barcarena9@gmail.com
inforbart@gmail.com
malucao2017@outlook.com.br
isacczim@ig.com.br



Je me connecte  Hop !
J'ai perdu le mot de passe  Hop !
S'inscrire comme membre du site  Hop !

HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !
Sidonie

Sidonie

(publié: 08-01-2005, 11:03 )

Aussi loin que je me rappelle, j'avais 7 ou 8 ans et je jouais les après-midi avec deux petites filles en vacances près de la maison de mes parents. Elles passaient une bonne partie de l'été dans une maison voisine qui possédait un parc immense. La dame qui les gardait, me faisait un peu peur, au contraire son mari était un homme charmant Nous jouions souvent, notamment quand le temps était maussade, dans l'orangerie de cette demeure. Zaza tel était le nom de cette dame qui avait donné aux fillettes pour se déguiser quelques vieux vêtements et sous vêtements .Il y avait parmi ceux-ci une combinaison en soie ou en rayonne rose telle que les portaient les femmes à cette époque. C'était l'attribut favori des enfants mais peut être plus encore de moi. J'aimais donc enfiler cette combinaison et sentir sur mon corps impubère la douceur de l'étoffe. Nous avions des jeux innocents mais je ressentais quelque chose de trouble quand je m'habillais avec les vêtements de Zaza. Bien sûr ce que je préférais c'était la combinaison rose et le chapeau à voilette.

Les années passèrent et je me trouvais un jour seul chez mes parents, et j'entrouvrais la porte de l'armoire de leur chambre à coucher, il y avait les soutiens gorge, les bas, les gaines à jarretelles. Je découvris surtout une robe noire, plissée, très élégante. C'était une robe que ma mère avait achetée à Paris pour se rendre au mariage d'un de mes cousins germains. Quand elle l'avait achetée, elle en avait fait grand état, car pour une fois, il s'agissait d'un vêtement de grand faiseur. C'était une robe en soie noire, plissée dans la partie jupe et qui avait presque la forme d'un fourreau. Les boutons du corsage étaient en nacre. Je ne savais pas très bien par quel bout commencer ! J'avisais d'abord le soutien gorge avec une fermeture élastique à boutons, je l'enfilais tant bien que mal mais évidemment, la poitrine souhaitée n'était pas au rendez-vous. Je pris donc des bas qui fire nt office de rembourrage. J'avais 12 ans et j'étais bien sûr imberbe et le soutien gorge m'avait déjà un peu féminisé. Je continuais avec une petite culotte que je n'avais jamais vue sur le sèche-linge familial. Enfin la gaine qui me moulait parfaitement. Les jarretelles pendaient orphelines des bas que je fixais avec maladresse, je me contemplais alors dans le miroir de l'armoire et j'eus ma première érection ce qui fut une surprise absolue.

Je n'étais cependant pas complètement satisfait de mon apparence. Je passais alors dans le cabinet de toilette attenant à la chambre. J'avisais tout un tas de pots et de tubes que je n'avais jamais remarqués au préalable car je venais rarement dans cet endroit. J'étais perplexe devant la multitude du choix. Ce qui m'attirait, c'était le bâton de rouge à lèvres carmin et je ne pus résister à en mettre un peu sur mes lèvres, il avait un goût particulier qui renforça mon érection. Je revins vers l'armoire et j'enfilais la fameuse robe, mon corps frissonna et je ressentis une volupté comme je ne pouvais le soupçonner. Je me mis à trembler et ma main se porta vers mon sexe comprimé dans la petite culotte en soie blanche qui commençait à être légèrement mouillée alors que je n'avais pas envie de faire pipi. Je dégageais comme je pus mon sexe de la culotte et de la guêpière et se fut une explosion d'un liquide blanchâtre et visqueux qui se répandit par terre, heureusement d'ailleurs sur un tapi de laine claire qui se trouvait devant la glace.

J'étais dans tous mes émois quand mon père m'appela du rez-de-chaussée, alors que je pensais être seul, pour me demander si je voulais aller à la chasse avec lui. Je refusais vivement et heureusement, il partit car il semblait pressé ? Ce fut ma première et dernière alerte tant que je vécu chez mes parents tant j'ai eu peur ! Le premier plaisir mêlé de peur cela me restera toute ma vie, c'est ce que je ressens maintenant quand je me promène dans la rue habillée en fe mme, j'en ai très envie mais j'ai peur de me faire surprendre.

Cette première expérience fut renouvelée souvent devant la même glace et avec les mêmes vêtements. J'essayais alors tous les chemisiers, toutes les jupes et tous les sous-vêtements que je trouvais y compris dans les malles au grenier où je découvris les vêtements de jeune fille de ma mère que j'avais pu voir sur des photos. Je tombais ainsi " amoureux " d'une robe en organdi noir qui m'allait comme un gant. A propos de gants, j'avais pris l'habitude de me caresser le sexe avec des gants de satin et j'y prenais un plaisir intense. Malheureusement je grandissais et j'avais de plus en plus de mal à enfiler les vêtements de ma mère qui était une petite femme. Je fis même craquer une robe, heureusement de celles qui était dans la malle. Je fis mon deuil de ma première robe, je ne tenais vraiment plus dedans.

Je restais alors des années à me contenter d'un foulard de soie " emprunté " à une petite amie et quelq ues paires de bas que je mettais parfois le soir avant de m'endormir. Le temps était venu des petites amies et j'en eus beaucoup, mais sans expérience sexuelle car l'époque était pré contraception et les filles ne s'engageaient pas facilement. Je pus ainsi embrasser des bouches avec ou sans rouge à lèvres, des seins et même une fois un sexe ce que je considérais comme un exploit. Il me fallut l'occasion d'un voyage et d'une fille beaucoup plus âgée que moi pour réaliser ma première expérience sexuelle à deux. Je gardais cependant au fond de moi le souvenir des délices de mes premiers émois.

Un jour je pus m'habiller en femme ou presque car mon amie de l'époque avait laisser traîner chez moi quelques sous-vêtements affriolants auxquels je ne pus résister. C'était absolument fabuleux de se regarder dans la glace. Le déshabillé rose sur le porte- jarretelles rose quelle aventure ! Je devais maintenant me raser et cacher cette barbe qui me rappelait que j'étais un garçon. Il manquait la perruque, je cachais donc mes cheveux sous un foulard tel que je l'avais fait dans l'enfance.

Ma première perruque fut achetée dans un magasin de farces et attrapes. Elle était très blonde et faisait un peu clown ! Ma première femme admit très bien mon penchant pour les vêtements féminins, je pus ainsi acheter le minimum pour vivre en femme à la maison. J'allais avec ou sans elle dans les magasins et revenais à la maison avec le chemisier, la jupe et surtout les sous-vêtements adéquats. Une perruque fut enfin trouvée qui ne me faisait pas ressembler à une gorgone. Quand elle rentrait le soir, j'étais souvent habillée. Je me suis mis alors à sortir la nuit descendant subrepticement les quatre étages de notre immeuble non pourvu d'ascenseur. J'ai eu ainsi mes premiers plaisirs de sorties nocturnes avec ce que nous connaissons tous les travesties, l'air qui passe sous la jupe et vient effleurer le sexe sous la petite culotte. Je trouvais après quelques années u ne nouvelle femme et je pus pendant quelques années vivre sans m'habiller en femme. Je crus que cette habitude était définitivement oubliée, mais le désir pour ma femme peut être moins fort et surtout sa garde robe qui était peuplée de tenues très désirables me firent craquer.

En effet, ma nouvelle femme ayant à peu près la même taille 44, que moi, je pus faire des essais clandestins qui m'ont alors convaincu de continuer. Un jour de conflit entre ma femme et moi, je lui avouais mes penchants pour les habits féminins. Dans un premier temps pour se faire pardonner probablement d’une liaison extra conjugale, elle m'aida à acheter quelques sous vêtements sexy, et lors d'une autre dispute, elle me demanda de tout jeter.

Je suis maintenant plus âgé. Je vis toujours avec la même femme non consentante qui sait mais ne veut pas savoir. J'ai donc dans une valise ma garde robe, je peux m'habiller très souvent car ma femme est souvent absente. Chaque nouvelle robe essayée me ra ppelle mon premier souvenir et me conduit souvent à l'extase, mon idéal serait de faire l'amour ainsi vêtue avec la femme que j'aime.


Avis de lecteurs - note moyenne : 0 / 5
Merci de donner une petite note sur ce texte : j'ai aimé...

1 Pas du tout
2 Un peu
3 Beaucoup
4 Passionnément
5 A la folie
Accès via la version smartphone - Contacter le webmestre