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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chantal

1 Jeune étudiant de première année 7 chantal tvq@femmes.net 27-10-2004, 15:44 Chapitre 7

Je passai ainsi la soirée dans cette tenue, sans gêne aucune pour chacun de nous. Pour la nuit, Sophie me proposa de continuer l'expérience en me prêtant une chemise de nuit de satin noir festonnée de dentelles. Nous convînmes que le lendemain, nous continuerions ma transformation en me donnant l'apparence complète d'une jeune femme.

Avant de m'endormir, je réfléchis à ce qui m'arrivait, à ma capacité à accepter tout cela si facilement. Je réalisai que je n'avais jamais été attiré que par les femmes, que j'avais toujours apporté une grande attention aux vêtements portées par mes amies et que lorsque je faisais l'amour avec elles, j'appréciais que parfois elles portent leurs lingerie et leurs chaussures à talons, que j'aimais alors les caresser, sentir le nylon sous ma peau. Que je regardais toujours avec envie lorsqu'elles se maquillaient, ce qui me laissait rarement physiquement indifférent, que je m'étais souvent demandé quelles sensations éprouvait-t-on aux contacts de ces produits. Que j'étais fasciné par les attitudes de femmes entre elles, parfois n'hésitant pas à se montrer l'une à l'autre, discutant sans gêne de leurs tenues (" Tu portes de jolis collants aujourd'hui "), les enviant et rêvant de pouvoir faire la même chose avec elles. Bref, que l'univers dans lequel je me projetais étais proche de celui que Sophie voulait me faire connaître.

Le lendemain matin, je découvris que Sophie avait apporté dans ma chambre ma deuxième parure ainsi qu'une paire de bas gris. Je m'habillai ainsi éprouvant toujours autant de plaisir au contact des bas sur ma peau et terminai par le peignoir qu'elle m'avait laissé. Je la rejoignis pour le petit déjeuner.

Elle était déjà prête, habillée maquillée. Je m'aperçus que je la regardais non plus comme ma très jolie logeuse mais comme une vraie femme, une presque sœur, mais que j'avais aussi besoin d'elle à mes côtés, bref que je réalisai que depuis longtemps j'étais amoureux d'elle. Je la trouvai très belle et je sus qu'il me serait difficile de rester de marbre face à elle. Je commençais à éprouver du désir pour elle.
- Aujourd'hui, Laurence, je te propose donc de te transformer totalement, si le résultat est concluant, et crois-moi, il le sera, tu pourras rester ainsi toute la journée. Si cela te plaît, demain nous te transformerons à nouveau et je t'amènerai avec moi faire les boutiques, histoire que tu aies quelques choses à te mettre. Je t'en dirai plus tout à l'heure. Laisse-moi te faire la surprise. Je crois d'ailleurs que tu n'es pas au bout des surprises !.
Ainsi fut fait. Je laissai Sophie s'occuper de moi telle une poupée. Je me retrouvai dans la situation que j'enviais où deux femmes s'aident à s'habiller, à se pomponner, tout cela sans ambiguïté apparente.

Sophie me demanda de me raser de très prêt puis entreprit de me maquiller. Je fus très étonné de la voir utiliser un stick gras, qu'elle me désigna comme un cache barbe utilisé en maquillage professionnel pour les hommes. Que venait faire cet accessoire dans son univers féminin, sans doute l'avait-elle acheté en prévision de ce que nous vivions. En effet je ne doutais plus une seconde qu'elle y songeait depuis quelques temps, le verre d'eau renversé n'ayant servi que de banal déclencheur.

Elle appliqua toute sa science féminine du maquillage sur mes yeux et mes lèvres, un fond de teint permettant de lui donner un aspect plus lisse et masquant les aspérités d'un visage masculin. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait, je n'aurais le droit de voir qu'une fois le résultat terminé. J'appréciai particulièrement le contact et le goût du rouge sur mes lèvres. Elle me mit ensuite une perruque avec des cheveux au carré, elle en possédait quelques unes qui lui permettait parfois de changer de tête.
J'eus enfin le droit de me voir.
- Pour l'instant, je te maquille, mais si nous décidons ensemble de faire de toi une femme accomplie, je t'apprendrai cet après-midi à te maquiller toi-même. Au début je t'indiquerai quels produits et quelles couleurs utiliser, et très vite tu y viendras seule et tu apprendras à te fournir sans moi.

Ces mots me plongèrent dans un abîme de réflexion, ainsi donc Sophie voulait non seulement me féminiser pour nous, mais en plus elle voulait que je sorte ainsi et seule ? Pour l'instant je me contentai d'admirer une jeune fille dans la glace. C'était incroyable, j'avais disparu et j'étais remplacée par une jeune femme maquillée et coiffée. La lingerie que je portais complétant l'illusion.

Sophie s'absenta et revint avec un air coquin les mains derrière le dos. Elle me montra ce qu'elle avait apporté : une paire de seins en silicone qu'elle fixa immédiatement à mon soutien-gorge. C'était à ne plus rien y comprendre, que faisait un tel accessoire dans la maison d'une femme de son âge visiblement en pleine possession de ses moyens physiques ?
- Je les ai achetés pour toi, j'avais compris depuis notre première sortie que tu aimerais notre petite expérience, si je peux parler ainsi…
Une fine combinaison, un chemisier et une jupe vinrent compléter ma tenue. J'étais indéniablement une femme, seuls mes pieds bien à plat manquaient à l'appel, mais là encore le mystère s'épaissit car une paire d'escarpins à talons fins de hauteur moyenne firent leur apparition.
- Comment pouvez-vous avoir des chaussures à ma pointure ?
- C'est tout simple tu sais, tu n'as pas remarqué mais je chausse assez grand, du 41, et ce matin quand je suis aller t'apporter ta lingerie j'ai regardé tes chaussures et j'ai vu que toi aussi. Heureusement d'ailleurs que tu as un petit pied pour un homme, nous pourrons sans problème aller dans n'importe quel magasin.

Je me mis debout et Sophie me demanda de faire quelques pas. Ce ne fut pas très convaincant, donc elle m'apprit patiemment à me tenir sur des talons, puis, je marchai seule dans l'appartement. L'habitude vint rapidement. Pour me tester, je passai quelques minutes ensuite à marcher à plat avant de reprendre mes escarpins, je n'eus plus de problème.

Je passai ainsi la journée dans cette tenue sans me poser de questions, je sentais mon corps d'homme, mais ma tenue me paraissait naturellement féminine. Alors que j'avais craint mes réactions physiques, je n'en eu aucune. Tout s'était mis en place. L'après-midi fut consacrée à l'apprentissage du maquillage, très rapidement je fus là aussi autonome. Ensuite Sophie m'apprit à placer ma voix pour lui enlever ses aspects trop masculins.
- Alors Laurence, qu'as-tu décidé pour demain ? Continuons-nous ?
- J'en ai bien envie, j'oublie totalement ce que je suis, je me sais homme mais me sens femme. C'est à n'y rien comprendre.
- C'est parce que c'est la première fois, ensuite tu ne te poseras plus de questions. Tu seras soit Laurent, soit Laurence, à ta convenance. Au début, tu verras, tu te transformeras le plus souvent possible et ensuite tes deux personnalités cohabiteront sans problème. Alors, es-tu décidée, peux-tu te libérer pour la journée ?
- Oui, je n'ai pas de cours demain.
- Parfait, alors à demain ma chérie ! Ah, au fait, il n'est plus question maintenant que tu me paies le moindre loyer, je n'ai pas besoin de cet argent, garde-le pour tes plaisirs personnels, es-tu d'accord.
J'acquiesçai.. Sophie vint gentiment m'embrasser sur les joues pour me dire bonsoir, déposant en plus un très léger baiser sur mes lèvres. Je ne réagis pas, mais je savais qu'une prochaine fois je me comporterai à ce moment comme un homme.


Responsable du site : Lucie Sobek


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