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« », une petite histoire imaginée par chantal

1 Jeune étudiant de première année 4 chantal tvq@femmes.net 27-10-2004, 15:42 Chapitre 4
J'eus à peine le temps de réfléchir qu'elle revenait. Elle tenait à la main une petite boule de tissu noir.
- Voilà des collants en voile. Ils sont suffisamment extensibles pour que vous puissiez les mettre. Regardez comme c'est doux " Elle commence à caresser ma main avec puis, écartant légèrement le peignoir, ma cuisse.
- Rendez-vous compte, cette douceur sur vos jambes quand vous allez marcher ! Laissez moi faire, il ne faut pas les abîmer, aussi je vais vous les mettre.

Elle prend le collant, et comme pour un bas ou une chaussette le remonte jusqu'au bout du pied, puis me demande de tendre la jambe et le pose sur mes orteils et là doucement le déroule jusqu'à mon genou, puis fait la même chose avec la deuxième jambe, me demande de me lever et enfile enfin le reste du collant sur mes cuisses et par-dessus la culotte, ne faisant même pas attention à la tension qui y réside.
- Et voilà ! Allons vous voir dans la glace de la salle de bain ! Mais cela vous va à ravir, si, si, on dirait que c'est fait pour vous. Sentez comme vos jambes sont douces maintenant !

C'était vrai, et comme elle me l'avait dit. Je ressentais comme une chaleur à chaque pas et j'avais l'impression d'avoir la jambe gainée. J'appris peu après que le mot était utilisé ainsi. Les femmes parlaient de jambes gainées de noir. Ce qui me paraissait en fait le plus étrange était de me voir ainsi debout en peignoir avec des jambes noires, comme ces femmes qui attiraient mon regard dans la rue. Je compris alors pourquoi j'avais cette attirance. J'avais tout simplement envie d'en porter.
La soirée se finit ainsi, comme si finalement tout cela était " normal ".
Le lendemain matin, Sophie vint me voir.
- Je suis désolée Laurent, mais la lessive n'est pas finie, donc vous n'avez toujours pas de rechange. Vous allez devoir reporter une de mes culottes !
Curieusement, cette fois, je ne me sentis pas gêné.
- Je comprends, ne vous en faîtes pas. Et puis, je dois vous avouer, que ce n'était pas désagréable à porter, dis-je en rougissant. Et puis les collants, vraiment j'ai apprécié !
- A la bonne heure ! dit-elle, et elle me tend alors une culotte beaucoup plus féminine que la précédente. Mettez donc celle-là, vous voulez encore porter un collant ou des bas. Il vaut mieux des collants, parce que je ne veux pas risquer que l'on voit une jarretelle à travers votre pantalon ou pire, un bas se dégrafer à cause du frottement. Je vais vous l'enfiler et si vous êtes sage, je vous apprendrai à les mettre vous-même.
Je ne dis rien, je la laisse m'enfiler un collant de couleur noir (" Ce sera plus discret sous un pantalon, on pourra les prendre pour des chaussettes fines "), puis je finis de m'habiller. Peu après, Sophie frappe à ma porte.
- Laurent, comme gage pour la nappe d'hier et ma lingerie, je vous emmène avec moi faire mon shopping du samedi, nous partons dans dix minutes et je vous offre le déjeuner dans un restaurant dont vous me direz des nouvelles.

Alors quel effet cela fait un collant sous un pantalon ? C'est agréable n'est-ce pas ? Vous voyez, trop de femmes n'y voient que des vêtements, et c'est dommage, c'est agréable de se sentir bien dans ses vêtements. Dix minutes plus tard, je me présente au salon, Sophie n'y est pas mais elle m'appelle de sa chambre.
- Je suis ici, venez me rejoindre.

Lorsque j'arrive, je la découvre en train d'attacher ses bas. Cette vision, en plus du contact de la dentelle et du voile sur ma peau fait plus que me troubler. Cherche-t-elle à me provoquer, contrairement à ce que je pensais d'elle ou alors le petit incident de la culotte a-t-il suffi à lui faire oublier son intimité vis à vis de moi.
- Oh, excusez-moi Laurent, je ne veux pas vous choquer, je pensais que vous arriveriez moins rapidement, me dit-elle en rougissant un peu, et puis maintenant que vous portez mes culottes, nous sommes presque intimes, n'est ce pas?
Cette rougeur subite me rassura.
- C'est que je ne suis pas choqué, mais troublé, vous êtes tellement belle, et ce geste est si beau, si …
- Petit coquin ! On aime vraiment les atours de la féminité alors ! J'en apprendrai tous les jours ! Allez, on est parti !

En marchant dans la rue, je ressentais un grand bien-être. J'aurais du me sentir un peu gêné que l'on puisse s'apercevoir que je portais un collant féminin, mais pas du tout. Le voile collait à ma peau, je sentais les mailles se resserrer et se détendre à chaque pas. Je regardais les femmes en me sentant comme elle. En plus, j'avais l'impression d'être privilégié car j'accompagnais une femme jolie dont je savais qu'elle portait des bas. Cela me rappelait les regards que je portais dans la rue sur les femmes, me demandant, comme beaucoup d'hommes, si elles portaient des bas ou des collants. Là, pour Sophie, je savais, je me sentais fier d'avoir à mes côtés une femme dont la tenue faisait rêver beaucoup d'hommes. A chaque fois que je m'asseyais, je me surprenais à faire voir ostensiblement mes chevilles. Comme si je voulais que tout le monde se pose des questions sur mes chaussettes. Je le dis à Sophie pendant le repas.
- Et alors ? A votre avis, est-ce que des personnes vous ont remarqué ?
- Je ne sais pas. En ce moment, je suis persuadé que toutes les femmes autour de nous me regardent.
- Peut-être, mais je ne pense pas qu'une seule s'imagine que vous portez des collants, après tout, des hommes portent sans problème ce type de chaussettes, c'est d'ailleurs pour cela que vous portez des collants simples. S'ils étaient plus féminins avec des motifs ou une couture derrière, alors là ce ne serait pas pareil. Un homme ne porte pas de chaussettes à couture ou en dentelles, et cela se voit forcément.
- Cela doit donc être moi qui fait travailler mon imagination.
- Vous avez vraiment envie que l'on vous remarque, moi je n'en serais pas affectée, au contraire je trouverais cela amusant !
- Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire.
- Allons, Laurent. J'avais un peu prévu votre réaction. Si vous le voulez, j'ai avec moi des collants noirs opaques avec un motif à la cheville qui s'enroule le long de la jambe sur quelques centimètres. Si vous en avez envie, vous allez les mettre seul aux toilettes et vous revenez ici. Ensuite, en vous asseyant vous remontez votre pantalon, on verra bien.

Il y avait à côté de nous deux femmes plus âgées que Sophie qui nous regardaient souvent. Sophie était tellement jolie et élégante. Elle me passa le collant discrètement et j'allai l'enfiler. Je découvris que le motif représentait un rosier vert et rouge dont la tige s'enroulait sur le mollet, la première fleur donnait l'impression de sortir de la chaussure pour s'épanouir sur la cheville. C'était magnifique. J'avais envie de porter ce collant et de le montrer pour qu'une femme vienne vers moi me complimenter ou même me traiter de pervers, mais au moins me remarque.

Je revins, rendis à Sophie le collant fin précédent, sans chercher à le cacher (" Tenez, je vous rends votre collant " lui dis-je sans chercher à être trop discret), et découvris franchement ma cheville en remontant mon pantalon. Peu après, Sophie fit un peu de bruit en faisant tomber un couvert. Une de nos voisines se tourna vers nous, je sentis nettement son regard sur mes jambes. Il lui était difficile de ne pas s'apercevoir de quelque chose. Discrètement, elle attira l'attention de son amie, qui me regarda aussitôt. En face de moi, Sophie souriait " Vous voyez, Laurent ".
La première femme se leva et vint vers nous.
- Excusez mon indiscrétion, mais c'est difficile de ne pas remarquer quelque chose.
- Que pouvons-nous pour vous, dit très innocemment Sophie.
- Et bien, enfin, voilà, Monsieur, vous ne porteriez pas des collants par hasard.
- Que voulez-vous dire, lui répondis-je.
- Et bien des collants de femme, ce motif à la cheville est si joli.
- En effet.
- Je voulais vous dire que cela vous va très bien, vous avez beaucoup de goût. Où l'avez-vous acheté ?
Sophie lui indiqua l'adresse de son magasin et la référence du collant.
- Ils existent aussi en bas.
- Vous voulez dire que votre ami porte des bas ?
- Non, pas aujourd'hui, seulement moi.
- Moi aussi, j'adore porter des bas d'ailleurs, entre nous j'en porte en ce moment, et j'aimerais tellement que mon mari porte des collant ou des bas, en tout cas toutes mes félicitations à tous les deux. Vous avez bien de la chance de pouvoir en profiter.
" Vous voyez, Laurent, je vous l'avais dit ".

Le repas se termina ainsi. J'étais sur la planète Mars, et Sophie avait l'air heureuse de cet incident. Que se passait-il donc ? Comment une telle jeune femme pouvait se comporter ainsi avec moi, ne pas être choquée par ma tenue et, encore plus, m'y encourager. Que me réservait-elle pour la suite?


Responsable du site : Lucie Sobek


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