Patricia D

(publié: 16-10-2004, 9:55 )

Je suis né dans un petit village à une heure de Montréal. Un père pas très souvent à la maison, une mère trop mère poule, et deux soeurs plus agées que moi.

Je ne sais pas pourquoi mais un jour que mes deux soeurs me gardaient, je suis aller à la salle de bain et enfiller un jupon de ma mère et je me suis paradé devant mes deux gardiennes qui rigolaient beaucoup, mais pour moi c'était trop tard, Mon entrée dans le monde de la féminité était déjà faite.

Pendant plusieurs années ce fut mon tripe de porter les vêtements de mes soeurs et de ma mère en cachette dans la salle de bain. Puis quand je fut assez grand pour rester seul à la maison, mon répertoire s'agrandit dans les garde-robes et les tiroirs des femmes de la maison. A cette époque je devais avoir 10 ou 12 ans et mes soeur 17 et 18 ans, donc tous leurs vêtements me faisaient très bien. Un jour que je jouais dans le grenier, j'ai trouvé une boite de vêtements de ma mère, ce fut toute une découverte. S'il était là, c'est parce que ma mère ne les voulait plus alors je me suis permis de lui emprunter une de ses robes. A tous les soir dans ma chambre je portais cette robe pour dormir. Un soir très tard ma mère est entrée dans la chambre et passa sa main sous les couvertes pour découvrir mon petit manège. Elle me fit comme remarque que j'avais des pyjamas que je pouvais porter pour dormir, mais sans plus alors le lendemain matin, je mis ma robe dans le garde-robes suspendu avec mes autres affaires. Cela dura quelque temps, puis ma mère peut-être en s'appercevant que ça durait trop longtemps me dit de remettre la robe à sa place et de ne plus recommencer. Pensez-vous vraiment que je l'ai écouté. Mais oui, j'ai remis la robe dans sa boite au grenier, mais non je n'ai jamais arrêté de porter des vêtements de femme.

Quand j'ai commencé à travailler l'été et à pouvoir me déplacer avec l'auto familiale, je me suis vite empressé d'aller acheter mes premiers vêtements. A cette époque je devais avoir 18 ans et les quelque aventures aves des filles n'étaient généralement pas assez sérieuse pour que je leur parle de mon engoument pour leurs vêtements. Par la suite, j'ai eu trois filles avec qui j'ai partagé mon secret. (Si le besoin est je reviendrai plus tard avec les détails de chacune des histoires.)

A bientôt. Patricia D.