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Françoise

Françoise

(publié: 26-11-2004, 6:52 )


Femme après 10 ans de mariage
par Françoise

Tout ceci commence, il y a 10 ans!

Depuis mon enfance, j'avais toujours désiré être une fille, aussi mes premiers sous gagnés en travaillant à 18 ans avaient été destinés à me monter une garde robe, à m'acheter une perruque et des produits de beauté pour me travestir avec de superbes prothèses pour garnir mon soutien-gorge.

Je n'étais heureuse que travestie et c'était pour moi une punition que de devoir quitter mes atours féminins pour me déguiser en homme, c'est comme ça que je voyais les choses.

Je décidais alors de consulter un psy, pour essayer de voir plus clair en moi-même. Celui-ci, qui ne m'avait sans doute pas pris au sérieux, me conseilla de changer et d'essayer de fréquenter des filles et de faire leur conquête. Tout à fait paumée, je décidais de suivre ses conseils et après avoir connu et fréquenté une jeune fille de mon âge, je décidais à 19 ans de l'épouser.

Ma mère à qui j'avais fini par avouer mes fantasmes fut ravie de mon changement d'orientation, car elle souffrait en fait de me voir mal dans ma peau.

Nous nous mariâmes donc et pendant 10 ans, je vécu dans ma fausse peau d'homme, sans jamais tout à fait oublier mes fantasmes. J'avais bien sur jeté tous mes oripeaux et cessé de me travestir, et bien que ne pensant qu'à ça, je vivais tant bien que mal dans cette peau d'homme.

L'année dernière, au bout de 9 ans de mariage, il fallut hospitaliser ma femme pour une crise d'appendicite et je me suis retrouvée seule à la maison. Alors ce fut plus fort que moi, je me rendis Bd haussmann aux galeries Lafayette et là je fis mes emplettes.

Cela commença par l'achat d'une perruque auburn mi longue, puis une paire de prothèse en silicone, les vendeuses me regardaient d'un drôle d'air, mais je n'en avais cure. Je choisi un ensemble soutien-gorge, strings et porte jarretelles bleu ciel, en dentelle, des bas coutures, noirs, une combinette bleu ciel assortie aussi et une courte robe de taille 40 que je savais être ma taille, puis une paire d'escarpins à hauts talons et munie de toutes ces emplettes, suivi du regard par les vendeuses, je me dirigea alors vers le rayon des produits de beauté. Là j'achetais un rouge à lèvre framboise, du fond de teint beige , du blush, pinceau et du mascara ainsi qu'une eye liner marron assorti à la perruque, je me rendis alors à la maison.
Là, je me mis à entreprendre ma transformation.

D'abord je m'enduisis tout le corps d'une crème à épiler que j'avais achetée en même temps que le reste, et avec un bon bain moussant éliminait la totalité de la maigre toison qui ornait mon corps, mes bras et mes jambes, pour le visage pas de problème puisque j'étais et suis toujours imberbe.

J'entrepris alors la tache délicate du maquillage, fond de teint, pommettes ressorties avec un blush un peu plus vite, trait d'eye liner et épaississement et allongement de mes cils grâce au mascara. j'avais au préalable appliqué le supplice de l'épilation de mes sourcils dont il ne restait maintenant qu'un mince trait surmontant mes yeux de biche. Mes lèvres délicatement ourlées, je pus passer à l'habillage. Quel délice de fixer sur ma poitrine les deux prothèses qui collées et maquillées à leur jointure me donnèrent une merveilleuse allure, je pus alors revêtir le soutien-gorge à balconnet, le string qui dissimulait parfaitement mon petit clito, la combinette et la jolie robe mini, fixer les bas coutures au porte jarretelle dont je m'étais parée et me dévisager dans la glace du couloir, chaussée de mes escarpins qui claquaient le sol sous mes pas.

J'étais devenue la jolie fille que j'avais toujours rêvée d'être, et je pus me préparer à sortir. Je pris un des sacs à main de ma femme, et tout à fait naturelle et dépourvue de la moindre appréhension, je sortis de notre appartement pris l'ascenseur et je sortis de chez nous, enfin femme, et je décidais que ce serait définitif. Je pris un taxi, ne voulant pas risquer un accident avec ma voiture et exhiber mes papiers, et me fis conduire à l'hôpital où était ma femme. Quand elle me vit, elle me dit qu'elle trouvait que je passais très bien et que j'étais très féminine. Ce fut une énorme surprise pour moi que cette réaction, mais elle m'avoua que tenue au courant par ma mère, elle avait toujours espéré me voir enfin moi-même, qu'elle avait des tendances lesbienne et qu'en fait elle n'attendait que ma transformation.

Elle décida que nous irions toutes les deux voir sa gynéco, et que le mieux pour moi serait de prendre des hormones afin de parfaire ma transformation. Elle me dit d'ailleurs que tout cela devrait finir par la grande opération, mais qu'il fallait d'abord que je sois totalement féminisée.

Les mois passaient, je vivais définitivement en femme, j'avais laissé pousser mes cheveux et la coiffeuse de ma femme, m'avait fait une décoloration, et j'étais devenue une jolie petite blonde.

Ma poitrine avait pris de l'ampleur et je faisais désormais un bon 90 c, mes hanches élargies et la jolie cambrure de mes fesses épanouies m'avaient donné une satisfaction que je goûtais en me contemplant dans les glaces de la maison. Je n'avais bien sur plus d'érection, les hormones avaient fait leur travail et j'étais pourvue désormais d'un sexe minuscule avec des testicules pratiquement inexistantes. Juste un petit bout de zan que je n'avais aucun mal à dissimuler dans mes petites culottes.

Pour le reste, au lit je me conduisais comme la petite salope que j'étais devenue et me laissais dominer par ma femme qui y avait pris goût. Trois ans s'étaient écoulés, je ne travaillais plus, mais les revenus de ma femme, avocate, nous suffisaient largement pour vivre. Nous avions renvoyé la femme de ménage que nous avions et c'est moi qui la remplaçais désormais.

J'étais heureuse, parfaitement bien dans ma peau, et je voyais avec plaisir venir le moment de la grande opération. Nous partîmes donc pour Bruxelles où le professeur Mandrin sommité mondiale de la vaginoplastie, m'avait convoquée pour m'examiner. Je signais une décharge de responsabilité , nous étions un mardi et le professeur décida de m'hospitaliser à l'issue de l'examen en vue de mon opération. Ma femme avait décidé de rester avec moi pour me soutenir dans ce qui restait quand même une épreuve. Une petite infirmière vint dès le lendemain matin pour me préparer, et je fus conduite dans mon lit roulant vers la salle d'opération. L'anesthésiste fit son travail et je m'endormis. Quand je me réveilla dans ma chambre de clinique j'étais encore dolante et une espèce de brûlure dans le bas ventre m'appris que j'avais été opérée, je souffrais un peu, mais l'infirmière me fit une piqûre de morphine, ma femme étanchait la sueur qui perlait sur mon front et je me rendormis. Je me réveillais et me rendormais presque aussitôt, et subissais à chaque fois une piqûre.

Le professeur vint me rendre visite le deuxième jour et me dit que je devais attendre 48 heures encore bandée pour que la cicatrisation soit suffisante pour me libérer. Nous nous aperçûmes, ma femme et moi que les douleurs étaient de moins en moins vives, je n'eus plus besoin de piqûre.

Comme convenu, le vendredi matin le professeur revint avec l'infirmière pour assister à l'enlèvement de mes pansements. Aidée par ma femme et l'infirmière le professeur me dirigea vers un miroir où je pus me voir entièrement nue, et là je faillis défaillir de bonheur.

Je l'avais enfin cette chatte tant désirée et je ne pus qu'admirer le travail du professeur qui pour récompense me permis de l'embrasser. J'étais Françoise, une vraie femme désormais.
Françoise.





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