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« », une petite histoire imaginée par sophia

Elle n'avait pas de vêtements masculins à me prêter 3 sophia 29-08-2009, 11:47 Elle n'avait pas de vêtements masculins à me prêter (suite)

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Sylvie semblait prendre un plaisir immodéré à remuer au son de cette musique gaie et entraînante. Mais elle était encore plus heureuse de pouvoir partager ce moment avec moi, et riait de me voir me trémusser à ses côtés.
Pour ma part, j'adorais également danser, surtout sur cette musique, mais ma timidité maladive m'avait souvent privé de ce plaisir. En temps normal, je me lâchais difficilement.

Cette fois, mis en confiance par Sylvie, légitimé et accepté dans cette identité féminine qui n'avait attendu qu'un sourire du hasard pour m'être révélée, je pouvais laisser mon corps s'exprimer. Je le libérais enfin des liens d'une censure dans lesquels je l'avais trop longtemps réprimé.
Nous dansâmes comme deux copines intimes et complices. Nous nous amusions follement, nous prenant les mains,nous renant par la taille. Sylvie ne perdait pas une occasion pour me caresser délicatement, sensuellement, ravivant sans cesse le plaisir de me sentir femme dans ces vêtements.
Je ne me souviens pas combien de temps nous avons ainsi dansé avant de nous effondrer, ravis, dans le canapé. Nous étions épuisés mais comblés.
Quelle soirée, ma chérie ! reconnut-elle, un sourire béat illuminant son visage. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant amusée. Toi aussi tu aimes danser, et tu danses comme une reine.
C'est gentil, mais je n'avais jamais éprouvé ce plaisir. C'est vraiment génial d'être en femme.
D'être Une femme, tu veux dire, me corrigea-t-elle. Pour ma part, je ne vois pas ce qui te différencie d'une autre femme.
Tu as raison. Je reconnais que je me sens vraiment femme à présent. Et c'est grâce à toi.
Non, je n'ai fait que t'aider à révéler ce qui était profondément inscrit en toi. D'ailleurs, je te préfère bien plus ainsi.
J'étais tellement bien que pour rien au monde je n'aurais voulu quitter cette tenue et mettre fin à ce rêve éveillé. C'est sûrement pour cela que je n'avais pas relevé que Sylvie voulait aller se coucher, épuisée qu'elle était.
Je te laisse éteindre les lumières lorsque tu iras te coucher, ma jolie. Moi, je n'en peux plus. Tu trouveras les nuisettes dans le dernier tiroir de la commode de ta chambre. Sur ce, je te souhaite une très bonne nuit.
Elle déposa un baiser délicat sur ma joue avant de se diriger vers l'escalier.
Je restai quelques longs instants dans cet état extatique. Puis je dus également m'avouer vaincu par la fatigue. Les pieds, surtout, venaient se rappeler douloureusement à moi. On ne porte pas aussi impunément des chaussures à talon si longtemps la premiçre fois.
Je regagnai donc, à regrets, l'étage à mon tour, après avoir bien éteint toutes les lumières du bas. Là haut, je croisai Sylvie dans un superbe déshabillé en satin noir.
Si tu veux te démaquiller, je t'ai sorti tout ce qu'il faut dans la salle de bain. Mais cela peut attendre demain, et alors je t'aiderai, me lança-t-elle.
J'esquissai un sourire de remerciement et la gratifiai d'un regard complice.
J'étais trop épuisé pour aller dans la salle de bain. Je regagnai donc directement « ma » chambre.
Et c'est une femme aux traits un peu tirés, mais toujours aussi ravissante que je retrouvai en m'avançant devant le miroir. Je m'admirai encore, prenant la pose.

Puis, ôtant vêtement après vêtement, je révélai peu à peu un corps d'homme au visage féminin. Je ne gardai finalement que la petite culotte en dentelles. Je me sentis alors ridiculement nu. Il fallait que je revête à tout prix des attributs féminins. Je me précipitai sur la commode pour choisir une nuisette.
C'est encore le rouge qui l'emporta, sous la forme d'un modèle en satin rouge carmin aux fines bretelles et ourlé de dentelles au niveau du décolleté et du bas. Je pus à nouvau constater face au miroir qu'elle m'allait parfaitement, comme si ces vêtements avaient été achetés pour moi.
Je me glissai ensuit délicatement dans le lit. Un long frisson parcourut tout mon corps au contact des draps frais. Mais c'était davantage un frisson de bonheur.
J'étais tellement bien dans cette nuisette. Naturellement, je commençai à caresser mon corps à travers le soyeux du tissu. Je prenai même plaisir à insister sur mes fesses et mes hanches, à effleurer mes seins et à en titiller les tétons sous la fine dentelle rugueuse.

De la chambre de Sylvie me parvinrent alors des gémissements étouffés. Sylvie m'avait bien parlé durant la soirée de sa collection de sex toys, qui satisfaisaient désormais, selon elle, pleinement ses besoins physiques. Mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle en fasse usage ce soir, de manière aussi peu discrète et si près de ma chambre.
A la pensée de Sylvie en train de se faire vibrer, sensuellement revêtue de son déshabillé noir, mon esprit s'égara définitivement. Je prenais à sa place, comblé par ces objets de plaisir, jouissant de tout mon être.
C'est le moment que choisit mon hôtesse pour entrer furtivement dans ma chambre. Elle avait entendu des râles évocateurs venant de ma chambre et n'avait pu résister à me rendre une petite visite.
- Je vois que tu es une petite coquine en plus, me taquina-t-elle, alors que je m'extirpai douloureusement de mon extase. Heureusement, j'ai ce qu'il faut pour les petites coquines comme toi. Viens dans ma chambre, je vais te présenter certains compagnons qui pourraient te plaire...

A suivre...


Responsable du site : Lucie Sobek


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