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« LE CODE SECRET », une petite histoire imaginée par marietherese

1 LE CODE SECRET marie therese marietheresekoest@yahoo.fr 06-10-2007, 9:31 AVERTISSEMENT : D'habitude mes récits sont doux et tendres. Celui ci est différent.
Il est violent et terrible.
Je déconseille sa lecture aux copines sensibles.

LE CODE SECRET

Ils nous ont attrapés. Ils sont tombés sur nous en pleine réunion de préparation du sabotage du pont.

Voilà déjà une semaine que nous sommes prisonniers dans les caves de cet ancien hôpital transformé en prison. Ils nous font subir un régime difficile. Nous sommes entassés à douze dans cette cave. C'est une ancienne cave à charbon. Il y a peu de lumière. Il fait froid et humide. Nous ne recevons que très peu de nourriture. Ils nous torturent car ils veulent connaître notre code secret.

Leur chef c'est le petit docteur. Nous l'avons surnommé ainsi car il est petit et habillé comme un docteur, avec un cache poussière blanc. Il nous fait peur avec ses regards de savant fou et sadique. Il entre seul dans notre cellule, sûr de son pouvoir et de notre peur. Un affreux rictus lui tient lieu de sourire. Il parcourt de son regard nerveux et fouineur notre groupe et désigne l'un d'entre nous. Aussitôt, deux gardes en uniforme noir se lancent sur la victime, la prennent par les bras qu'ils tordent en arrière, et l'emportent.
Il nous observe et est un peu déçu lorsque personne ne le défie du regard, car il aime la bagarre. Il faut dire que depuis la scène du bras, nous sommes calmés.

Au début de notre emprisonnement, lorsque le petit docteur a voulu emmener pour le torturer notre premier compagnon, notre chef, le commandant Roger, a voulu s'interposer. Il s'est placé entre eux et la porte de la cave. Le petit docteur a lancé un signe bref vers ses sbires pour confirmer ses ordres. Roger s'est placé alors en face du petit docteur, a soutenu son regard et lui a parlé de la convention de Genève. Le petit docteur a eu un sourire dédaigneux. Voyant que notre compagnon allait disparaître dans le couloir, Roger a posé fermement sa main sur l'épaule du petit docteur pour bien lui exprimer sa réprobation. Le petit docteur s'est reculé en poussant un cri de rage. Son visage était aussi blanc que son cache poussière. Dans sa langue gutturale, il a donné un ordre qui se terminait par "hand ab". Tout a été très vite. Les deux sbires ont lâché leur victime et se sont emparés de Roger. L'un le maintenait penché en avant en lui tordant le cou, l'autre lui passa une fine cordelette en cuir autour du poignet de la main qui avait touché le petit docteur. A coups de genoux et de matraque, et en tirant à coups secs sur la cordelette qui lacérait la peau, ils forcèrent Roger à s'approcher de la table, à s'agenouiller à côté d'elle et à tendre son bras sur celle-ci. Le troisième sbire, resté dans le corridor entra et d'un coup puissant d'une hache d'incendie, coupa la main de Roger. Le sang gicla, Roger hurla, la main tomba au sol. Le petit docteur sauta sur la main et la piétina d'un air triomphant. Pendant que les deux premiers sbires emmenaient Roger, le troisième resta au milieu de la pièce, la hache brandie au-dessus de sa tête, pour nous tenir en respect. Le petit docteur, calmé à présent, nous regarda les uns après les autres en ricanant. Il nous quitta en déclarant qu'il allait soigner notre chef et qu'il allait particulièrement bien s'en occuper.
Ce fut effectivement le cas. Il se sont acharnés sur son moignon.

Ils ont fait ça dans la pièce à côté. Nous avons tout entendu, leurs cris de rage, ses cris de douleur, les coups de hache qui lui enlevaient par morceaux tout son avant bras, leurs efforts pour le ranimer, pour qu'il ne leur échappe pas dans la mort, leur déception de ne pas réussir à le faire parler.
Le soir ils nous ont ramené Roger. Il était couvert de sang et de déjections. Il était muet et hébété. Il a mis plusieurs jours avant de pouvoir nous parler, mais le soir même, à quelques étincelles de fierté dans son regard, nous avons compris qu'il n'avait pas livré notre secret.

Chaque matin, le petit docteur faisait son entrée dans notre cave. Il nous toisait du regard, supputait ses chances de faire parler quelqu'un et choisissait la victime de la journée sur laquelle il allait s'acharner. Il s'y entendait en découpe, en vivisection, en déchirure, en étirement, en arrachement. Il mettait toute sa science dans le domaine de la médecine au service de l'accroissement de nos souffrances.
Aucun d'entre nous ne parlait au petit docteur. Le code secret tenait bon.

Mais nous parlions entre nous. Après chaque retour, la victime voulait nous dire comment cela se passait, pour que nous puissions nous préparer. Le petit docteur faisait conduire sa victime dans la pièce située à côté de notre cellule. Elle était assombrie. Seul le centre de la pièce était éclairé. La victime devait se tenir là, immobile, et attendre. Le petit docteur, parfois aidé par un collègue, tournait autour du prisonnier et l'observait longuement. Puis il effectuait une série de tests. Il présentait au bout d'un bâton telle matière malodorante, ou montrait tel instrument de découpe, ou faisait frapper ses sbires à différents endroits du corps, ou faisait mettre à nu telle partie anatomique. Il se faisait ainsi une bonne idée de nos points faibles, et s'acharnait alors systématiquement sur ceux-ci.

Nous essayions de retenir nos hurlements le plus longtemps possible. Nous savions que nos compagnons nous entendaient souffrir. Le petit docteur croyait nous affaiblir en terrorisant les autres qui attendaient, impuissants. En fait, cette présence silencieuse nous galvanisait et nous donnait, dans les moments de découragement, la force de nous taire.

A chaque retour, le courageux torturé était allongé dans le coin de la cave où il faisait le moins froid. Quelques lambeaux de vêtements servaient de matelas. Nous sacrifiions un peu de notre précieuse eau pour laver ses blessures. Etant infirmier, j'étais préposé à cette tâche. Je n'avais aucun médicament. Pour leur apporter un peu de réconfort, je ne pouvais que passer mes mains au-dessus des zones les plus endolories de mon compagnon. Ces passes magnétiques ne donnaient de l'effet que dans la mesure où mon compagnon y croyait. Pour ceux qui n'y croyaient pas je caressais et je massais les zones de peau épargnées, celles sur lesquelles le petit docteur n'avait pas trop travaillé. Nous manquions de couvertures. Pour réchauffer un peu mon patient, je m'allongeais à côté de lui et collais mon corps au sien, posant mes bras et mes mains sur son corps meurtri.
Chaque jour le petit docteur choisissait sa victime. Il ne me choisissait pas. Avec horreur je réalisais chaque fois que je devrais passer une journée de plus dans cette angoissante attente.
Il m'a gardé pour la fin. Ce jour là, il est entré dans notre cave et nous a examinés tour à tour, comme il le faisait d'habitude. Par un genre d'humour pervers, il a fait du regard, lentement, trois fois de suite, le tour de la pièce. Il a attendu longtemps avant de me désigner.

Ma sortie fut différente. Quatre sbires se sont emparés de moi. Ils ont déchiré ce qui restait de mes vêtements, et ont arraché les lambeaux. Puis ils m'ont couché sur la table et ont attaché avec des cordes mes bras et mes jambes aux quatre pieds de celle-ci. C'est sur ce brancard improvisé qu'ils m'ont fait sortir de la pièce. Mes compagnons, un moment stupéfaits par cette sortie aux allures de sacrifice antique, m'encouragèrent de la voix. J'en avais bien besoin, car je n'en menais pas large. La porte claqua derrière moi et étouffa le chant des partisans qu'ils venaient d'entonner.
Le trajet fut plus long que prévu. Ils ne m'emmenaient pas dans la pièce à côté de notre cave. Nous avons emprunté le long corridor, monté deux volées d'escalier et parcouru un couloir nettement plus éclairé. Le petit docteur nous précédait et indiquait le chemin à sa troupe.

Nous avons pénétré dans une pièce fortement éclairée. Ils ont placé la table au milieu de la pièce, et dans un dernier effort, l'ont dressée verticalement. J'étais suspendu par les bras à cette lourde table en équilibre instable, maintenue verticale par un des sbires qui s'était placé sur un pied de la table. Mes jambes étaient écartées. Mes genoux étaient tordus et pliés. Mes pieds glissants sur le carrelage ne supportaient qu'une partie très faible du poids de mon corps. Les bras portaient tout. La circulation sanguine rendue déficiente dans mes bras occasionna bien vite des douleurs intenses.
Je me suis rendu compte que je me trouvais dans la salle d'opération de l'hôpital.
Le petit docteur m'examinait attentivement, faisant durer son plaisir de voir la souffrance et la peur m'envahir. La douleur de mes bras irradiait tout mon corps.
Je devais lever mon regard vers le petit homme pour le dévisager. Il avait l'air heureux. Il avait un air de sadique de haut niveau qui a trouvé une victime à sa mesure. L'émotion faisait vibrer sa moustache et agitait ses rares cheveux. Son visage était envahi par des tics.
Il eut un geste vers moi comme pour s'excuser de me laisser seul quelques instants.

Il revint bien vite. Il tenait un bistouri en main. Sans me quitter du regard il me fit une démonstration de l'efficacité de son outil. Il prit en main la grosse ceinture en cuir que je portais dans le maquis et que l'on m'avait confisquée juste après mon arrestation. D'un seul coup, sans effort apparent, il tranche le cuir épais.
Il se pencha vers moi et me fixa de son air hagard qui devenait par moments dangereusement fixe.
De sa voix éraillée, qu'il essayait d'adoucir, il me demanda :
"Alors, tu veux bien me donner votre code secret ?"
Il parlait lentement, détachant les mots, faisant traîner les syllabes. En parlant, il promenait son instrument sur mon corps.
Il prépara une seringue.
Il se rapprocha encore de moi, me dominant et agitant devant mes yeux le bistouri et la seringue.
"Je t'ai préservé jusqu'à présent. Je t'ai gardé pour la fin. Je t'ai choisi car tu es le plus petit, le plus fin, le moins costaud. Tu as droit à ma plus belle torture."

D'un geste vif, il posa son bistouri sur une tablette, s'empara du lobe de mon oreille gauche, tira dessus et y enfonça sa seringue bien à fond. Il insista un peu pour bien marquer le trou. Il retira la seringue et plaça un pendentif agrémenté d'une perle dans le trou. Avec une grosse pince, il recourba mon pouce droit. A l'aide d'un petit pinceau d'écolier, il recueillit les gouttes de sang qui perlaient dans l'orifice de mon oreille et entreprit de recouvrir l'ongle de mon pouce.
Ce travail achevé, il s'éloigna et continua :
"Voilà, tu as déjà beaucoup d'allure.

Si tu ne me donnes pas immédiatement le code, je vais t'anéantir. Je vais te faire une piqûre qui va relâcher tous tes muscles. Tu ne les commanderas plus. Tu seras comme paralysé. Mais tu ne seras pas endormi. Tu sentiras tout ce que je te ferai. Je vais modifier ton corps. Depuis que tu es en mon pouvoir, tu as reçu de grosses doses d'hormones femelles. Regardes ici et là le début de leur effet. Cet effet est encore réversible, mais bientôt il sera trop tard. Je vais accentuer ce bon début. Je vais aspirer le peu de graisse que tu as encore, la mélanger avec celle que j'ai prélevée sur tes camarades, et la réinjecter dans ton corps, mais à d'autres endroits. Je vais distendre certains de tes muscles et en retendre d'autres. Je vais te donner une belle poitrine, dessiner tes hanches, te donner un joli ventre plat, amplifier ton mignon petit derrière. Ensuite je féminiserai ton visage et te débarrasserai de ta pilosité masculine. Pour finir, je fixerai dans ton cuir chevelu toute une série de mèches de cheveux féminins, longs et bouclés, en les y cousant."
Il se pencha un peu plus et fit glisser le dos de son bistouri entre mes jambes.
"Ensuite, je vais m'occuper de ton petit appareil. C'est ma spécialité. Je vais adroitement le découper, l'évider, le modifier et lui donner une charmante apparence féminine. Ce sera fonctionnel. Tu pourras donner du plaisir aux hommes."
Il partit dans un grand rire hoquetant qui me glaça.
Il fit glisser l'aiguille de la seringue dans le creux de mon bras et reprit :
"Alors, tu me le donnes ce code secret ?"
Je serrais les dents, je tenais bon, il ne fallait à aucun prix lui montrer mon plaisir, l'espoir fou qui m'envahissait, l'espoir de voir mon vieux rêve devenir bientôt ma réalité.
Voyant que je ne cédais pas, il abattit ses derniers arguments:
"Lorsque ta transformation sera achevée, j'attendrai patiemment que ma piqûre ne fasse plus d'effet, assis confortablement dans un fauteuil, en te regardant.
Puis, je te placerai devant un grand miroir et je te forcerai à te regarder. Je te tournerai, je te plierai pour que tu voies en détail l'excellence de mon travail. Si tu n'es pas sage, je te placerai des fixe-paupières qui t'empêcheront de fermer les yeux.

Ensuite, je te ferai conduire dans l'appartement du directeur de l'hôpital. Mon collègue Fritz sera là. Il aime bien ce genre de curiosité scientifique. Il est fasciné par ces monstruosités que je lui confectionne. Il y aura de nombreux miroirs dans l'appartement. Je te placerai au milieu du salon, sur une petite estrade. Je te forcerai à mettre tes pieds dans des escarpins, ainsi tu seras bien mise en valeur et tu auras du mal à te déplacer. Tu seras embarrassée de te retrouver toute nue au milieu de cette grande pièce que j'ai fait vider. A part ton estrade, il n'y aura qu'un fauteuil destiné à Fritz pour qu'il puisse te contempler à loisir. Tu ne sauras pas comment disposer ton corps pour ne pas trop attirer l'attention. Tu auras peur en voyant arriver le mâle. Tu paniqueras en comprenant ses intentions, qui seront bien visibles. Tu devras choisir entre garder pudiquement tes bras devant ta poitrine et ton sexe, ou essayer de défendre ta vertu à coups de poings. Mais affaiblie par la faim et les opérations, tu ne résisteras pas bien longtemps. Tu ne réussiras qu'à aviver son plaisir.

Dans les miroirs, tu te verras caressée, embrassée, enlacée. Tu seras emportée vers la chambre et renversée sur le lit. Tu résisteras, bien sûr, comme l'on fait les autres avant toi. Mais c'est lui qui gagnera, comme toujours, car il est bien plus fort que toi. Tu verras dans les miroirs ce couple ayant des relations sexuelles. Tu suivras leurs ébats. Tu sentiras dans ta chair et sur ta peau ce que ressentent les femmes dans leur chair et sur leur peau. Tu seras meurtrie dans tes entrailles et tu verras sur le visage de Fritz le plaisir que tu lui donnes. Et pourtant ton esprit sera le même que maintenant. Tu seras et resteras un homme dans ta tête.
Moi je regarderai. Je ne me lasse pas de voir ce spectacle. J'aime planter mes yeux dans les yeux de la victime et suivre le cheminement de la folie qui s'empare d'elle.

Après quelques heures, lorsque Fritz sera fatigué de son jouet, qu'il en aura exploré les limites, je te ferai conduire dans ta cave où tu retrouveras tes camarades. Juste avant de t'ouvrir la porte, je te ferai une piqûre dans la langue pour la paralyser pendant une heure ou deux. Tu ne pourras plus parler. Au mieux, tu pourras émettre quelques sons incohérents.

Tes compagnons ont eux aussi reçu un traitement. Le leur est différent du tien. Il augmente leur virilité. Tu as déjà dû t'en rendre compte à l'occasion, ces derniers jours. Lorsqu'ils vont te voir entrer dans la cave, lorsqu'ils vont sentir sur toi les odeurs du mâle qui vient de te quitter, ils vont se précipiter sur toi. Tu auras beau essayer de leur expliquer avec des gestes, les supplier du regard, ils ne pourront pas se retenir. Leur instinct exacerbé par mes soins sera le plus fort.

J'aime les voir se battre entre eux pour être le premier à assouvir son besoin pressant trop longtemps contenu. L'un après l'autre, tes camarades te violeront et te bafoueront. Certains le feront plusieurs fois. S'il te restait encore un peu de raison après ton entrevue avec mon ami Fritz, tes camarades la démoliront.
Je resterai jusqu'à la fin et je verrai s'éloigner tes camarades de cette chose geignante aux yeux hallucinés qui traînera par terre. Peu à peu ils reprendront leurs esprits, se rendront compte de leur ignominie et seront envahis par la culpabilité.
Alors, réfléchis, évite cette déchéance, donne-moi le code !"
.
Il continuait à promener son bistouri sur mon corps, pour souligner ses paroles.
Il approcha la seringue de mon bras et la fit glisser vers le creux du coude. Je soutenais son regard. Je tenais bon. Je ne me laissais pas aller. Je ne voulais pas lui laisser deviner qu'il faisait fausse route.
.
Il me regardait avidement. Son regard m'envahissait. Il m'explorait méthodiquement.
Sa seringue s'est arrêtée, sa main s'est crispée, l'aiguille a commencé à piquer.
Peut être à cause d'un tout petit sourire, d'un petit soupir pas tout à fait assez horrifié, d'un léger relâchement, il m'a deviné.
D'un geste sec, il a retiré la seringue.
"Petite salope, tu m’as presque eu !

Je change ma proposition : Tu me donnes ton code et je fais ce que je t’ai expliqué. Tu seras très contente. Je vais bien te soigner. Je te ferai une anesthésie complète pour que tu ne souffres pas. Je ne laisserai pas cette brute de Fritz t'approcher. Je resterai seul avec toi. Je serai très gentil. Je te trouverai de belles perruques et de jolies robes. Je t'offrirai des bijoux. Je te promets que tu vas bien pouvoir profiter de ta transformation. Je vais te faire sortir d'ici. Je t'emmènerai dans des restaurants chics, dans les boites de nuit à Paris, à l'opéra de Berlin."
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Des soldats alliés nous ont délivrés deux mois plus tard.
Nous n'étions plus que quatre, et nous étions en très mauvais état.
Nous avons étés évacués vers un hôpital de campagne.
Nous avons reçu chacun une belle médaille. Un général est venu nous la remettre. Il était fier de nous. Il nous a félicités de n'avoir pas livré le code secret à l'ennemi.
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Je parle peu de ce qui s'est passé pendant ma jeunesse.
Je parle très peu de ma guerre dans les maquis.
Je n'ai jamais parlé de mon emprisonnement, surtout pas à ma femme et à mes enfants.
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Marie Thérèse KOEST


Responsable du site : Lucie Sobek


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