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« », une petite histoire imaginée par jeanne

1 Soubrette pour une semaine (4) jeanne 09-02-2008, 1:32 Quatrième jour (vendredi)

J'étais depuis plus de deux heures dans la laverie sans avoir pu commencer le repassage. Je venais juste de finir le lavage à la main des linges fragiles de Madame, et qui devaient être repassés avec précaution. Heureusement, je connais la qualité de ces tissus et je lis toujours les instructions sur les étiquettes.

Au début, Madame Mathilde me surveillait de près, mais après une heure, elle comprit que je savais ce que je faisais, me laissa donc continuer seule puisque elle devait sortir et ne serait pas là pour le déjeuner. Fermement et avec calme, elle me donna ses instructions, qui étaient en fait plutôt des ordres à mon égard.

"Annie, vous continuerez le lavage et le repassage jusque vers l'heure de midi. D'ici une heure, vous vous interromprez pour porter le café à Monsieur, et s'il vous plait, n'oubliez pas de changer de tablier! Après un rapide déjeuner, vous nettoierez les salles de bains. Monsieur me rejoignant plus tard pour le déjeuner, vous commencerez ce travail quand la maison sera vide, mis à part notre chien bien sûr. Et n'oubliez pas de faire votre lit et de nettoyer votre chambre."

Elle quittait la pièce pendant que je lui faisais la révérence avec un 'oui Madame', mais elle ajouta brusquement, "Ah, j'oubliais de vous dire que j'allais faire de grosses courses au supermarché qui nous seraient livrées avant que je rentre, donc quand le garçon livreur sonnera à la porte, vous irez l'aider à décharger les paquets."

Je panique immédiatement et commence à dire, "Mais Madame, je ne pense pas que..."

Elle m'interrompt d'un regard sombre. "Maintenant, cela suffit Annie, les livreurs sont habitués à voir des servantes dans cette maison, ils ne feront donc pas particulièrement attention à vous. Comportez vous normalement et parlez aussi bas que possible, ayez aussi un look aussi féminin que possible."

En sortant de la pièce et à distance, elle dit, "Et après avoir fini vos travaux, prenez un peu de repos avant que je rentre, car vous allez être très occupée. Je vous rappelle que vous allez faire la cuisine et nous servir le dîner." Elle finissait sa phrase alors qu'elle était déjà dehors.

Deux heures plus tard, alors que j'étais en train de nettoyer la salle de bains en haut de l'escalier, la sonnette retentit. Je pensais bien qu'il s'agissait du livreur, et je ne me sentais pas très bien. Je vérifie rapidement ma tenue dans le miroir, ajuste ma robe et mon tablier, et je descend rapidement l'escalier pour ouvrir la porte, suivie par le chien.


Hésitante, j'ouvre la porte et je voie le camion du supermarché ainsi qu'un jeune homme en train de décharger des cartons. A coté de lui se trouve une élégante jeune femme habillée d'un tailleur et portant un badge sur sa poitrine, sur lequel j'ai pu lire le nom de l'enseigne ainsi que son prénom. J'étais décomposée car je n'attendais que le garçon livreur.

Alors que je m'apprêtais à prendre en charge les paquets, la jeune femme m'adressa la parole d'une voix douce, "Bonjour, nous vous apportons les colis commandés par votre maîtresse." Elle s'arrêta un moment en me détaillant de la tête aux pieds, et elle ajouta, "Vous devez être la nouvelle bonne, car je me rappelle seulement d'une vielle personne travaillant ici."

Je rougis comme une petite écolière, tentant une réponse, "Oui Madame, je remplace la servante de la maison pour quelques jours, car elle a du être hospitalisée pour une petit opération. Et vous voudrez bien excuser ma voix, je suis un peu enrouée en ce moment."

A ce moment, elle se tourna vers le livreur et lui dit, "Vous pouvez repartir, je reviendrais plus tard par mes propres moyens, merci."

Une fois le camion repartit, elle se tourna vers moi, pendant que je m'occupais des paquets et me dit sur un drôle d'air, "Et bien Annie, les choses ne se passent pas toujours comme on l'espérerait. N'est-ce pas?"

J'ai failli faire tomber mes sacs! Je la regarde en rougissant de plus belle. "Comment pouvez-vous savoir mon prénom?" m'exclamais-je d'une petite voix aussi féminine que possible.

"Je sais tout de vous Annie, et reprenez votre voix normale. Je sais que vous êtes une soubrette homme, parce que je suis très amie avec votre employeur."

Elle me regarda visiblement amusée de mon inconfort, "Allez ranger ces paquets dans la maison et je vous suis, je pense que vous voudrais bien m'offrir un café. Ne vous tracassez pas pour le chien, il me connaît bien, regardez comme il remue la queue.

Je me sentais comme comprimée, mais aussi particulièrement excitée. Elle était la première personne qui ne me connaissait pas en temps qu'homme, qui me rencontrait comme la servante Annie et me traitait comme telle! Quelle liberté, je pouvais agir comme toutes soubrette et être fière de l'être! Je baissais donc les yeux, triturais le bord de mon tablier, et dit avec une petite révérence, "Si vous voulez bien Madame, je serais heureuse de vous préparer un café. Donnez moi une minute pour ranger ces paquets et je vous ouvre la porte principale."

Je repensais aux événements de cette dernière heure et je ne pouvais croire encore que cela m'était arrivé. Cette jeune femme était restée près d'une heure, mais elle ne voulait pas que j'arrête mon travail pour elle, au contraire elle insistait pour que je continue mes travaux comme si elle n'était pas là. Je lui offris donc une tasse de café, et continuais à nettoyer mes cinq salle de bains de la maison.

Elle me tournait autour, me posant parfois des questions. Elle semblait particulièrement fascinée par l'idée du mâle soubrette. Ses questions étaient du genre 'depuis quand travailler vous comme bonne?' ou 'Aimez vous vraiment ce type de travail?'. Elle posa cette dernière question pendant que j'étais à quatre pattes pour laver le sol de la plus grande salle de bains. Je répondais le mieux possible sans révéler quoi que ce soit de mes activités en tant qu'homme. Cela m'intriguait beaucoup qu'elle s'intéresse tant à mon coté masculin!

Alors qu'elle était sur le départ et que je l'accompagner jusqu'à la porte, elle me dit, "Bien, au revoir Jenny, et à demain pour le dîner. Mathilde m'a dit que vous alliez faire le service." Elle ajouta, "Et vous allez pouvoir rencontrer ma compagne, qui est très impatiente de vous connaître.

Donc, elles étaient le couple de lesbiennes que m'avait précisé Mathilde, et qui étaient invitées demain soir. Quelle aventure!

De la cuisine, la voix de Madame Mathilde interrompit mes pensées, "Annie, je suis revenue, et je meurs d'envie pour une tasse de thé, pouvez vous venir faire chauffer l'eau?"

Je sautais de mon lit. J'avais gardé ma robe de ce matin, j'ajustais mon tablier, resserrais la ceinture, et accourais dans la cuisine.

Madame Mathilde m'inspecta rapidement, approuvant ma tenue. Je mourrais d'envie de lui rapporter la visite que j'avais reçue, mais elle ne m'en laissa pas le temps, "Prenez une tasse de café Annie et discutons du repas de ce soir. Vous nous servirez quelque chose de léger. Vous ferez aussi la cuisine, en fait nous allons essayer quelque chose de nouveau, aussi surprenez-nous."

Pendant que je préparais le thé, j'ai pu lui parler de la visite que j'ai eu après la livraison. Bien sûr, elle était au courant, j'aurais du m'en douter, mais elle était très amusée de m'entendre décrire en détail l'intérêt de la visiteuse à propos de mon travail dans la maison. "Je peux vous assurer Annie que si vous habitiez la région, mes deux amies aimeraient beaucoup vous prendre comme servante un ou deux jours par semaine, et qu'elles vous paierais pour cela. Pensez y, en habitant ici, vous seriez très appréciée par mes amis. Malgré tout, vos gages de domestique seraient très éloignés de votre salaire de manager."

A huit heures, le dîner était prêt! Je m'étais bien habillée, portant ma tenue personnelle de soubrette noire et blanche, un petit tablier blanc, ma coiffe, et une paire d'escarpins à petits talons. Madame Mathilde m'aida pour le maquillage et la perruque, et me complimenta pour mon look. J'étais ravie.



Bien sûr, j'ai du mettre la table sous la supervision de Madame Mathilde. Nappe blanche, argenterie, verres en cristal, la totale! Deux chandeliers avec des bougies blanches au milieu de la table complétaient le tableau.

J'étais très nerveuse quand à huit heures et demie, Monsieur et Madame prirent place à table. Ils étaient tous les deux très élégants dans leurs vêtements d'été. Monsieur me dit, "Vous êtes très bien Jenny, ne vous inquiétez pas, vous êtes très convaincante!" Je me suis sentie tout de suite plus calme par l'attitude de Monsieur. Son style était comparable à celui de sa femme. Ils agissaient comme si c'était la chose la plus naturelle au monde, pendant que je démarrais le service.

Ils apprécièrent leur dîner et me félicitèrent pour ma cuisine, surtout que la préparation était inhabituelle. Bien sûr, Madame Mathilde me faisait des petites remarques tout le temps, me corrigeant à l'occasion en me rappelant par exemple qu'il faut toujours approcher la personne à servir par sa droite. Pendant qu'il dînaient, je me tenais debout dans le coin de la pièce, mes mains croisées sur mon tablier, essayant d'anticiper leurs besoins. C'était saisissant de faire cela, et je l'avais vu tellement de fois dans des films. J'étais devenue cette servante!

Il était près de dix heures quand ils quittèrent la table pour aller dans leurs chaises longues. Madame Mathilde me dit, "Très bien Jenny, allez manger un peu, ensuite faites la vaiselle, nettoyez la cuisine et allez vous coucher. Je suis sûre que vous devez être fatiguée. Merci pour cet adorable repas, et bonne nuit.

"Merci Madame pour m'avoir aidée ce soir, c'était une grande expérience pour moi. Je me sens prête pour le dîner de demain soir, ayant de plus déjà rencontrer une de vos convives. Bonne nuit Madame."


Responsable du site : Lucie Sobek


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