Matilda

(publié: 02-11-2004, 11:02 )

Mes premières sensations. C'est vers l'âge de 5 ou 6 ans que j'ai l'idée d'essayer une paire de collant, j'étais en vacances chez mes grands-parents, et je ne sais pas comment je me suis retrouvé dans la chambre de la plus jeune de mes tantes. J'ai ouvert sa garde-robe, et j'ai fouillé et je suis tombé sur des bas Nylon. Je les ai pris, et je les ai mis. La sensation du Nylon sur mes jambes était si intense que je savais que ce ne seraient pas la seule fois que je portais des collants.

Quelques jours plus tard, je dus dormir avec ma tante faute de place, j'avais d'autres oncles qui revenaient loger, et le lendemain au réveille, j'étais seule dans la chambre, alors sans faire de bruit, je me suis mis à regarder dans les tiroirs à la conquête d'une paire de collants.

Je poussais cette fois un peu plus loin, par chance, elle gardait ses chaussures dans la chambre, il y avait, je m'en rappellerais toute ma vie, une paire de bottes rouge vif, à la façon de " Yoko Tsuno, la BD ", puis, je repris mes investigations, et trouvait une mini jupe à la mode pour l'époque. Je m'admirais dans le miroir, c'était divin, je me sentais si bien dans ma peau.

Je décidais de mettre de " coté " cette jupe, et cette paire de collant, pour plus tard. On verrait si elle allait remarquer la disparition de mon trésor. A la fin de mon séjour, je décidais de prendre mon trésor pour retourner à la maison.

Comme je dormais avec mon frère dans la même chambre, cela m'était difficile de mettre les collants et la jupe, mais je le faisais autant qu'il m'était possible de le faire. J'attendais que tout le monde dorme pour me relever et aller chercher mon trésor, je rentrais vite dans mon lit, et là sous les couvertures, je me changeais. Je devais les retirer assez vite de peur de m'endormir, et me faire réveiller par ma mère le matin.

Pendant les vacances suivantes, je n'en restais pas là, la pulsion fut si forte, qu'il fallait que je possède d'autres vêtements, alors je m'éclipsais et je montais dans la chambre de ma tante, et'.. il ne faut pas vous faire un dessin. Cette fois là, je trouvais un body, je trouvais cela très féminin et décidais qu'il serait à moi, je trouvais d'autres collants. Je les pris et allais dans les WC, là je ne serais pas dérangé, et au moins je pouvais fermer la porte c'était normal.

Comme le WC se trouvait sous les escaliers qui mènent à l'étage il y avait me semblait-il une bonne cachette en perspective, mais hélas quelques jours plus tard mon butin n'était plus là !! On allait sûrement se demander comment les affaires étaient arrivées là ! J'ai du arrêter un moment de prendre les affaires de ma tante.

Les années ont passé, et en écrivant mon récit je me rappelle ces belles années, donc je suis plus âgé, j'ai maintenant 16 ans, et j'ai un peu d'argent de poche.

Il me fallait des collants, et je décidais d'aller dans un magasin où on vendait cet article, dans la ville voisine, il y avait un " Phildar " je savais que l'on vendait des collants.

A la vendeuse, je du lui dire que les collants était pour une de mes cousines, et qu'elle était grande à peu près comme moi, comme par hasard !!, J'ai même du faire la carte de fidélité à son nom, avec un risque c'est qu'elle y vienne aussi. Mais cela à marcher, et j'ai obtenu ma première paire de collant. Je crois que ce jour là, je n'ai pas su attendre de rentrer à la maison pour les porter. Je me suis arrêté dans un petit chemin et là je les ai mis. J'ai renouvelé l'expérience autant de fois que j'avais l'envie de collant.

Vers l'âge de 18 ans, je suis parti à l'école un peu plus éloignée de la maison, et j'ai du avoir une chambre d'étudiant dans la ville où se trouvait mon école, quelle joie, je pouvais faire ce que je voulais ! J'ai repéré différents magasins de lingerie, et de parfumerie.

Pour acheter les bas Nylon, j'ai trouvé la supercherie suivante : comme je me trouvais dans une école où la majorité des élèves étaient des filles, et qu'ils y avaient des internes, j'ai fais croire à la vendeuse que c'était pour une interne de l'école. Et cela à marcher, sauf qu'une fois, je suis tombé sur un vendeur, peut-être bien le mari, et il m'a demandé si les collants c'était pour moi, et je n'ai pas osé lui dire oui. Je ne suis plus jamais retourné dans ce magasin.

Je me suis acheté des produits de maquillage, là, les produits étaient destinés à ma petite amie imaginaire. C'est à cette époque que je me suis acheté mes premier faux cils, je voulais de plus en plus ressembler aux filles que je côtoyais tous les jours. Je suis tombé un jour à l'école sur une caisse où l'on mettait tous les vêtements trouver à l'école. Quelle joie de fouiller dans cette caisse, il y avait en grande majorité des maillots de gym de filles !!!! J'ai ramené tous cela dans la chambre où je dormais. Le soir même, j'essayais tous ce que j'avais ramené, ma garde robe s'étoffais tout doucement de divers vêtements.

Il faut que je dise que tous les jours passés dans ma chambre, j'étais habillé en fille. Quelque fois, j'ai failli me faire prendre, j'avais deux, trois copains de classes, qui passaient de temps à autre, et quand j'étais en fille, j'ai du faire " le mort ", car je n'aurais pas su me démaquiller correctement pour leur ouvrir la porte, alors je préférais ne pas leur ouvrir au risque de me faire passer pour un " ours ".

Puis vint la fin de mes études, et le dernier jour, je me suis débarrassé de tout mon butin, et maintenant encore je regrette mon geste, pour rentré à la maison. Je pensais que tout allait redevenir " normal ". Mais je suis resté seulement quelques semaines avant que mes pulsions ne reprennent le dessus, je devais porter quelque chose de féminin pour être bien dans ma peau. C'est plus fort que moi.

Je me suis acheté mon premier soutien gorge pendant les vacances de mes parents, je les ai achetés par correspondance, c'était plus facile, ainsi qu'une jupe, j'étais limité par mes économies.

Puis vient mon service miliaire obligatoire, j'en ai profité pour m'acheter ma première paire d'escarpins, toujours par correspondance !! C'était une pointure 42, il faut dire que j'ai de grands pieds malheureusement. Après mon service, je me suis retrouvé au chômage, et donc à la maison tout seul !!! Là j'en ai profité de ce que personne n'était là pour assouvir ma passion, m'habiller en fille.

C'est à cette période que je me suis fais prendre, ma mère est rentrer plusieurs fois plus vite que prévue à la maison, alors que je portais jupe, sg, collant, toute la panoplie bien sur, mais heureusement pas maquillée. N'empêche qu'elle m'a confisqué le tout et que je n'avais plus rien, puisque tout se trouvait à la même place. Mais par chance à la première fois, ma mère avait tout mis dans un sac poubelle, près a être mis au camion qui devait passer le lendemain. Par chance, je suis tombé dessus et j'ai pu récupérer presque tout. Je devais être plus méfiant la prochaine fois. Ici ma mère se doutait maintenant de quelque chose, mais elle ne m'a jamais rien dit.

Je me suis marié, et j'ai eu le courage de dire a ma femme avant le mariage que j'aimais porter des collants, sa réaction à été l'indifférence. Au début de notre mariage, elle m'a laissé porter des collants, et porte jarretelles, c'était mieux que rien du tout. Même une fois, en regardant un catalogue 3 suisses, il y a avait une paire de collant qui me plaisait, et elle m'a dit hé bien commande les si tu as envie, je ne me suis pas fait prier !

Je m'habillais en fille quand j'étais tout seul à la maison, il faut dire que j'avais un travaille où je commençais fort tôt, avec un retour à la maison pour quelques heures, et ensuite je repartais achever ma journée. Donc pendant mes heures " libre " à la maison, je pouvais ainsi enfiler tout ce que je désirais.

Maintenant nous avons deux enfants, et je crois qu'elle est un peu réticente pour mon port de collants. Comme nous avions déjà fait l'amour, moi, portant des bas et porte jarretelle, elle me dit encore ces trucs là ! Je n'aime pas quand tu porte çà. Elle commence à changer d'idée maintenant.

Alors maintenant je vis presque tout le temps caché pour devenir " Matilda ", je n'ai plus de complice, je suis seul, désespérément seul.
Puis vient Internet, mes sorties virtuelles en Matilda, car c'est elle qui est derrière l'ordinateur quand je surf sur le Web.

Voilà où j'en suis maintenant. J'espère que je n'ai pas été trop long.

A + la suite plus tard...