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« », une petite histoire imaginée par divers

1 Service à domicile jeanne tvq@femmes.net 15-01-2005, 16:26 Préface

Cette histoire est presque entièrement imaginaire, les personnages sont fictifs et n’ont aucune existence dans la vie réelle. Toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite. Les sentiments exprimés concernant le travestisme sont en revanche bien inspirés de mes propres sensations quand je suis habillée en femme… Je n’ai toutefois pas eu d’expériences de relations sexuelles similaires à celles décrites dans le texte, seule mon imagination m’a permis d’inventer ce récit.

J’espère que vous aimerez…


Avant Propos

Annonce dans le New York Time

Help wanted
Service Maid, French style
Cooking experience
Wanted for meal preparation
And serving at a French diner party
Saturday December 12
Manhattan, Lower East side
Reply in French



Ma réponse à l’annonce :

Chère Mme. Lester,

En réponse à votre annonce dans le New York Times du 30 novembre 1998, cherchant une personne travaillant à la française pour un dîner, le samedi 12 décembre, je voudrais vous proposer mes services. Étant Française et bien formée en cuisine et le service de maison (Voir mon CV ci-joint.), j’espère que vous voudrez bien considérez ma candidature pour cet emploi de service.

Je me plierai promptement à vos demandes les plus spécifiques en matière de service et suivrais vos recommandations concernant la tenue que je devrais porter. J'espère que mon accent français sera considéré comme un plus pour la qualité de mon service à vos invités.

Bien à vous.
Eugénie Presquemoi


Mon C. V. :
Eugénie Presquemoi
Née le 14 juin 1946
A Nice
Demeurant au 254 Lexington Avenue NewYork NY100046
Diplômée de l’école Hôtelière de Nice en 1970
Français parlé et écrit : langue maternelle
Anglais parlé et écrit : seconde langue avec séjours en pays de langue anglaise de plus de 10 ans.

Expérience professionnelle :
• Serveuse au restaurant Les Alouettes, à Saint Jeannet, près de Nice (stage d’apprentissage de base) 1 an
• Serveuse au restaurant La Palmeraie à Cannes : perfectionnement pendant, quatre ans
• Maître d’hôtel au restaurant Les Trois Cochons à Paris. La vraie grande cuisine française, service en salle mais aussi travail en cuisine avec le grand Chef Ernest Dujambon. 3 ans.
• Sommelière dans le même restaurant après un stage dans la région de Bordeaux, 2 ans.
• Départ à New York pour élargir mon expérience et perfectionner mon anglais.
• Maître d’hôtel au restaurant Saveurs de France Park Avenue North, New York 5 ans
• Retour à Paris.
• Professionnelle indépendante, assurant des services à domicile ou pour des entreprises privées en région parisienne. 6 ans
• Ma passion pour New York me remmène aux USA…
• Mise en place d’un service privé de cuisine française à domicile.
• Toujours en activité.
• Disponible pour la région Est des Etats-Unis et le Québec.
• Service à la française uniquement, uniformes traditionnels
• Cuisine française et exotique
• Connaissances en oenologie avancées
• Présentation impeccable

Réponse de Madame Lester :

Chère Mme. Presquemoi,

Votre lettre de candidature et votre CV nous ont convaincus de vos qualités et nous vous engageons pour l’emploi de service à notre domicile du samedi 12 décembre. Votre service débutera à 9 heures du matin. Je m'attends à votre promptitude.

Il s’agira de préparer un dîner gastronomique pour huit personnes, trois couples d’invités, mon mari et moi.

Nous irons ensemble faire des emplettes pour la nourriture de neuf à onze personnes. Je compte sur vous afin de guider nos choix pour le menu que nous offrirons à nos invités, en accord bien sûr avec la gastronomie française. Je m'attends à ce que vous choisissiez également les vins français selon les plats que nous aurons choisis.

La maison aura besoin d'être nettoyée avant quinze heures. Vous devrez ensuite préparer le dîner plus tard dans l’après-midi. Je compte sur vous pour créer une ambiance typiquement française par une disposition raffinée de la salle à manger, avec les nappes et les couverts bien assortis ainsi que des bouquets de fleurs bien arrangés.

Dans ma maison, les bonnes se doivent de porter des jupes ou des robes. Aucun pantalon n’est autorisé. Pendant les achats et la préparation du dîner, vous pourrez porter une robe ou un ensemble jupe-chemisier à votre goût, simple mais correct. Vous devrez cependant être prête pour accueillir nos invités à la porte dès leur arrivée. Pour cela ainsi que pendant le service lors du dîner, vous vous habillerez avec un uniforme traditionnel de servante française, approprié à la situation, c’est à dire, une jupe noire, un chemisier blanc et un petit tablier blanc.

Pendant le service des apéritifs et des canapés aussi bien que pendant le dîner vous devrez vous adresser à moi en employant "Madame" et pour mon mari "Monsieur".

Nous nous attendons à ce que vous connaissiez parfaitement les règles du savoir vivre à la française en matière de service de maison et l'appliquerez sans failles.

Avant l’arrivée de nos invités vous m'aiderez à me préparer et à m'habiller avec élégance pour la soirée.
Nos invités doivent sortir de cette soirée avec une très bonne impression de la cuisine et du service Français.
Respectueusement vôtre.
Cindy Lester

Les surprises et plaisirs du service à domicile

J’étais aux anges d’avoir été acceptée pour ce travail et les gens chez qui je devrais aller faire le service m’avaient semblé être d’une très grande éducation et courtoisie.
A partir de la réception de cette réponse, j’attendais avec une grande impatience l’arrivée de la date de cette soirée… J’adore servir des personnes distinguées en tenue de femme de service…

A ce moment de mon récit, je me dois d’expliquer au lecteur qu’en fait je ne suis pas réellement une femme, j'aime juste m’habiller en femme. La sensation douce des tissus raffinés propre aux vêtements féminins, en contact avec ma peau sur l’ensemble de mon corps est absolument exquise. La caresse sensuelle des bas nylons sur mes jambes, la pression d'une gaine sur mon ventre et mon derrière, sentir mes seins soutenus par un soutien-gorge pigeonnant en dentelle, le port d’un chemisier soyeux, d’un jupon satiné, d’une mini jupe noire, par exemple me procurent toujours un plaisir intense. Des chaussures à talons hauts sont parmi les éléments préférés de mon habillement. Mais j'aime bien entendu tous les autres vêtements de femmes aussi. J'ai, effectivement, une collection de tenues féminines et de sous-vêtements très variés Je les choisi pour les assortir aux situations sociales que je peux être conduite à rencontrer. Je cherche toutes les occasions pour m’habiller en femmes dans des situations semi publiques. Je ne suis pas trop à l’aise en public. Le service à domicile comme proposé dans cette petite annonce est idéal pour moi…

Le jour dit, je suis arrivée devant la porte d’entrée de mon employeur deux minutes avant l’heure, pour être sure de ne pas être en retard. A neuf heures précise, à la seconde près, j’appuyais sur le bouton de la sonnerie de Madame Lester. Pour cette occasion, j'étais habillée dans un tailleur brun clair, très sobre mais de belle qualité, la jupe juste un peu au-dessus des genoux, et d'un chemisier vert pâle légèrement transparent, laissant deviner la délicate dentelle de mon soutien-gorge. La maîtresse de maison a ouvert la porte et m'a regardé attentivement de la tête aux pieds. Elle a semblé satisfaite par mon apparence générale et m’a prié d’entrer. J’avais passé le premier test du contact face à face.

Avec Madame, nous avons discuté de la composition du menu pour le dîner. Alors qu'elle avait été très formelle dans sa lettre, elle a été tout de suite beaucoup plus amicale envers moi. Après avoir écouté quelques suggestions, elle s’est décidée pour un dîner composé de divers produits à base de canard, fois gras et "Canard à l'orange", accompagné de petites pommes de terre sautées très légèrement aillées. Nous sommes alors ressorties dans les rues de Manhattan pour faire nos achats. Bien que je n'aime pas sortir seule dans la rue habillée en femme, je me suis sentie immédiatement bien plus à l’aise pour aller en public accompagnée de ma patronne d’un jour. Ainsi les achats pour le dîner ont étés pour moi une expérience agréable, dans l’ambiance très animée des rues autour de la vingtième Est à Manhattan. Nous nous sommes arrêtées dans plusieurs magasins, prenant notre temps pour choisir les meilleurs des produits disponibles. Dans New York City on peut d’ailleurs tout trouver en matière alimentaire, y compris les meilleurs produits d’origine française. J’ai adoré pouvoir déambuler en femme dans les rues colorées de ma ville préférée, en toute sécurité grâce à la présence de "Madame". Elle s’est montrée de plus en plus amicale avec moi, et de temps en temps elle m’a même prise par le bras, à la manière d’une ancienne copine de lycée… Nous avons pu disposer d’un peu de temps pour admirer les belles vitrines des boutiques d’habillement New-yorkaises, échangeant nos vues sur des modèles et des modes, nous arrêtant longuement devant « Victoria’s secrets » qui expose toujours les plus belles lingeries, dans des tissus superbes et ornées des dentelles somptueuses… J’étais heureuse d’avoir pensé à changer mes chaussures à talons hauts pour des escarpins à talons moyens, bien plus confortables pour les longues marches.

Sur le chemin du retour, en passant devant une autre vitrine de lingerie, elle m'a demandé si j'avais les bas résilles noirs : "Mon mari les aime beaucoup, il serait absolument ravi si vous en portiez ce soir, et s'il est heureux, je le serais aussi. " Ainsi nous avons acheté une paire de bas résilles noirs pour que je puise les porter pendant le service lors du dîner.

De retour à la maison, je me suis déshabillée et changée. J’ai juste mis une robe tablier blanche, en polyester très doux, boutonnée sur le devant de haut en bas, gardant mes sous-vêtements : mon soutien-gorge, ma gaine classique blanche à plastron satiné avec ses portes jarretelles intégrés, soutenant des bas en nylon noirs 15 deniers, ma culotte en dentelle blanche ainsi que mon jupon en satin, blanc garni d’une série de dentelles dans le bas. Tout en faisant le ménage dans la salle à manger, je pourrais de temps à autres sentir se poser sur moi le regard de « Monsieur », observant tantôt mes jambes, tantôt cherchant à apercevoir mes seins par l’entrebâillement laissé entre les boutons de ma robe au niveau de ma poitrine, tantôt de voir sous ma robe et mon jupon quand je me penchais en avant. Je feins de ne pas y prêter attention et j’ai continué à nettoyer la salle à manger et à réarranger une partie des objets, époussetant les étagères, passant l'aspirateur sur le tapis et finalement disposant un bouquet de fleur près de la fenêtre et un autre sur le buffet de l’entrée.

Une fois le ménage fini, Madame m’a proposé de manger un sandwich avec elle avant d’attaquer la préparation du dîner. J'ai mis un tablier de cuisine pour protéger ma robe tablier, car j’ai horreur qu’elle soit salie par diverses projections graisseuses, inévitables quand on cuisine. J'aime beaucoup faire la cuisine, aussi étais-je ravie de pouvoir la faire, et en plus pour une patronne telle que Madame. Elle me laissait travailler à ma manière, mais elle voulait voir comment je faisais. Je lui ai expliqué certaines astuces et tours de mains de cuisinières que j'ai appris de ma propre mère et même de ma grand-mère… Je ne pourrais pas en être vraiment sûre, mais il m’a semblé qu’à plusieurs reprises une de ses mains vint toucher légèrement mes fesses au moment où elle se penchait par-dessus mon épaule pour voir ce que je faisais cuire dans la casserole. J'ai commencé à me demander si elle n'avait pas détecté ma véritable identité... Je lui ai laissé croire que je n’avais rien remarqué, après tout, c'était une sensation plutôt agréable, mon derrière est une des parties que j'aime le plus sentir être caressé par les mains amicales.

Vers 18 heures, le dîner était tout à fait prêt, il suffirait simplement de le réchauffer quand viendrait le temps de le servir. J'ai pris un petit repos. Pas pour longtemps…"Madame" m'a appelé de sa chambre : "Eugénie, j'ai besoin de vous pour m’aidez à me préparer pour la soirée. Je vais prendre un bon bain avant de m’habiller. La salle de bain est à côté de notre chambre à coucher, suivez-moi ".

Je suis entrée dans la salle de bains où m’avait guidé Madame et j’ai commencé à faire couler l’eau de son bain dans la baignoire, prenant bien soin de régler la température de l'eau juste à sa demande. Tandis que la baignoire se remplissait, je l'ai aidée à se déshabiller. J’ai descendu la fermeture éclair au dos de sa robe que j’ai fait glisser sur ses épaules puis le long de ses bras, en tirant délicatement le bout des manches pour ne pas la froisser. J'ai ensuite fait glisser sa robe doucement sur le nylon satiné de sa combinaison ornée de dentelles exquises et supportée par de fines bretelles. La doublure de sa robe émit un petit chuintement délicat passant sur le satin de la combinaison… Douce musique à mes oreilles… J'ai suspendu la robe sur un cintre afin de ne pas la froisser. Je procédais de même avec sa combinaison, dégageant les bretelles de ses épaules et la faisant tomber le long de son corps, glissant sur ses dessous magnifiques et ses bas nylons très fins. Son soutien-gorge était aussi bordé de dentelles de grandes beautés et très travaillées. J’appréciais la très grande classe de ses sous-vêtements. J'ai défait dans sons dos les crochets des attaches de son soutien-gorge, libérant son ample poitrine. Elle avait de seins superbes, couverts de taches de rousseur. Je l'ai aidée à enlever ses collants et le slip parfaitement assorti au soutien-gorge qu’elle portait. J'ai délié ses merveilleux cheveux roux très longs et j’ai commencé à les brosser sensuellement. Elle a roulé sa chevelure en un chignon serré, les protégeant ensuite par un bonnet de bain.

Elle est alors entrée dans la baignoire m'a demandé de la laver entièrement. Abandonnant son corps aux frictions de mes mains. Je l’enduisis d’une lotion savonneuse qui laissait glisser sensuellement mes doigts sur sa peau. Je sentais sur elle l’effet apaisant de ces attouchements acceptés et même attendus sur son corps. Je pouvais la sentir se détendre sous l’effet de la pression ferme mais délicate de mes doigts sur son dos, ses épaules, son cou, sa poitrine sur laquelle mes mains s’attardaient longuement avant d’aller frotter son ventre, puis ses cuisses et ses jambes. Elle m’a alors demandé plus spécifiquement de lui masser les fesses. J'utilisais mes doigts sur la peau de son postérieur comme si je jouais la guitare, chaque doigt appliquant une pression indépendamment des autres doigts. J'ai détecté alors une demande encore plus de précise. Comme je lui lavais les fesses, elle a écarté ses jambes indiquant, sans rien dire pourtant, qu'elle voulait être lavée là aussi, entre ses cuisses et entre ses fesses. Ma main a pris la direction de ses désirs et commencé des attouchements précis, rendus encore plus sensuels par l’effet lubrifiant de la mousse savonneuse. Mes doigts, comme je l’aurais fait pour moi, s’aventurèrent dans un endroit qui me semblait étrangement familier bien qu’appartenant à une autre personne… Je reconnaissais ce délicat petit trou entre ses fesses et le nettoyais de mes doigts experts car c’est pour moi un des plaisirs dans la douche que de faire la même chose avec mon petit trous mignon. Elle laissait échapper quelques soupirs lourds de signification et d’attente, écartant encore un peu plus ses cuisses, m'invitant, sans dire mot, à prendre soin de l'autre côté de son entre jambe... Comme mes doigts atteignaient les lèvres de son sexe, elle a mis sa main sur la mienne, et, pour la première fois, commencé à me supplier verbalement de la faire jouir. J'étais trop content de répondre à sa requête, caressant son sexe largement avant d’orienter mes doigts vers son bouton d’amour. En même temps je continuais d’utiliser les doigts de mon autre main pour jouer avec son petit trou, détendant les muscles de sons anus avant d’y insérer un, puis deux doigts… Elle a commencé à gémir et je pouvais la sentir sur le point de jouir.

“Déshabillez vous Eugénie, venez me rejoindre ” me suppliât elle. Je lui fis part de mes craintes de voir son mari nous surprendre. “Non il ne viendra pas, je lui ai dit que je voulais me détendre sans être dérangée avant le dîner de ce soir, mais si ça peut vous rassurer, vous pouvez fermer la porte mais il n’y a aucun risque.” J’ai tout de même poussé le loquet, par précaution… Après avoir lentement ouvert les boutons de ma robe tablier et je suis restée en soutien-gorge et sous-vêtements. Je lui ai demandé de m'aider comme je l’avais fait pour elle et la faire entrer dans le jeu. Elle a défait les agrafes de mon soutien-gorge et commencé à mettre ses mains sur mes seins, les caressant d’une main experte. Elle a alors tiré mon jupon vers le bas puis détaché mes bas des jarretelles de ma gaine, décrochant chacune des six agrafes l’une après l’autre. Elle m’a littéralement arraché le slip et la gaine avec une ardeur surprenante. C'est à ce moment qu’elle a presque suffoqué quand elle a vu que sous mon slip, au lieu d’une chatte, se trouvait un pénis qui commençait à grossir, maintenant qu’il était libéré de son confinement soyeux…Il faut dire que mon pauvre pénis avait été mis à rude épreuve pendant la session de massage de son corps magnifique.

Ce moment de surprise passé, elle a ri très fort et dit qu’elle me ferait payer pour ceci plus tard... Elle a joué avec mon sexe, maintenant en pleine érection, et l’a ensuite ardemment pris dans sa bouche. J'avais encore peur que son mari n’essaie de venir dans la salle de bains malgré sa promesse de la laisser tranquille. Mais les caresses expertes de ses lèvres et de sa langue me firent oublier mes craintes. Sa bouche avide et ses mains agiles me firent jouir plus tôt que je n’aurais voulu. Heureusement, mes doigts n'avaient pas arrêté de jouer avec les lèvres humides de son sexe et à peu près en même temps que je jouissais elle émettait également des gémissements de plaisir, arrivant aussi à l’orgasme tandis qu'elle buvait avidement chaque goutte de mon sperme. Elle vint m’embrasser partageant avec moi le goût délicieux de cette liqueur masculine, tout en me caressant les seins. Exceptionnelle chance que nous transgenres avons de pouvoir avoir tant de plaisirs à la fois…

Nous avons terminé de nous laver et de rincer nos corps de la couche onctueuse de savons qui les avait recouverts.

Il était maintenant nécessaire de revenir dans l’esprit de la préparation à la soirée. Je suis sortie du bain me suis rapidement séchée et habillée, craignant toujours l’arrivée inopinée de son mari… Pendant ce temps, Madame s’était remise dans sons bain encore bien chaud, pour se détendre et se remettre après un tel orgasme. J'ai ensuite aidé "Madame" à sortir du bain et séché soigneusement sa peau dans une longue serviette de bain très douce. Nous sommes retournées dans sa chambre à coucher où je l'ai aidée à s’habiller. Elle avait choisi une longue robe fourreau très élégante, en tissu foncée très souple et légèrement satiné, ouverte à mi-cuisse vers le haut de sa jambe gauche. Très tatillonne sur l’assortiment des sous-vêtements à l’ensemble de l’habillement, je lui ai suggéré de choisir ses sous-vêtements allant bien avec cette robe presque noire : je choisi pour elle un ensemble de sous-vêtements noirs dans le tiroir de la commode où elle range ses dessous, tous aussi magnifiques les uns que les autres (elle doit dépenser une fortune…) : un soutien-gorge finement orné de dentelles, une gaine ouverte munis de porte-jarretelles, un jupon noir assez long mais également fendu sur le côté jusqu’à mi cuisse et des bas nylon noirs à coutures, d’une finesse extrême. Elle a été étonnée par la sensibilité et le goût raffiné de mon choix pour ses sous-vêtements et l’accord parfait des formes et couleurs. Elle me dit qu’elle était d’autant plus surprise sachant maintenant que j’étais un homme… Je lui ai dit que les hommes qui s’habillent en femme sont souvent encore plus attentifs à ce genre de détails que bien des femmes génétiques. Je l'ai aidée à s’habiller entièrement. Quel plaisir que de l'aider à enfiler ses bas, caressant doucement ses jambes tout en tirant délicatement le fin tissu jusqu'en haut de ses cuisses et les attachant avec précaution aux attaches des porte-jarretelles. Je l'ai aidée à mettre son soutien-gorge 105 D et à en ajuster les bretelles, plaçant ses seins avec mes mains dans les bonnets pour les faire pigeonner grâce à l’armature de son soutien-gorge, comme je le fais quand j’ajuste mes seins dans les bonnets du mien. Lui passer sa robe fourreau puis l’arranger le long de sons corps plantureux avant de remonter le fermeture éclair faillit me faire à nouveau jouir… Je lui ai brossé encore les cheveux, cette fois, elle a laissé sa chevelure sur ses épaules, juste tenue en arrière par une bande de velours vert sombre, assortie à sa magnifique toison rousse. Elle vint devant la glace pour se maquiller. Pratiquement prête maintenant, elle fini de s’habiller en mettant des chaussures noires à talons très hauts avant d’aller vérifier son image dans le miroir en pieds de la chambre. Elle semblât satisfaite de ce qu’elle voyait. Il y avait de quoi… Sa robe magnifique, avec une coupe très près du corps rehaussait ses charmes abondants… Sur le noir du tissu de sa robe, un collier de perles naturelles resplendissait et accentuait le galbe de sa poitrine.

Elle m'a soudainement intimé fermement l’ordre d’aller me préparer afin d’être prête pour l'arrivée des invités. Je fus un peu étonnée par la tonalité autoritaire de sa voix après les moments que nous venions de passer ensembles. Je lui ai obéi promptement vu le ton de sa voix… Je suis allée rapidement m’habiller avec mon uniforme de serveuse française, juste comme Madame me l’avait demandé. J'avais choisi de porter une jupe noire droite, un peu courte peut-être, bien au-dessus de mes genoux, avec une petite fente d’aisance sur l’arrière, un chemisier blanc avec une dentelle discrète le long des boutons et en bout de manches. J'avais gardé les sous-vêtements blancs que je portais quand nous faisions des emplettes le matin même, j'ai juste échangé les bas nylons pour les bas résille noirs que nous avions acheté le matin "Pour plaire à Monsieur" et je mis des chaussures noires à talons haut mais assez confortables pour pouvoir assurer le service toute la soirée. J'ai attaché autour de ma taille un petit tablier blanc orné de dentelle de Calais, faisant un noeud élégant avec les longues bandes de satin qui retombaient dans mon dos jusqu’au niveau de la fente de ma jupe noire.

Je suis retournée à la cuisine pour m’assurer que tout était prêt, allumant le feu sous le canard et les pommes de terre sautées. C'est à peu près à ce moment que les premiers invités ont commencé à arriver. Je suis allée les accueillir à la porte et ai pris leurs pardessus et manteaux que j’ai rangés dans la penderie de l’entrée, comme indiqué précédemment par Madame.

"Eugénie, s’il vous plait, veuillez nous servir le Champagne." J'ai ouvert la bouteille et ai versé précautionneusement le Champagne dans les huit grandes flûtes en cristal et les ai apportées sur un plateau en argent, me courbant en avant pour servir les gens assis en rond sur les canapés et les fauteuils. Je pouvais sentir le regard des invités masculins qui suivaient la ligne de mes jambes le long de mes cuisses, sous ma jupe qui remontait très au dessus de mes genoux à chaque fois que je me penchais en avant pour servir les convives, laissant alors apparaître, sous la blancheur du jupon à dentelle que je portais sous ma jupe noire, la partie renforcée de mes bas résille ainsi qu’un petit morceau de peau blanche juste au dessus, ils devaient même entrevoir les attaches porte jarretelles de la gaine noire…. Sous le chemisier blanc, le modèle bien français de soutien-gorge à armature que je portais, poussait mes seins en avant. Le tissu translucide blanc du chemisier, laissait apparaître, de manière tout à fait évidente, les fines dentelles affriolantes qui bordaient les bonnets et les bretelles de mon soutien-gorge.
Après avoir servi le Champagne et quelques petits canapés, Madame a prié les invités de passer à table. "Eugénie, voulez vous s’il vous plait commencer le service du dîner" me dit elle en français pour impressionner ses invités …
"Bien Madame"

J'ai apporté le fois gras sur un plateau et ai servi une tranche à chacun des invités, ainsi qu’à Madame et à Monsieur. Je suis allée chercher la bouteille de vin blanc, un Jurançon 1997 que j’avais recommandé pour ce premier plat, légèrement doux mais pas trop tout de même. Les invités américains qui n’avaient jamais voyagé en France, trouvèrent cela étonnant de servir un vin liquoreux avec du "pâté de fois gras", comme ils disaient avec un accent américain très fort, mais ils ont rapidement commencé à l'apprécier.

Je suis retournée à la cuisine et j’ai réchauffé le canard pour le deuxième plat. Je suis revenue dans la salle à manger afin d'emporter les plats. Les conversations allaient bon train. Les gens semblaient bien s'amuser, le Champagne et le Jurançon commençaient à faire effet…. Quand le canard a été prêt à être servi, je l'ai présenté à la table avant de le découper et ai obtenu un flot des compliments. Proposant à chacun une portion de canard accompagné de pommes de terre sautées, je m’assurais que tous les convives soient satisfaits du morceau choisi et de la quantité de pommes de terres servie. Je pu après cela proposer le vin, un Bordeaux rouge, Château Haut Marbuzet 1986, ayant la force tannique nécessaire à contrebalancer le goût puissant de la sauce à l'orange, à la fois sucrée et légèrement amère.

Après les avoir laissé tranquillement déguster le canard, Je retournais en cuisine pour mettre un peu d’ordre et préparer le plateau de fromages. Un assortiment de spécialités françaises : Camembert, Pont Levesque, Morbier, fromage de chèvre. Pour ce plateau de fromage, j’avais recommandé un Pommar Domaine Lejeune 1981, vin rare qu’un des amis français de Madame et Monsieur leur avait offert deux ans auparavant. Les invités n’ont pas tardé à en redemander… Au second service de vin, je pouvais sentir que l'atmosphère était beaucoup plus détendue. Un peu trop peut-être… En effet quelques mains masculines baladeuses commençaient à explorer les parties de mon corps sous ma jupe. Ces messieurs, sans doute excités par le fantasme de la soubrette, mais faisant tout de même attention à ne pas être repérés par leurs épouses, se permettaient quelques libertés coquines… Bien qu’un peu choquée par leurs audaces, je dois reconnaître que ces gestes indécents envoyaient des vagues d'excitations sensorielles intenses tout au creux de mes reins. Naturellement, je n'ai rien dit, ces personnes étaient les invités. Le mari de Madame s’est montré un peu plus aventureux que ses invités, sa main montant le long de ma jambe pendant que je servais sa voisine de droite, vint jusqu’à trouver la peau au-dessus des bas et commençait à l’approcher dangereusement de mon entrejambes... Je me suis écartée comme si rien ne s'était produit...

J'ai servi le dessert. En fait, les invités étaient un peu pompette et n’en ont que très peu mangé, dommage car j’y avais mis tout mon coeur… Ils sont allés se reposer sur le divan confortable et sur les fauteuils pour boire le petit verre d’Armagnac hors d’âge que leur avait sorti Monsieur. Ils ont continué à discuter, un peu trop fort... Entre temps je suis allée de nouveau à la cuisine et ai fini de nettoyer le plus gros de la vaisselle et des casseroles. De la cuisine je pourrais entendre les voix puissantes de quelques hommes faire quelques plaisanteries grivoises sur la réputation des femmes françaises.

"Madame" m'a appelée car les invités avaient commencé à prendre congé. Je leur ai redonné leurs affaires, aidant les dames à enfiler leurs manteaux. Les messieurs me remercièrent chaleureusement, avec même une excitation à peine cachée dans leur voix et même leurs attitudes, ayant perdu toute inhibition avec l’alcool. Les épouses étaient un peu moins enthousiastes et montrant à l’évidence de la jalousie à mon égard... Si elles savaient mieux… Elle réaliseraient que leurs maris seront probablement encore tout excités de retour à la maison et les feront bénéficier de leurs fantasmes de soubrettes encore vivants dans leurs yeux et leurs esprits…

Tous les invités sont finalement partis, j’allais encore une fois à la cuisine pour finir le travail, faire un peu de rangement. Les plats étaient dans le lave vaisselle mais il y avait besoin de nettoyer le plan de travail et la cuisinière.

Après quelques minutes, Madame m'a appelé de sa chambre à coucher "Eugénie pourriez vous venir m’aider à me déshabiller ?"

Elle était un peu éméchée aussi. Une fois dans sa chambre elle me dit qu’elle avait du mal à défaire la fermeture éclair de sa robe. En effet, ça ne m’étonnait guère, vu son état…Je passais derrière elle et fit descendre sans difficulté le fermoir de la fermeture éclair. Je lui dénudais les épaules, laissant ensuite glisser sa robe sur ses sous-vêtements, avant d’aller l’accrocher sur un cintre dans la penderie de la chambre. Elle restait un peu rêveuse dans ses sous-vêtements noirs, me regardant extrêmement langoureusement. Elle m’attira vers elle et serra sa lourde poitrine contre la mienne en cherchant à m’embrasser. Je sentais ses mains masser habillement mes fesses sous ma jupe. J'ai essayé de résister, mais elle était très forte et j'avais peur qu'elle se mette à crier si je résistais trop, risquant ainsi d’alerter son mari. Je fini par la laisser m’embrasser. Se lèvres étaient fermes et douces tout à la fois. Sa langue experte me fit perdre la tête et je commençais à lui retourner des caresses sur son corps si délicieux.

C’est justement le moment que choisit son mari pour entrer en scène. Je craignais le pire…Sur un ton sévère il a déclaré que nous devrions être toutes deux punies. Il m'a alors ordonné d’enlever le slip de sa femme, de la laisser seulement habillée avec ses bas nylons, sa gaine et sons soutien gorge, puis de l’attacher au cadre du lit, jambes écartées, grandes ouvertes. J'ai obéi car j’avais bien vu qu'il était très déterminé à nous punir. Son épouse loin d’avoir peur semblait être toute excitée par la situation, un peu trop même... Il m'a demandé d’aller chercher un plumeau. A mon retour, il me dit de "nettoyer" sa femme à l’aide du plumeau exactement là où il me dirait de le faire et comme il me le dirait. D'abord, épousseter le visage du bout des plumes, Madame riait comme une folle et semblait s’amuser énormément. Je compris assez vite le jeu qui se mettait en place. Ensuite ce fût le cou qui devait être épousseté, je dû le dégager de ses longs cheveux pour pouvoir passer le plumeau tout autour. Monsieur me demanda "d’essuyer" le dessus des seins de Madame, cela la mis dans une quasi transe. Il a alors exigé que j’abaisse bretelles du son soutien-gorge de son épouse et extraie ses seins lourds des bonnets où ils étaient confinés. Ses mamelons étaient en pleine érection. Monsieur me dit d'employer le plumeau lentement tour à tour sur chaque mamelon. Il m'a demandé de les sucer l’un après l’autre puis de souffler dessus avec ma bouche provoquant une sensation de froid sur les bouts mouillés de ses seins. Ses mamelons sont devenus encore plus durs qu’ils ne l’étaient déjà. Elle a gémi émettant de longs cris gutturaux sous l’excitation que lui provoquaient ces traitements.

Il m'intimât l’ordre de m'arrêter. Madame le suppliait de me laisser continuer à m’occuper de ses seins. Il ne tint pas compte de ses requêtes. Au contraire, il m'a commandé reprendre le "nettoyage" en commençant cette fois par les pieds. Très lentement, je dû obéir à ses ordres, passer le plumeau sur ses pieds, remonter très progressivement le long des jambes de madame toujours gainées de bas nylons merveilleusement fins, caresser du bout des plumes le peau tendre entre le haut des bas nylons et la gaine. Il m'a fait arrêter juste avant d'atteindre l’entrejambe. "N'oubliez pas d’époussetez son ventre et son nombril ". Je le fis avec délice, longuement, approchant son sexe avec les plumes, sans le toucher cependant. Elle me suppliait de le faire mais j’attendais les ordres de son mari. Ce dernier m'a ordonné de me mettre à genoux entre les jambes de sa femme. Il a poussé ma tête en haut des cuisses et m’a dit "léchez". J’étais complètement grisée par toutes les sensations qui emplissaient mon corps et j’ai senti les muscles des jambes de Madame se raidir pour pousser son sexe le plus haut possible pour le rapprocher de ma bouche et de ma langue. Pendant ce temps, son mari a relevé ma jupe et mon jupon puis a commencé à abaisser mon slip. Quand il a vu mon sexe masculin, il a commencé par être très en colère, cette fois ce n’était plus pour rire… Mais il comprit rapidement, une fois la surprise passée, qu’il pourrait tirer profit de la situation et commença à en être tout excité. Il m'a demandé de me déshabiller, mais comme pour sa femme, de garder mon soutien-gorge, ma gaine et mes bas résilles ainsi que le petit tablier blanc de soubrette. Je me suis rapidement déshabillée. Il a demandé de me promener devant lui dans cet accoutrement sexy, de me déplacer devant le miroir de la chambre, afin qu’il puisse voir simultanément les deux côtés mon corps. Sa femme nous appelait avec impatience. Il a pris un préservatif lubrifié et m'a demandé de l’enfiler sur son sexe maintenant turgescent. Alors il m'a commandé de me remettre à genoux entre les cuisses de sa femme et de continuer à lui lécher le sexe, ce que je fit avec le plus grand plaisir et celui de Madame… Je pouvais maintenant sentir la main de Monsieur écarter mes fesses. Il a mouillé ses doigts avec du jus du sexe de son épouse et l’a utilisé pour lubrifier mon anus qui ne demandait que ça. Juste un moment plus tard, je sentis que son sexe avait remplacé ses doigts. Il a poussé son pénis au plus profond de mes entrailles, entamant un mouvement rythmique accompagné de halètements d’excitation. Avec ces poussées rythmiques, les pressions de ma langue sur le sexe de son épouse sont également devenues rythmiques. Ma langue allait de son clitoris aux lèvres de son sexe, le pénétrant à chaque poussée du mari au plus profond de son vagin, elle criait maintenant et a commencé à jouir. Mon visage était tout humide tant elle avait éprouvé de plaisir.

Son mari m'a demandé de la délier et lui a ordonné de me faire une fellation. Elle le fit goulûment, je retrouvais son savoir faire encore plus sensuel que la première fois dans la salle de bain, car porté par une fougue attisée par l’attente. Sous cette caresse merveilleuse, mon sexe est encore devenu plus dur et j’étais sur le point de jouir. Son mari, tout excité par nos ébats avait commencé à se masturber. Voyant cela, Madame nous a demandé de jouir ensemble sur ses énormes seins. Nous nous sommes mis de chaque côté d’elle et avons continué de caresser nos sexes avec nos doigts d’une main et ses seins de l’autre, pendant qu’elle essayait d'atteindre nos sexes avec sa langue.
Nous avons finalement jouis presque ensembles, de longs jets de sperme atteignant ses seins et, au delà, sa bouche et ses lèvres, les recouvrant de sperme qu'elle léchait avec sa langue.

Nous nous sommes effondrés tous les trois sur le lit, épuisé mais heureux.... Madame me fit remarquer qu’il était trop tard maintenant pour rentrer à la maison et m’a invité à rester pour la nuit. Elle m’a prêté une chemise de nuit d’une qualité semblable aux dessous que j’avais trouvé dans son tiroir à lingerie… Un satin d’une qualité exceptionnelle, ornée de broderies et de dentelles superbes. Je retirais mon soutien gorge dont l’armature commençait à me faire un peu mal, l’enlevais mes bas nylons et ma gaine. Madame fit de même. Elle demanda à alors son mari de nous laisser dormir seules toutes les deux pour cette nuit. Malgré quelques protestations il finit par accepter, elle sut lui promettre d’autres plaisirs et de toutes façons il était déjà épuisé. Madame et moi nous sommes démaquillées et avons pris une douche ensembles avant d’aller nous coucher. La chaleur de l’eau nous remit en forme, nous nous lavâmes mutuellement les corps… Les mains glissant sur nos seins enduits de savons, nos seins glissant les uns contre les autres dans un jeu sensuel très tendre. Nous n’avons pas tardé à jouir à nouveau, pas besoin de pénétration, juste la douceur de nos peaux glissant l’une sur l’autre suffisait… Détendues par cet orgasme plus raffiné que les précédents, nous nous sommes embrassées passionnément pendant que la douche nous rinçait les corps.

Une fois sorties de la douche et bien séchées, nous sommes revenues dans la chambre que nous avons fermée à clef pour être sûres de ne pas être dérangées de toute la nuit. J’enfilais avec délices la merveilleuse chemise de nuit qu’elle m’avait prêtée. Madame se prépara aussi pour la nuit, choisissant pour elle une autre chemise de nuit tout aussi magnifique que celle que je portais. Nous nous sommes couchées l’une contre l’autre caressant mutuellement nos seins, nos hanches, no fesses, nos ventres à travers le satin fluide et doux de nos chemises de nuit. Nous nous sommes endormies enlacées tendrement, la tête pleine d’images érotiques et le cœur chargé d’espoir pour le lendemain...

Que vous dire de notre réveil dans les bras l’une de l’autre ? Ce fût à nouveau la douceur féminine qui nous envahit et nous transportât au septième ciel.

Monsieur eu la très grande délicatesse de frapper à la porte pour nous demander si nous voulions qu’il apporte notre petit déjeuner au lit. Charmées par cette initiative si gentille nous lui avons ouvert la porte. C’était à son tour de nous servir…

Nous vîmes sous sa robe de chambre l’effet sur sa masculinité de la vision que nos deux corps enlacés lui faisaient. C’est un vieux fantasme masculin que d’être invité à partager les ébats de deux femmes amoureuses… Or même si la raison lui disait que l’une de nous n’était pas complètement une femme, ses yeux ne pouvaient l’accepter…

Pour le récompenser de sa gentille attention avec le petit déjeuner, nous décidâmes de lui faire quelques petites gâteries… Nous l’avons installé entre nous pour lui prodiguer des câlins bien féminins qui ne tardèrent pas à porter leurs fruits…

Mais les bonnes choses ne peuvent pas durer éternellement. Madame avait un rendez-vous avec une amie pour un « Brunch », et monsieur devait partir en voyage d’affaires, son avion partait vers midi. Moi-même devais reprendre mon travail lundi matin, celui qui me fait vraiment vivre financièrement et où je ne peux malheureusement pas être Eugénie…

Nous avons donc dû nous préparer à repartir vers nos activités habituelles. Après une bonne douche chacun, Monsieur s’est habillé avec un costume trois pièces très élégant et est parti en m’embrassant sur les joues. Madame a mis un tailleur beige fort seyant pour aller rejoindre son amie. J’ai remis mon tailleur brun clair que j’avais en arrivant la veille pour rentrer chez moi. Nous sommes sorties ensembles de l’appartement avec Madame. Elle me promit de me contacter à nouveau très vite, son mari serait parti pour plus de dix jours… Nous pourrions nous revoir et sortir ensembles si ça me disait. Je l’embrassais pudiquement sur la joue, nous étions maintenant dans la rue, et lui glissait à l’oreille : "A votre entière disposition, Madame…"


Responsable du site : Lucie Sobek


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