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Danaé

Danaé

(publié: 02-11-2004, 10:48 )

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille.

Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions . C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés seulement comme punition. C'est ainsi qu'après un mauvais bulletin, une mauvaise note scolaire ou une sérieuse désobéissance, je me retrouvais affublé de vêtements féminins, et ce, à ma grande colère! Comme ce jour où j'avais eu la mauvaise idée de faire éclater des pétards dans les cheveux de ma petite voisine de 11 ans . Moi, j'avais 14 ans 1/2. Ma tante m'a d'abord sermonné, puis déculotté et fessé devant la petite victime, à qui j'ai dû demander pardon.

Humilié et furieux, j'ai crié que "les filles sont toutes des balances". Cette remarque a mis ma tante en colère : elle m'a envoyé dans ma chambre et m'a ordonné de quitter mes habits, pour enfiler une petite robe bleu ciel . C'est ainsi accoutré que j'ai dû présenter de vraies excuses à ma voisine. Ensuite, j'ai été obligé de rester en robe tout le week-end. Pour éviter une nouvelle correction, j'ai fait bonne figure . J'ai même aidé ma tante à la vaisselle et au ménage. J'ai essayé de rester souriant(e) comme elle me le demandait. Mais c'est avec bonheur que j'ai vu arriver le dimanche soir. Comme elle s'obstinait encore à me donner le bain (elle l'a fait jusqu'à mes 16 ans!), je me suis laissé laver sans rouspéter; le lendemain, l'incident était oublié.

La dernière fois qu'on m'a obligé à me vêtir en fille, j'avais presque 16 ans : après une remarque insolente, j'ai dû remettre la fameuse robe bleu ciel ... trop courte, si bien qu'après un mouvement un peu brusque, elle s'est déchirée! Signe du destin ? Toujours est-il que ma tante m'a imposé un chemisier féminin avec dentelles et une jupe plissée, ainsi que des bas collants. Je sais que certains envient de telles punitions . Pourtant, j'aurais donné n'importe quoi pour y échapper. Je m'appelle Daniel, et quand on m'habillait en fille, ma tante m'appelait Danaé, prénom qu'elle adorait,... et qui m'est devenu insupportable!

Souvenirs de Danaé

J'avais 14 ans et, comme cela arrivait souvent, ma tante m'avait puni à cause d'une remarque disciplinaire dans mon bulletin scolaire. A contrecœur, je dus enfiler une robe rose et blanche aux petites manches bouffantes, des socquettes blanches et des petites sandales assorties. Comme toujours dans ces cas-là, je m'enfermai dans ma chambre, n'en sortant que pour les repas.

Ce jour-là, ma tante m'attacha deux rubans roses dans les cheveux blonds, que je portais assez longs pour un garçon. En râlant un peu, je lui demandai la raison de cette nouvelle fantaisie humiliante. "Nous sortons", me répondit-elle. Je croyais que le plafond s'écroulait sur moi! Sortir dans cette tenue, à 14 ans? Il n'en était pas question. Mais elle avait promis une visite à son amie Mme Bierbach, qui précisément m'adorait, surtout lorsque j'étais habillé en fille.

Malgré la crainte que m'inspirait ma tante, je me rebellai. Bien qu'encore impubère, j'avais déjà acquis une certaine force. Ma tante dut appeler sa fille Nadine en renfort . Celle-ci m'immobilisa les mains, tandis que ma tante relevait légèrement ma robe pour m'infliger cinq ou six fortes claques sur les cuisses. Ensuite, j'entendis ma tante ordonner à Nadine : "Tiens-lui la tête", et, malgré mes protestations, elle se mit à me maquiller les yeux (légèrement). Ensuite, me menaçant d'un rouge à lèvre, elle réussit à me faire accepter du brillant sur les lèvres. A la bague et à la gourmette que je portais déjà (même à l'école), on m'ajouta quelques autres bijoux : un collier doré, deux bracelets fins et deux autres bagues.

Il faisait très chaud et le chemin qu'il fallut parcourir à pied jusque chez Mme Bierbach me parut interminable, tant j'avais peur de rencontrer un copain de classe . Enfin à destination, ces dames voulurent profiter du soleil, ce qui nous valut une promenade dans le parc tout proche . Heureusement, pas le moindre copain en vue . Je fus tout de même vexé quand, en croisant un jeune couple, j'entendis l'homme dire en me regardant :"c'est une jolie gamine".

Mme Bierbach, quant à elle, ne cessait de répéter que les filles ont beaucoup plus de qualités que les garçons : grâce, délicatesse, beauté, ... et que j'avais une chance immense de ressembler à une fille; que les vêtements ne faisaient que souligner cette ressemblance. J'avais hâte de voir s'achever la promenade et pourtant, on s'habitue à tout : c'est ainsi que je me suis même surpris, en fin de promenade, à rigoler d'une blague que venait de raconter ma cousine. De retour à la maison, ma tante m'a enfin délivré de cette parure pour me donner mon bain, tout en me félicitant pour ma bonne conduite et mon sourire pendant la promenade.


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