Avis de 15 lecteurs - note moyenne : 4.33 / 5

« .../... Depuis longtemps je m'habillais en femme, j'étais marié et j'avais trouvé la compagne idéale quant à la taille puisque je pouvais emprunter ses vêtements ainsi d'ailleurs que ses chaussures. J'avais acheté par correspondance des soutiens-gorge, des porte-jarretelles et des petites culottes sexy et bien sur l'indispensable perruque. Tout allait bien car je pouvais sortir en robe, chemisier, jupe et manteau quand elle partait, et me promener en ville le soir. Le maquillage était lui aussi facile d'accès puisque qu’il s’étalait sur notre meuble de toilette commun. .../...... »
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Avis de 14 lecteurs - note moyenne : 4.43 / 5

« .../... Je me promenais ce soir là dans le cabriolet de ma femme, habillée d'une façon plutôt bourgeoise, exceptés les dessous très affriolants qui sont ma raison de vivre. J'étais montée voir ma maîtresse en empruntant l'ascenseur de l'immeuble où elle habite au risque de rencontrer l’un de ses voisins .Malheureusement elle était déjà endormie et ne répondit pas à mon coup de sonnette. Je repris donc ma voiture, traversais les ponts, et allais vers une boîte fréquentée par des homos et quelques travestis. Arrivée devant le club, je n'osais pas entrer car je ne l'avais encore jamais fait et j’avais peur d'être reconnue voire de me sentir ridicule au milieu des gays. C'était le mois de juin, il était à peine plus de minuit et je continuais de roder dans la ville e... »
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Avis de 14 lecteurs - note moyenne : 4.57 / 5

« .../... J'étais ce jour là chez moi, me promenant d'une pièce à l'autre en me demandant ce que j'allais mettre aujourd'hui pour passer ma journée habillée en femme. Je faisais l'inventaire des possibilités combinatoires de ma garde-robe. Quelle jupe avec quel haut, quels sous-vêtements ? Je m'étais fixée sur un chemisier transparent noir à fleurs discrètes qui était coordonné avec un soutien gorge qu'il mettait en valeur, la jupe en tulle noir était de bon goût. .../...... »
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Avis de 12 lecteurs - note moyenne : 4.67 / 5

« .../... Je m'habillais exclusivement en femme, presque chaque jour j'étais comblée de cadeaux par mon épouse qui revenait à la maison avec des sacs portant la marque de toutes les boutiques de mode connues. Je passais ainsi mes soirées en essayage de caracos ou de porte- jarretelles très mode. Les tissus étaient le plus souvent transparents ce qui permettait des assemblages très élégants , c'est ainsi que je fus subjuguée par un chemisier de voile qui laissait voir un soutien gorge assorti, les deux étaient essentiellement noirs avec des petites fleurs dont l'harmonie était parfaite. .../...... »
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Avis de 11 lecteurs - note moyenne : 4.55 / 5

« .../... La soirée avec ma femme fut torride. Elle me demanda de la prendre plusieurs fois puis disparut un moment et revint munie d'un olisbo, c'est à dire d'un petit godemiché qu'elle portait sur son sexe à l'aide d'une ceinture. Elle me dit alors de me mettre à genoux et commença à me caresser l'anus avec une crème qui sentait très bon. Je me laissais faire , son doigt pénétra doucement ma petite rondelle. Je commençais à feuler, alors je sentis quelque chose de plus pointu se glisser dans mon orifice, elle me demanda si j'aimais , là encore je ne sus quoi répondre. .../...... »
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Avis de 14 lecteurs - note moyenne : 4.57 / 5

« .../... Les jours passaient merveilleux et même mon travail marchait bien. J'avais mis au point un programme qui prédisait les aléas de la bourse notamment ceux des obligations. Ma femme me prenait régulièrement après m'avoir massé l'anus avec une crème odorante, elle avait augmenté la taille du gode et mon plaisir était de plus en plus profond. .../...... »
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Avis de 9 lecteurs - note moyenne : 5 / 5

« .../... Ce matin là, je me réveillais très tard encore perturbée par mes aventures de la veille. Ma femme était déjà partie travailler. Elle avait comme souvent sortis et mis en évidence les sous-vêtements qu'elle souhaitait me voir porter. Elle m'avait en effet pourvu d'une garde robe à rendre jalouse, feu la princesse Diana elle-même ! Aujourd'hui, il s'agissait d'un ensemble soutien gorge, porte -jarretelles et slip en satin bordeaux très brillants avec les bas à dentelles coordonnés, en revanche, elle m'avait laissée libre du choix du tailleur ou de la robe. .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.83 / 5

« .../... Ma femme n'était pas encore rentrée , j'en profitais pour essayer mon nouvel achat très riche en souvenirs récents. La guêpière était d'une couleur chair très pâle, avec un imprimé de roses rouges dont la délicatesse des tons faisait penser que les fleurs étaient à même ma peau. Le slip était assorti , une rose cachait mon sexe ou plus exactement faisait penser que mon sexe était une rose. La bordure des bas reprenait les motifs du slip et de la guêpière. Ma femme arriva enfin me trouvant en train de me regarder dans un miroir du salon. Elle même était en beauté, vêtue d'un de mes tailleurs préférés en soie sauvage turquoise." Que fais-tu ce soir, me demanda-t-elle ? ". .../...... »
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Avis de 11 lecteurs - note moyenne : 4.64 / 5

« .../... Il était prés de 4 heures du matin quand je quittais l'Eldorado après quelques heures de grands débordements. Je me sentais très heureuse , je ne pris pas le temps de me rhabiller convenablement, je m'aperçus en arrivant à ma voiture que mon chemisier était complètement ouvert et que mes seins avaient partiellement quitté le bustier de satin gris qui avait été délacé dans la soirée, mes bas étaient un peu de travers. J'avais rapidement passé mon manteau mais je cherchais à me réajuster avant de rentrer à la maison. Je conduisis la jupe relevée sur les cuisses, ce que j'adorais, laissant le manteau largement ouvert. J'arrivais à la maison, il y avait encore de la lumière , Sylviane m'attendait dans une nuisette noire transparente assortie d'un porte-jarretel... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Sylviane était de plus en plus amoureuse de moi ,elle ne me faisait aucun reproche à propos de mes sorties nocturnes. Il lui arrivait de m'accompagner, mais elle préférait largement nos ébats conjugaux, dans l'intimité de notre petit chez nous. Notre vie ainsi était très agréable dans le partage mutuel de notre garde-robe. Nous achetions des quantités de sous-vêtements et de vêtements toujours très soyeux et nos placards commençaient à être pleins. C'était mon plaisir autant que celui de Sylviane que de se changer plusieurs fois par jour quand nous étions ensemble à la maison. J'y passais bien entendu beaucoup plus de temps que Sylviane ,et je profitais donc largement de nos achats multiples. J'avais mis ce jour là un body collant noir qui m'allait à ravir et p... »
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Avis de 10 lecteurs - note moyenne : 4.7 / 5

« .../... Je m'habillais donc tant bien que mal avec le smoking, après avoir noué mes cheveux sous forme d'un catogan. J'enlevais mon vernis à ongles avec du dissolvant à l'acétone. Je n'étais plus habitué aux chaussures d'homme plates , la chemise me serrait un peu le cou. Par bonheur, la forme du smoking ne faisait pas trop ressortir ma poitrine. Je jetais un Å“il dans la glace, mais les vêtements ne font pas le moine car je ressemblais plus à une femme qu'à un homme. Je ne comprenais toujours pas où voulait en venir Sylviane. Depuis deux ans nous vivions en femmes, exclusivement en femmes, même si mon sexe continuait à fonctionner comme celui d'un homme. Je descendis les escaliers doucement de peur de glisser avec mes chaussures de danseur de tango. Sylviane m'attendait dans ... »
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Avis de 10 lecteurs - note moyenne : 4.7 / 5

« .../... Il ne faisait pas très chaud dans la navette qui nous transportait de l'hôtel à l'aérogare de Roissy 2 , je me serrais contre Sylviane. Quand nous fûmes arrivées au bon terminal, j'avisais le comptoir Air France puis nous nous dirigeâmes bravement vers le guichet d'enregistrement pour Séville. Nous présentâmes billets et passeports, la préposée à l'enregistrement me regarda puis elle avisa la photo de mon passeport qui était récente donc avec des cheveux longs, elle fut surprise, puis comprit que j'étais un travesti ou une transsexuelle. Sylviane portant le même nom que moi, elle nous accepta comme un couple d'ailleurs nous avions des billets couple. C'était bien sûr la première étape, nous passâmes nos bagages dans le tunnel à rayons X puis nous mêmes so... »
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Avis de 8 lecteurs - note moyenne : 4.75 / 5

« .../... Nous décidâmes finalement d'aller à pied écouter et voir un spectacle de flamenco, le restaurant cabaret en effet n'était pas très loin de notre hôtel, je continuais donc à parcourir la ville en escarpins sans d'ailleurs aucun problème de marche. La nuit étant tombée, on commença à rencontrer des gens de toutes conditions et notamment des filles belles comme des travestis. Nous nous dirigions vers la Maestranza, c'est-à-dire la plazza de toros de Séville. Les gens prenaient l'apéritif en dégustant des tapas, nous firent ainsi une halte dans une bodega appartenant au " pharaon de Séville " alias Curro Romero, torero le plus célèbre ici, qui torée encore quelque fois à presque 65 ans, dont la statue en bronze est devant les arènes. Au mur on pouvait contempler... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4.29 / 5

« .../... Je remontais les escaliers vers la salle du restaurant où le spectacle avait cessé et je ne retrouvais ni Sylviane ni nos deux chevaliers servants. Il y avait quelques clients encore là, mais notre table était vide, je sortis donc inquiète du restaurant espérant trouver le trio dehors. Je commençais vraiment à paniquer pensant alors à l'enlèvement de Sylviane par nos deux hidalgos. Il ne me restait donc plus qu'à rentrer à l'hôtel pour attendre, car je ne pouvais bien sûr pas aller voir la police pour lui parler d'enlèvement. Je pris bravement le chemin du retour en priant intérieurement la Virgen de la Esperanza Macarena de protéger ma femme du danger. J'étais dans mes pensées quand je repassais devant notre bar à tapas. Je jetais un Å“il furtif sur les taboure... »
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Avis de 8 lecteurs - note moyenne : 4.75 / 5

« .../... Nous filions des jours et des nuits heureuses avec Sylviane en compagnie de notre hôte qui aurait bien voulu se mêler à nos ébats. Nous sortions dans les ruelles de Sanlucar où nos rencontres étaient souvent surprenantes tant le nombre d'hommes habillés en femmes était important comparé à notre expérience française. Nous découvrions chaque jour ou presque un nouveau visage dont on pouvait supposer qu'il avait été masculin dans un passé plus ou moins proche. La fleuriste était une jolie blonde, probablement décolorée, un bar était tenu par deux jeunes personnes mesurant plus d'1,80m, la boulangère avait dû être mitron et même le fossoyeur avait des allures de femme fatale ceci sans jeu de mot aucun ! .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.67 / 5

« .../... Après les ultimes préparatifs et nous être regardées encore une fois dans la glace, il était grand temps de prendre le chemin des Arènes. Nous descendîmes de notre chambre suivie chacune par la longue traîne de nos robes. Je me sentais vraiment très bien dans cette robe ajustée qui prenait mon buste avec élégance, et j'aimais sentir pendre à mes oreilles de larges anneaux. Carmen avait tout prévu, en effet une calèche nous attendait devant la porte. Le cocher nous salua d'un large coup de chapeau et nous installa confortablement sur une banquette bien rembourrée. Il nous fallait maintenant traverser la ville jusqu'aux Arènes. Carmen nous avait pourvues d'un chapeau noir comme celui de notre cocher, qu'elle avait mis bien en place sur le chignon. Il faisait encore t... »
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Avis de 8 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Nous étions parties déjà depuis huit jours et il nous fallait rentrer pour reprendre notre travail respectif. Nous ne pouvions pas vivre trop longtemps sans gagner notre vie. Il ne nous était donc pas possible de rester à Sanlucar malgré la facilité de vie faites aux transgenres de mon style. Nous devions rejoindre Séville pour prendre l'avion pour Paris. Nous avions pris un billet d'avion open, et après avoir téléphoné à l'agence Air France de Séville, nous sûmes que malheureusement il n'y avait plus de places avant quatre jours, sinon prendre le train jusqu'à Madrid et un avion pour Paris ce que nous choisîmes. C'était donc encore quelques heures de voyage avant de rentrer à la maison. Nous annonçâmes notre prochain départ à notre logeuse qui essuya quelque... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.83 / 5

« .../... La chambre était fort vaste, et pouvait permettre tous les ébats possibles et imaginables. La sortie de Graciella de la salle de bains avait déclenché en moi des envies extrêmement variées et presque inavouables. J'avais eu des relations chaudes et osées avec Cecilia la vendeuse travestie de lingerie dans la ville où nous habitons mais ici c'était tout différent. Notre amie avait certes une sexualité débordante, mais elle dégageait aussi beaucoup de tendresse et je n'avais pas envie de la quitter. .../...... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4.43 / 5

« .../... Nous arrivâmes enfin à la maison, il nous restait peu de temps de repos avant de reprendre notre travail. Nous prirent à peine le temps de nous démaquiller et nous nous jetâmes dans le lit pour récupérer de notre folle virée andalouse. Sylviane partit très tôt le matin suivant me laissant seule dans notre grande maison devant l'ordinateur qui me rappelait que j'avais accumulé quelque retard. Je traînassais et pris quelques minutes pour naviguer sur le web. J'avisais un nouveau site de travestis qui possédait une boîte de dialogue, un t'chat. J'affichais mon pseudo : Sidonie.tv et je vis que malgré l'heure presque matinale il y avait quelques t’chateuses, en fait deux ou trois dont moi. Je pris contact dans un dialogue privé avec une certaine Chrystelle. Le début ... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Je retrouvais donc Kristel qui avait changé semble t-il définitivement son prénom, valse hésitation de la recherche d'identité ! Ce fut tout de suite très tendre : " Bonjour ma chérie ", auquel je répondais de la même manière. Puis elle me raconta ses difficultés à vivre en homme avec une femme tolérante certes, mais qui ne voulait pas entrer dans son jeu de peur de susciter une compétition de féminité. C'était très voisin de ce qu'elle m'avait dit la veille. Elle allait partir dans les Vosges pour un colloque et nous serions deux ou trois jours sans pouvoir communiquer. Elle continuait à m'entraîner sans trop de convictions vers l'idée qu'il lui fallait un vrai homme pour qu'elle se sente encore plus femme. Je lui expliquais tant bien que mal que sa quête ét... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 3.67 / 5

« .../... Kristel réapparut sur le chat après de longs jours d'attente de ma part. Je croyais bien l'avoir perdue à jamais, sans aucune possibilité de retrouver sa trace. Elle avait tendance à se vexer très facilement et je me demandais bien ce qui dans mes propos l'avait blessée. Enfin elle était là, très enthousiaste, me racontant combien elle avait envie de me rencontrer. Je lui fis toutes sortes de propositions qu'en fait, elle éludait soigneusement. Elle vivait manifestement dans le fantasme avec des variations d'humeur qui me souciaient. Elle continuait sur le mode : mon petit mari adoré je voudrais un enfant de toi. Le thème ce soir là fut récurrent avec quelques variantes plus sexuelles, elle souhaitait que je la prenne et voulait absolument se sentir ma femme. .../.... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4.29 / 5

« .../... Je récupérais alors ma valise en vrai faux Vuiton, j'hésitais à reprendre un look plus féminin bien que sachant que mes interlocuteurs américains n'avaient aucune idée sur mon sexe biologique. Je ne pus donc résister à aller dans les toilettes me faire une beauté. J'eus grand plaisir à retrouver ma trousse de maquillage, je choisis un fard discret, je mis un peu de rimmel et je me fis des yeux très profonds. Je peignais mes cheveux désormais courts, je sortis mes boucles d'oreilles et mes colliers et je mis un bracelet à mon poignet gauche alors que je remplaçais ma montre par une superbe Gucci très féminine à l'entourage de pierreries. Je gardais mon tailleur pantalon fort adapté à l'avion mais je mis une paire de sandales à talons assorties. Je sortis donc e... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.17 / 5

« .../... Le " Morito " était Situé dans Calle Ocho la huitième rue en bon espagnol, tous les restaurants ici sont cubains ainsi que les boîtes. Je retournais donc après mon séjour en Andalousie dans une atmosphère hispanisante très colorée. J'étais seule cette fois et je comptais bien faire quelques rencontres insolites tout en pensant au travail du lendemain. J'appréciais beaucoup les airs de salsa , je pris beaucoup de plaisir à voir se déhancher les danseurs et les danseuses sur la piste. Je sentais confusément que si je me mêlais à la population locale sur la piste de danse, mon corps n'avait rien qui pouvait égaler ou même approcher l'esthétisme ambiant. J'en mourais cependant d'envie et je fus bientôt prise en main par un jeune éphèbe qui me prit dans ses bras en... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4.57 / 5

« .../... Je passais un bon moment dans ce paradis du shopping qu'était Village of Meridick Park, mais je m'aperçus bientôt que pour aller d'un centre commercial à l'autre il fallait le faire en voiture sous peine de passer des heures en marche à pied ce que mes mules à talons ne m'autorisaient pas. J'étais sur le point de renoncer, d'autant que la plus proche station de métro était à un kilomètre quand s'arrêta près de moi une belle voiture que j'identifiais comme étant une Ferrari. J'étais chargée de paquets, car je n'avais pu résister outre des vêtements et des sous-vêtements à l'achat de linge de maison qui me semblait ici moins cher qu'en France. J'avais trouvé entre autre une guêpière en tissu gaufré violine qui me plaisait beaucoup. L'homme qui la conduisait m'... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Hector était enfermé dans la salle de bains depuis une bonne demi-heure à travers la porte, je lui demandais s'il avait des problèmes. Il me répondit que non en me sugérant de commander un dîner servi dans la chambre. Je trouvais son comportement bizarre d'autant que j'entendais des bruits divers venant de la salle de bains. Je pris donc le téléphone , dans mon meilleur anglais je commandais un homard assorti de petits légumes, du fromage avec une autre bouteille de champagne pour arroser le tout. Je m'installais confortablement dans un fauteuil pour lire une revue qui traînait sur la table basse de ma chambre, je pris soin de ne pas froisser ma superbe robe fourreau. J'étais tout absorbée par ma lecture quand on frappa à la porte , j'ouvrais à un garçon qui poussa... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... La matinée de travail passa très vite d'autant que je devais reprendre l'avion pour Paris dans l'après midi. Mes interlocuteurs avaient l'air très satisfaits des solutions que j'apportais à leurs problèmes. L'un et l'autre semblaient avoir oublié les avances qu'ils m'avaient faites et tout se passait pour le mieux. Je n'eus pas le temps d'approfondir la nature de nos relations car je fus appelée sur mon téléphone portable par mon patron qui voulait savoir où j'en étais. D'autant que, je ne l'avais pas appelé moi-même depuis mon départ, pas plus d'ailleurs que Sylviane . En fait, il voulait m'annoncer que nous avions décroché un contrat avec l'Argentine dont l'économie semblait vouloir repartir après le changement de parité de sa monnaie ,le peso, voilà deux an... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Ma nuit fut pleine de rêves agréables, je me réveillais une heure avant l'atterrissage, j'allais me changer et me remaquiller dans les toilettes, je remis donc mon superbe pantalon bleu nuit et j'en ressortais pimpante. Il me fut proposé un petit déjeuner rapide assorti d'un café expresso. Tout allait donc pour le mieux pour mon arrivée en Argentine. Nous survolâmes un peu de pampa et ce fut bientôt l'aéroport au milieu de la verdure, cela n'avait rien à voir avec les aéroports très urbains des Etats Unis. .../....../... Le contrôle des passeports n'en finissait pas bien que je sois sortie une des premières de l'avion, en effet des passagers des précédentes arrivées faisaient encore la queue. Je pris mon mal en patience quand j'entendis en français un homme qu... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... Elle était belle, c'était une grande blonde à la silhouette très élancée, elle portait un très beau manteau de flanelle noire dont ses cheveux venaient rehausser le col. Je la fis entrer, moi toute tremblante devant cette divine créature, elle s'annonça : " je m'appelle Lola " avec un charmant accent argentin c'est à dire d'espagnol mâtiné d'italien. Je fus extrêmement surprise d'entendre son prénom car pour moi c'était Hector travesti qui s'appelait Lola. Elle enleva son manteau et je découvris son corps superbe à peine vêtu d'une jolie robe combinaison de soie sauvage d'un beau grenat, ses seins étaient parfaits et ses jambes bien campées sur des escarpins assortis à la robe, je ne pouvais pas encore savoir si elle portait des bas cependant tout était harmon... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... Les spectateurs continuaient à boire alors que le spectacle était terminé depuis une bonne demi-heure. Je proposais à Lola d'aller voir les artistes dans leurs loges si elle pensait que c'était possible. Cela la chagrina un peu car elle avait entrepris auprès de moi une nouvelle séance de séduction active. Je trouvais cet exhibitionnisme déplacé même si personne autour de nous ne s'en formalisait. Elle accepta avec regrets et je pus rajuster discrètement mon string qui avait subi ses assauts. Nous contournâmes la scène par la droite et arrivâmes dans une pièce obscure, prélude à de petites loges que l'on distinguait grâce au rai de lumière qui passait sous la porte. Il était bien difficile de savoir à quelle porte frapper d'autant qu'aucun signe ou nom ne se... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... Je n'avais que peu de recours si ce n'est le numéro de téléphone où j'avais appelé Lola. Je ne me laissais pas abattre par ce coup du sort, mentalement je fis un inventaire de ce que j'avais de plus précieux. L'argent liquide, je l'avais sur moi ainsi que les bijoux en or. J'avais acheté pas mal de choses à Miami, mais aussi à Buenos Aires, j'avais apporté quelques tailleurs pantalon de France pour voyager. Ce qui restait, semblait être des soutiens gorge, des strings, des bas et des porte- jarretelles, ainsi qu'une ou deux robes. Le vol était donc celui de mes tailleurs Dior et des vêtements achetés ici. Un mystère demeurait, comment emporter tout cela sans valises, si ce n'est avec la complicité des employés de l'hôtel ? J'étais consternée mais vindicative, ... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... J'arrivais donc à ma chambre en me demandant où j'allais dîner et si j'allais faire un peu de shopping avant, les magasins ici fermant très tard. Je cherchais ma clé de porte dans une des poches de mon tailleur , encombrée j'ouvris la porte. Il faisait noir dans la pièce, je posais mon ordinateur pour mettre la carte en plastique servant de clé dans le réceptacle qui permettait d'avoir la lumière. La chambre s'éclaira " a giorno " , je constatais que tout y était parfaitement rangé. Je posais l'ordinateur sur le bureau , j'allais vers la salle de bains où je pus m'admirer dans la glace en constatant que décidément mon tailleur m'allait parfaitement bien, cependant j'avais envie de mettre la robe de jersey que j'avais acheté la veille. Je retirais donc mon tailleur... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... L’heure du départ approchait et j’avais rassemblé dans ma chambre l’ensemble de mes bagages qu’un groom viendrait chercher un peu avant l’arrivée du taxi. Je m’étais changée à nouveau en vue du long voyage de retour. J’avais choisi un de mes tailleurs pantalons , j’avais prévu un chandail pour la nuit. Je n’avais pas prévenu Mercedes de ma décision d’écourter mon séjour afin d’éviter des démonstrations larmoyantes. Je descendis dans le hall à la remorque de mes bagages, je m’arrêtais à la réception pour régler ma facture d’hôtel. En me retournant, je découvris les deux ingénieurs français qui s’étaient enquis de mon horaire de départ pour pouvoir me saluer. Plus étonnant fut que le chauffeur de Mercedes m’attendait , je compr... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.33 / 5

« .../... Il y avait déjà plusieurs semaines que j’étais revenue d’Argentine, je travaillais essentiellement à la maison en continuant à développer des programmes informatiques. Sylviane et moi avions échangé beaucoup de nos vêtements entre nous. Je n’avais pas de voyage en perspective si ce n’est quelques visites à mon patron qui me félicitait toujours sur ma dernière tenue vestimentaire, mais était surtout satisfait de mon travail. Je continuais à correspondre sur le chat avec Sandra sans que pourtant les choses n’avancent beaucoup. Elle continuait à m’envoyer des photos d’elle par email et je la trouvais de plus en plus à mon goût. Les soldes battaient leur plein et le petit monde des transsexuelles était en ébullition, chacune ayant trouvé le dernier ca... »
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Avis de 8 lecteurs - note moyenne : 4.88 / 5

« .../... L’épisode de l’achat de la robe m’avait marqué beaucoup plus que je ne l’aurais pensé ! Je restais donc quelques jours à la maison sans sortir, c’était ridicule, je le savais, car je n’avais rien fait pour provoquer le scandale. Je ne pouvais imaginer la réaction de la vendeuse ayant des tendances lesbiennes qui fut surprise de découvrir mon vrai genre. Cela me posait clairement le problème de mon sexe d’homme, devais-je envisager une vaginoplastie ? L’avis de Sylviane était crucial d’autant que nous n’avions jamais évoqué cette possibilité. Par ailleurs j'éprouvais beaucoup de plaisir avec mon sexe tel qu'il était, dans la mesure ou ma libido masculine n’avait pas été altérée par l’hormonothérapie. Ces pensées m’assaillaient ce qui é... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... J’étais arrivée à obtenir un rendez-vous avec Sandra après de multiples palabres sur le Chat, elle continuait à m’envoyer des photos de plus en plus coquines. Les dernières étaient sublimes, elle s’était acheté dans un magasin de Vincennes une superbe robe rouge à manches longues qui allait très bien avec ses cheveux noirs. Elle alternait en effet les chevelures noires ou blondes, réservant me semblait-il, les blondes aux photos les plus osées. Elle apparut sur mon écran d’ordinateur en soubrette, ayant passé un petit tablier blanc sur son habituel corset noir à larges jarretières. Sa pose était plus que suggestive, elle m’avait commenté cette photo sur le chat en me disant que c’était pour mieux me servir. Elle me laissait entendre qu’elle n’im... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Ma connexion Internet tomba en panne un samedi alors que je n’avais pu converser avec Sandra la veille, ceci me chagrina beaucoup car je n’avais plus de moyen pour communiquer avec elle. Je lui envoyais cependant un email pour l’en avertir, en allant utiliser l’ordinateur de mon patron. Il ne m’était désormais plus possible de la joindre alors que notre potentiel rendez-vous approchait. Je glosais intérieurement sur la fragilité des moyens de communications modernes, en me disant que voilà encore quelques années il était bien difficile pour les marginaux que sont les travesties de se rencontrer. Cela n’atténuait que très partiellement mon désarroi. J’étais seule à la maison, Sylviane était partie depuis la veille au soir à Paris. J’avais de quoi m’o... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 4.67 / 5

« .../... Enfant, vers 5 ou 6 ans, j’aimais mettre des bas. Leurs contacts, sans pour autant provoquer autre chose qu’une douce sensation, m’amenaient un bien être incroyable, que je ne savais pas analyser. Un jour, l’on me dit que ce n’était pas bien et ce fut donc seule, en cachette, que je dus poursuivre ces essais furtifs, en les perfectionnant par le port de jupes, de talons….enfin, en me sentant comme une petite fille de mon âge, qui aimait essayer de jouer les dames en cachette, avec les vêtements de sa mère. Alors, je rêvais que des fées allaient venir me chercher et me rendre en fille à mes parents. Hélas, les fées n’existent pas ! .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.5 / 5

« .../... Je reçus un autre message de Yolanda qui souhaitait rencontrer une transsexuelle pour l’aider à terminer sa féminisation. Elle aurait voulu que sa Pygmalion soit très féminine type star de cinéma des années 50. Je n’avais bien sûr pas le profil, mais je lui proposais cependant qu’elle vienne me voir le week-end suivant où j’étais seule à la maison pour que je puisse réfléchir avec elle du style qui lui convenait le mieux. Je n’avais pas de photo de Yolanda ce qui rendait difficile toute élaboration anticipatoire afin d’élaborer une stratégie ! Elle semblait se contenter d’être une des héroïnes de mes histoires que je publiais régulièrement sur le net. C’est du moins ce que je comprenais dans son dernier message : .../...... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 3.6 / 5

« .../... Ma boîte de courrier électronique était encore pleine ce matin des messages de Yolanda qui était en train de vouloir se reconstituer une garde-robe, elle me faisait part de ses doutes et me demandait des conseils : .../....../... Merci à nouveau de ton attention, j’adore ta petite jupe mauve, d’ailleurs j’adore le mauve ! Je me souviens d’une guêpière et d’un string mauves que je portais souvent avec des bas vison et des escarpins à brides. Mais il y a tellement de choses que je dois racheter : perruques, maquillage, cache barbe, etc.… J’ai d’ailleurs besoin de conseils quant aux meilleures marques pour les bas et le maquillage. Je connais des magasins proches de la gare de l’Est. Mais pour le reste, j’ai toujours un peu peur de me tromper de taille. ... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.25 / 5

« .../... J’avais beaucoup de travail car je devais créer d’autres programmes informatiques pour mon entreprise, j’avais assez peu de temps à consacrer à la photo, mais manifestement la recherche de nouvelles toilettes n’était plus ma tasse de thé, j’avais l’impression d’avoir fait le plein pendant les soldes. Sandra m’envoyait toujours des photos mais rien de vraiment neuf quant aux vêtements. Les missives de Yolanda se firent plus rares , je me retrouvais ainsi dans ma petite vie bourgeoise au goût très marital. Je continuais bien sûr, même seule à la maison à choisir des vêtures qui sortaient de l’ordinaire. Il s’agissait surtout de guêpières et de sous vêtements affriolants. Je fus interrompue dans mes envies de vêtements hyper-sexy par la lecture ... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.17 / 5

« .../... J'ai une vie de famille tout à fait normale vu de l'extérieur, comme tous les travestis. J'ai des fantasmes, mais mes photos sont vraies. OK elles sont prises, non dans un garage, mais là où je travaille. Tous les vêtements sont à moi, je suis une fashion - victim. Dire que je peux me montrer à un homme, est un bonheur énorme. En plus j'ai des sentiments pour lui, qui sont partagés, que demander de plus ? Il nous faut vivre de projets, même les plus fous, histoire de survivre. Bien sûr que si j'étais seul, plus jeune, plus courageuse, je me ferai opérer, et pas qu'une fois. Tout serait refait, menton, seins, hanches, et bien sûr sexe. Mais tel n'est pas le cas, alors je me contente d'apparences, c'est à la fois super et dérisoire, passager, mais renouvelable. Bien... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.4 / 5

« .../... J’étais donc sans travail, car je ne voulais pas aller pleurer auprès de mon patron qui ne s’était pas excusé de son chantage suivi de la tentative d’harcèlement. Il m’en fallait plus pour me désespérer mais je commençais à tourner en rond à la maison, je m’occupais en faisant l’inventaire de ma garde robe ainsi que celle de Sylviane. Nous avions deux armoires pleines de robes, de jupes, de tailleurs et des tiroirs remplis de sous vêtements tout plus sexy les uns que les autres. Je n’avais que l’embarras du choix pour m’habiller, d’autant que Sylviane et moi avions des tailles voisines même si ma poitrine était désormais plus importante que la sienne. En effet dans certaines robes décolletées mes seins s’exprimaient avec avantage ce dont je pr... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.25 / 5

« .../... Je me retrouvais à la maison, après ma visite « d’embauche » au bar à hôtesses, un peu dépitée par la tournure qu’avait pris la rencontre, je ne me voyais pas devenir l’objet sexuel de la maquerelle. Je repris donc le cours de mes recherches d’emploi, pas encore trop anxieuse étant donné le confortable matelas financier que j’avais pu accumuler avec l’intelligence artificielle. Par ailleurs Sylviane gagnait bien sa vie dans la promotion immobilière ! Je pensais que j’aurais bien la chance de retomber sur mes pieds, bien que je n’ai pas demandé d’indemnités de licenciement à mon ex patron. Je préférais garder cette solution en réserve pour m’éviter le désagrément de comparution devant les prud’hommes. .../...... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Nous passâmes un long moment dans la voiture à nous embrasser et à nous caresser et il mit enfin sa main dans mon slip et découvrit que j’avais un sexe d’homme. Il me regarda avec étonnement et arrêta de me caresser. Il était embarrassé et ne savait vraiment pas ce qu’il devait faire tant son désir était intense, j’en avais mesuré plusieurs fois l’ampleur en le caressant et en lui suçant le sexe. Il sortit alors de la voiture se rajusta et partit sans un mot. Je me sentais toute bête car j’avais oublié qu’il me restait encore un attribut masculin malgré une apparence parfaitement féminine. Il devenait clair que je devais prévenir les éventuels soupirants que j’avais encore des vestiges du garçon que j’avais été afin d’éviter ce genre de dÃ... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... La nuit fut courte car Sylviane devait partir de bonne heure. Nous avions bavardé longtemps avant de nous endormir. Je me levais donc pour préparer le petit déjeuner sachant que je pourrais me recoucher avant l’arrivée de Benjamin. Je portais une nuisette en soie noire et j’étais ébouriffée mais je me plaisais beaucoup en me regardant dans la glace de la salle de bains pendant que ma femme se douchait. Je descendis donc dans la cuisine et commençais à préparer du café avec notre nouvelle machine à expresso, je fis cuire des Å“ufs au plat et je pressais des oranges. J’attendais que Sylviane descende, en feuilletant le journal du matin. Elle arriva dans la salle à manger fort élégamment habillée d’un tailleur Chanel rose avec des escarpins assortis, elle étai... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.2 / 5

« .../... Je pris tout mon temps pour aller en ville en conduisant très lentement , j’arrivais enfin prés de l’institut de beauté qui avait été le témoin de ma transformation. Depuis cette époque je lui étais restée fidèle à l’exception de quelques incursions dans d’autres salons lorsque j’étais en déplacement à l’étranger. J’y avais mes habitudes , en outre ma coiffeuse attitrée semblait avoir un fort penchant pour moi. Je garais ma voiture à quelques encablures et finissais le chemin à pied. J’étais un peu en avance, je fis du lèche vitrine à la recherche improbable d’un vêtement un peu hors du commun. Je vis une robe dans la vitrine d’un grand magasin qui eu l’heur de me plaire et je ne pus résister à l’envie de l’essayer. C’était une ... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.17 / 5

« .../... Je fus donc très surprise de voir Sylviane m’embrasser avec autant de chaleur devant un inconnu. Elle me présenta Gilles qui était me dit-elle un ami d’enfance rencontré l’après midi même lors d’une visite immobilière. Elle me servit un verre et me proposa d’aller au restaurant en me précisant qu’elle avait invité Gilles à coucher le soir même à la maison. Je proposais quelques amuse- bouche pour l’apéritif et nous reprîmes un verre de whisky, je ne comprenais pas bien ce que représentait Gilles pour Sylviane mais j’acceptais de sortir avec eux. Je demandais alors à Sylviane si ma tenue lui agréait, elle me préférait un peu plus bourge et je décidais de mettre un tailleur que je choisis parmi ceux achetés en Argentine. Il me sembla que mon taill... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.4 / 5

« .../... Nous rentrâmes à la maison accompagnées de Gilles, à mon grand désespoir car j’aurais bien voulu passer la fin de soirée seule en compagnie de Sylviane. Je continuais à douter de leurs relations d’enfance même si maintenant j’étais dans la voiture au côté de ma femme sur la banquette avant. Je m’assoupis même un instant avant que nous fûmes arrivés. Sylviane entra la voiture au garage puis nous en descendîmes tous les trois. J’étais franchement bougon quant à l’intrusion de Gilles dans notre vie. J’entrais dans le salon où les verres de l’apéritif étaient toujours sur la table basse, je les pris et les portais dans le lave vaisselle. Sylviane vint me rejoindre dans la cuisine pour me dire qu’elle allait préparer un lit pour Gilles, je la fusil... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.33 / 5

« .../... Le jour entrait dans notre chambre, un nouveau week- end commençait, nous avions dormi l’une contre l’autre, mais un de mes bras enlaçait le corps de Sylviane ,il était paralysé. Je n’avais plus de sensibilité dans le bras gauche , il fallut m’aider de la main droite pour le bouger. Je n’étais pas inquiète car je connaissais ce syndrome du bras mort encore appelé paralysie des amoureux. Après quelques minutes j’arrivais à remuer mon bras qui était maintenant envahi par des picotements. Après avoir embrassé Sylviane tendrement, j’allais dans la salle de bains démêler mes cheveux, je m’aperçus que leurs racines avaient noircis car ma teinte naturelle était plus foncée. Je me fis une queue de cheval je descendis pour préparer le petit déjeuner. Quan... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.2 / 5

« .../... L’hypothèque Julie n’était pas encore levée. Cependant je me réveillais de bonne humeur et après un bain moussant salvateur, je me retrouvais en combinaison de soie couleur abricot avec des bordures en dentelle marron clair. Je passais une culotte boxer haute et un soutien-gorge assortis, le tout de chez Christian Dior, avec des bas "Wolford" extra-fins 15 deniers. Après m’être parfumée et maquillée j'ouvris la penderie et me mis à choisir la tenue qui allait recouvrir ces dessous froufroutants .Je choisis un chemisier de soie panthère et une jupe noire portefeuille de mohair Armani puis une paire de fins escarpins en daim marron à talons de 5 cm qui se nouaient sur mes chevilles gainées de bas couleur vison. Je me regardais dans la glace et m'admirais.... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.4 / 5

« .../... Il me fallut bientôt quitter Evelyne car il me restait de la route à faire. Elle était en larmes quand je partis et je dus la consoler en lui disant que l’on se reverrait. Quand je montais en voiture elle sortit pour me faire un dernier au revoir et ses voisins furent surpris par l’apparition imprévue d’une vamp plus que sexy perchée sur des talons probablement inhabituels dans le village. Evelyne n’en eu cure et elle vint m’embrasser à travers la vitre ouverte. Je mis le moteur en route toute aussi observée qu’Evelyne, la fama publica s’en donnerait à cÅ“ur joie en commentant les étranges relations que pouvait avoir l’habitant de l’ex presbytère. Je traversais donc le bourg en sens inverse pour reprendre l’autoroute vers la Vendée. Il faisait enc... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.6 / 5

« .../... La partie de poker continua assez avant dans la nuit, les messieurs étaient tous en caleçon alors que la patronne de l’hôtel et moi avions encore nos bas et nos porte-jarretelles, ce qui on en conviendra était peu différent. J’eus envie de perdre pour avoir à retirer mon string et dévoiler mes attributs masculins, je commençais donc à être moins vigilante , je me lançais dans des paris insensés. L’atmosphère était chaleureuse , très bon enfant, je perdis le coup suivant et commençais à enlever un bas, très vite je perdis l’autre, je n’étais donc vêtue que de mon porte–jarretelles et de mon string dont les strass de la ceinture distillaient agréablement la lumière fascinant les hommes avec qui nous jouions. Je perdis bientôt le porte-jarretelles ... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Je pris ma voiture pour aller à l’usine, mais en fait cette dernière n’était qu’à une centaine de mètres de l’hôtel. J’arrivais donc bien à l’heure pour ma première réunion de travail. Je fus assez déçue par les lieux qui ne reflétaient pas la haute couture de luxe mais une usine provinciale au milieu des peupliers. Quand je me garais sur le parking, je fus surprise de ne pas voir des automobiles de grandes marques mais plutôt des petites cylindrées assez banales. Je descendis de mon véhicule et me dirigeais vers la réception de l’atelier de confection. Je fus accueillie par un homme d’une cinquantaine d’année qui se montra assez surpris de voir une belle femme se présenter comme étant un spécialiste de logiciels de gestion. Il me toisa et me... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Je me souvenais maintenant d’une discussion que j’avais eue avec une jeune travestie sur le chat quelques mois au préalable. Alexia,tel était son prénom d’emprunt habitait un studio au dessus de la demeure de sa mère dans le Lot et s’habillait régulièrement en fille quand elle était seule. Elle n’osait pas parler de son travestissement à sa mère de peur de la choquer, cependant je lui avais conseillé de se faire aider par elle pour son maquillage et son habillement en prétextant une soit disant soirée déguisée pour laquelle elle avait été invitée par des amis et amies , pour laquelle elle envisageait de s’y rendre habillée en femme. La réponse me vint alors sous la forme suivante : .../...... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.2 / 5

« .../... Je me démaquillais bien décidée ce soir là à dormir. Pendant ce temps Alexia et Gisèle continuaient à se caresser installées sur le bord de mon lit, je devenais la spectatrice de leurs ébats amoureux tout en baillant. Je ne savais que faire aussi je me glissais dans les draps en espérant qu’elles quittent enfin ma chambre pour retrouver un peu de calme. Je ne savais pas si Gisèle avait compris qu’Alexia était comme moi une transsexuelle et que cette découverte la ravirait ou si elle avait des penchants saphiques s’attaquant à toutes les femmes seules qui fréquentaient son hôtel. .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Après le passage à la mairie, il n’y eut qu’une bénédiction nuptiale assez rapidement expédiée par un curé pressé de se rendre au vin d’honneur. Une courte distance séparant les deux édifices, je n’avais pas eu beaucoup de temps pour entreprendre la conversation avec mon cavalier si ce n’est pour connaître son prénom, il s’appelait Lionel. La sortie de l’église sacrifia aux coutumes , nous furent aspergés de grains de riz jetés par les gens du cru. Lionel restait de marbre malgré le riz qui se répandait sur sa chevelure, ma robe noire était désormais constellée de petites perles blanches brillantes. .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 3.83 / 5

« .../... Les gendarmes s’approchèrent du Maire , ils commencèrent les constatations. J’étais l’objet du délit, quelques vieilles femmes jasaient en se demandant ce que pouvait faire là, celle qui avait mis un aussi bon garçon que Lionel dans tous ses états. Car déjà la rumeur avait circulé parmi les convives qu’il s’agissait d’un combat de coqs à propos d’une « poule de luxe ». Il fallait trouver un bouc émissaire pour expliquer ce subit embrasement dans un village aussi paisible. Une ambulance avait été commanditée, elle arriva à grands fracas de sirènes. Lionel n’avait pas bougé, les gendarmes étaient occupés par l’état de santé du Maire et ne s’étaient pas rapprochés de Lionel. .../...... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.17 / 5

« .../... Mes pensées furent rapidement interrompues par l’intrusion de Gisèle qui venait me dire au revoir, elle était accompagnée par Alexia qui ne travaillait pas en ce samedi . J’étais au comble de l’émotion, décidemment la France profonde avait des ressources insoupçonnées en termes d’affection. Il fallait pourtant que je les quitte, Sylviane m’attendait à la maison espérant que j’arrive en fin d’après midi. Je promis donc à mes amies que je les reverrai, ce qui était hautement probable bien que ma mission à l’usine semble terminée. Il me faudrait revenir pour évaluer la justesse de ma planification. .../...... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... J’arrivais enfin prés de la maison qui était éclairée a giorno, j’entrais ma voiture dans le garage , sans prendre le temps de décharger mes bagages, je me retrouvais dans le salon. Sylviane était de dos, elle était vêtue d’une robe noire fendue sur la cuisse droite qui mettait en valeur une belle jambe fuselée. Elle ne m’avait pas entendu entrer dans la pièce, mais en se retournant elle ne manifesta aucune surprise. Comme je l’avais anticipé, elle avait changé de coiffure. Ses cheveux étaient plus courts avec une jolie teinte auburn. La table de la salle à manger avait été dressée avec soin, deux chandeliers, avec des assiettes en porcelaine de Limoges de chez Bernardeau, ainsi que des couverts en argent massif. Une table de fête, celle de mon retour. ... »
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Avis de 7 lecteurs - note moyenne : 4.57 / 5

« .../... Je fis donc ma conférence devant des représentants du parlement européen le lendemain matin, ce qui se passa très bien, les questions qui me furent posées étaient d’ordre politique plus que technique. Je décidais de rester sur place pour pouvoir rendre visite à Claire quand elle se réveillerait après l’opération chirurgicale. Je passais donc l’après midi à me promener, mon shopping me conduit jusqu’à un magasin de lingerie où j’achetais une superbe nuisette de soie rose puis un peu plus loin des mules assorties, que je choisis comme cadeau pour Claire. Je téléphonais en fin de journée, Claire très lucide me dit qu’elle se sentait bien et que tout semblait avoir été réussi. Elle était encore fatiguée et ne souhaitait pas ma visite le jour même. J... »
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Avis de 6 lecteurs - note moyenne : 4.33 / 5

« .../... Depuis des jours, je continuais à soutenir le moral de Sylviane qui restait relativement bas depuis notre soirée. De temps à autre j’essayais de la distraire en l’emmenant au cinéma mais elle restait morose, elle avait perdu de son allant. Je ne savais plus quoi faire pour lui redonner son rire qui était habituellement si communicatif. Elle travaillait toujours dans son agence immobilière mais sans joie. J’avais beau essayer de la faire rire rien n’y faisait. Je commençais à m’inquiéter devant cette apathie qui ne cessait. Nous continuions à nous habiller l’une et l’autre de manière à séduire mais la période des soldes n’avait pas été comme par le passé une source de renouvellement. .../...... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.75 / 5

« .../... Nous passâmes notre première nuit dans l’hôtel particulier que Sylviane avait acheté dans le Marais. Ce n’était pas le moulin prévu de nos rêves, mais nous étions dans le cÅ“ur historique de Paris. En fait, Sylviane voulait depuis longtemps quitter la petite ville de province où nous étions, pour se rapprocher des lumières de la capitale. Elle avait gagné beaucoup d’argent ces dernières années grâce à ses transactions immobilières mais je ne pensais pas que ce soit suffisant au point d’acheter une telle maison. .../...... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4.25 / 5

« .../... Il me fallait retourner dans notre ancienne maison car j’y avais tout mon matériel de travail.Il y avait aussi notre garde robe, nous n’avions en effet que quelques vêtements ici à Paris, je savais que je ne pourrais pas m’en contenter très longtemps. La robe achetée rue Montaigne ne pouvait pas être ma vêture quotidienne. Nous partîmes donc le lendemain matin, Sylviane et moi pour notre ancien domicile. .../...... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.8 / 5

« .../... Nous savourions la vie entre nos deux demeures, nous étions à Paris pour passer des soirées mais je retournais travailler dans ce que considérais toujours comme mon chez moi mais surtout mon lieu de travail. Je n’avais pas eu l’occasion de joindre Claire, mais je continuais à penser à elle. J’attendais en fait que Sylviane soit absente pendant quelques jours pour pouvoir reprendre contact avec la « femme nouvelle ». Mon programme de formation à l’intelligence artificielle avançait, je continuais aussi à réessayer l’ensemble des vêtements de ma garde robe, véritable bonheur toujours recommencé. Le printemps arrivait, je fis un peu de shopping mais rien de la nouvelle mode ne m’emballait. J’avais vu des robes mais elles me semblaient adaptées à des fem... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Les cerisiers du jardin étaient maintenant en fleur, cela me rappelait le Japon où au mois d’avril les habitants viennent à Kyoto pour célébrer le printemps. J’avais un peu de spleen malgré une vie fort agréable, itinéraire d’un enfant gâté probablement. Je rêvais confusément de changement, peut être aussi de voyage. J’étais allée au Japon plusieurs fois, pays fascinant, dont la moiteur l’été rend toute activité pénible. Le tourisme est hors de portée d’un porte monnaie européen, aucune agence de voyage ne propose d’ailleurs cette destination. J’avais été confrontée avec les love hôtels dont les chambres sont d’énormes tubes qui ne permettent pas de se tenir debout, il s’agit en fait de refuges familiaux permettant aux habitants de lâ... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.4 / 5

« .../... Je rentrais donc chez moi après avoir passé la soirée avec Lydie qui tout compte fait m’avait beaucoup plue. Il était presque une heure du matin quand j’entrais la voiture au garage. Il y avait de la lumière à la maison ce qui me conduit à penser que Sylviane était rentrée. Elle m’attendait en effet dans le salon, l’œil sombre. Elle semblait fatiguée, elle ne me posa aucune question mais je sentais que l’orage allait exploser. Elle avait ouvert une bouteille de vin blanc et regardait la télévision distraitement. Elle revenait d’un voyage professionnel, je compris rapidement qu’elle était déçue en arrivant de trouver la maison vide. .../...... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 3.67 / 5

« .../... Elle vint vers moi pour m’embrasser tendrement en me demandant d’un air coquin comment j’avais trouvé le voyage de la veille. Je lui dis que je ne pourrais jamais oublier ce transport amoureux au sens littéral du mot. Nous nous servirent, puis vinrent consommer les différents petits plats en nous asseyant dans le salon attenant. Le décor qui m’avait tant plu la première fois restait pour moi le nec plus ultra du luxe et du bon goût. Même si j’aimais travailler dans notre ex demeure, je convenais qu’ici nous étions dans un cadre de rêve. Sylviane me raconta alors sa semaine passée à la montagne, pour évaluer le chalet d’un de ses clients. Non seulement il était évalué mais elle l’avait vendu grâce à l’entregent d’une de nos connaissances angla... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 3.67 / 5

« .../... Chères lectrices, je m’adresse directement à vous, C’est comme vous le constatez mon 69 ème chapitre. Il fallait donc une histoire qui illustre ce chiffre mythique. Je ne suis pas Frédéric Dard créateur du célèbre San Antonio et de son complice Alexandre Berrurier. Ils ont disparus repris par le fils de l’auteur, je ne peut donc plagier. Berthe Berrurier n’est plus amoureuse de son coiffeur, mon voyage de noces n’a pas été près de l’usine à gaz d’Issy les Moulineaux. J’habite un hôtel particulier du Marais, il me faut donc bien me tenir. .../...... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Bien installée dans mon fauteuil de bureau, devant mon ordinateur, je consultais les profils : tv, trans du site Escualita. C’est pour moi un divertissement sans fin, il y a tellement de photos dont certaines montrant des visages trop parfaits doivent avoir été retouchées. Certaines reviennent en boucle, les annonces du jour ayant été souvent été montrées au préalable. On retrouve aussi des figures du milieu trans, c’est le cas de deux ou trois superbes nanas que j’ai eu l’occasion de rencontrer, notamment un dimanche soir aux folies Pigalle à une soirée Escualita, au tout début de ma vie de travestie. Elles semblent là pour faire nombre, car je pense qu’elles le sont à leur corps défendant, ne répondant jamais aux annonces. Malgré ces petites entorses... »
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Avis de 2 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Je m’informais aussi sur le Mexique, particulièrement le Yucatan, riche en sites Mayas, les haciendas étaient tentantes, le voyage assez simple au départ de Paris car il existait des vols directs Paris/ Cancun. Le temps de vol était à peine moins long que pour Maurice mais il s’agissait d’un voyage culturel aux sources de l’humanité, les photos des haciendas montraient des domaines aménagés pour recevoir de riches américains, vivant encore récemment de la culture et de l’exploitation du sisal maintenant cultivé et travaillé au Brésil. Que de choix en fait quand on a du temps et de l’argent ! Toujours dans ma quête du Graal touristique, je trouvais quelques renseignements sur la Tanzanie, Cuba, les îles Canaries, le Costa Rica. Il serait fastidieux d... »
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Avis de 2 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Nous n’avions pas beaucoup de temps pour préparer notre voyage en Egypte, l’important pour Sylviane étant d’ailleurs la constitution de son dossier immobilier plus que de s’occuper de ses vêtements. J’étais toujours inquiète quant à l’obtention de mon visa malgré les dénégations de ma femme qui avait fait jouer ses relations. Par ailleurs nous venions d’apprendre qu’un nouvel attentat avait tué plusieurs touristes dans la haute vallée du Nil. Un de nos amis pour me rassurer m’expliqua qu’il y avait des crocodiles dans le Nil et qu’on pouvait les retrouver quand ils étaient encore petits dans la cuvette des toilettes, méfie toi me dit il, ils peuvent te manger les couilles ! J’avoue que la blague dans un tout autre contexte m’aurait faite rire,... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 4.2 / 5

« .../... J’appelais alors Sylviane, elle ne paru pas surprise de mon revirement, elle me dit de prendre un taxi en arrivant à Louxor pour la rejoindre à son hôtel. Je devais prendre l’avion le lendemain vers 15h, j’avais le temps de refaire mes valises, et de réfléchir à ce qui était le plus adapté pour le Sud de l’Egypte où la température était encore étouffante d’après la météo.Je sortais donc sur notre lit ce que j'avais de plus léger,un caraco de soie vert bouteille, une jupe blanche en lin, une robe à bretelles très décolletée, un panta-short, des petis hauts en coton susceptibles d'absorber la sueur, et bon nombre de chaussures trés ouvertes. Les sous vêtements se composaient essentiellement de strings, ma poitrine était suffisamment ferme pour m'évi... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Restait à aménager la suite, je ne me voyais pas encombrée par Charlotte pour les jours qui allaient venir, malgré toutes les gâteries qu’elle m’avait faites avant de s’endormir. J’avais connu bien des cyclones sexuels dignes de Katerina à la Nouvelle-Orléans mais c’était plus du stakhanovisme que du plaisir sexuel, nymphomane dirons certains. Je présentais que le petit déjeuner serait pénible, d’autant que je n’avais aucune urgence pour partir subitement. Je n’ose jamais dans ces cas la, mentir quant à la santé voire le décès d’un proche pour me tirer d’un mauvais pas. Je savais donc qu’il me fallait garder patience pendant quelques heures avant que mon imagination ne me permette de me sortir des douces griffes de Charlotte. Il n’est pas de ... »
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Avis de 5 lecteurs - note moyenne : 3.8 / 5

« .../... La maison de Cécile était de très bon goût, elle reflétait bien sa personnalité. Une fois les premières minutes passées, accrochées à notre verre, Cécile me raconta ce qu’elle aimait faire, elle ne put résister très longtemps à me faire découvrir sa garde robe qui était tout à fait conséquente. Elle achetait ses vêtements au Super U du coin, ce qui ne l’empêchait pas d’être élégante. Moi la parisienne sucrée, j’étais surprise de voir que même dans les endroits « les plus reculés » on ne manquait pas d’élégance. J’eus droit ainsi à un défilé de mannequin dont le seul protagoniste était Cécile. Je la retrouvais comme sur toutes les photos qu’elle m’avait envoyées. Ensuite nous eûmes un dîner aux chandelles, elle avait préparé ... »
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Avis de 4 lecteurs - note moyenne : 3.75 / 5

« .../... Je m’étais habillée avec une jupe assez courte et un débardeur soyeux tant la température était clémente. J’avais le temps de passer dans le centre de Paris, j’en profitais pour faire un peu de shopping, il y avait un tas de nouveautés ce qui me donna le plaisir d’essayer quelques robes d’hiver. La tendance était au beige et au marron, couleurs assez rares dans mon actuelle garde-robe. Je dégotais un tailleur après moult essayages que j’achetais au grand soulagement de la vendeuse qui commençait manifestement à perdre patience après ma longue hésitation. Il n’y avait même pas à faire de retouche tant la taille était parfaite. Je sortis du magasin pour trouver des chaussures assorties, les boutiques de chaussures fleurissaient dans le quartier, je n’... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Il s’est passé des mois sans que j’éprouve le besoin de raconter ma vie. Je travaille toujours dans l’intelligence artificielle, mon patron essaie de m’exploiter mais je résiste tant bien que mal, d’autant que notre situation financière est excellente. Les projets d’un complexe golfique en Egypte sont sur les rails, Sylviane est maintenant une abonnée de la ligne Paris- Le Caire. .../...... »
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Avis de 1 lecteurs - note moyenne : 2 / 5

« .../... La nuit était encore très légèrement tiède en cette fin d’automne où les érables des jardins de Kyoto arboraient tous peu à peu leurs vives couleurs rouges. Une fine brume apportée par les vents depuis le lac Biwa humectait doucement le sol et enrobait d’un halo de gouttelettes les rares passants qui se hasardaient dans les rues de la ville à cette heure où il convenait de dormir. Masao Yuki revenait, un peu ivre, d’une longue soirée entre collègues, comme il le faisait à chaque veille de week-end. Il s’était distingué en chantant avec brio de nombreuses chansons dans le bar karaoké où ses collègues et lui avaient l’habitude de fêter la fin de semaine. Entre deux verres d’alcool, il avait doucement fait vibrer sa voix mais aussi quelques demoiselles ... »
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Avis de 1 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Kurara ouvrit les yeux. Le soleil était déjà haut dans le ciel et illuminait la chambre quelque peu en désordre. Se frottant les yeux du bout des doigts, Kurara se remémora la mémorable nuit dernière. Hier, pour la première fois de son existence, Kurara avait été une jeune fille. Pour la première fois, elle avait vraiment existé. Hier, Kurara avait enfin pu apprécier la vie, elle qui, depuis tant d’années, avait vécu dans l’ombre, endormie au fond d’une âme que la peur tenaillait... .../....../... Certes, elle avait eu énormément de plaisir à circuler dans les rues de Kyoto dès le coucher du soleil, malgré le brouillard qui l’avait fait frissonner à plusieurs reprises dans sa petite robe en dentelle. Certes, elle s’était fort amusée dans la discot... »
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« .../... Voilà ce que Masao aurait dû dire à la place des médiocres banalités dont il avait gratifié son interlocutrice. Il était maintenant impossible de revenir sur ce qui avait été dit. Le mal était fait. Et le mal était immense, car Masao sentait que son cÅ“ur ne lui appartenait plus. Il l’avait donné à celle devant qui il s’était ridiculisé. La douleur était double. Il aimait, il sentait que son âme n’attendait aucune autre chose que de revoir la jeune fille. Il aimait, mais aucun espoir ne paraissait pouvoir exister, la jeune femme n’ayant pu avoir le même élan pour un jeune homme qui ne semblait capable que de parler de la température de la nuit. Et puis, où retrouver celle pour qui il aurait donné son existence, celle pour qui il aurait volé la nuit ou... »
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« .../... Peut-on imaginer deux âmes se cherchant éternellement dans l’immensité, deux âmes qui, au travers des siècles, n’ont jamais pu s’enlacer ? Il fut récif quand elle était fleur de prairie. Il fut singe quand elle était libellule. Il fut soleil quand elle était lune. Il était Masao et elle... un jeune homme au nom de Kimiko. .../....../... L’institutrice écrivait en grand, dans le haut du rectangle, à l’aide d’un bâton de craie d’une blancheur presque aveuglante : « Comment retrouver Kurara ? ». La maîtresse, les yeux écarquillés, se plaça, presque immobile, face à ses élèves, telle une statue d’émeraude. Seules ses lèvres bougèrent pendant quelques secondes, à peine le temps de prononcer une seule phrase : .../...... »
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« .../... Le soleil venait à peine de se hisser dans le ciel de Kyoto lorsque Masao sortit de chez lui. Il était temps de retrouver son bureau en ce lundi de novembre. Le travail, tel était le seul plaisir de Masao. C’est ce que le jeune homme se répétait. Il n’arrivait toujours pas à accepter le fait qu’il n’avait que très peu de chance de revoir un jour Kurara, la fille que la brume lui avait présentée puis ravie. Il ne pouvait se résigner à vivre sa vie sans elle, bien que rien ne laissât entrevoir une possibilité réelle pour Masao de rencontrer à nouveau la douce Kurara. .../...... »
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« .../... Cette nuit, Kimiko n’avait que très peu dormi. Il n’avait cessé de se tourner en tout sens en pensant à Masao Yuki. Maintenant, il savait où travaillait le jeune homme, mais se retrouver face à lui en tant que Kurara était toujours autant impossible. Comment lui expliquer que le jeune homme en face de lui était la personne que Masao connaissait sous le nom de Kurara ? Comment parvenir à donner une explication sensée concernant le fait que Kimiko connaissait le lieu de travail de Masao ? A moins d’un quelconque dérèglement de l’esprit, personne de raisonnable n’agissait comme Kimiko l’avait fait. .../...... »
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Avis de 1 lecteurs - note moyenne : 2 / 5

« .../... - Eh oui... Et j’ai une demande un peu particulière à vous faire. .../....../... Masao se surprit à parcourir la partie de couloir le séparant de son bureau quasiment au pas de course. Ses collègues devaient se demander s’il avait toute sa raison. Peu importe : il ne se sentait pas en état, pour le moment, de se retrouver en face du nouveau traducteur... et d’ânonner des phrases aussi banales que celles qu’il avait débitées à sa sÅ“ur lors d’une nuit qu’il n’oublierait plus jamais. Il enfonça littéralement la porte du 12/36 et la claqua derrière lui comme un forcené. En fait, c’est uniquement à son propre égard qu’il était furieux. Furieux de ne pouvoir exploiter à son avantage une situation que d’aucuns auraient jugée « des plus prometteuse... »
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« .../... Pendant ce temps Kimiko se préparait mentalement à devenir sa propre jumelle et profita du fait qu’il avait fini de bonne heure pour aller voir son chef qui le félicita de sa célérité et de la qualité de son travail qui avait déjà été apprécié par des clients de Shobu. Il pensa prendre un taxi pour rentrer chez lui mais se ravisa, il avait en effet très envie de s’acheter une nouvelle robe. Alors que jusqu’ici il avait toujours commandé ses vêtements féminins sur Internet, il franchit le pas d’un grand magasin et trouva en solde une jupe noire asymétrique très mode qui se terminait dans le bas par de la dentelle rose, il acheta aussi un haut assorti ainsi que des bas résille à jarretières. Il avait encore quelques heures pour se transformer afin d’af... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 4 / 5

« .../... Masao pensa alors qu’il pourrait inviter Kimiko à la pause déjeuner pour favoriser son insertion dans l’entreprise, il ferait ainsi d’une pierre deux coups, il aurait ainsi bonne conscience. Mais bien entendu sa stratégie était de rencontrer sa sÅ“ur jumelle. A midi trente il vint frapper à la porte de Kimiko qui était submergé par les documents à traduire. Ce n’était peut être pas une bonne idée que de le distraire de son travail alors qu’il débutait dans la firme. Il lui proposa donc après un salut de le conduire au restaurant si celui-ci avait le temps. Ce fut pour Kimiko un rayon de soleil dans ce Kyoto aujourd’hui au ciel plombé. Il se leva et suivit Masao. Il pouvait ainsi humer son eau de toilette qui lui avait tant plu cette fameuse nuit. Ils se r... »
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Avis de 3 lecteurs - note moyenne : 3.33 / 5

« .../... L’intelligence artificielle avait servi aux traders pour spéculer sur les subprimes, dorénavant ce n’était ma clientèle préférée. Nous n’avions pas plus que les autres vu venir la crise ! Elle été belle et bien là, nous allions être touchées comme les autres. Je ne m’étais jamais souciée de nos investissements et de nos comptes en banque. Sylviane en était la gestionnaire, nous vivions dans le luxe dans notre hôtel particulier du marais ! L’avenue Montaigne n’avait pas de secrets pour moi, j’avais un compte ouvert chez les plus grands couturiers où je pouvais actualiser ma garde-robe. .../...... »
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