barcarena9@gmail.com
inforbart@gmail.com
malucao2017@outlook.com.br
isacczim@ig.com.br



Je me connecte  Hop !
J'ai perdu le mot de passe  Hop !
S'inscrire comme membre du site  Hop !

HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par paoladuvalle

Rêve ou prémonition paoladuvalle 28-05-2011 06:05:16 Arrivée avec un peu d’avance à la gare TGV de valence, Paola va directement contrôler sue le tableau d’affichage que le train en provenance de Bruxelles midi est bien à l’heure. Il est prévu vers 13H50, parfait elles pourront se préparer tranquillement pour la soirée.

Paola court depuis ce matin tôt, levée à l’aube, elle a commencé par se passer une fois de plus la crème dépilatoire sur tout le corps pour être sûre qu’il ne restera pas un poil visible aussi petit soit il, puis elle s’est collée ses grosses prothèses mammaires qui imitent si bien les vrais seins, ce sont des silima, les cale dans le soutien gorge blanc, puis elle s’habille avec un petit ensemble d’été tout blanc, peut être un peu court car la robe est au dessus du genou, et elle enfile au dessus son pull en maille blanche.

Elle a rendez vous chez son esthéticienne à Valence, à 7H et demie, avant que la foule des clientes n’arrive, heureusement il n’y a pas beaucoup de circulation et elle trouve une place à proximité du salon, ce qui lui fait plaisir car elle n’a pas sa perruque, et n’est pas maquillée aussi ses traits sont trop masculins.

Myriam, l’esthéticienne qui s’occupe d’elle, lui ouvre le salon, elle l’attendait derrière la porte, et de suite l’emmène dans une alcôve. Paola se met nue, ne gardant que son petit string, Myriam sourit, il y a du travail. Elle commence par la perruque, Paola a commandé une belle perruque auburn mi longue, aux épaules, en cheveux naturels, et il faut l’accrocher fermement pour que l’on ne puisse l’arracher, et cacher les cheveux blancs au milieu. Elle fait des petits nœuds avec les cheveux d’origine après les avoir passés au travers de la perruque, puis elle la coiffe en lui donnant du volume. Elle lui fait les ongles en résine, assez longs et elle y met du vernis rouge vif, puis s’attaque au maquillage, elle lui laisse deux fins traits de sourcils qu’elle prolonge en maquillage pour les faire descendre sur le bord de l’œil, lui maquille le visage puis le contour des seins pour faire disparaître les lignes des prothèses. Elle doit mettre plusieurs couches, elle a l’habitude, elle le fait pour une boîte de travestis, et à la longue les prothèses paraissent vraiment faire partie du corps. Paola est contente du résultat, Myriam aussi. Elle lui passe le corps à la loupe, pour ne laisser aucune trace visible, l’aide à se rhabiller, la parfume et la conduit devant la glace, elle est méconnaissable. Paola sort de son sac ses bijoux, bagues à presque tous les doigts, colliers de perle, bracelets et boucles d’oreille qui balancent au bout de ses lobes lui créant du plaisir, puis règle la note, elle est salée, la perruque n’est vraiment pas gratuite mais comme dit Myriam, pour faire illusion avec un corps et un visage comme le sien, il faut y mettre le prix. Ça dépasse les mille euros, mais tant pis l’occasion est trop importante et il faut ce qu’il faut. Myriam lui fait cadeau de grosses lunettes de soleil qui lui mangent le visage cachant son nez trop proéminent, elle prend congé, elle n’a pas le temps d’aller déjeuner, elle part pour la gare.

Cette fois ci elle se sent totalement femme, et elle n’a plus de crainte à se montrer, elle s’est entraînée depuis longtemps à forcer sa voix sur les aigus et elle n’a pas peur de demander au contrôleur la confirmation du quai. Le « madame » dont il l’octroie lui fait chaud au cœur, son investissement est récompensé !
Par contre à cause du plan vigie pirate elle n’est pas autorisée à descendre sur le quai, il lui faut attendre en haut.

Depuis combien de temps attend elle cette occasion, il a fallu convaincre, tout d’abord le club service d’organiser cette grande soirée avec conjoints pour une conférence sur le thème de la tolérance envers les personnes qui n’ont pas les mêmes façons de vivre, que ce soit les travestis les lesbiennes ou les gays, puis convaincre d’organiser cela en soirée costumée ou les hommes seraient femmes et les femmes hommes, belle occasion pour elle de se montrer enfin en femme ce qu’elle n’avait jamais osé faire avant devant le club, puis faire accepter comme conférencière la plus belle travestie qu’elle connaissait, elle avait montré des photos et le choix du club avait été d’accepter sa proposition et de faire venir Maud de Belgique, pays beaucoup plus tolérant que le nôtre. Le comité ne voulait pas croire au début que Maud ne fut pas une femme biologique, elle est tellement féminine, mais les quelques textes lus au comité lui ont montré que Maud serait la conférencière idéale.

Dans l’invitation aux membres et amis, il avait été noté que pour cette soirée chic, tout ce qui pourrait être de mauvais goût ne serait pas accepté, et Paola n’était pas inquiète à ce sujet, et aussi bien certaines femmes que certains hommes seraient ravis de se montrer différemment. Certains avaient demandé s’ils pouvaient garder la moustache, « accordé ».
Paola attendait donc Maud en haut de l’ascenseur, enfin l’annonce se fait au micro de l’arrivée imminente de la rame.
A cette heure là peu de monde pour descendre du train, la plupart des voyageurs continuant sur Marseille, et très vite Maud s’est présentée à l’ascenseur tout en verre ce qui permet de voir les voyageurs y monter.

Que Maud est belle et féminine, elle a un manteau, il devait faire frais à Bruxelles, Paola lui prend sa petite valise sur roulettes et elles s’embrassent comme de vieilles connaissances bien qu’elles se voient pour la première fois. Paola l’a reconnue de suite et s’est avancée vers elle en souriant, oui le voyage s’est bien passé, elle n’a pas été incommodée par les autres voyageurs, bien que certains regardaient souvent dans sa direction, il faut dire qu’elle est belle et qu’elle s’avantage sérieusement avec ces gros seins qui se voient même sous le manteau.

La voiture est au parking, il fait beau, pas de mistral, et dès la sortie de la gare Maud ôte son manteau. Elle porte une jupe courte et des bas, un haut pas trop moulant mais sous lequel pointent les tétons de ses seins, des hauts talons qui mettent en valeur le galbe de ses mollets, nul doute qu’assise elle devait dévoiler des jambes à faire envie.
Paola lui demande si elle veut déjeuner, non, elle a pris une petite collation à la voiture bar, invitée par un compatriote qui n’avait d’yeux que pour elle, aussi elles décident d’aller directement chez Paola.
Les cent kilomètres sont vite parcourus avec l’autoroute, et Paola est fière de faire découvrir sa maison à celle qu’elle ne peut se lasser de regarder.

La piscine est chaude et fait envie à Maud, Paola l’encourage à se baigner pour se délasser pendant qu’elle prépare le champagne pour fêter sa venue. De la cuisine elle la regarde se déshabiller, elle lui a dit que personne ne peut voir le jardin et qu’elle peut se baigner nue, Maud porte des bas et jarretelles, puis elle ôte son soutien gorge aux énormes bonnets dans lesquels les seins restent, elle ne s’est pas collé les prothèses, même nue son corps reste gracieux et féminin, quelques rondeurs là où il faut ajoute au charme.

Elle entre doucement dans l’eau pour ne pas se mouiller les cheveux, Paola vient l’attendre en haut des marches sur le banc de pierre avec un peignoir et la flûte de champagne. Maud n’a qu’une petite touffe de poils au dessus de ce qui lui sert de gros clitoris, elle s’approche en souriant.
L’eau de la piscine étant salée, Paola lui propose de se rincer de suite à la salle de bains, dans le jacuzzi, elles ont tout le temps de se préparer plus tard.

Le bouillonnement de l’eau fait mousser les sels de bain, et seule la tête de Maud est visible, elle a fermé les yeux et se laisse aller. Puis Paola la conduit à la chambre d’amis, ou plutôt d’amie, et Maud s’allonge sur le lit, enveloppée dans le grand peignoir. Paola se risque alors à lui demander ce qui la démange depuis tout à l’heure, « pourquoi Maud ne s’est pas collé ses prothèses ? »
Plusieurs raisons, dont l’une est que ça tient trop et ce ne serait pas possible de les décoller facilement, une autre est que ça risque de les abîmer et au prix qu’elles coûtent ce serait dommage, etc.

Paola va alors en chercher une paire de rechange de la même taille que les siens, et revient avec le tube de colle. Maud sourit, si vraiment ça lui fait plaisir c’est d’accord. Paola l’aide à mettre son soutien gorge, et trace au crayon le contour à respecter pour la pose, puis lui ôte le soutien et entreprend de lui coller les belles prothèses à la bonne place. Maud rit en disant qu’elle sera obligée de les emporter, ce n’est pas grave, Paola est si contente qu’elle ait accepté. Myriam lui a donné un peu de la pâte qui sert à atténuer les contours et Paola s’applique à ce que ce soit parfait. Toucher Maud comme cela crée chez Maud une certaine excitation, Paola lui dit qu’elle prend un médicament que lui donne le docteur pour l’empêcher de bander, mais Maud préfère que Paola l’aide à se satisfaire pour que ça dégonfle naturellement. Elle lui prend le gros clitoris dans la main, les ongles bien rouges tranchent sur la peau, puis elle s’aide des lèvres et de la langue pour amener ce clitoris à libérer sa semence et reprendre une dimension plus réduite.
Elles descendent se prendre un petit thé avec quelques petits gâteaux pour calmer la faim, elle dîneront tard ce soir, puis elles regagnent chacune leur chambre.
Paola s’est déshabillée et entreprend de refaire son maquillage qui a un peu souffert de ses ébats légers avec Maud, puis elle sort ce qu’elle a prévu de mettre le soir.

La belle guêpière blanche fabriquée sur mesures, lui remonte bien jusqu’au dessus des seins, dessous elle met un string blanc et accroche ses bas dentelles couleur chair aux larges jarretelles. Le string est bien serré et la petite proéminence ne se voit pas bien dissimulée vers le haut. Paola contrôle attentivement, et Maud entre à cet instant dans la salle de bains, elle veut affiner encore un peu ses sourcils et cherche une pince à épiler. Elle a un regard approbateur sur la tenue de Paola qui en rougirait presque de plaisir, et elle propose à Maud de l’aider. Maud est aussi en guêpière, mais rouge et noire, c’est très sexy et ça lui va super bien. Paola aime s’occuper de Maud et elle ôte exactement ce qu’elle lui demande, elle a de biens beaux sourcils !
Maud resserre le laçage de la guêpière de Paola pour lui affiner la taille, elle est un peu comprimée mais le résultat est bien.
Maud retourne dans sa chambre pour finir de se préparer, Paola enfile la robe longue qu’elle a achetée pour l’occasion.

Blanche avec des lignes baleinées grises, elle est parfaitement moulée sur elle, et bien qu’elle n’ait pas de bretelles pour dégager totalement les épaules, elle s’attache sur le haut de la guêpière à l’aide de petits boutons pression gris très discrets placés en haut de chaque ligne de baleines. La robe est fendue haut sur le côté et découvre la jarretelle quand Paola s’assied, elle fait plusieurs essais pour voir comment se mettre à son avantage, puis jette sur ses épaules un châle assorti à la couleur de la robe. Elle chausse des escarpins à brides avec des talons de six centimètres, elle est plus grande que Maud, mais comme Maud met des talons plus hauts la différence se verra moins.
Elle descend, et vite Maud la rejoint, elle porte une belle robe noire un peu brillante, elle sera sûrement la reine de la soirée !
Paola a fait appel à un taxi dont elle connaît le propriétaire, si jamais elles ont bu un peu elles n’auront pas à conduire au retour, il y a beaucoup de contrôles dans le coin.
Le chauffeur, un jeune, leur donne du « madame », c’est agréable, elles s’installent derrière, la soirée a lieu dans la salle des fêtes, il y aura plus de cent personnes.

La présidente du club, prévenue par téléphone, les attend au bas du perron : Isabel Chainho est d’origine portugaise, elle dirige depuis le décès de son mari leur entreprise de construction, elle est petite et brune, et elle a joué le jeu, elle s’est habillé avec des vêtements de fête portugais de son défunt mari, on jurerait le voir. Elle porte une petite moustache, et en riant elle leur dit que c’est en partie naturelle car comme beaucoup de femmes de son origine elle a tendance à en avoir, elle a simplement mis du mascara pour l’épaissir et l’allonger.
Elle leur dit de suite qu’à table elle sera au milieu d’elles d’eux, conférencière et marraine de conférencière et elle souhaite la bienvenue à Maud en lui souhaitant un bon séjour.
Elles entrent à trois dans la salle, un oh ! d’admiration se fait entendre tandis qu’Isabel présente la conférencière à l’assistance déjà arrivée, Paola espère que sa belle robe est aussi saluée dans ce oh ! admiratif.

Plusieurs hommes du club, habillés plus ou moins en femmes ou en unisexe, avec plus ou moins de bon goût, viennent les saluer, bien sûrs ils sont béats d’admiration devant Maud, mais il s’en trouve aussi qui ont du mal à reconnaître Paola sous les traits de ce travesti, elle a droit aussi à des compliments et il s’en trouve deux pour dire qu’ils la préfèrent comme cela et qu’elle devrait toujours venir au club ainsi.
Les convives continuent à arriver, Paola présente Maud, elle est fière d’elle, si parfaite dans sa condition féminine, puis arrive Michèle.

C’est une grande amie de Paola, elle est veuve elle aussi, à peu près du même âge, et elle est habillée en paysan provençal, ça lui va bien. Elle dévisage Maud avec attention cherchant à déceler le côté masculin, embrasse Paola en se hissant sur la pointe des pieds, d’habitude c’est elle qui a les talons hauts et non pas Paola, elle en rie, ajoute qu’elle est ravie de cette soirée qui promet d’être distrayante à souhaits, et en plus c’est pour une bonne œuvre !
Elle s’entend bien avec Isabel qui la prévient qu’elle l’a placée de l’autre côté de Maud, elles veulent toutes le deux profiter de leur soirée pour faire plus ample connaissance avec une personne du troisième sexe.

Michèle complimente aussi Paola, cela fait un peu de temps qu’elle se doutait que Paola aimait être habillée ainsi car elle est observatrice et avait remarqué que les dessous de son ami Paul n’avaient rien de très masculin, un jour ou elle lui avait rendu visite à l’improviste, que le linge séchait dehors, et qu’il n’avait pas eu le temps d’ôter complètement son maquillage avant de lui ouvrir. Elle est très large d’idées, elle a un cousin qui se travestit également et qui est parti vivre à San Francisco pour pouvoir donner libre cours à ses envies et qui vit avec un ami, on dit même qu’ils comptent adopter un enfant.
Elle appelle le photographe de service pour qu’il les immortalise et elle se place contre Paola la prenant par la taille comme un couple d’amoureux.
La présidente demande à tous de s’asseoir à table, et elle ouvre la séance par la présentation de la conférencière du jour, Maud qui assume à merveille sa double personnalité d’homme au travail, mais de femme le reste du temps.

Elle demande alors à Maud de prendre la parole, et pendant la merveilleuse causerie dont elle gratifie l’assistance, en insistant sur la reconnaissance du droit de se vêtir et de sortir vêtus comme on aime, le droit d’aimer profondément un être du même sexe, de pouvoir être coquine ou sage même si l’on est un travesti ; elle explique qu’actuellement il est plus facile de sortir travestis quand on est à plusieurs que seul, alors que la liberté voudrait que ce soit pareil car on a pas toujours un copine consoeur sous la main. Les femmes du troisième sexe sont de plus en plus nombreuses, et elles ont des sites d’échanges, pas du tout pornographiques, visibles par tous, elles sont de plus très bien cotées et beaucoup d’hommes recherchent leur approche, car il y a dans tout homme un côté féminin qui sommeille plus ou moins, très perceptible à la puberté, puis qui revient très fort, après s’être parfois estompé vers les 20 ans lors de l’entrée dans le monde du travail, dès que l’on avance un peu plus en âge. D’aucuns, passés la quarantaine, ne se supportent plus en homme et subissent une SRS, sex reassignement surgery, mot qui veut bien dire ce qu’il doit dire et phénomène de plus en plus courant.
D’autres, comme elle, continuent d’assumer leurs deux rôles, mais il faut accepter de les reconnaître dans leurs deux rôles et elles font souvent le bonheur des dames comme celui des hommes !
Elle parle assez longtemps devant un auditoire subjugué, puis répond aux questions, parfois indiscrètes sur sa sexualité ou pour savoir si elle est réellement un homme biologique, son apparence étant celle d’une si belle femme et si sexy de plus.

Pendant ce temps le voisin de gauche de Paola, un allemand qui vient souvent au club, membre du club contact allemand, en Bavière, un grand costaud, habillé comme d’habitude en homme car il n’était pas au courant de cette soirée et était arrivé le jour même, se régalait de sa voisine en n’hésitant pas à lui passer les mains sur les épaules, et à venir lui parler à l’oreille. A un moment sous prétexte de prendre une documentation qu’Isabel avait devant elle, il effleure les seins de Paola et appuie plus que nécessaire, étonné probablement de sentir la souplesse de ces seins.

Paola sait qu’il a des tendances homosexuelles bien qu’il soit marié car souvent il vient en vacances dans sa propriété avec un ami, toujours le même, et elle les a déjà vus dans des positions qui ne laissaient aucun doute alors qu’ils se douchaient dans les vestiaires du club de tennis.
Aujourd’hui il est très intéressé par la conférence, mais aussi par la conférencière et par Paola, et il sait lui faire comprendre qu’après la soirée il serait heureux de les raccompagner !
Paola se laisse faire de plus en plus, elle laisse glisser la robe sur le côté, la fente est du côté de son voisin, et il pose parfois sa main sur la cuisse au ras des jarretelles quand il souhaite attirer son attention.

Après la conférence et les questions, on passe au dîner, pas terrible comme souvent dans ce style de soirée mais arrosé de très bons « côtes du Rhône » qui délient les langues et désinhibent ceux qui en ont besoin, et quand la musique permet de danser, beaucoup se pressent auprès de Maud pour en obtenir les faveurs.
Paola ne peut la faire danser, trop de prétendants, par contre elle fait le bonheur de son allemand qui la pelote ouvertement. Il a trop bu et se laisse aller, Paola se laisse serrer et embrasser, souvent Maud la croise et elles se sourient complices.
La plus assidue auprès de Maud est sans contexte Michèle que Maud semble apprécier, ça fait plaisir à Paola.
Il ne passe pour ainsi dire que des musiques lentes, le plus appréciées des personnes de ces âges, puis après le tirage de la tombola, par les mains innocentes de l’invitée du jour, les lumières sont baissées et les danses reprennent.

C’est curieux de voir comment les mœurs se relâchent du fait du travestissement des hommes et des femmes, et certains hommes bien déguisés et maquillés se laissent aller à des positions pas très dignes de leur position, le discours est bien passé et il n’y a plus de complexes chez la plupart, pressés de mettre les leçons de la soirée en application.
Michèle vient prévenir Paola que Maud est fatiguée de sa longue journée et souhaite rentrer, elle se propose de les ramener comme elles n’ont pas de voiture, et Peter, l’allemand demande pour profiter du transport comme il n’est pas en état de prendre la sienne.

Maud monte devant avec Michèle, Peter derrière contre Paola. Arrivés chez Paola, ils descendent tous les quatre, elle propose une dernière bouteille de champagne pour aider la digestion, Michèle dit qu’elle dormira là, elle ne pourra plus conduire, et elle demande à Maud si elle peut partager sa chambre, elle connaît bien la maison la chambre d’amis a deux grands lits, et elle a surtout très envie d’en découvrir plus !

Quelqu’un frappe à la porte, Isabel a fini de ranger la salle avec les volontaires, et n’ayant pas envie d’aller se coucher, est venue voir s’il y avait encore de la lumière, le portail était ouvert et elle est entrée. Paola débouche une autre bouteille, elle invite Isabel à rester aussi pour la nuit, il est déjà tard, et personne ne l’attend chez elle.

Elle monte chercher dans sa chambre des déshabillés pour Michèle et Isabel, elles se changent, en reprenant leur identité de jolie femme, Maud est partie dans sa chambre, elle revient nue sous une chemise de nuit transparente, avec seulement un string qui maintient son gros clitoris. Pas de soutien gorge mais les seins bien collés tiennent tout seuls et pointent fièrement sous la soie.

Maud est assise sur l’un des sofas, entourée des deux femmes, Paola est en face avec Peter collé contre elle, il est occupé à lui ôter sa robe, elle l’aide et paraît dans sa guêpière, elle se lève pour laisser tomber complètement la robe, elle allume le jardin, la piscine donne un air vert bleuté.

Ils ont tous envie d’un dernier bain avant d’aller se coucher, à cette heure là un bain se prend nu et les derniers vêtements tombent au bord de la piscine. Les deux femmes découvrent enfin l’objet de leurs convoitises, et Maud se laisse faire, caressée et embrassée par ses deux admiratrices.

Peter a pris possession de Paola qui regarde son amie aller de l’une à l’autre, la température est douce, l’eau est chaude, le petit bain est propice aux accouplements et voilà que Maud, dont le clitoris a pris une dimension plus que respectable, donne enfin satisfaction à Michèle qui n’attendait que cela.
Seins contre seins avec sa partenaire, elle lui arrache des cris de bonheur, tandis qu’Isabel les embrasse à tour de rôle. Les mains posées sur la margelle, Paola subit les assauts de Peter que le bain a bien réveillé et qui la sodomise profondément.
Le bain a bien rafraîchi tout le monde, et ils se dessalent sous la douche avant de regagner les chambres.
Paola s’endort dans les bras de Peter, Maud est partie avec les deux femmes.

Après le petit déjeuner, Michèle qui doit rejoindre Valence se propose de ramener Maud au train, l’adieu est difficile, Paola était si contente d’avoir reçu Maud pour un premier séjour, elle la regarde s’éloigner avec ses jambes si bien galbées perchée sur ses hauts talons, une sonnerie retentit, le téléphone, non, le réveil, et Paola se réveille dans son lit, ses atours de Cendrillon sont partis et elle est redevenue celle qu’elle n’ose même pas regarder dans la glace, beaucoup moins belle que dans son rêve, mais quel beau souvenir que ce rêve qui l’a tenu si longtemps lui laissera, et puis peut être un jour le rêve sera enfin réalité !


Responsable du site : Lucie Sobek


Avis de lecteurs - note moyenne : 0
Merci de donner une petite note sur ce texte :
j'ai aimé...

1 Pas du tout
2 Un peu
3 Beaucoup
4 Passionnément
5 A la folie
Accès via la version smartphone - Contacter le webmestre