barcarena9@gmail.com
inforbart@gmail.com
malucao2017@outlook.com.br
isacczim@ig.com.br



Je me connecte  Hop !
J'ai perdu le mot de passe  Hop !
S'inscrire comme membre du site  Hop !

HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« Un peu d'Histoire », une petite histoire imaginée par micheleanne

1 Un peu d'Histoire Michèle Anne tvq@femmes.net 24-10-2004, 8:45 par Michèle Anne Roncières

Si l'on m'avait dit, dans ma jeunesse, qu'un jour toutes les filles du Monde T* seraient non seulement pleinement acceptées mais, mieux encore, recherchée et appréciées; si l'on m'avait encore dit, que moi-même, je finirais comme femme une vie qui s'était si mal engagée depuis le premier jour; si l'on m'avait dit, enfin, que je verrais le bonheur et l'harmonie conquérir ce monde, l'aurais-je cru ? Non, assurément ! Et pourtant...

A quatre-vingt-seize ans, le temps me paraît loin, de l'incompréhension et dumépris dont mes soeurs et moi étions l'objet, jadis.. Pourtant, je n'ai rien oublié. Ô Hommes, comme vous êtes versatiles: Vous qui nous adulez aujourd'hui, à cette époque, vous n'étiez jamais à court de moqueries lorsque vous croisiez l'une des nôtres ! Et parfois, même, quand les mots ne nous flétrissaient pas suffisamment à votre goût, vous n'hésitiez pas à faire parler vos poings, sous les regards satisfaits et admiratifs de vos compagnes d'alors.

Ce qui s'est produit entre-temps ? Les jeunes journalistes qui défilent à la maison de retraite pour voir dans sa petite chaise roulante l'ancêtre-témoin du mouvement T* de l'époque héroïque, grognon à souhait et à demi-gâteuse comme je m'amuse à l'être de toute éternité, me le demandent souvent. Bien que je le sache parfaitement, je ne leur ai jamais répondu, me réservant de le dévoiler pour mon centenaire. Toutefois, pour le cas où il ne me serait pas donné d'y parvenir, victime par exemple d'une de ces monstrueuses indigestions de douceurs que j'ai si souvent frôlées dans ma vie, je vais le consigner ici, par précaution.


Ce qui s'est donc produit, c'est que les hommes ont été contraints de passer sous les fouches caudines de la Nécessité... Et voici en quelles circonstances:

Selon les recherches que j'ai menées par la suite, il semble que c'est dans les dernières années du Vingtième siècle, voici plus de soixante ans, que divers laboratoires militaires situés dans les pays les plus riches de la zone occidentale entamèrent, dans le plus grand secret, des recherches poussées qui visaient à s'assurer la suprématie, après la Guerre Chimique, la Guerre Nucléaire, la Guerre Bactériologique et tant d'autres que j'oublie, dans le cadre d'une Guerre Génétique.

L'objectif était simple: il s'agissait, comme toujours avec les militaires, de détruire la population civile de « l'ennemi » adverse, mais non plus aveuglément comme cela avait été le cas jusqu'à lors: les têtes pensantes (?) des Etat-Majors, qu'on avait sans doute formées non sans peine à la Psychologie, avaient en effet conçu qu'une démonstration de force était bien plus impressionnante quand elle prouvait la capacité de l'attaquant à frapper n'importe quelle catégorie de la population plutôt que celle-ci dans son ensemble; car, outre que cela montrait la pleine maîtrise technique de l'agresseur, toute personne alors, au lieu de se croire raisonnablement menacée dans les limites d'un calcul de probabilité portant sur la population entière, pouvait s'estimer victime certaine quand on en viendrait à sa propre catégorie, ce qui n'était là qu'une question de temps et non plus de hasard.

Les fonds n'avaient pas manqué pour ces projets grandioses, non plus que l'enthousiasme réconfortant des scientifiques; si bien qu'en quelques années on avait fini par mettre au point toute une panoplie de rétrovirus d'un genre nouveau, susceptibles de provoquer divers dommages, le plus souvent mortels, aux organismes parasités, et cela, ingéniosité suprême, en fonction des chromosomes ou des gènes présents dans les cellules qu'ils rencontraient.

Pour la première fois dans l'histoire jusqu'ici sans taches de l'Humanité, il était donc ainsi devenu possible de liquider le plus simplement du monde toute frange désirable de la population: les petits, les gros, les poilus, les glabres, les bruns aux yeux verts, les blonds aux yeux bleus, les blancs, les noirs, les jaunes, les rouges, les hommes, les femmes... Il n'y avait qu'à commander et le virus était lâché dans la Nature.

D'érudits experts, forts des déboires rencontrés par les armées romaines dans le dressage de ses chiens à attaquer les éléphants du camp adverse, et qui avaient aussitôt harcelé les pachydermes de leurs propres lignes, avaient cru pouvoir émettre des réserves circonstanciées sur la bonne volonté des virus à respecter les limites des frontières ennemies. Mais, comme il se doit, cette inquiétude n'avait rencontré que peu d'écho; peut-être même les hauts stratèges de ces démocraties satisfaites avaient ils envisagé avec satisfaction la possibilité de faire d'une pierre deux coups, et de se débarrasser de l'éternel « ennemi intérieur » en même temps que du non moins traditionnel « ennemi héréditaire ».

Tant et si bien qu'au début du Vingt-et-unième siècle, tout était en place pour une catastrophe de grande ampleur, indéniablement voulue et soigneusement préparée. Il fallait s'attendre à ce qu'elle ne survînt pas comme on l'avait prévu ou comme on l'aurait voulu; c'est ce qui se produisit.


5.

était bio-généticienne; Ce fut également la première victime de l'épidémie qu'elle déclencha.

Elle travaillait au Secret Genetic Military Laboratory de l'OTAN implanté sur la base de B. Aux esprits qui s'étonnerait de ce qu'une femme, technicienne des Sciences de la Vie par surcroît, et donc apparemment deux fois étrangère à la soldatesque, ait pu s'enrôler sous une bannière aussi douteuse, il est aisé de répondre qu'il n'est aucune puissance, hélas, à laquelle un scientifique répugne de s'acoquiner dès lors qu'elle lui promet honneurs et carrière; et le goût de la femme pour l'uniforme, pourvu que ce soit celui du vainqueur, est lui aussi triste chose patentée.

Mariée à un sous officier qui avait trahi ses espérances en se révélant sans grand avenir, V. n'avait pas tardé à tomber passionnément amoureuse d'un Colonel beaucoup plus prometteur, avec cette ingénuité des femmes, dont la sincérité s'oriente toujours au mieux de leurs intérêts... Je suppose que le Général était inacessible, ou homosexuel ! Toujours est-il qu'à la longue le pauvre mari était devenu, pour l'épouse joyeusement adultère, le rappel d'une erreur de jeunesse, le symbole insupportable de l'échec de sa vie de femme, l'entrave à son bonheur futur d'épouse de gradé, bref, le boulet dont elle devait se délivrer à tout prix pour accéder au rang pour lequel elle se sentait faite de toute éternité, celui de femme d'officier supérieur.

Malheureusement, le Colonel, élevé chez les Pères, avait des principes: s'il voulait bien cocufier son subordonné au vu de toute la base, ce qui, au fond, lui apparaissait comme une prérogative naturelle de son grade et, du reste, n'était pas sans accroître son prestige, il n'était pas question pour lui d'épouser une divorcée.


Voilà pourquoi, un soir d'Août 2001, V. s'introduisit clandestinement dans son propre laboratoire pour s'y inoculer un virus de culture qu'elle avait spécialement sensibilisé à l'ADN de son mari.

Son plan était de le contaminer au cours d'un rapport sexuel, qu'il aurait certainement accueilli avec d'autant plus d'enthousiasme qu'elle l'en privait sous divers prétextes depuis plus d'un an. Dans les 48 heures suivantes, les cellules du coeur auraient commencé à se dégrader à un tel point qu'il serait mort d'une crise cardiaque et qu'aucune autopsie n'aurait permis de soupçonner le meurtre: le coeur aurait simplement paru être celui d'un homme fatigué par les excès. Et comme le virus était spécifique à l'ADN du mari, il n'aurait jamais pu contaminer qui ce que fût par la suite.

Si les meilleurs plans humains sont faillibles par nature, on sait depuis longtemps qu'un zeste de suffisance militaire dans la pensée, arrogante et rigide, suffit à les faire échouer... Soit qu'elle fût moins bonne technicienne et préparatrice qu'elle le pensait, soit que son attention eût pâti de la fièvre dans laquelle elle passait à l'exécution du meurtre, soit qu'une laborantine ait interverti des étiquettes, soit pour mille autres raisons inconnues (l'Histoire n'est pas claire sur ce point), V. ne s'injecta pas le produit qu'elle pensait mais une souche suceptible de détruire à une vitesse foudroyante tous les êtres humains de sexe féminin au sens génétique du terme.

Pour donner plus de « romantisme » à la situation, V. avait donné rendez-vous à son mari dans un restaurant de la ville voisine. Victime de graves malaises dès la sortie de la Base, elle ne put même pas y parvenir. Deux heures après que le virus eût commencé à se répandre dans les cellules de son corps, elle n'était plus, sur le siège de son automobile, qu'une sorte de gros tas méconnaissable de gelée visqueuse en uniforme qui semblait gargouiller ça et là des fluides répugnants. Dans cette masse dont le relief s'estompait progressivement, les yeux furent, curieusement, les derniers organes à disparaître, comme s'il avait été donné à la créature d'assister, comme premier supplice, à l'horrible révélation de son âme de boue.

L'examen des rapports de police effectués dans la nuit du 22 Août 2001 dans les quartiers Nord de la ville de B. nous apprennent que c'est une patrouille composée de deux hommes et de deux femmes qui découvrit « la chose ». Il était tellement peu plausible que celle-ci ait été un être humain que les policiers pensèrent d'abord à une mauvaise plaisanterie. Que ce fût par simple curiosité ou pour identifier la substance, ils la sentirent, la touchèrent, bref, ils entrèrent en contact avec elle et furent contaminés à leur tour. Sans rien soupçonner, ils la fourrèrent tant bien que mal dans un sac en plastique et l'amenèrent au poste de Police, où chacun eut tout loisir de jouer avec et d'accueillir le virus; il en fut de même à la fourrière où l'on conduisit le véhicule de V., dans lequel un peu de gelée était demeurée, et de l'équipe d'enquêteurs qui manipula l'uniforme souillé par elle.


Au matin du 23 Août 2001, 50 personnes avaient déjà été infectées, dont quinze femmes qui étaient mortes, réduites au même état que V., dont plusieurs sous les yeux de témoins épouvantés.

A cette époque, j'étais en vacances dans un petit village français; je m'occupais en recherchant des informations, des articles, et en rédigeant des histoires pour TVQ, le premier site T* francophone de l'Internet, né quelques années plus tôt. De tout cela, je n'eus, non plus que personne, aucune connaissance: soit que la censure eût déjà été mise en place, soit que l'information ait paru trop invraisemblable, rien ne filtra de toute cette histoire.

Et pourtant, quand on relit les bulletins de renseignements inter-gouvernementaux archivés à l'OMS, l'épidémie se propagea à une vitesse inconcevable, et sans qu'on puisse la contrer: les premiers cas apparurent en France en Septembre 2001. Deux mois plus tard, il n'y restait plus une seule femme en vie. En Novembre, tous les continents étaient touchés. Et en janvier 2002 la dernière femme sur Terre expirait à l'Hôpital ultra-moderne de New-York bâti spécialement pour étudier cette maladie. C'en était définitivement fini de la possession féminine du Monde.

Je passe sur la panique que semait le phénomène dans les zones où il apparaissait: les suicides, les euthanasies, les pillages, les meurtres dans une atmosphère de fin du monde qui incitait aux derniers excès et où, du reste, des cohortes de pénitents de fraîche date psalmodiaient à tous les coins de rues le Livre de l'Apocalypse...

Chez nous, au sein du Monde T*, grand était le désarroi. L'immense majorité des filles se sentait comme orpheline, privée du modèle de la Femme pour qui elle représentait, comme je l'avais lu jadis, une véritable « asymptote ». Pour moi qui n'avais jamais été dupe de cette créature fausse et méchante, et qui n'avais jamais confondu Femme et Féminité, il en allait autrement; même si je déplorais l'horreur de leur fin et leurs souffrances atroces, qui n'étaient jamais d'ailleurs que la compensation de celles qu'elles avaient fait endurer depuis que le Monde était leur, je ne parvins jamais à éprouver de pitié sincère envers celles pour qui je n'avais jamais existé que comme souffre-douleur et sujet de moqueries.

En nous toutes sourdait aussi une sombre inquiétude: il était prouvé, d'expérience, que les « vrais mâles » n'avaient rien à craindre, ce que, d'ailleurs, ils avaient vite compris; mais nous, marquées par la Féminité comme nous l'étions, d'un sceau qui pour être invisible n'en était pas moins réel, à quoi devions-nous nous attendre ? Après avoir vécu des années dans la honte d'être ce que nous étions, honte que notre émergence dans la communauté internet venait à peine de dissiper légèrement, voilà que nous plongions dans les affres de l'angoisse.

De plus, au fur et à mesure de la disparition des femmes génétiques, notre situation devenait plus intenable; quand il n'y eut plus dans le monde que dix femmes pour cent hommes et que sur ces dix femmes huit se révèlaient être des filles T*, la déception de ces messieurs les conduisait déjà à des réactions violentes et incontrôlables. Mais cela n'était rien: quand nous restâmes maîtresses de la place quelque mois plus tard, seules créatures féminines au monde, nous en fûmes d'abord réduites à nous terrer davantage que nous ne l'avions jamais fait.

Et pourtant... par bien des côtés, notre existence s'était améliorée: aucune épouse ne pouvait plus ni nous contraindre à jouer en privé ce rôle d'homme pour lequel nous étions si peu faites, ni nous imposer un divorce totalement déséquilibré à son avantage; et de fait, nous étions pour la première fois totalement libres de nous organiser et de nous rencontrer comme nous le voulions, pourvu que ce fût, comme dans le passé, sans la moindre ostentation.

Ce temps là fut comme jamais celui des réunions et de la convivialité: nous dînions sans cesse les unes chez les autres, à tel point que je me souviens de semaines entières où je n'ai pas passé la moindre soirée chez moi. Nous y passions des nuits dans les rires et la bonne humeur, évoquant les temps héroïques, savourant le présent malgré des contraitnes qui ne nous semblaient pas devoir durer, et imaginant le futur dans ce monde où nous étions désormais les seules présences féminines.

Les hommes, eux aussi, se regroupaient entre eux, mais péniblement et dans ces antres dont ils ont le secret: bars louches où ils noyaient leur chagrin, tripots de toutes sortes où ils s'étourdissaient, caves enfumées où ils se projetaient de vieux films pornos pour raviver leurs souvenirs... tout leur était bon.

Il fallait les voir, dans la rue, se rendre au travail sans pouvoir se retourner sur les filles qui ne passaient plus; à la terrasse des cafés, où ils ne pouvaient plus détailler du regard des silhouettes inexistantes; A leur mine défaite, on eût pu croire que le monde s'était arrêté de tourner, et cela pour toujours. D'ailleurs ils en portaient tous le deuil: il était quasiment impossible d'en trouver un rasé de près et en linge propre; et quand cet oiseau rare existait, il y avait des chances que ce fût en réalité l'une d'entre nous en tenue civile, à tel point que nous nous reconnaissions bien souvent entre nous à cela.

Quant à nous, nous avions d'autres préoccupations: Les magasins de vêtements ou d'accessoires féminins étaient tous en faillite, et nous rachetions parfois à quelques-uns l'intégralité de leurs stocks à vil prix: 300 tonnes de rouge à lèvres pour 500 Francs français, 5000 paires de Chaussures Ashley (Taille 50) pour 1000 FF, 359124 perruques longues blond platine (importables) pour 1 FF symbolique, tout était sensationnelle occasion. Certaines montèrent, après de telles affaires, des établissements qui combinaient les activités des vente et location de costumes et d'accessoires, salles de réunion, restaurant, discothèque et club privé. Ce dut dans ces endroits, vers 2005, que les hommes et les T* retrouvèrent le contact.

Car depuis 2002, les hommes avaient dû se rendre à l'évidence: non seulement les femmes dont ils avaient eu jusqu'ici l'habitude, il n'y en avait plus nulle part, mais, selon la rumeur publique, les travestis et les transsexuelles étaient en tout aussi grand nombre qu'auparavant, et peut-être même davantage. Insensiblement, les endroits dûment labellisés T* devinrent les lieux à la mode et reçurent les gens qu'il fallait, ceux qui font l'opinion, et ceux qui font les réglements, pour que la société franchisse le pas qui devait lui permettre de survivre.

La suite vous la connaissez, puisque vous avez dû l'apprendre dans vos manuels d'Histoire: en 2010, tout citoyen majeur reçut le droit constitutionnel de vivre dans le genre de son choix, droit qui fut étendu aux mineurs à partir de 2015. Parallèlement, et en conséquence, toute facilité fut donnée aux opérations de réassigation sexuelle pour les individus qui en éprouvaient le besoin.

Quand j'aurais ajouté que les progrès techniques et médicaux permirent l'émergence en 2020 du clonage comme moyen de reproduction, et que le Code Civil en tira toutes les conséquences vers 2023 pour refondre complètement le statut juridique de la Famille, vous saurez tout. Le Code Civil n'en était d'ailleurs plus à cela près: il avait déjà dû auparavant tirer de grands traits sur nombre de ses principes majeurs considérés comme intouchables par les grands théoriciens du Droit: la fameuse « indisponibilité de l'Etat de la personne », la notion de sexe, les règles du mariage, tout cela avait été jeté cul par dessus tête sans le moindre inconvénient.

Le plus amusant de toute l'histoire est sans doute de constater comment les moralistes de tous poils, qui jetaient jadis l'anathème sur nous, individus pervers et dégénérés que nous étions à leurs yeux, en sont venus, poussés par la nécessité, à nous trouver tous les charmes et toutes les vertus... Jusqu'au Pape qui, dans sa Bulle « Homo Transgeneris » avait enfin avoué que selon le texte original de la Genèse, sévèrement remanié en 325, comme beaucoup d'autres, à des fins outrageusement temporelles, Dieu avait bel et bien créé un être intermédiaire entre Adam et Eve, auquel il convenait désormais de rendre toute sa place !

Il y a certainement une morale à tirer de tout cela. Mais ce n'est pas à mon âge que je vais m'y mettre, surtout que c'est l'heure de ma tisane de 16 heures, celle avec la goutte de Rhum dedans... Alors je vous en laisse le soin. Si vous êtes sages, je vous ferai d'autres révélations pour mon cent-cinquantenaire !

Michèle Anne Roncières, auteur et propriétaire de ce texte, s'en réserve, sauf accord express de sa part, tous les droits pour tous les pays et notamment en ce qui concerne les modifications ou la réécriture, totale ou partielle, ainsi que pour toutes les formes de diffusion et d'exploitation


Responsable du site : Lucie Sobek


Avis de lecteurs - note moyenne : 0
Merci de donner une petite note sur ce texte :
j'ai aimé...

1 Pas du tout
2 Un peu
3 Beaucoup
4 Passionnément
5 A la folie