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« », une petite histoire imaginée par michelineannemarie

Séjour chez tante Eleonore michelineannemarie 02-10-2012 07:25:31 A quinze ans, le jeune Dominique, fait l'école buissonnière pour la première fois, sans penser aux conséquences. En ce mardi, après maintes brimades subites, hier, lors de la séance gymnastique, il déambule sur la rive sud de la rivière ERDRE, ruminant une rancoeur exacerbée. Il ne pense pas aux conséquences de son geste !
Risée d'une partie de la classe terminale du lycée CLEMENCEAU de NANTES, il se sent exclu, abandonné, perdu parmi quelques lycéens, assez agressifs envers lui !
Est-ce sa faute, si sa morphologie est un peu chétive ? C'est vrai, son allure est plus qu'androgyne. Il paraît bien frêle, à côté de certains élèves de son âge.
Est-ce la raison qui pousse quelques lycéens à le traiter de mauviette ? Même quelques filles se joignent aux garçons pour se moquer de lui, pour l'avilir assez souvent. C'est si facile en groupe de brimer une personne.

Pourtant, il est très bon élève. Son érudition lui permet d'être le meilleur de sa promotion. Est-ce la raison, pour que quelques lycéens éprouvent une certaine jalousie ? Une minorité de la classe profite de leur corpulence, pour le ridiculiser et le provoquer, tout cela discrètement, bien sûr. Entre chaque cours, il se trouve souvent seul sous le préau. Mais à la longue, cela devient pénible à endurer. Deux ou trois camarades ont bien essayé de le soutenir, mais devant ces persécuteurs, ils ont renoncé par crainte de représailles.
Le soir en rentrant chez lui, il sent terriblement malheureux. Une grande lassitude le domine ! Devant sa mère, il tente de cacher son dégout et son amertume.
Hélas, Madame DURAND, ayant reçu un appel téléphonique du principal de lycée, connaît son absence. Le climat familial est pesant. Sa mère est très dépitée et courroucée envers son fils.
A table, Madame DURAND aborde le sujet avec un air soupçonneux.

Où as-tu passé la journée ? Qu'as-tu fait tout ce temps ? Monsieur le principal m'a appelé et m'a prévenu de ton absence ! J'ai du mentir pour toi ! Te rends-tu compte de ce que j'ai du inventer ? Te rends-tu compte de ce que j'ai pu me poser comme questions ? Comprends-tu que j'ai redouté et craint le pire ! Je suis vraiment consternée. Comment à nouveau, puis-je avoir confiance en toi ? C’est grave ce que tu as fait mon fils !
Que répondre! Comment expliquer les humiliations, les vexations ? Dominique, tète baissée, est bien trop honteux, trop bouleversé, pour avouer toutes ces persécutions !
Maman, je suis désolé, mais je n'avais pas le moral ce matin ! Je comprends que ce que j'ai fait est indigne de moi ! Devant les grilles du lycée, j'ai rebroussé chemin, instinctivement, sans réfléchir. J’ai marché le long de l'ERDRE, sans penser à mal !
Tu as passé tout ce temps à vadrouiller dans la nature ! Est-ce digne de toi, mon fils ? Je ne t'ai pas éduqué, je ne t'ai enseigné point çà ! Tout aurait pu t'arriver, là je suis très en colère, après toi ! Je vais maintenant douter de toi !
Maman, comment t'expliquer, je te promets de ne plus recommencer, d'être comme avant, de ne pas renouveler cette monumentale erreur, indigne de moi !
Monsieur le principal m'a aussi parlé de ta solitude, tu es trop souvent seul, plongé dans des livres aux récréations. Que se passe-t-il, expliques moi ?
Maman, je t'assure que de nouveau, tout va bien se passer ! Je pense que c'est juste un coup de cafard. Je vais continuer à bien travailler pour te prouver que c'était juste une bêtise d'adolescent.
Je l'espère Dominique ! Aux prochaines vacances scolaires, nous irons chez ta Tante, ma soeur Eleonore. J'ai aussi besoin de changer d'atmosphère, de me ressourcer, au travail j'ai trop de stress. Un peu de repos, un peu d'évasion, me seront salutaire.
Mais que vais-je faire chez Tante Eleonore ? Nous sommes très bien tous les deux !

Non, mon fils, j'ai l'impression qu'il te faut un peu discipline ! Je crois que j'ai été trop laxiste avec toi ! Je pense qu'un changement d'horizon t'est nécessaire et te sera salutaire ! Moi aussi cela me fera du bien, sans compter que cela faisait un moment que je n'ai pas revu ma soeur ainée.

Tante Eleonore, ancienne internationale de karaté, est maintenant professeur d'éducation physique dans un collège. Dominique a toujours été impressionné par sa Marraine. En sa présence, il voue une admiration des plus discrètes. A côté d'elle, il se sent totalement un démuni. Le charisme de sa Tante lui a toujours inspiré du respect et de l'admiration.
Après une demi-journée en voiture, l'arrivée est comme un soulagement pour la conductrice. Enfin, elle va pouvoir respirer l'air pur d'une petite ville provinciale, se changer les idées et d'oublier un peu son travail.

Les retrouvailles sont pour les deux soeurs, pleines de joie. Par contre, Dominique est accueilli un peu froidement. Une fois, les valises déposées, puis le déjeuner pris, assises dans de profonds fauteuils, les deux soeurs évoquent l'escapade. Dominique, lui est allongé dans un transat sous la tonnelle. Il se demande quel sort, on lui réserve ? Car, il se doute qu'on parle de lui en ce moment. Au travers d'une grande baie vitrée, il discerne les deux soeurs en pleine discutions. Au bout d'un long moment, il est hélé par Tante Eleonore qui lui demande de venir dans le salon.
Le plan est adopté. Pour commencer, Dominique devra participer aux tâches ménagères, car chez lui, sa chambre est toujours en désordre.
Tante Eleonore, d'une vois grave, dit :

Alors mon filleul, que se passe t'il ? Je suis, comme ta mère, assez déçue de toi. Pour ton séjour, ici, nous avons organisé tes journées. Réveil à sept heures, petit déjeuner, ménage complet de ta chambre, puis révision de tes cours, après le déjeuner, à nouveau révision jusqu' à seize heures, puis un peu de jardinage en notre compagnie. Vers dix neuf heures, tu nous aideras en cuisine, ensuite vers vingt heures, nous dînerons. Selon le temps, nous irons faire une brève promenade le long des bords de la Sèvre Nantaise et extinction des feux vingt deux heures. Voilà ton programme de réjouissances, tu comprends que ta mère et moi, nous ne désirons que ton bien, en pensant à ton orientation ! Surtout, nous ne voulons pas que tu soustraies aux tâches ménagères. Comme cela tu comprendras qu'après une journée de labeur, il n'est pas agréable de passer derrière ta petite personne pour ranger et nettoyer ta chambre ! Il est temps que tu t'assumes !
Dominique écoute, n'ose parler de ses problèmes au lycée.

Le premier jour, au déjeuner, Dominique, en pyjama, est stressé, malgré sa surprise de voir, les deux soeurs en tenues affriolantes, une certaine tension règne. Tante Eleonore montre bien sa passion des froufrous et sans prendre gare aux éventuelles émotions que pourrait ressentir son neveu. Par contre, il est totalement surpris que sa mère porte aussi un superbe ensemble déshabillé, chemise de nuit. Il est médusé de voir qu'elle se dévoile aussi ainsi. Elle si pudibonde à la maison.

Les premiers jours sont pénibles. Le rythme des journées est assez soutenu. Seul moment qu'il apprécie c'est le petit déjeuner, en appréciant les beaux déshabillés que portent sa mère et sa Tante. D'habitude sa mère est plus prude à la maison. Le troisième jour, il doit étendre du linge. Là, avec quelques hésitations, il touche, tâte ses lingeries fines, quelles sensations ! Lui qui n'osait jamais regarder les effets féminins à la maison, par timidité sans doute. Là, émotions, sentiments inconnus, joie intérieure, son coeur palpite. Une excitation envahit ce jeune adolescent. En essayant de paraître indifférent, il continue à aider sa Tante qui l'observe discrètement. Tante Eleonore se rend compte de la tension érotique qui agite son filleul. Elle ne dit rien, mais pense qu'après le départ de sa soeur, elle va tester Dominique.
La première semaine passe bien vite. C'est le départ de sa mère. Dominique se retrouve maintenant, totalement sous l'autorité de sa Tante. Le premier soir en aidant à la cuisine, par mégarde il salit sa chemise.

Voyons Dominique qu'as-tu pour être si maladroit ? Ce n'est pas moi qui te perturbe, quand même ? Tu vas me mettre de suite cette blouse pour continuer à m'aider et tache d'être plus attentif à ce que tu fais. Tante Eleonore lui enfile cette blouse rose qu'elle boutonne dans son dos. Voilà, ainsi tu ne risques plus de tacher tes vêtements, car sinon c'est toi qui feras le lessive et à la main, bien sur pour que tu comprennes qu'il faut faire plus attention.
Mais, Tante c'est une blouse de fille !

Eh, alors, de quoi te plains-tu ! De tout façon je n'ai rien d'autre à te prêter. Tu es ici pour comprendre que ton avenir n'est pas à faire l'école buissonnière ! Ta mère n'est que trop bienveillante envers toi ! Je crois qu'il manque une personne pour t'imposer de la discipline. Cette semaine, je veux que tu fasses ce que je te demande, sans rechigner, sinon Dominique, je saurais intransigeante, capable encore de te donner la fessée !
Oui, pardon Marraine, je tiens à faire oublier cette escapade indigne de moi et me concentrer sur mes études.
Voilà une bonne résolution, tu deviens raisonnable et surtout responsable ! Dis-moi, hier, qu'as-tu ressenti, en étendant nos lingeries féminines ?

Mais rien, Tante Eleonore, auparavant, je n'avais jamais vu d'aussi près de telles lingeries. Jamais, je n'aurais pensé que j'aurais pu toucher de tels vêtements féminins, aussi intimes. Je n'ai point osé regarder et encore moins toucher les affaires de Maman. Pourquoi me poses-tu une telle question ?

Allons, allons, j'ai bien vu que hier, d'abord, tu considérais çà comme une corvée supplémentaire. Tu hésitais tant, puis au fur et à mesure, tu les prenais plus délicatement, plus longtemps. Ensuite tu les étendais avec un soin extrême en essayant d'éviter d'y laisser des marques d'épingles à linge ! Tu avais l'air d'y prendre beaucoup de plaisir. Est-ce que je trompe ? Non, je ne pense pas d'après mon intuition féminine.

Non, Tante Eleonore, c'est vrai ! C'est la première fois que je dois étendre des tenues aussi affriolantes. Sans compter que je vous voyais chaque matin, au petit déjeuner en superbes déshabillés. A la maison, Maman ne porte que des habits ringards ! Le premier jour, quelle surprise, ensuite j'appréciais ces moments, tout en cachant mon émotion. D'ailleurs, Maman était plus épanouie, sans doute le faite d'être ensemble et qu'elle voyait les efforts consentis par moi.

C'est vrai, j'ai du la forcer un peu, à laisser de côté ses horribles pyjamas. Je crois qu'elle s'est trop occupée de toi et qu'elle avait oublié, un peu trop sa féminité. J'espère qu'après cette semaine, elle va modifier ses mauvaises habitudes et penser un peu plus à elle. Elle a vraiment besoin de changer son look. Maintenant, Dominique que dirais-tu si, ce soir, je te demandais de mettre une chemise de nuit pour dormir ? Toi, aussi, tu ne portes que des pyjamas en coton, tu verras la différence, si tu acceptes, tu apprécieras, j'en suis certaine.
OH ! Tante Eleonore, crois-tu que cela soit nécessaire ? Je n'ai jamais pensé, ni songé que je pourrais essayer d'aussi beaux vêtements.

J'ai le sentiment que cela te comblerait, n'est-ce pas ? Je crois qu'il est temps de changer, pour un temps, ta personnalité ! Au moins, comme çà tu ne penseras pas à essayer de mater sous mes jupons ! Si tu crois que je ne m'en suis point aperçue depuis tout ce temps. C'est flatteur pour moi, mais n'oublies pas que je suis ta Marraine.
Tante Eleonore, pardonnes moi, acceptes mes excuses. J'ai toujours été admiratif de ta féminité. Tu as toujours été plus coquette que Maman, avec ses tailleurs si stricts. Mais que penserait Maman si elle le savait ? Est-ce bien raisonnable de vouloir me transformer en fille ?

Il suffit d'en faire notre petit secret. Tu sais, Dominique j'aurais aimé tant avoir une fille, hélas, je ne puis avoir d'enfant. De plus, je n'arrive pas à vivre avec un homme, je tiens trop à mon indépendance. Tu as une taille fine, très féminine, pourquoi ne pas en profiter pour essayer de me faire ce plaisir ! Nous pourrions être plus complices. Tu sais, une semaine passe bien vite, alors autant commencer ce soir. Qu'en penses-tu mon filleul ?
Marraine, puis-je refuser ? Hélas je crains que non, voyant ta détermination, je ne puis qu'obtempérer, il me semble !

Après une douche, Dominique, en peignoir, rejoint sa Marraine, dans sa chambre. Elle ouvre une porte de la penderie. Là, il reste ébahi, devant lui, couleurs chatoyantes, dentelles, variétés de tissus, quel émerveillement ! Il reste là béat, totalement surpris par toutes ces fanfreluches.
Voyons ce que tu pourrais mettre ! Cet ensemble sera parfait, pour cette nuit. il te faut juste, en plus une petite culotte assortie. Aller, enfiles cette tenue et vas te coucher, demain nous aurons du temps pour allez plus loin.
Il revêt une chemise de nuit, en satin, de couleur rouge, agrémentée de dentelles noires, décolleté arrondi, tombant à ses pieds, ainsi que la petite culotte.

Dominique disparaît, il est tout émoustillé. Il est surpris par la douceur du satin, de sa légèreté, de sa fluidité. Il se regarde dans un miroir. Une certaine euphorie l'envahit. La nuit est pleine de rêves, le sommeil est léger. Le matin, éveillé, il enfile le déshabillé et chausse des mules. Il se précipite vers la cuisine d'où s'échappent des odeurs de pains grillés, de café. Sa Marraine est là, elle rayonne dans son long ensemble, bariolé, fluide, plein de dentelles.
Bonjour Marraine, j'ai passé une excellente nuit. Je me sens en pleine forme ! Je ne sais si c'est en rapport à ma tenue ?

Bonjour Dominique, alors tu as bien dormi ! Je vois que cela te plait énormément les froufrous. Tu es superbe, ainsi, tu ressembles à ta mère. Je pense qu'on va bien s'amuser toutes les deux, pendant cette semaine. Ce matin, j'ai regardé dans mon dressing et j'ai trouvé des effets féminins trop petits pour moi, mais qui devraient t'aller. Bien sur, ces tenues sont un peu rétros, mais en excellent état. De plus avec ta physionomie, ce sera assez facile de te métamorphoser. De même que, pour les escarpins pas de problème, tu chausses comme moi.
Après le déjeuner, Dominique suit sa Marraine, avec une certaine appréhension. Sur le lit, sont étalées diverses affaires ! Cela le surprend, car tout cela est nouveau pour lui.
Déshabilles toi, Dominique ! Je crois que nous allons essayer cette petite robe vichy, avec cette gaine, ce sera parfait pour commencer, dit sa Marraine

Dominique enfile la gaine en se contorsionnant. sa taille est serrée. Un soutien-gorge est agrafé dans son dos dans le quel on glisse deux pelotes de laine. Ses jambes sont gainées de bas à couture, que sa Marraine attache aux larges jarretelles. Un petit jupon empesé est lacé à sa taille et la robe est passée par dessus sa tète. La robe est boutonnée dans son dos. Des escarpins à petits talons sont mis à ses pieds. Une perruque blonde, légèrement frisée vient surmonter son minois.
Il ne s'est pas encore aperçu. Mais quelle impression, il se sent léger !

Voilà, voyons ce que cela donne ! Pour ce matin, cela suffit ! Tournes toi que je vérifie. Tu es parfaite, je m'en doutais un peu. Nous verrons pour le maquillage cet après-midi ! Déjà commences à t'habituer à ce changement, penses à faire de petits pas. Regardes ma démarche et essaies de m'imiter. Essaies de raisonner en femme, dit Tante Eleonore.
Tu crois que j'y arriverais, c'est assez compliqué, Marraine, pour un néophyte. Je suis sur un petit nuage. Je ressens une étrange sensation ! C'est difficile à expliquer. Je ne sais comment l'exprimer !
Dans un grand miroir se reflète une jeune personne un peu gauche, timorée. Mais comment croire à ce changement, est-ce bien lui ? Eh oui, la grande glace renvoie chacun de ses gestes !

Voilà, c'est çà, doucement. Maintenant voyons voir pour t'asseoir, avec tes deux mains, tu maintiens les pans de ta robe comme ceci. Fais comme moi, c'est bien, penses-y à chaque fois que tu poseras ton derrière. La matinée passe vite. Le midi, Dominique met un petit tablier pour aider à la cuisine. L'après-midi, séance de maquillage, adjonction d'une parure de bijoux, la féminisation est totale.

En soirée, Tante Eleonore, va voir sa voisine, amie de longue date, Madame ELISABETH qu'elle met dans la confidence. Cette amie lui permet de puiser dans sa garde robe, car sa stature est très élancée. Ainsi Tante Eleonore revient les bras chargés d'effets féminins plus adaptés pour Dominique. Le choix sera plus cornélien, mais ainsi on pourra varier les tenues ! Surtout qu’ELISABETH aime les tenues assez sexy. Même ses lingeries sont des plus sensuelles. Chaque matin, Dominique change de tenues. Les progrès sont si évidents que la demoiselle est totalement surprise par cette évolution imposée par sa Marraine. Dominique se sent de plus en plus à l'aise dans ce rôle temporaire. Le port d'une minijupe, d'un chemisier lui sied à merveille. Elle déambule avec aisance sur des talons aiguilles. Parfois Madame ELISABETH, vient prendre un petit café. La première fois Dominique n'ose se montrer. Mais sur l'insistance de Tante Eleonore, appréhension oubliée, Dominique fait le service avec une certaine dextérité, sous des compliments assez élogieux. Chaque matin, Dominique ressent ce besoin d'exprimer sa féminité. Cela permet ensuite, à Dominique d'accompagner sa Tante à la ville voisine et de vivre quelques jours euphoriques. Ah, déambuler dans les rues piétonnes, sentir la bise remonter le long de ses jambes gainées, c'est euphorique, pourtant Dominique ne doit rien laisser paraître. Avec sa Tante, la jeune damoiselle vit une expérience enrichissante.

Sa féminité devient si évidente, que Tante Eleonore se demande si elle n'est pas allée trop loin. Que cela risquerait de compromettre son avenir. Mais quand elle voit comment évolue Dominique, elle se dit que cela sera bénéfique pour son avenir. La complicité est beaucoup plus sereine et radieuse, plus de pensées de sévérité, ni de tentatives de petits regards discrets sous les jupes. Au contraire, Dominique doit éviter de prendre de mauvaises attitudes quand elle est assise. Elle comprend qu'elle doit être plutôt attentive et éviter de paraître osée en public.
Le bonheur sera, hélas, éphémère
Dominique, j'ai pris contact avec ta professeur principale. Je lui ai expliqué tes problèmes, soit sans inquiétudes, elle va s'en charger discrètement, c'est une excellente amie. Tout se fera sans que personne ne sache que tu as parlé !
Les prochaines grandes vacances, Dominique saura où les passer maintenant.


Responsable du site : Lucie Sobek


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