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« Le voleur de dentelles », une petite histoire imaginée par michelineannemarie

1 Le voleur de dentelles jeanne jeanne@femmes.net 15-11-2005, 16:21 Dans un quartier résidentiel de la banlieue nantaise, Michel, quatorze ans, ayant réussi son baccalauréat avec mention très bien, attend avec impatience le mois d'août pour partir en famille sur la côte vendéenne. Grimpé sur une échelle, il cueille des bigarreaux, son attention est soudain détournée. Dans la propriété voisine séparée par une petite haie, il observe madame Desmarais et sa fille Honorine, seize ans , blonde comme les blés, hautaine . Avec délicatesse, elles étendent leurs lingeries intimes. Depuis toujours fasciné par ses deux voisines, Michel regarde, agités par une brise légère, soutien-gorges, porte-jarretelles, culottes assorties, chemises de nuit, déshabillés frivoles, aux couleurs chatoyantes, séchés à l'abri des rayons brûlants du soleil. Se faufilant entre deux lauriers sauce, il guette. Il attend avec patience, que les deux femmes rentrent dans leur maison. Caché par des massifs de rosiers, il s'approche du sèche linge, palpe, hume chaque pièce et comme électrisé, il rêve de parures féminines enveloppant son frêle corps d'adolescent. Une semaine se passe, surveillant le départ de ses voisines, il pénètre à nouveau dans le jardin. Poussé par son instinct, il décroche les sous-vêtements d'Honorine, avec bas de soie, nuisette et déshabillé. Dans un coin de la propriété, il se dénude, il se pare soutien-gorge accroché avec difficulté, porte-jarretelles, culotte rouge et noire, bas fins tendus sur ses jambes, nuisette et déshabillé tout en dentelles. Sensation d'ivresse, il se caresse, son sexe durcit et une jouissance inconnue, fulgurante répand sa semence dans la culotte. Après l'euphorie, c'est la consternation, la culotte est tachée, poisseuse. Nettoyant de son mieux, il remet les effets sur le sèche linge et disparaît à toutes jambes. Dans la soirée, espionnant ses charmantes voisines, qui pièce par pièce récupèrent leur lingerie en les rangeant dans un panier. En inspectant sa culotte rouge agrémentée de dentelle noire, Honorine constate le forfait. Maman qu'est-ce que c'est? Madame Desmarais scrute, tâte, hume la culotte et essaie d'apercevoir le coupable. Délaissant pendant deux semaines le sèche linge, souvent Michel ressasse cet extase éveil de sa sexualité. Il est attiré à nouveau vers la haie. Apercevant les mêmes lingeries étendues et se croyant seul, il les dérobe et retourne dans le fond du jardin. Ne sachant point surveillé, en effet, de sa chambre, à l'étage, Madame Desmarais observe le larcin. Pendant ce temps, revêtu avec les mêmes lingeries, les mêmes pulsions agissent. Hélas Madame Desmarais surgit. Petit saligaud s'écrit-elle, je vais prévenir tes parents. Le ciel s'abat sur sa tête, il est contraint, ainsi paré de lingerie d'aller dans le salon de ses voisines. Au milieu de la pièce, rouge de confusion, son coeur palpitant, prostré, il rumine un avenir plein de menaces parentales. Comme çà, on aime la lingerie féminine d'Honorine! Eh bien, tu vas être servi. Demain , je veux que tu reviennes, sinon tes parents seront prévenus. Il sonne tout penaud en début d'après-midi, au domicile de ses voisines. Accueilli par Honorine, sourire dédaigneux, il est conduit dans la salle de bains, attendu par Madame Desmarais. Il est dévêtu de ses vêtements de garçon, plongé dans un bain parfumé. Après avoir été séché. Il est habillé d'un soutien-gorge garni de prothèses mammaires, d'un serre taille lacé dans le dos, d'une culotte, assortis. Les bas sont maintenant tendus sur ses jambes grâce aux jarretelles. On lui passe une petite jupe noire surmontée d'un tablier blanc. On le coiffe d'une perruque blonde puis on le juche sur des chaussures à talons qu'il trouve trop haut. Un petit maquillage pour accentuer la féminité du jeune voleur, et la métamorphose est complète. Marchant avec difficulté, elle est conduite dans le salon. Maintenant, tu seras notre petite bonniche à chaque fois que nous le souhaiterons, sinon tes parents recevront les photos que nous avons faites. On t'appellera MICHELINE. Alors sous les quolibets d'Honorine, elle suit les ordres de ses deux maîtresses et découvrent des sensations nouvelles. Le soir à regrets, il est obligé de quitter ses vêtements de soumis heureux, tant il a éprouvé de plaisir à vivre dans un environnement si féminin.

Responsable du site : Lucie Sobek


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