, et par manque de perruque correcte, j'avais opté pour le chapeau clôche en velours !

Ma tenue préféré était assez simple. Un soutien gorge rempli avec du coton, un body manche longue noir en velour rapé, un collant noir en lycra ( vous savez celui avec couture à l'arrière, très en vogue dans les années '90) un petit short noir côtelé fin et une paire de soulier lacets avec 5 cms de talons. Rien de bien excitant mais j'achetais de façon décousu et parfois en pensant à l'achat du moment sans vraiment le coordonné. Pour sortir j'avais aussi un châle en lainage violet avec des pompons et une paire de gants lycra violet assortis. Un sac noir avec de la lingerie de rechange, et aussi quelque liens pour m'exciter...

J'ai éteint la lumière, je suis sortis et j'ai refermé la porte à clefs. Un grand silence au dehors, une nuit un peu fraîche et me suis sentie dans le vide.

J'ai regardé au alentour ( un quartier avec maisons et petits immeubles), et je suis partie. Je m'étais fixée un petit parcours pour voir. Mes chaussures ne faisaient pas trop de bruit, il n'y avait personne dans les rues. J'ai trainé pendant quelques temps en regardant à droite et à gauche sans arrêt, tournant légèrement la tête quand une voiture approchait.

Quand je suis rentrée mon coeur bâtait assez fort, je me suis changée, démaquillée, j'ai rangé mes affaires et je suis allée me coucher en faisant de très beau rêve...

J'ai recommencé de nombreuses fois, en changeant de tenue, en m'arrêtant dans les bois alentour pour me carresser... L'un de mes soucis en tant que fille, c'est qu'au niveau chaussures, j'avais du mal à percevoir une femme sans talons. De plus en dessous de 8 cms je ne trouvais pas ça très excitant. résultat mes 1 ers escarpins étaient plutôt haut et fin. Mes sorties noctures furent moins silencieuses, mais ma silhouette s'affinait et mon excitation était vraiment présente. Un autre soucis pour nous les filles : l'érection. Après des années de plaisirs solitaires, j'en arrivais à éprouver beaucoup de plaisirs, mais sous des habits féminins c'est gènant. Ma solution fût de me soulager systématiquement avant de sortir en fille. De plus je finis par me conditionner pour ne plus avoir d'érection en portant de la lingerie.

Un autre achat de fille, me fit faire des sorties assez tendues : un manteau 3/4 en fourrure synthétique noir. J'en voulais un long, mais avec un petit budget et sans l'essayer ( lors de l'achat) je me suis retrouvée avec un manteau qui arrivait à mi-cuisses. Je l'essayais chez moi en lingerie et rien d'autres bien sûr. Toujours avec ma tenue short et collant lycra ( mais avec talons cette fois) je décidais de me lancer un nouveau défit : le tour de mon quartier complet...

Pour remplacer le châle violet, je mis le manteau de fourrure. Tout allait bien, les rues étaient calme et à cette heure là ( vers 23h+minuit) par grand monde dehors. L'un des tronçons de ma sortie nocturne passait par un petit tunnel de 50m éclairé orange qui passait sous l'autoroute, le trottoir en stabilisé ne faisait pas résonner mes talons, mais la voiture qui y passa à ce moment là me fit frissonner... de l'autre côté la rue remontait sur la droite, mes talons raisonnait à nouveau sur le bitume. Après un moment, j'ai réalisé que j'étais à mi parcours et que je ne pouvait plus couper à travers pour rentrer chez moi si un imprévu arrivait. ce qui arriva bien sûr... Une voiture montait dans la rue et en arrivant à ma hauteur, elle ralentit, la vitre passager s'est baissé :
- bonsoir mademoiselle, on peux vous déposer quelque part ?
-... euh non merci.
- Ok, tant pis pour vous !

La voiture est repartit assez vite. J'ai vraiment eu peu d'être découverte. Ce n'est pas tant le fait d'être découverte qui me faisait peur, mais plutôt la honte que je pourrait avoir. L'humiliation qui s'en serait suivie,les mots et quolibets que j'aurais essuyée.

J'ai alors continué mon chemin en me hâtant. je suis arrivée à la portion la plus exposée, un axe très passant, bien éclairé. J'avais 300 m avant de regagner les bois qui bordaient mon quartier. Finalement le retour s'est déroulé sans encombres et je suis arrivée à bon port.
C'est chez moi que j'ai réalisé ce que je venais de faire, les risques et la peur.
Il était temps que j'apprenne à me faire plus féminine que jamais pour ne plus angoisser à chaque rencontre.


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