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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Florence Deon divers jeanne@femmes.net 20-05-2006, 8:08 Depuis quelques temps leur couple battait de l’aille, entre P et F les choses devenaient difficiles. Elle lui reprochait d’être toujours avec ses copains, de ne rien faire à la maison, de ne rentrer que pour se mettre les pieds sous la table et se faire servir. Pour lui c’était de sa faute à elle si seulement elle faisait preuve d’un peu de fantaisie et d’innovation dans leurs jeux amoureux cela irait mieux entre eux.
Alors juste avant de penser au divorce elle eu cette idée folle qui devrait résoudre les deux problèmes à la foi. Bien sur il ne serait pas facile à convaincre mais avec un peu d’aide de quelques copines, un petit chantage et une promesse de récompense câline cela pourrait marcher.

P., avait sans problème reçue l’aide de ses copines et de la sœur de F qui avait des comptes à régler avec son cher frère. Par chance la sœur de F. allait bientôt se marier les festivités du mariage seraient une superbe occasion de piéger F.Une des amies d’école de P. que F. n’avait jamais rencontré ferait le plus gros du travail, ensuite ce serait à P. elle même de jouer….

Le début du piège vécu par F.:

Lorsqu'elle m'a proposé ce jeu idiot, j'aurai du refuser, mais bon elle était si belle cette fille inconnue!

C'est au mariage de ma sœur six heures plus tôt que je venais de faire sa connaissance. Nous avions sympathisé et elle m'avait conduit dans sa chambre à cet hôtel de campagne. Elle était si belle avec ses talons aiguilles, dans sa robe chinoise en soie rouge, haut fendue sur sa cuisse gauche gainée de fins nylons noirs. Je lui avais simplement et innocemment dit combien je la trouvais jolie dans cette tenue hyper féminine. Une foi, dans cette chambre d'hôtel, elle a retirer le foulard de soie rouge qui attachait ses cheveux et m'a bander les yeux avec. Ensuite elle m'a lentement et intégralement déshabillé, j'étais déjà totalement et aveuglément dépendant d'elle. Pour respecter ses règles du jeu je ne devais pas bouger d'un poil et ne laisser percevoir aucun trouble devant elle pendant qu'elle me mettait nu. Bien sur j'avais perdu d'avance quel imbécile je fais toujours prêt à relever tous les défis! Perdant, une foi nu, avec les yeux encore bandés par son foulard de soie au parfum féminin entêtant elle me fit coucher sur le lit. J'avais promis de la laisser faire si je perdais et elle aussi si je gagnais mon pari. Elle me ligota les poignets avec une bande de tissu extensible, pas trop serré juste ce qu'il fallait pour que je ne puisse me libérer facilement. Ensuite elle me dit que je disposais de quinze minutes pour la rejoindre dans sa voiture ou alors elle repartait au mariage sans moi! Elle s'affaira quelques instants et me ligota aussi les chevilles avec le même type de tissu. Elle déposa mes vêtements sur la chaise et me dit qu'elle allait sortir de la chambre en me lançant un stop chrono moqueur. Comme j'ouvrai la bouche pour protester, elle en profita pour me mettre une boule de tissu dedans qui me réduisit aussitôt au silence. Elle me gifla sèchement en me rappelant les règles du jeu.

A force de contorsion je finis par me libérer les poignets et par retirer mon bandeau. Tout en retirant de ma bouche le morceau de tissu Et alors la surprise! Sur la chaise je découvris sa robe en soie rouge avec ses chaussures à talons aiguilles! C'est avec ses bas dim-up qu'elle m'avait ligoté les mains et les chevilles! C'est avec sa culotte en satin qu'elle m'avait bâillonné et c'est tout ce qu'il restait comme vêtements dans la chambre! Sur le miroir de la chambre elle avait écrit avec son rouge à lèvres déposé sur la table le message suivant: En sortant je demande à la gérante de me faire monter au plus vite des fleurs dans la chambre par son employée. Tu as intérêt à faire vite pour me rejoindre car je lui ai donné le numéro de téléphone de ta sœur pour me contacter si j'avais des messages urgent ou bien en cas de problème dans ma chambre...

Comme tu m'as dit aimer ma tenue j'ai décidé de te la prêter pour me rejoindre fais vite et bien attention à mes affaires ou alors tu vas avoir de gros ennuis, bisous tu vas être mignonne comme tout, ma belle! Seul et nu de la tête aux pieds dans cette chambre, je regarde les vêtements posés sur la chaise. J'ai encore le bas qui me liait les chevilles à la main, le fin nylon me caresse la jambe. Un trouble m'envahit en même temps que la crainte d'être surpris par une personne de l'hôtel...

Rapidement je prends le tout avec les chaussures et je m'enferme dans la petite salle de bain. Je me vois dans le miroir, le foulard de soie rouge qui me bandait les yeux descendu autour de mon cou. Cette robe dans une main, et les talons aiguilles dans l'autre... Le tube de rouge à lèvre est posé sur la tablette devant mes yeux, m'invite à l'utiliser, dans cette pièce minuscule perdue avec toute cette féminité entre les mains, je décide sans plus d'hésitations de céder au chantage de cette sorcière!


Piégé en soie 3 :

P. connaissait parfaitement les goûts de son mari pour les robes chinoises en soie sexy et provocantes. Elle avait préparé avec soin la tenue de son amie et le scénario de la belle inconnue ensorcelante qui mènerait son mari droit dans le piége. Les foulards et les bas contraindraient F. à la soumission et à l’obéissance. P. savait qu’il ne résisterait pas longtemps au jeu qu’elle avait imaginé pour lui, il demandait de la fantaisie et des innovations il allait en avoir plus que dans tous ses rêves réunis !
Des amies P. en avait et des filles qui n’aimaient pas du tout le comportement des hommes comme F. le pratiquait avec elle. Une de ces amies tenait un hôtel en pleine campagne avec un simple appel téléphonique le piége commença à s’articuler.

Une occasion qu’il ne soupçonnerait pas, une jolie inconnue mystérieuse, un lieu éloigné de tout qui libérerai de sa présence leur domicile pour en modifier quelques détails surprises. Voilà les ingrédients d’une recette miracle pour ramener au bercail le mari dissipé et le rendre à nouveau utile à la maison et fidèle à son épouse.

Seul dans le cabinet de toilette de cette chambre d’hôtel, F. ne peut pas imaginer ce qui va lui arriver sous peu. Alors qu’il commence à revêtir les seuls vêtements dont-il dispose encore. Alors qu’il enfile les bas sur ses jambes, la culotte et la robe qui épousent ses formes, les chaussures qui s’adaptent parfaitement à ses pieds, étrange car il chausse du 43, mais il n’y prête pas attention et ferme les brides sur ses chevilles.
A ce moment le téléphone de la chambre sonne, il hésite répondre ou pas ? Dix vingt sonneries et il sonne toujours !
Alors vaincu il décroche le combiné, c’est la voie de cette coquine qu’il entend lui demander si il s’est décidé à se faire belle ou pas car elle s’impatiente et vas partir si il ne vient pas la rejoindre sans délai.

Oui il s’est fait « belle » enfin il a presque fini, oui il va mettre du rouge à lèvres, oui il va regarder sous le lit et mettre aussi ce qu’il y trouvera. Oui il accepte de se bander les yeux avec son foulard à elle sous le porche de la sortie de service de l’hôtel, lorsqu’elle lui fera un appel de phare quand elle le verra sortir. Oui il mettra à ses poignets les bracelets qu’elle lui a laissés avec les autres affaires sous le lit. Oui il sait qu’il n’a plus beaucoup de temps avant d’être découvert et il promet de lui obéir en tout points.

Non il ne raccroche pas, oui il se met le rouge à lèvre et va chercher la boîte sous le lit. Oui il l’ouvre et trouve la perruque, les faux seins avec le soutien-gorge, la cape longue à capuche en satin noir avec les longs gants assortis. Oui il va mettre le tout, oui il voit aussi les foulards de soie, le collier avec la laisse, le cadenas et les menottes qui y sont accrochées! Il écoute les consignes en silence et raccroche le téléphone pour finir de se préparer.

Complètement perdu et sous pression il pose sur ses cheveux courts la longue chevelure féminine artificielle et il maquille ses lèvres de rouge. Il passe à son cou le collier et ferme le cadenas, les bracelets de menottes pendent ouverts sur son torse. Il passe sur ses épaules la cape et met les gants. Avec un foulard de soie noir il recouvre le collier, avec un second auquel il fait un nœud au milieu qu’il met entre ses lèvres rougies il se bâillonne fermement.
Dans le grand miroir de l’armoire il se voit ainsi paré et s’identifie à une héroïne de cinéma dans un film célèbre qu’il affectionne particulièrement. Mais jamais c’est certain il ne c’était imaginé lui, dans le rôle féminin de O en route pour son dressage à Roissy.
Il entrouvre prudemment la porte de la chambre et avec précaution, son foulard bandeau de soie rouge entre ses doigts gantés de satin noir il sort vers son nouveau destin…

Piégé en soie 4 :

Remontant la large capuche de la grande cape sur sa tête, il veut dissimuler son bâillon au regard qu’il pourrait croiser. Réaction normale mais aussi bien naïve, dans sa tenue de soie et de satin rouge et noir, perché sur ses talons aiguilles, les jambes gainées de bas nylons avec en tour de cou un collier d’esclave, recouvert d’un foulard certes, mais ou est accroché une laisse et des bracelets de menottes grands ouverts dans l’attente de se refermer sur ses poignets gantés de satin, il ne risque pas de passer inaperçu. A chaque pas la longue cape vole autour de lui découvrant sa robe de soie rouge fendue haut sur sa cuisse qui laisse quasiment apparaître la jarretière de ses bas. Il n’arrive même plus à réfléchir à sa situation, son seul objectif et d’atteindre au plus vite la sortie de service de cet hôtel du diable ou l’attends la sorcière à laquelle il doit se livrer entraver, muet et aveugle pour la satisfaire et avoir une chance de retourner ensuite au mariage de sa sœur.

Dans les miroirs en pieds qui sont accrochés au mur des couloirs il se voit passer sans se reconnaître. Un bruissement soyeux accompagne son déplacement, il résonne à ses oreilles comme les cloches d’une cathédrale auxquelles le martèlement régulier de ses talons hauts donne la mesure. Le sang bat à ses tempes à la vitesse du son, tout se mélange dans son cerveau qui lui paraît sur le point de griller. La peur, l’excitation, la caresse des matières sur son corps, l’entrave qui le prive de la parole, l’humiliation de s’être laissé avoir par cette fille et le risque d’être surpris(e), l’inquiétude de la suite une foi qu’il sera menotté après s’être lui même bandé les yeux…
Des pas se font entendre, ils viennent dans sa direction, sans aucuns doute ce sont ceux d’une femme, non deux, peut-être même trois femmes ou plus ! Cherchant précipitamment une porte ouverte ou un endroit ou se cacher à la vue du groupe qui arrive il est en pleine panique.

Il avise le panneau indiquant l’escalier de secours, il entend déjà les femmes parler et rire derrière l’angle du couloir, alors il se jette sur la barre anti-panique de la porte de l’escalier qui s’ouvre et claque derrière lui sans retour possible. L’escalier sauveur le jette en fait en pleine lumière du jour à l’extérieur de l’hôtel ! La chambre était au dernier étage du bâtiment, il doit maintenant descendre les quatre étages en passant devant les fenêtres de toutes les chambres donnant sur l’arrière de l’établissement !

Sur le parking en bas de l’escalier, il voit l’abri de la voiture de sa tourmenteuse qui lui fait face le moteur tournant au ralentit, mais elle est à l’autre bout de la cour. Il distingue vaguement à travers les vitres fumées la conductrice qui patiente derrière le volant. Il ne la voit pas bien, elle semble avoir mis un chapeau de cérémonie en satin bleu avec une large voilette qui masque son visage.

Apparemment elle l’a vu car la vitre conductrice se baisse et un bras revêtu d’une manche de veste de tailleur bleu en sort. Avec un mouvement d’une main gantée du même satin que la veste elle lui fait un signe, il voit le poignet en soie noir de son chemisier et la montre qui y brille et que lui désigne l’autre main de la femme.
Il peste contre elle, mais il comprend le message, il a intérêt à vite la rejoindre sinon elle va partir sans lui. D’ailleurs un coup d’accélérateur fait monter le moteur de la voiture dans les tours et la fait ronronner méchamment avec une signification menaçante.
Complètement sous son emprise il ne peut que descendre de son perchoir pour aller la rejoindre et il commence sa descente, les épaules basses et résignées.

Les menottes frappent sa poitrine artificielle à chaque marche pour lui rappeler leur présence, avec dans sa main le foulard de soie rouge avec lequel il va devoir se bander les yeux au signal de la conductrice, il se sent si vulnérable et impuissant à lutter contre elle. Il tient les pans de sa cape serrés contre lui de son autre main, avec la poignée de sa laisse d’esclave avec laquelle elle va le guider comme un animal de compagnie ou elle voudra.

Piégé en soie 5 :

Marche après marche il descend vers la cour et l’abri de la voiture. En passant devant certaine fenêtres il a l’impression de voir les rideaux bougés et d’être observé. Sans doute un trouble de son imagination surmenée…

Enfin ses hauts talons touchent le sol de la cour sur sa droite il voit le porche de l’entré du personnel. Pour essayer d’éviter d’être entravé, il tente d’aller directement vers la voiture mais celle-ci recule devant lui. Vaincu il se place à l’endroit imposé, un appel de phare lui ordonne de se bander les yeux avec le foulard et de se menotter les poignets à son collier.

Cette foi c’est la fin de sa liberté de mouvement et il hésite quelques instants. La voiture commence à reculer prête à sortir de la cour et à disparaître. Il abaisse la capuche de la cape, il place le foulard sur ses yeux et l’attache fermement sur sa nuque. Il place un premier poignet dans l’un du bracelet des menottes et le referme cran à cran sur le satin de son gant. Il place le deuxième dans l’autre bracelet et avec difficultés le referme sur son autre poignet.
Pour l’instant seul sous ce porche dans sa tenue féminine, bâillonné, avec les yeux bandés, les mains entravées il est le plus fragile des hommes.

La voiture avance vers lui et s’arrête, la portière s’ouvre et des pas s’approchent, son cœur cogne comme un fou. Les pas s’arrêtent et une main vérifie la fermeture de ses menottes, son bâillon et son bandeau. Sa capuche est baissée et une étoffe soyeuse et épaisse, sans doute un grand foulard, recouvre la totalité de son visage avant d’être noué derrière sa nuque et les pointes ramenées sous son menton et nouées par un double nœud. Il voudrait bien lui dire combien il en a assez de ses jeux stupides mais il ne le peux pas et réflexions faite il vaut mieux qu’il se laisse faire pour que tout cela cesse au plus vite.

Sa longue cape est remontée sur ses épaules et une autre bande de tissu, identique à celle qui vient de lui masquer le visage est glissée entre ses coudes dans son dos et elle est resserrée au maximum. Ses bras sont plaqués sur sa fausse poitrine et ses poignets sont totalement bloqués et tirés vers le bas. L’écharpe est solidement nouée et sa cape remise en place autour de lui.

Un vague bruit métallique étouffé par les foulards qui lui recouvrent le visage et deux bracelets se referment sur ses chevilles juste écartées d’une trentaine de centimètres. Une chaîne est accrochée à son collier et reliée à celle des menottes de ses chevilles, il est quasiment obligé de se courber vers l’avant tellement elle est tendue.
Sa laisse est tendue et il doit trottiner pour suivre sa traction en vacillant dangereusement sur ses talons aiguilles…


Piégé en soie 6 :

Cette foi, F, se promet de se venger une foi libéré de ses entraves, il lui sautera dessus à la première occasion et elle va voir un peu de quel bois il se chauffe !
Pour l’instant, il ne peut que subir la situation incroyable dans laquelle il se retrouve, en chancelant il tente d’avancer et manque de tomber. C’est alors que deux paires de mains le retiennent à gauche comme à droite à hauteur des épaules !
Le choc est terrible pour F, il se croyait seul avec cette fille bientôt dans sa voiture qui le ramènerait vers le mariage de sa sœur, il voulait y croire. Voilà qu’il y a au moins trois personnes autour de lui maintenant !
La peur l’envahit, il est totalement perdu si fragile et impuissant dans ces soieries qui l’habillent, le rendent muet et aveugle. Aucune chance de se libérer de ses menottes, les mains qui le soutiennent aux épaules et le poussent vers son destin sont toutes puissantes.

Apparemment il ne perçoit aucunes paroles échangées entre les nouveaux venus et la fille qui l’a piégée et qui tire sur la laisse pour l’obliger à avancer. Elle n’est pas surprise de voir arriver d’autres individus donc cela veut dire qu’ils sont tous de mèche. C’est un traquenard qui lui a été tendu, il s’en veut d’avoir été aussi stupide et naïf.

Sa femme et sa sœur devraient déjà s’inquiéter de son absence prolongée à la soirée de mariage. Il s’était éclipsé en douce pour suivre la fille en rouge, il continuait de la suivre mais maintenant c’était lui la « fille » en rouge. Faut dire qu’avec P., sa femme, les choses étaient plutôt calme côté jeux intimes, c’est pour cela qu’il avait craqué devant cette inconnue diabolique. Maintenant il commençait vraiment à regretter cette poussée de testostérone qui l’avait fait réagir par une impulsion bien masculine en dessous de la ceinture !
Pendant ce temps, P., était bien loin de s’inquiéter pour la disparition de son mari comme ce dernier l’espérait, elle souriait comme un ange en tirant sur la poignée de la laisse qui tirait son mari vers elle !

Sous la voilette qui lui couvrait le visage, elle avait beaucoup rit en jouant au volant de la voiture de son amie à reculer devant F. Méconnaissable pour lui dans son nouveau tailleur de satin bleu avec son chemisier stricte en soie noir. Son plan avait parfaitement fonctionné jusqu’à présent, ses amies soutenaient solidement son mari si craquant de fragilité. Quelle plaisir intense elle avait eu à finir d’entraver F., en serrant sur son visage par dessus le bandeau et le bâillon, le grand foulard de soie hermès qu’il lui avait offert





Piégé en soie 7:

P. Ouvre la portière passager de la voiture, à tout petit pas, F. est amené vers elle guidé par sa laisse et ses amies. Le bruissement de la soie et du satin se mélange aux cliquetis des chaînes pendant son déplacement. Avec précaution il est installé sur le siège et attaché à lui par la ceinture de sécurité. P. s’installe au volant mais avant de démarrer, elle ouvre sa cape de satin noir, retrousse sa robe de soie et lui attache les genoux avec un nouveau foulard. Au passage ses mains gantées caressent volontairement la soie de la robe et les jambes gainées des bas de son mari qui frissonne sous ses soieries. Ensuite P. baisse la capuche de la cape et pose sur l’emplacement de ses oreilles un casque stéréo aux larges oreillettes puis elle remet la capuche en place. Les deux amies de P. montent à l’arrière et celle qui est derrière F. prend un grand foulard de soie noire qu’elle lui passe autour du cou et remonte jusqu’au niveau de la bouche avant de le nouer fermement derrière le repose tête du siège elle y vaporise aussi quelques gouttes d’un parfum féminin doux et entêtant. F. ne peut absolument plus bouger la tête ni le reste de son corps car une grande écharpe de soie noire aussi vient de lui être passé sur le torse en recouvrant ses mains et elle est attachée derrière son siège.

P. enclenche alors la touche play d’un magnétophone posé dans la boîte à gant. F. entend la voix de la fille sur une musique de fond lui expliquer ce qu’elle compte faire de lui maintenant et puis la voix s’arrête mais la musique s’amplifie et F. ressent les vibrations de la voiture qui démarre et l’emporte vers son nouveau destin…

P. est heureuse elle peut maintenant rire du tour qu’elle est en train de jouer à son mari avec ses amies et de la situation actuelle de F., lui qui est habillé en femme couvert de soie et de satin et totalement soumis par ses liens, réduit au silence, privé de la vue et avec pour seule odeur celle de ce parfum si féminin, avec son ouie qui n’entend que les musiques et les chansons qu’elle a choisie pour qu’il perde tous ses repères de temps et de lieu.

Piégé en soie suite 8 :

Piégé F. ne peut pas croire ce que la voix de la fille lui a dit dans les oreilles, il ne sait pas comment il va pouvoir se sortir de ce mauvais pas. La voiture poursuit sa route, la soie se colle à son visage à chaque inspiration, elle colle à son corps avec les liens qui l’enserrent totalement, ses jambes recouvertes de fin nylon et entravées par les chaînes et la soie des foulards. Bizarrement il se sent bien ainsi, il y prend même du plaisir, il a honte, mais une honte agréablement douce à vivre, il se sent fragile, vulnérable mais non moins homme sa virilité lui rappelle sa présence depuis le début de son aventure en essayant vainement de ce libérer de sa prison de soie pour exploser de plaisir.

Par instant il sent une main se poser sur son entre jambe à travers sa robe, comme pour tester ce qu’il ressent à être dans cette situation étrange et humiliante pour lui. Cette main se retire systématiquement avant qu’il ne se laisse aller à témoigner de ce qu’il éprouve, mais il ne peut lui cacher ce qu’il éprouve vraiment. D’autres mains lui caressent parfois la poitrine et le visage sur les foulards qui le recouvrent, comme pour lui faire éprouver des sensations inconnues jusqu’alors. F. se sent exposé à ces mains comme si il était nu au milieu d’un stade plein de spectateurs sous les projecteurs à qui il ne peu rien cacher de son intimité et de sa personne. Ces sensations qu’il ressent le trouble profondément et il se pose mille questions sur lui, même lorsqu’il se tortille sur son siège pour échapper aux mains, le frottement des étoffes retenues sur son corps par ses liens lui fait ressentir des caresses divinement excitantes…
Peu à peu il perd le désir de vengeance, pour celui de la soumission totale à cette diablesse et ses complices. Déjà il est dépendant de la caresse de la soie sur son corps et des liens qui le retiennent prisonnier, il aime cela, énormément, follement…


Piégé en soie suite 9 :

P, Discute avec ses amies de ce qu’elle constate à chaque fois qu’elle pose la main sur la virilité de son mari et de l’effet que lui procure leurs caresses sur son corps soumis à leur volonté. Elles en rient ensembles, leur projet va réussir c’est certain, F. aime de plus en plus être entre leurs mains…

Bientôt ils vont arriver à leur première destination, son mari va sûrement souffrir un peu mais P. est pratiquement certaine qu’il va tout subir et accepter en silence, avec son bâillon le contraire serait étonnant c’est vrai, mais elle pense qu’il apprécie être maintenant une poupée de soie et de satin qui va devenir une jolie princesse, féminisée et maintenue dans les liens soumise aux désirs d’une « inconnue » mystérieuse. Tout a été soigneusement prévu et planifié pour sa préparation et sa transformation complète en femme pour les prochains jours. Elle ne le libérera de ses liens et ne lui rendra, la parole, l’ouie et la vue que pour le strict nécessaire à la réalisation de son plan et toutes ses amies vont l’aider pour cela sans que jamais F. ne le découvre. Toutes sauront et auront participé à sa métamorphose et lui l’ignorera, de même que ce qu’elle lui aura fait et qu’elle en aura été l’organisatrice de A à Z.

P. éprouve une réelle satisfaction à tout cela, lui qui ne la trouvait jamais assez entreprenante dans leurs jeux intimes et qui lui demandais toujours d’être plus féminine et disponible pour lui. Cette foi, c’est elle qui allait lui imposer à son tour ses désirs, ses fantasmes et les réaliser pour réveiller leur liaison amoureuse et sortir leur couple de la lassitude et de la monotonie qui les conduisait petit à petit vers la rupture et un divorce inévitable.

Pour se convaincre que tout son projet allait fonctionner, elle retira sa main gantée de satin du levier de vitesse pour la reposer sur le témoin incontrôlable par son mari du plaisir qu’il prenait de plus en plus à sa nouvelle condition. Sa main se posa sur le foulard qui liait les genoux de son mari et lentement elle la remonta le long des bas, sous la robe en soie et la lourde cape de satin. Pendant ce temps son amie sur le siège arrière faisait de même avec ses deux mains glissées sous le haut de la cape et de l’écharpe qui l’attachait au siège, entre le satin et la soie de la robe sur la poitrine de F. Son autre amie, elle caressait les foulards qui recouvraient le visage de son mari pour lui faire ressentir son impuissance à se dérober à leurs caresses. F. explosa de plaisir dans une violente tension de tout son être juste à l’instant ou P. retirait sa main pour faire entrer la voiture dans le parking privé de l’établissement ou allait se passer l’étape suivante de son plan. Les trois femmes éclatèrent de rire en constatant la chose qui venait d’emporter l’homme vers le septième ciel.

Piégé en soie suite 10 :

Le plaisir, la honte et l’humiliation de s’être laisser aller ainsi submergeât F. avec une force jamais égalée. Il se sentit tout penaud et vraiment très humilié d’avoir souillé sa culotte et sans doute aussi sa robe. Surtout qu’inévitablement ses geôlières avaient remarqué cela et que dans quelques minutes, suivant ce que la voix de la fille avait chuchoté à son oreille, il serait exposé devant leurs yeux pour subir la suite de ses tourments…

La voiture stoppa, la musique dans ses oreilles s’arrêta et la voix, cette fois étouffée et lointaine, lui dit dans les oreilles que ce qui venait de lui arriver méritait une punition qui lui serait administrée plus tard, lourd de menace pour la suite des événements. Elle lui dit encore de ne rien tenter pour se faire remarquer plus que besoin car une foi hors de la voiture il serait dans une rue avec des passants autour de lui. Sa cape avec la grande capuche cacherait les foulards sur son visage et ses mains menottées sur sa poitrine, mais pas sa laisse qu’il devrait suivre sagement de son mieux, pour le petit trajet qu’il devait faire.

Comme le reste depuis le début de cette affaire tout serait filmé et photographié pour être montré à son épouse, à sa famille et tout ses amis si il faisait le malin. De plus il serait immédiatement laissé seul au milieu de la rue tel qu’il était à charge pour lui de s’expliquer avec les personnes qui s’inquiéteraient éventuellement de lui planté en pleine rue sans repères avec tous les risques encourus…

La musique repris dans ses oreilles, recouvertes par les couches de soie des foulards qui lui recouvraient le visage et les yeux, lui interdisant tout autres sons venant de l’extérieur. L’écharpe autour de son torse et le foulard qui lui bloquait la tête furent dénoués et retirés, celui de ses genoux également ainsi que ses menottes de chevilles. A nouveau du parfum fut vaporisé sur son foulard juste sous l’emplacement de son nez, lui interdisant de distinguer clairement toutes autres odeurs et le plongeant encore plus dans un univers féminin entêtant l’isolant du monde extérieur. La ceinture de sécurité fut détachée, des mains l’aidèrent à sortir ses jambes de la voiture ainsi que sa tête pour qu’il ne se cogne pas et sa laisse fût tirée lui intimant l’ordre de la suivre sagement.

P. souriait et ses compagnes aussi en l’aidant et en le forçant à les suivre comme une gentille petite femme soumise. Il chancelât sur ses talons aiguilles et ses jambes faillirent se dérober sous lui tellement il avait peur d’être ainsi exposé en public dans la rue, il essaya de s’imaginer l’image qu’il donnait traîné en laisse. Docile il fît de son mieux pour suivre le chemin indiqué par son collier, il se sentait fermement encadré par deux personnes sans qu’il ne soit vraiment toucher mais des frôlements soyeux sur sa cape lui indiquait ces présences et lui donnant des frissons sur ces jambes gainées de bas fins.
Tous ses muscles et ses sens étaient sollicités et tendus au maximum, ce qui était paradoxal alors qu’il en était quasiment totalement privé.


Piégé en soie suite 11 :

En fait la rue était un passage privé, avec des haies de thuyas d’environ deux mètres, entre deux maisons isolées d’un quartier pavillonnaire de banlieue. Personne ne pouvait les voir et en plus ces deux maisons ne lui étaient pas inconnues et pour cause l’une était la sienne et l’autre celle de ses voisins des amis de longue date. C’est dans la deuxième, que les femmes le conduisaient en prenant bien soin de lui faire croire qu’il se trouvait bien ailleurs et en pleine ville. Les quatre personnes ne seraient pas passées inaperçues dans un lieu public. Trois femmes en tenues de cérémonie, l’une en tailleur de satin bleu avec chapeau à voilette assortie dissimulant ses traits, chemisier de soie noir, gants en satins noirs, bas de soie et talons aiguilles noirs aussi. Cette femme tire par une laisse une autre femme dissimulée sous une grande cape en satin noir épais avec une grande capuche qui lui retombe sur le visage et le masque en totalité on voit juste ses talons hauts et le nylons qui recouvre ses chevilles en bas de la cape. Les deux autres femmes sont en robes longues identiques en soie rose avec de longs gants assortis. Elles portent une petite veste en soie hermès à manches trois quarts avec un foulard noué à la parisienne sur les cheveux et un autre dessous qui masque le bas de leur visage comme deux cambrioleuses. Elles encadrent de très prés la femme mystérieuse à la cape noire qui semble être leur prisonnière et qui marche étrangement avec ses talons aiguilles comme si elle n’avait pas l’habitude et qu’elle ne voyait ou elle va, seulement guidée par la laisse à son cou.
P. et Isa., sa voisine, étaient amies et c’est en toute complicité qu’elles avaient préparé le projet en cours de réalisation, ensuite ce serait le tour du mari de son amie de le subir et P. l’aiderait alors à son tour à le réaliser avec quelques variantes.

Isa., ouvrit la porte à l’arrière de son pavillon et F. fut tiré à l’intérieur de la cuisine, puis à travers le couloir jusqu'à un grand placard qui servait de penderie. Un foulard lui fut posé sur les chevilles pour les attacher, un autres aux genoux, un troisième fixé à son collier et noué à la barre qui servait à pendre les vêtements. La cape en satin, fut enlevée de ses épaules, un foulard fut attaché à celui liant ses coudes dans son dos et fut attaché à la barre en métal de la penderie qui était scellée aux murs du placard.

Sa robe de soie, fendue sur les cuisses, fut relevée devant et derrière et les deux pans furent accrochés sur sa poitrine et son dos. Les jambes gainées de ses bas et sa culotte souillée, furent exposées au regard des femmes qui rirent de le voir ainsi. Elles s’amusèrent à lui caresser les bas et l’entre jambes, de leurs mains gantées, pour le gêner au maximum et lui faire ressentir leur domination.

Le placard était frais avec un courant d’air qui passait de bas en haut par les aérations et F. ne savait absolument pas ou il se trouvait. Il était vraiment très inquiet, sourd aux bruits extérieurs, avec cette musique étouffée par les couches de soie qui emplissait ses oreilles. Aveugle et muet lié debout sans pouvoir faire le moindre mouvement sans avoir la plus petite idée de l’endroit ou il se trouvait, il était complètement paniqué. Son intimité dévoilée dans sa fine prison de soie tâchée de sa jouissance il se sentait coupable comme un adolescent de s’être laissé aller. Les mains qui touchaient ses bas et sa culotte renforçaient son malaise et sa culpabilité honteuse. Les mains cessèrent leurs caresses, la musique cessa également, la voix revint dans ses oreilles, lui disant qu’on allait lui permettre de se soulager la vessie dans un pistolet et qu’ensuite il resterait seul dans cette position offert à tous les regards pendant un certain temps. La musique repris, sa culotte fut baissée sur ses bas et la caresse du satin d’une main gantée de satin guida sa virilité vers l’ouverture de l’instrument dans lequel il pût libérer sa vessie. Une légère toilette lui fut ensuite administrée et puis plus rien on le laissa ainsi avec sa culotte baissée sur ses bas et le foulard qui liait ses genoux.

Les femmes laissèrent la porte du placard ouverte pour garder un œil prudent sur lui et retournèrent dans la cuisine pour une petite collation commune tout en profitant du spectacle de cet homme devenu une poupée entre leurs mains. La suite du programme promettait de lui faire ressentir sa nouvelle condition de soumis et plus exactement de soumise car elles allaient le féminiser bien plus encore qu’il ne l’était pour l’instant. Mais chaque chose en son temps, pour l’heure elles buvaient un thé en grignotant des petits gâteaux tout en s’amusant de le voir trembler sur ses talons aiguilles. Lui qui bien que prisonnier des foulards qui le liaient et avec ses parties intimes à nue, témoignait d’ailleurs visiblement et incontestablement que sa situation actuelle l’excitait passablement.


Piégé en soie suite 12 :

Isa., eut alors une idée imprévue au programme qu’elle proposa à P. et son autre amie, elles approuvèrent en riant à l’avance des réactions de F. Isa. sortie plusieurs foulards de grands couturiers en soie lourde du garde robe qui était dans le couloir, Elle dénoua le foulard qui reliait les coudes de F. à la barre et l’obligea à se tourner pour lui faire face, elle fit passer un foulard autour de chaque bras qu’elle attacha aux crochets des portes manteaux sur les côtés du placard. F. ne pouvait plus se détourner d’elle. Pendant ce temps les deux autres femmes étaient parties au salon chercher un gros ventilateur d’été de grand diamètre avec une grille de protection et fixé sur pied réglable en hauteur avec le boîtier de commande à plusieurs vitesses.

Elles placèrent l’appareil face à lui, sans toucher l’homme, Isa. déplia l’un des carrés pour vérifier la distance et la hauteur adaptée pour ce qu’elle avait en tête, le ventilateur déposé au bon endroit elle attacha quatre foulards sur le tour de la grille par une des pointes et un cinquième au milieu.

L’homme se demandait ce qu’on lui voulait encore lui faire et son inquiétude fit retomber son excitation visible quelques minutes plus tôt. Il était bloqué dans sa position avec ses escarpins à talons hauts qui le faisait souffrir et le bas du ventre nu visible de tous ceux qui pouvaient être présents dans l’endroit où il se trouvait et dont-il n’avait pas la plus petite idée.
Les femmes le regardaient en échangeant des regards complices et amusés, Isa confia la commande du ventilateur à P. Celle-ci appuya sur la vitesse minimum et les pales du ventilateur commencèrent à tourner lentement soulevant légèrement les cinq foulards qui se soulevèrent lentement.
L’homme sentit sur ces jambes et son anatomie, ce nouveau courant d’air diffus comme si quelque chose passait entre lui l’origine de cette légère brise. Il frissonna en essayant de se tourner sans y parvenir, puis une chose le toucha, puis une autre et encore une…
Son épouse et ses amies regardaient les foulards danser devant lui, le frôlant parfois de leurs pointes libres. Elle appuya alors sur la vitesse maximum et immédiatement les foulards claquèrent sous la force du vent. Ils fouettèrent avec force les cuisses et l’entre jambe de son mari.

L’homme sursauta sous cette agression et le vent frais qui le surpris, il tenta encore de se reculer mais ce fut pire car cette foi les choses claquaient sur sa peau nu et offerte. Il cru à des pointes de torchons que le fouettaient sèchement poussées par le vent. Il essaya alors au contraire de s’approcher, il y parvint de quelques centimètres seulement et alors les torchons ne le fouettaient plus mais ils le caressèrent comme de la soie frottée sur lui.

Les femmes se félicitaient pour cette idée en voyant l’effet produit sur l’homme impuissant à échapper aux foulards. Tour à tour ils le fouettaient de leurs pointes ou le caressaient, suivant qu’il tentait de leur échapper ou venait se livrer à leurs caresses soyeuses. Elles décidèrent de le laisser ainsi livré aux caresses de soie des foulards sous l’impulsion du ventilateur le temps de préparer l’étape suivante prévue dans leur plan.

F., lui ne savait plus si il devait se laisser caresser ou fouetter par la soie car les deux sensations s’opposaient mais lui procuraient toutes deux un certain plaisir… Au bout de plusieurs minutes de ce traitement diabolique il explosa dans une vague nerveuse qui le submergea comme jamais encore. Il chancela sur ses jambes mais fut vite ramené sur terre pas les terrible pointes qui poursuivaient impitoyablement leur terrible danse.

Pendant ce temps les femmes s’activaient dans la salle de bain de la maison et dans la chambre attenante. Tout étant prêt pour qu’elles parviennent à leur objectif sans risques qu’il puisse se libérer elles allèrent le chercher. Immédiatement elles comprirent que ce coquin avait fait des cochonneries en se laissant une foi de plus aller au plaisir des caresses de la soie sur son corps viril.

Si il avait pu les voir il aurait apprécié leurs tenues, toutes les trois étaient juste en corset de satin, bas et talons aiguilles. Le tout visible sous des grands tabliers en plastique transparent, elles avaient gardé leurs gants en satin et leurs visages et cheveux étaient dissimulés sous des foulards avec des loups pour masquer leurs yeux.

Le ventilateur arrêté elles dénouèrent les foulards de la grille et elles s’amusèrent à les faire glisser sur lui en se moquant de ses réactions clairement positives à ce contact soyeux. Elle détachèrent ses chevilles, ses genoux et lui enlevèrent ses chaussures à talons aiguilles, ses bas et sa culotte souillée.

Puis elles délièrent, les foulards de ses coudes et de son cou, elles durent le soutenir car il chancela vider de toutes ses forces.
Il ne pouvait plus se tenir debout ses jambes le lâchaient, il fut soutenu mais faillit tomber malgré cela. Ses pieds nus en contact avec la moquette épaisses et chaude passèrent bientôt sur un froid carrelage.

Piégé en soie suite 13 :

Deux anciens foulards furent noués à ses poignés et solidement tenues par les deux amies de P. qui passa derrière lui. Sa femme dénoua le foulard qui retenait ses coudes dans son dos, puis elle prit la clé des menottes et les ouvrit. Ses deux amies se reculèrent en tirant les bras de l’homme en croix.
L’homme compris sous ses foulards qu’il avait peut-être une chance de se dégager et il essaya de se libérer mais encore ankylosé et épuisé physiquement il échoua et abdiqua pour l’instant.

Prudente son épouse lui lia à nouveau les genoux et les chevilles avec des foulards puis lui retira sa robe avec l’aide de ses amies un bras après l’autre avant de le tirer dans le bac de la douche ou ses poignets furent attachés par les deux aux barres de maintien fixées au mur de chaque côté. En plus, par sécurité pour la suite, elle lui remit des menottes et une chaîne à son collier fixer au support haut en acier chromé de la douche

Ensuite elle dénoua ses chevilles et à l’aide d’une barre de bois d’environ soixante centimètres avec deux anneaux vissés à chaque bout et un vieux foulard noué dessus les femmes l’obligèrent à écarter les jambes encore liées aux genoux et attachèrent ses deux chevilles avec les foulards. Comme pour ses poignets et son cou elles posèrent de menottes sur les foulards et elles délièrent ses genoux.

Cela fait et notre homme écartelé sous la douche, P. prit un rouleau de film alimentaire plastique et enroba en totalité les parties de son époux avec. Ensuite elles agitèrent toutes les trois des bombes et le couvrir de mousse des pieds à la poitrine et à la base du cou sous le collier en passant sur les bras et les aisselles.

Il sentit la mousse le recouvrir et tira sur ses liens mais il resta solidement attaché, la soie même un peu ancienne est très résistante. Après quelques instants tout son corps lui parut chauffer sous l’effet des mousses dépilatoires. Puis il crut brûler sur pied et paniqua vraiment ne comprenant pas ce qu’on lui avait projeté sur le corps.
Impassible les femmes attendaient, une la douchette en main regardant la montre posée sur la tablette au dessus du lavabo et les deux autres avec des gants en caoutchouc et des éponges prêtes à frotter le corps de l’homme.

Huit minutes plus tard, qui lui parurent être des heures, il brûlait sur place en tirant vainement sur ses liens, sans avertissement un jet puissant d’eau froide commença à le rincer de haut en bas. Puis des éponges le frottèrent du cou aux pieds et le jet recommença le cycle reprit ainsi par trois fois avant qu’on le laisse en paix, il savait alors ce qu’on venait de lui faire.

Plus un poil sur le corps, il était intégralement imberbe et lisse avec quelques rougeurs mais plus rien ne subsistait de sa pilosité masculine. Les femmes le frictionnèrent avec une lotion spéciale douce et apaisante cette fois. Elles lui laissèrent quelques minutes pour qu’il récupère de cette épreuve indispensable pour faire de lui une jolie jeune femme ainsi qu’elles l’avaient décidé. P. lui sécha le corps avec douceur, embrassant au passage ses tétons qui pointèrent immédiatement sous le contact de ses lèvres amoureuses.

Piégé en soie suite 14 :

P. prit dans sa main une prothèse mammaire haut de gamme achetée exprès dans une boutique médicale spécialisée dans les suites des opérations d’ablation des seins chez les femmes victimes de cancer. Elle l’enduit d’une colle spécifique qui fixait les faux seins sur la poitrine pour plusieurs jours résistant même sous l’eau et impossible à retirer sans le dissolvant vendu avec.

Elle repéra soigneusement le bon endroit et appliqua le sein sur la poitrine de son mari et le tenant fermement en place quelques secondes. Le résulta fut saisissant de réalisme et la prothèse tenait parfaitement à la poitrine de l’homme, elle fit de même avec le deuxième faux sein. Elle avait payer la paire une fortune et avait du inventer une histoire de spectacle transformiste pour les acquérir sans trop subir de question de la part des commerçant peu habitués à vendre ces prothèses par paire.

Son mari senti ces choses pesantes accrochées sur sa poitrine, rapidement elles prirent la température de son corps, il essaya se les faire tomber en secouant son buste. Peine perdue les choses se balançaient souplement sans se décrocher il comprit que c’était des faux seins mais pas le fait qu’ils restent solidaires de sa poitrine sans rien pour les tenir.

Les trois femmes admiraient cette paire de seins de belle taille, pour un soutien gorge traditionnel il lui faudrait maintenant porter du quatre-vingt quinze avec des bonnets D. Elles les touchèrent et furent impressionnés par la chaleur et la souplesse vivante sous leurs gants soyeux. Elles eurent même l’impression que l’homme réagissait comme une femme au toucher de ses nouveaux seins…

Maintenant il fallait lui imposer le grand corset rigide en satin moiré mauve, avec ses huit jarretelles commandé directement aux Etats-Unis par Internet quelques semaines plus tôt. Avec les autres habits et les tenues qu’elles allaient lui faire porter sous peu ainsi que les produits spéciaux de maquillages pour travestis professionnels. Des milliers d’euros pour le tout commandé en plusieurs exemplaires et trois tailles différentes car chacune des femmes avaient ce projet en communs à mettre en œuvre pour leur époux respectif, F. n’était que le premier pour qui la bonne occasion s’était présentée.

A trois autour de lui dans la douche assez spacieuse, elles réussir vite à lui mettre le corset qui l’enserrait de la limite du haut des cuisses, recouvrant son fessier jusqu’en haut du dos et devant sous les aisselles. Elles firent perdre au moins quatre taille à l’homme en le tenant solidement et en serrant les lacets avec l’aide d’un genou appuyant dans son dos. La taille de l’homme était maintenant dessinée comme celle d’une femme du début du siècle passé avec une poitrine généreuse en prime. Ses hanches dessinaient sur sa croupe rebondie une ligne féminine parfaite, accentuée par sa poitrine généreuse comprimé dans les balconnets du corset sous lesquels descendaient les baleines rigides qui enserraient maintenant son corps.

Il avait bien tenté de se débattre mais avec les menottes aux poignets et à ses chevilles écartelées par la barre et son collier au cou enchaîné en hauteur c’était perdu d’avance. Il avait juste fait tomber le casque de ses oreilles, mais pas un son ne fut prononcé pendant cette courte tentative de résistance bien vite avortée. Par contre le corset lui avait coupé le souffle et rigidifié son corps comme si il avait été coincé dans les mâchoires d’un étau. Son bâillon l’empêchait de respirer librement par la bouche et par le nez l’odeur intense du délicat parfum féminin lui faisait tourner la tête. Petit à petit il perdait pied et tous ses moyens pour lutter contre la volonté des personnes qui étaient en train de le transformer par la contrainte en travesti. Il avait compris cela maintenant même si le pourquoi et l’objectif final de tout cela lui échappait encore et lui faisait peur.

Ses parties intimes furent libérées de la protection du film alimentaire, on lui fit comprendre qu’il pouvait se soulager la vessie si besoin était, ce qu’il fit. Ensuite les mains gantées mirent sur sa virilité une sorte de poche soyeuse fermée étroitement sur son aine, cette poche comprimait fortement le tout lui interdisant désormais toute expression d’excitation.

Les femmes rirent en liant, avec force, tous les rubans de satin de la gaine de chasteté autour de son sexe. La gaine soyeuse dissimulait des petits câbles métalliques qui formaient une cage inviolable qu’il ne pourrait jamais couper sans se blesser. Elles fermèrent la serrure du système sous ses bourses, elle serait ensuite inaccessible à l’homme car de l’extrémité de la gaine ouverte pour permettre d’uriner partait deux larges bandes soyeuses recouvrant deux lames de métal souple. Les femmes firent passer ces lames entre ces jambes, tirant les parties de l’homme vers l’arrière en remontant entre ses fesses la serrure se trouvant alors recouverte. Les deux lames terminées par des crochets de verrouillages furent placées dans les serrures fixées au corset sur les fesses de leur poupée mâle, son postérieur restait accessible aux caresses ou à la fessée joliment encadré de satin.

Impossible pour lui de se libérer du corset disposant derrière ses omoplates de deux lamelles du même type qui furent verrouillé à son collier faisant de l’ensemble un tout qu’il lui serait totalement impossible de retirer seul. Il était superbe ou plutôt « elle » était superbe, elles nouèrent sur le corset les petits cordons de soie remontant devant son « pubis » un triangle dissimulant sa nouvelle anatomie féminine et simulant un string en satin hyper sexy.

A partir de cet instant il pourrait se soulager et faire ses besoins, mais uniquement en position assise comme toutes autres femmes. Cependant plus question pour lui de prendre du plaisir comme un homme et sans autorisation de la part de son épouse. Sa virilité avait disparue laissant place à un entre jambe féminin dans son apparence extérieure.

Piégé en soie suite 15 :

P. rebrancha le micro au magnétophone et stoppa la musique pour parler une nouvelle fois à son mari en modifiant sa voix avec un mouchoir placé autour du micro.

La voix remplaça la musique dans ses oreilles, elle lui dit de ne pas avoir mais de ne rien faire pour entraver la suite des opérations, faute de quoi il serait endormie avec du chloroforme et reconduit sur le champ et dans son état actuel au mariage de sa sœur. On allait le détacher pour le faire sortir de la douche mais il resterait retenue par les foulards noués à ses poignets et avec des menottes aux chevilles. Ensuite si il était sage et coopératif on lui retirait le foulard qui lui faisait une cagoule et son bâillon pour lui donner un peu d’eau et quelques nourritures si il le souhaitait.
Pour l’instant il devait se laisser guider et habiller sans mauvais gestes à quelques mètres seulement. La voix disparue et la musique repris avec toujours ces air romantiques et des chansons douces écrites pour des femmes et des jeunes filles.

On libéra ses chevilles de la barre d’écartement mais les menottes se refermèrent immédiatement sur elles. Puis on libéra ses poignés mais sans retirer ni les menottes, ni les foulards et il sentit la tension indiquant que les deux étaient retenus par des mains invisibles pour lui. Alors il se laissa guider, tirer à l’extérieur de la douche par son collier qu’une personne tout aussi invisible tenait en laisse avec une chaîne. Tout son buste était comprimé par son corset, ses jambes nues lui donnaient des frissons tout comme ses bras et les seins collés sur sa poitrine lui procuraient d’étranges sensations. En quelques pas difficile avec ses chevilles enchaînées, on l’obligea à s’asseoir sur une chaise. Un foulard passa devant son cou et fut noué au dossier de la chaise deux autres furent passés sous ses aisselles et noué aussi au dossier de la chaise. Puis un autre à sa taille sur son corset et ce fut au tour de ses coudes qui subir le même sort. Ses mains furent rapprochées et reliées par les foulards noués à ses poignets avec environ vingt centimètres de liberté de mouvement. Ses genoux furent écartés et liés aux pieds de la chaise par de nouveaux foulards, on retira les menottes de ses chevilles pour les attacher aussi aux pieds de la chaise avec d’autres foulards.

Elles enlevèrent leurs tabliers et P. remit son tailleur, ses deux amies firent de même avec des chemisiers en soie noirs également mais des tailleurs en satin de couleur mauve et des gants identiques. Puis elles mirent des foulards pour masquer le bas de leur visage devant leur nez et les nouèrent derrière leur nuque. Avec un deuxième elles se couvrirent les cheveux en passant les pointes sous le menton pour les nouer à l’arrière de la tête. Avec à nouveau leur loup sur les yeux, elles étaient toutes les trois similaires en tout point.
Avec l’aide d’un diable de manutention glissé sous les pieds de la chaise, elles la soulevèrent et l’homme et la chaise roulèrent doucement en passant par la cuisine vers une petite pièce qui en tant normal servait de garde manger et de buanderie.

Ce local sans fenêtre avait été spécialement vider de tout son contenu habituel de provision et autres accessoires de cuisine et d’entretien du linge...La porte ainsi que le plafond était peint en rose, deux poutres scellées au murs se croisaient sous le plafond, elles étaient équipées de points d’ancrages et de poulies. Tous les murs recouverts d’épais tissus muraux moirés avec des fleurs satinées en reliefs du même rose pâle. Le sol était en dalles plastiques granités imitant un marbre rose dans les dalles on distinguait des emplacements pour insérer des fixations diverses.

Une coiffeuse blanche avec une table de maquillage et un grand miroir avec des spots occupait un du côté de la petite salle. Le point d’eau de la machine à laver avait hérité d’un lavabo d’appoint à côté de la coiffeuse. Sur le mur d’à côté était fixé des portants avec des robes et d’autres tenues diverses en soie et satin toutes plus féminines les unes que les autres. Plusieurs articles de lingerie, corsets guêpière et autres ensemble intimes dans les mêmes matières étaient aussi exposés au regard. Sur une étagère murale, des piles de foulards, des paires de talons aiguilles, des pochettes de bas et collants en nombre et des perruques diverses en teintes longueur et coupes de cheveux.

Sur le mur opposé de multiples points d’attachent avec des crochets de formes diverses et des barres d’écartements… Des ceintures avec quelques chaînes, des menottes et des longueurs de cordes étaient à disposition ainsi que des instruments destinés à des punitions et des châtiments corporels. Les murs et la porte de la pièce pour l’instant restée ouverte, étaient insonorisés, cette pièce fermée aucuns bruits ne s’entendraient de l’extérieur dans le reste de la maison. Un petit judas permettait de l’extérieur, d’avoir une vision circulaire sur cette pièce et deux caméras de sécurité sans fils, dans deux angles opposées permettaient la surveillance de l’endroit sur un moniteur caché dans la maison.

Piégé en soie suite 16 :

Les femmes travaillaient en silence, elles savaient toutes les trois ce qu’elles devaient faire pour être efficaces. Elles posèrent un plateau sur les cuisses de l’homme, une ceinture riveter sur ses côtés permis de le fixer en place sous la chaise sans qu’il ne puisse pas le faire tomber si jamais il bougeait.
Les deux amies de P. guidèrent les mains de son mari vers un récipient avec un liquide pour y faire tremper les ongles avant de les manucurer et de lui poser des faux ongles longs et vernis.
Pendant ce travail sur son mari, P. coiffait une magnifique perruque brune en cheveux naturels longs et ondulés.

On sonna à la porte de la maison deux coups secs et un long, elle laissa la perruque pour aller ouvrir. Une femme habillée exactement comme elle l’était, une amie esthéticienne professionnelle, qui apportait plusieurs mallettes avec du matériel pour maquiller son mari, entra les rejoindre.

P. se retira de la pièce pour qu’une foi le bandeau de son mari enlevé il ne puisse pas la voir et la reconnaître à un détail ou à un geste. Il devait penser que la femme en tailleur de satin bleu qui conduisait la voiture était celle qui allait le maquiller. Cette femme posa sur l’homme une immense cape en nylon rose satiné et soyeux, attachée à son cou et qui recouvrait totalement son corps ligoté sur la chaise, la cape était fermée dans son dos sur toute la longueur par une large bande de velcro. Les trois femmes vérifièrent dans la pièce que tout était prêt et en ordre pour la suite et cela fait, elles commencèrent à dénouer le foulard hermès qui recouvrait comme une cagoule de soie la tête de F. Elles déposèrent le casque stéréo de ses oreilles après lui avoir ordonné de garder le plus grand silence si il tentait de parler il serait immédiatement privé à nouveau de la parole et de la vue.

P. ferma la porte de la salle et la verrouilla à clé, elle retourna dans la chambre sortir le moniteur de réception des images vidéos de la pièce pour suivre de loin l’évolution du programme prévu. Assise sur le lit, elle assista sur son écran à la suite de la préparation de son mari qui allait bientôt être totalement féminisé.

Le foulard hermès retiré, une des femmes, impossible de dire laquelle avec leur visage masqué, retira lentement le bandeau de soie rouge des yeux de l’homme. Le retour à la lumière fut toutefois difficile pour lui après plusieurs heures plongées dans le noir total. Doucement il clignât des yeux et distingua la femme en tailleur bleu devant lui, masquée par les foulards et le loup sur les yeux il ne pouvait pas l’identifier. Il vit les deux autres femmes, masquées elles aussi par des foulards en soies et un loup mais elles portaient des tailleurs mauves. Des yeux il essaya de visualiser l’endroit ou il était, la pièce ressemblait à un studio de féminisation professionnelle comme il en avait vu sur Internet. Face à lui une coiffeuse avec tout un matériel de maquillage impressionnant grâce au miroir il put voir les murs. D’un côté une véritable garde-robe féminine en soie et satin avec les tenues les plus diverses, de la lingerie, des perruques variées et des chaussures certaines avec des talons aiguilles vertigineux !

Sur l’autre mur, bien plus inquiétant encore, tout ce qu’il fallait pour ligoter ou enchaîner et contraindre une personne à l’impuissance par le bondage. Ses yeux écarquillés trahirent sa crainte d’être attaché avec tout cela, encore bâillonné il dut garder le silence, mille questions se bousculaient contre ses lèvres closent, il les exprima avec ses yeux. De lui il ne voyait rien de sa tenue ni de son corps recouvert par une immense cape du même rose que le reste de la salle. Seules les sensations qu’il ressentait en étant corseté étroitement avec ces deux poids accrochés à sa poitrine et les bas qui gainaient ses jambes tendues par au moins huit jarretelles sur chaque cuisse lui indiquait ce qu’elles lui avaient imposé. Le nylon soyeux de la cape caressait ses bas sur ses jambes et sur ses bras attachés à une chaise bien résistante à ses efforts pour se défaire de ses liens. L’image de son visage, avec ses yeux grands ouverts, interrogateurs et apeurés et sa bouche emplie du gros nœud humide du foulard de soie noir, il voit aussi le deuxième foulard de soie noir qui cache son collier de soumission juste à la limite de la fermeture de la cape.
F. avait souvent fantasmé en secret devant son ordinateur en visitant des sites avec des endroits comme celui-ci ou des hommes étaient féminisés par des femmes, mais jamais il n’avait pensé, ou alors inconsciemment, être un jour à la place de ces hommes !

Sous leurs foulards les femmes se réjouissaient de l’effet produit sur lui par leur mise en scène. P. avait depuis longtemps trouvé, sur l’ordinateur de son mari, les liens vers les sites de travestisme et de féminisation forcée d’hommes par des femmes sévères. Elle en avait parlé avec son amie Isa., qui lui avait confié que quelques fois, lorsqu’ils étaient seuls son mari et elle, ils pratiquaient ce type de jeux. Son mari devait alors s’habiller en femme, en soubrette pour la servir et qu’il devait lui obéir et tout accepter d ‘elle sous peine de punitions physiques légères fessées ou autres et qu’il était alors ligoté totalement à sa merci. Isa., lui avait présenté d’autres femmes qui comme elle, féminisaient plus ou moins leur mari dans l’intimité et aussi parfois devant d’autres personnes et même à l’extérieur de leur domicile. C’est de ces rencontres que le projet avait pris forme, le cercle des femmes c’était élargi et par la mise en commun de leurs moyens financier et de leurs compétences était issue cette salle de féminisation et de soumission masculine.

Dans l’avenir plusieurs époux de ces femmes subiraient un traitement identique à celui de F., tous ces hommes deviendraient des soumis travestis et obéissants. Ils seraient prisonniers de leurs pulsions intérieures et conduit par elles sur le chemin de la dévotion à leurs épouses devenues leur Maîtresse dans tous les sens du terme.

Piégé en soie suite 17 :

De la chambre la première de ses nouvelles Maîtresses femmes, découvrait un plaisir intense à voir son mari livré aux mains de ses amies, se caressant de ses gants en satin en remontant sur ses jambes le long de ses bas nylons. Son plaisir humidifiait sa lingerie, ses gants retroussèrent sa jupe en satin pour se faire plus audacieux vers la zone humide révélatrice de son excitation, à son tour elle fut submergée immédiatement et violemment par une vague de décharge nerveuse sans précédent pour elle. C’est l’image de son mari interdit à compter de ce jour de cette liberté de jouir sans son autorisation à elle qui l’emporta dans cette jouissance. Son nouveau pouvoir sur lui réduit à sa volonté la plus exigeante d’ici quelques petites heures maintenant lui procurait des flashs d’excitation insoupçonné pour elle avant cela…

Florence Deon


Responsable du site : Lucie Sobek


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