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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !
Mariko

Mariko

(publié: 20-10-2004, 16:38 )

Je crois que tout à commencé il y a bien longtemps. ( tient on dirait un conte)

Alors que j’avais 10 ans, j’étais à la campagne du côté du lac d’Annecy dans une ferme ou m’avaient placé mes parents pour les vacances d’été. Nous étions deux garçons du même âge et la fermière avait une fille de 12 ans. C’était l’été, il faisait beau et lorsque les occupations de la ferme étaient terminées, entre garçon nous allions jouer dans une grange ou nous avions aménagé notre repaire sous les balles de pailles. Comme les cordes à linge étaient a côté j’avais remarqué que la fermière mettait les vêtements de sa fille à sécher sur les fils. Un après-midi avec mon ami nous avons pris une robe, un caraco et une culotte en dentelle de coton ainsi que des bas en laine et arrivé dans notre abri nous avons tiré au sort pour savoir qui mettrait les vêtements de Claudine. J’ai gagné et vite je me suis changé le plaisir que j’ai ressenti alors a été fulgurant. Pourquoi n’étais-je pas une fille pour m’habiller toujours ainsi ? Et nous avons passé le reste de la journée à jouer lui le garçon, moi la fille. Le soir venu c’est avec un gros regret que je suis redevenu Pierre.

Ayant trouvé dans le grenier la malle qui renfermait les vêtements de réserve pour Claudine, je me suis crée une petite garde robe et passé tout l’été dans notre grange à jouer avec Marcel à des jeux pas toujours innocents.

Vous devinez que la rentrée n’a pas été des plus drôle, plus d’ami, plus de vêtements. Alors le jeudi, seul à la maison, j’ai commencé à fouiller dans l’armoire de ma mère pour lui subtiliser quelques dessous qu’elle ne semblait pas mettre à cause de la taille, et j’ai commencé à passer tous mes jeudi en fille. Le matin dès le départ de ma mère, je me précipitais dans la salle d’eau pour me maquiller avec ses fards. Je mettais son rouge à lèvre et son rouge à ongles( que de mal le soir pour l’ôter sans laisser de traces et d’odeur dans l’appartement ! ) Une culotte en coton qui grattait, un soutien-gorge en coton que je bourrais d’ouate, une combinaison en rayonne et une paire de bas nylon ( les premiers ) que je retenais avec une gaine rose du bel effet par dessus une robe noire très sévère ( ma mère l’était ) un foulard sur la tête et après avoir vérifié l’effet dans la glace de la chambre je prenais des poses qui me semblaient des plus sexy et des plus lascives. Je ne crois pas que durant les 10 années passées à la maison ma mère aie pu se douter de quoi que ce soit. Pour donner le change j’amenais de temps en temps des filles à la maison ce qui me permettais de suivre l’évolution de la mode autrement que dans ciné monde.

Je me suis marié avec une amie d’enfance que j’aimais beaucoup et Marie Pierre s’est évanouie pour un grand moment, le travail, la famille, un bel enfant mais toujours au fond de moi-même une folle envie d’être fille. Cela a duré jusque vers mes 35 ans où ma situation professionnelle ayant évoluée favorablement et ayant acquis par mon salaire une certaine aisance, mon épouse ne travaillant plus que de façon épisodique, nous avons décidé qu’elle prendrais deux mois de vacances avec notre fils, je passerais les deux premières semaines avec elle, rentrerais 3 semaines à Paris pour mon travail puis je retournerais la retrouver pour finir les vacances. J’avoue que je n’avais aucune idée derrière la tête à ce moment là.

C’est à mon retour la première fois après quelques jours seul dans la maison qu’en rangeant quelques affaires j’ai ouvert l’armoire de ma femme. Quel choc de voir devant moi bien aligné tous ces dessous et accrochés sagement sur les cintres les robes, les ensembles, les tailleurs, les manteaux. Je n’ai pas tenu longtemps ayant réussi à trouver quelques objets à ma taille en quelques instants j’avais retrouvé Marie Pierre qui décidait de changer de prénom j’étais Mariko et le resterais, je passais la première soirée depuis bien longtemps en fille, je crois que j’ai pleuré.

Il me manquais quand même des affaires bien à moi, dans le catalogue d’un grand de la vpc j’ai trouvé ce qui me plaisait aussitôt commandé par minitel avec livraison dans un centre un peu éloigné de la maison. Commande retirée deux jours plus tard et réglée en espèces avec un peu de honte de chercher un tel paquet. Je peux vous dire que les vendeuses de ces centres se foutent éperdument de ce que vous venez chercher. Il manquait le principal, la perruque et les chaussures avec un talon pas trop haut mais un talon quand même. J’ai pris mon courage à deux mains et pour ne pas trop détonner j’ai été à Pigalle en pensant que je trouverais bien une boutique avec tout ça, dans la première sur le boulevard j’ai trouvé une perruque auburn avec des cheveux mi-longs ondulés du plus bel effet, j’ai expliqué embarrassé au vendeur qui n’en pas cru un mot que je devais jouer une pièce de théâtre dans un rôle de femme et qu’il me fallait aussi des chaussures, en souriant il ma donné une adresse à deux pas où j’allais recommencer mes explications embarrassées quand je me suis aperçu qu’il y avait déjà un homme qui essayait sans complexe des chaussures à talons, j’en ai fait de même et je suis rentré à la maison avec deux paires de chaussures et une paire de mules roses à pompon pour porter avec le déhabillé en satin que j’avais commandé, un saut chez un parfumeur avec une liste soit disant établie par ma femme . Je suis rentré à la maison prêt pour ma première fin de semaine complètement seul.

Je ne pense pas être perverti ou anormal, mais lorsque je suis maquillée, habillée, coiffée, je suis Mariko, je pense en femme, j’agit en femme, ma démarche change, mes gestes changent.

Mon premier Week-end

C’était donc la fête, frigo plein, rideau tirés, dans la chambre sur le lit toutes mes emplettes.

D’abord, passage dans la salle de bain, rasage de près, cheveux bien brossés en arrière, je pouvais commencer le maquillage. Je ne suis pas très experte mais au bout d’une demi-heure le résultat n’était pas trop mal réussi. J’avais devant moi le visage d’une femme, belle ? Non je ne pense pas, mais avec du charme et un air un peu coquin (j’ai dit coquin pas pute ! ).

Vite les dessous après avoir caché le nécessaire bien tiré en arrière, la culotte en dentelle, le porte jarretelles, les bas ( pas facile de mettre la couture droite ) pour le soutien gorge après plusieurs essais, ( entre nous pas terrible les chaussettes roulées en boule ) j’ai trouvé les lentilles dans un bout de bas couleur chair cela fait une poitrine tout à fait présentable et au toucher agréable. Par-dessus tout ça une petite combinaison et une robe assez stricte dans les bleus avec des fleurs et une ceinture dans le ton, devant la glace cela était parfait vite les chaussures qui malgré un talon raisonnable de 5 cm me semblaient devoir me faire tomber à chaque pas, et enfin la touche finale la perruque bien brossée démêlée lustrée.

Enfin, j’étais femme. Ma démarche avait changée et mes poses devant la glace devenaient plus féminines plus lascives. J’avoue avoir passée un grand moment devant cette glace où je me voyais en pieds, tous mes désirs, mes rêves, mes fantasmes revenaient brusquement et je me suis trouvée remplie d’une émotion difficile à expliquer, je m’étais retrouvée après toutes ces années et j’étais bien.

J’ai passé la soirée blottie dans un fauteuil devant la télévision, épanouie et pleine de résolutions pour les jours suivants, oui je sortirais, oui j’irais faire mes courses, oui je rentrerais dans un café et je me suis endormie dans le salon en rêvant.

Dur réveil dans la nuit, démaquillage, déshabillage, une belle chemise de nuit et au lit. Cette fin de semaine à passé comme un songe trop vite, le lundi matin c’était la panique, pas question de présenter un visage avec des traces suspectes. Enfin récurée brossée virilisé, je suis parti travailler mais je ne me suis pas résolue à tout abandonner, j’ai gardée sous mon costume tous mes dessous, tremblant qu’un accident ou un incident m’oblige à me déshabiller. Seule au bureau ma secrétaire a trouvé que j’avais un air changé, elle me connaissait si bien depuis que nous travaillions ensemble, je n’ai pas eu le courage de lui dire.

En tout, deux semaines prolongées de quelques jours sous un prétexte où j’ai passé mes soirées, mes nuits, mes week-end selon ma vrai nature en fille.

Mes bonnes résolutions ? Ha oui, de timides sorties dans le jardin autour de la maison protégée par un grand mur ( je crois que seuls les oiseaux ont pu me voir) un tour au marché cachée sous une gabardine et sans maquillage ni perruque... Si, une sortie en voiture un soir avec la peur du gendarme, une grande balade dans Paris qui s’est soldée au retour par un pneu crevé. Ma première roue à changer en fille. J’avais sorti le cric et commençais à démonter ma rue quand un jeune homme s’est arrêté et ma proposé de me changer la roue j’ai acceptée et il n’a jamais deviné que la jeune femme qui l’avait remercié d’un baiser était un homme comme lui.

Aujourd’hui Mariko à remis ses habits au grenier, Pierre n’est jamais seul plus de quelques heures. Il rêvait très fort de tout cela jusqu’au soir où j’ai découvert ce site magnifique où nous pouvons toutes nous exprimer.

Merci Isabelle. Pour moi, c’est la meilleure thérapie. Je ne désespère pas de retrouver Mariko dans ses beaux atours peut-être un jour chez une amie de Paris qui voudra bien me recevoir pour passer la journée ensemble et parler de nos désirs de nos envies de notre vie tout simplement.

Mariko

Samedi 7h00 Le réveil vient de sonner et je sors du sommeil dans lequel je venais de plonger quelques heures auparavant, dieu que j'ai eu du mal à m endormir cette nuit, j'ai repensé à tout de longs moments, tout repeser, tout réévalué et lorsque je suis arrivée à la conclusion j'etait sure d'avoir fait le bon choix. J'ouvre les rideaux et la fenêtre de mon petit appartement de deux pièces sous les toits de l'île Saint-Louis et je regarde le soleil enflammer les tours de Notre Dame. Café au lait, rien d'autre ne passe et direction la salle de bain, au passage je jette un œil sur la robe pendue devant l'armoire quelle est belle toute blanche, évasée en bas, avec de la dentelle partout, un décolleté pas trop provocant, nous l'avons choisie ensemble Camille et moi ainsi que les dessous à la blancheur moirée de la soie sauvage. Samedi 8h00 Je sors du bain dans lequel je me suis délassée un moment, vite le miroir, j'ai devant moi une jeune femme mince assez grande 1m80 blonde aux yeux bleus et qui semble avoir des formes agréables aperçues au travers d'un déshabillé quasi transparent, je peu commencer à m'habiller d'abord, la petite culotte spéciale en dentelle qui me permet d'avoir ce ventre si plat qui plait tant à Camille puis le porte jarretelles, les bas blancs avec cette couture si difficile à mettre bien droite, le soutien gorge, le jupon qui servira de fond de robe. Prête pour le maquillage ? Ha non, j'aie oublié la jarretière ! Attention Marie Pierre de la discrétion, des teintes douces pour faire ressortir le bleu de tes yeux et tes cheveux blonds longs sur lesquels ce brave Marcel, mon coiffeur préféré, à passé de longues heures hier pour leurs donner une forme, très réussies ces anglaises sur les côtés qui donnent de la rondeur à ton visage. Samedi 9h30 On sonne ! J'arrive maman. Bonjours maman, bonjour petite sœur déjà là enfin je suis prête, vous me trouvez comment ? Satisfaite de leurs réponses je ronronne de plaisir et me pavane tel un paon devant elles, elles mes complices de toujours, elles qui ne mon jamais fait aucune remarque ni reproche. Samedi 9h45 Mon dieu quel travail pour entrer dans cette voiture, j'en occupe tout le siège arrière et maman s'est assise devant, Sylvianne ma sœur en est quitte pour se tasser sur le strapontin dos a la route. Samedi 10h15 Nous arrivons enfin à la Mairie de ce petit village de la proche banlieue Est de Paris où j'aie grandi. Déjà Camille est là qui ouvre la porte, quelle allure dans son costume gris avec ces cheveux bruns coupés assez court et ses beaux yeux noirs. Bonjour mon chéri bien dormi, les témoins sont arrivés ? Il me rassure d'un geste tendre et d'un léger baiser sur la joue " tout ira bien chérie ne t'en fait pas ". On y va ? Samedi 10h30 Vacillante sur mes talons soutenue fermement par le bras de Camille j'entre dans la salle des mariages. Dieu ils sont tous là, quelques parents, mes amis de toujours que de monde pour cette cérémonie. J'avance vers l'estrade ou se tiendrai tout à l'heure l'officier d'état civil, je me sens de plus en plus mal, dans un brouillard je l'aperçois et l'entend déjà commencer à égrener les articles du code civil. Article ………..La femme doit …………………. Comment j'en suis arrivée là ? Je suis né 23 ans avant dans un pavillon de banlieue entouré d'un grand jardin, enfant unique jusqu'à l'arrivée de ma sœur de parents tout à fait ordinaire. J'ai été élevé par ma mère après le départ de mon père avec une danseuse de boite de nuit. Et j'ai grandi entre elle et une tante qui mon surprotégé, en essayant de me convaincre que tous les hommes etaient des cochons et des brutes qui ne pensaient qu'à faire souffrir les pauvres femmes, pensez trois femmes à la maison, je nageais dans les vêtements féminins il y en avait partout, jusque sur mon lit et dans mon armoire ou il me fallait protéger une étagère, mon étagère, si bien que le matin pas trop réveillé je me retrouvais avec les socquettes de ma sœur, la culotte en coton de ma tante sur le chemin de l'école. Comme j'etais assez timide, je ne participais pas aux jeux virils des garçons et restait le plus souvent dans un coin de la cour a regarder les épaules larges et les statures imposantes de certains de mes camarades, je les regardais sans envie, mais avec un certain trouble que je ne parvenais pas a définir. Ce n'est que l'année de mes treize ans qu'un de mes condisciples avec lequel j'avais beaucoup d'affinités, m'ouvris les yeux. " Regarde toi tu es plus une fille q'un garçon ! Tes cheveux longs, tes mains aux doigts longs, tes cils qui cernent si bien tes yeux et ton corps sans muscles lisse à la peau douce et parfumée " tout en parlant il me caressait et j'etais aux anges le corps frémissant. Il venait à la maison le jeudi et tel Pygmalion prenait plaisir à me faire revêtir les vêtements féminins qui se trouvaient là, à me maquiller et farder mes paupières, tresser mes cheveux y mettre des rubans. Deux années merveilleuses ou j'attendais les jeudis avec impatience. Pour mes 16 ans, ma mère décidait de m'envoyer pour mes études à l'institut international des langues de Genève et au lieu de m'inscrire comme interne, m'avais trouvé une chambre dans une résidence située prés du Lac, grande bâtisse ou personne ne connaissait personne et tout le monde vivait dans le plus grand anonymat Quelques jours plus tard pour établir le dossier d'inscription ainsi que les demandes de papiers d'identité, je demande à ma Mairie un extrait d'acte de naissance et le reçois quelques jours plus tard mais surprise, l'employé a interverti le prénom de Pierre Marie je suis devenu Marie Pierre et sans doute dérangé lors de son travail et troublé par le prénom a trouvé que le sexe féminin correspondait mieux. Nous en avons ri à la maison mais j'avais là une formidable opportunité, je me fais photographier en fille dans un photomaton et dépose une demande de carte d'identité. ( Muni de celle-ci j'ai pu par la suite obtenir tous les autres papiers. ). Je redemande cette foi dans une autre mairie mais avec le livret de famille de ma mère un nouvel acte et me retrouve enfin avec des papiers de garçon. Adieu la famille bonjour la liberté. Jour J J'emménage dans un chouette loft, une petite entrée avec à droite un wc, une salle d'eau, à gauche une petite cuisine fort bien équipée, plaques, frigo, lave vaisselle, quelques éléments hauts, au fond une pièce de 28 m2 avec une grande baie vitrée donnant sur le parc, la pièce etait divisée en deux un coté chambre avec un lit pour deux dissimulé par un paravent de l'autre le coin repas salon avec un divan, une table trois chaises, la télé, le téléphone. Mais problème le locataire précédent qui etait une fille avait tout décoré dans des teintes roses et posé des rideaux à fronces une petite bonbonnière, je m'y suis trouvé très bien tout de suite. Je procède a l'inventaire des placards, tout est vide et propre, je m'installe et déballe mes petites affaires, en rangeant mes papiers je relis mon bail et y remarque qu'en plus du studio il y à une place de parking et une cave. Vite faisons le tour du propriétaire ou plutôt du locataire, le parking est place sous les arbres et depuis celui ci je vois mon appartement, voyons la cave, la clef pour accéder au sous-sol, lumière, je cherche un peu et la trouve enfin au fin fond d'un étroit couloir. La clef ? Voyons le trousseau c'est la petite ? Oui j'entre elle est vide non au fond sur une étagère je repère une valise recouverte de poussière oubliée là, je la monte en me promettant de la faire parvenir à son propriétaire par l'intermédiaire de l'agence. Fin de la première journée, comme il me reste encore 5 jours avant le début des cours demain j'irais faire des courses après avoir téléphone à maman. Jour J+1 Je me réveil à 10 heures, comme c'est calme pas de bruits, je déjeune avec les provisions glissées dans un sac par Sylvianne. Je fais le tour de la pièce et je tombe sur la valise, ah ! Oui la valise, un coup d'éponge un coup de chiffon la curiosité éveillée je me décide à l'ouvrir. Un uniforme de l'école chemisier blanc jupe plissée bleue ceinture en cuir bleu marine un blazer, des chaussures avec petit talons, des mi-bas, des culottes et des soutiens gorges en coton blanc, une tenue de gymnastique, des peignes, des barrettes, une robe pour sortir, des dessous un peu plus sexy, un maillot de bain une pièce, une trousse a maquillage, enfin tout ce qui avait été pour elle le symbole de quatre années de boite et qu'elle avait laissé là pour s'en débarrasser une bonne foi. Je ne résiste pas à ce coup du destin tel un animal affamé, je me jette sur tout et en un tour de main je suis habillé des pieds à la tête, pas terrible les jambes avec ces quelques poils qui se dressent, le maquillage au bout d'une demi-heure un vrai désastre (marguerite Moreno dans la Folle de Chaillot). J'enlève la jupe et garde le reste j'enfile un pantalon et vais au Centre commercial de Gaillard. Là dans la boutique beauté je demande à la vendeuse pour une amie" un produit pour enlever les poils, puis s'il existe un livre conseil pour le maquillage. " Avec un petit sourire comme nous sommes le matin il n'y a pas beaucoup de clients et je n'aie pas de rendez-vous, je crois que votre amie devrait venir elle-même essayer notre épilation à la cire chaude et je pourrais lui donner quelques conseils. Mais je vais vous faire visiter les cabines. Vous voyez c'est sympa calme et discret, je crois que vous pouvez commencer tout de suite (elle m'avoua plus tard avoir remarqué que mon chemisier boutonnait à l'envers des garçons) trois heures plus tard ayant déjà pris rendez-vous pour une séance de soins esthétiques je sortais sans un poils avec la peau qui tirait un peu et légèrement maquillé; Maquillage que j'avais réalisé moi-même après une bonne leçon et pas mal d'hésitations. Vite direction la maison, juste comme je viens de garer la voiture, je tombe sur le gardien qui me regarde d'un air soupçonneux, savez-vous mademoiselle que cette place est réservée au locataire du studio 23!.Mais c'est moi la locataire du studio 23 monsieur! il me semblait qu'il s'agissait d'un jeune garçon, non vous faite erreur c'est bien moi je suis Marie-Pierre ……. Et suit inscrite à l'école internationale, ha bon excusez- moi, bonne fin d'après midi mademoiselle. J'etais tout joyeux je venais de passer mon premier examen. La semaine vite passée c'etait la rentrée, les papiers remis au secrétariat permettaient de dissiper le malentendu concernant le sexe j'etais bien une jeune élève et tout de suite admise au milieu des autres filles qui déjà commençaient à évaluer les garçons et à ce les partager en prévision de sorties en boites . pour ma part ne voulant pas perdre ma situation de fille je me tenais a l'écart prétextant une indisposition soudaine et une migraine tenace. Arrive le fin de semaine, les filles très excitées voulaient sortir en boite au bord du Lac pour profiter des deniers beau jours.
Bises à toutes
Mariko


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