barcarena9@gmail.com
inforbart@gmail.com
malucao2017@outlook.com.br
isacczim@ig.com.br



Je me connecte  Hop !
J'ai perdu le mot de passe  Hop !
S'inscrire comme membre du site  Hop !

HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par marietherese

1 MERCI MADAME ISABELLE marie therese marietheresekoest@yahoo.fr 17-11-2004, 19:37 Merci madame Isabelle.
Je tiens à vous écrire pour vous remercier de tout ce que vous avez fait pour mon mari.
Depuis qu’il a perdu son emploi, il glissait lentement vers la dépression. Il ne s’intéressait plus à grand chose, à presque plus rien. Il était toujours fatigué et me laissait toutes les tâches ménagères.
J’ai cherché bien sûr à le distraire, à l’amuser, à l’intéresser à quelque chose. Ce n’était pas facile, mais j’ai essayé. Je n’ai obtenu que de bien pauvres résultats.
En cherchant sur internet de quoi le distraire, je suis tombée sur votre site. Je le lui ai montré. Le déclic fut instantané. J’ai vu tout de suite que j’avais enfin trouvé ce que je cherchais. Il est resté des heures devant l’ordinateur.

Pour le stimuler, j’essaye de lui préparer de bons petits plats. Ce jour là, je n’ai pas eu l’occasion d’aller consulter mes sites culinaires préférés car il occupait l’ordinateur et ne voulait pas être dérangé. Un sandwich lui a suffi. Il l’a mangé en vitesse en restant devant l’ordinateur.
Je suis venue voir avec lui, j’ai observé ce qui l’intéressait le plus. Il aime beaucoup les histoires imaginaires ou de frêles jeunes gens se transforment en délicieuses femmes de chambre.
Je lui ai demande si cela lui plairait que je lui procure quelques vêtements à sa taille, dans ce genre la. Son regard éloquent m’a suffi comme réponse.
Cela n’a pas été facile. Martin mon mari n’est plus ce que l’on peut appeler un jeune homme. De plus il n’est pas frêle du tout.
Quand je lui ai montré ce que j’avais trouvé, il a été content. Il a touché les étoffes, il a senti les matières et il a souri.
Il a touché les rubans et les dentelles. Il a trouvé qu’il n’y en avait pas assez. J’ai fait le nécessaire pour qu’il soit très content. Il a alors essayé la tenue.
La tenue a bien plu à Martine. Elle a voulu l’employer sans tarder.
Lui qui n’avait jamais tenu de plumeau, elle en a tenu un. Elle a traqué sans répit les poussières dans tout l’appartement. J‘étais bien contente de ne pas avoir à le faire moi-même.

Elle a appris à repasser, à faire la lessive, à passer l’aspirateur. J’étais de plus en plus satisfaite de mon idée. Je pouvais enfin faire la grasse matinée, lire à l’aise mes magazines et regarder mes feuilletons préférés à la télévision l’après midi. Ma cuisine et ma salle de bains étaient étincelantes, éblouissantes de propreté jusque dans les plus petits coins. Elles étaient dignes de figurer dans un salon de démonstration de fabricant de cuisines et de salles de bains équipées.

Et tout ceci se passait dans la bonne humeur. Martin, depuis qu’il ne travaillait plus était souvent maussade, d’humeur chagrine. Martine par contre était toujours joyeuse et de bonne humeur. C’était un plaisir de la voir s’agiter dans l’appartement. Parfois, elle avait un travail ou elle pouvait s’asseoir quelques minutes d’affilée. Nous pouvions alors bavarder à notre aise. Elle me racontait avec humour l’une ou l’autre aventure qui lui était arrivée, ou les dernières histoires colportées par les commères du quartier.
Car Martine sortait dans le quartier pour effectuer les courses du ménage. C’était un de ses grands plaisirs. Elle s’habillait spécialement pour l’occasion, en prenant bien son temps.
Après un long dernier regard dans le miroir, elle partait à la chasse aux nouvelles.

Cette nouvelle situation devenait de plus en plus agréable pour moi. Elle avait aussi quelques légers inconvénients. Par exemple, j’ai du restreindre l’usage de ma salle de bains. Auparavant j’en disposais tant que je voulais. Martin n’y faisait qu’un bref passage. Martine y passe beaucoup plus de temps. Elle la nettoie à fond tous les jours et surtout elle met beaucoup de temps à s’y préparer chaque matin. Elle y retourne plusieurs fois dans la journée.

En termes voilés j’ai parlé de tout ceci à mon amie Simone dont le mari était un collègue de Martin. Il avait été congédié comme lui lorsque leur entreprise était tombée en faillite.
A première vue elle ne pensait pas que ma méthode allait sauver son François de la dépression, mais voyant les résultats que j’avais obtenus, elle estima que cela valait la peine d’essayer.

François et Simone sont venus prendre le thé le mois passé. Martine a servi le thé. Elle a déjà bien maigri et ses nouvelles rondeurs sont bien mises en valeur par sa tenue toute neuve. Celle-ci a encore plus de dentelles et de rubans que la précédente. La nouvelle perruque de Martine m’a coûté cher mais elle lui va à ravir.

François était méconnaissable. Au début il était un peu perturbé, un peu perplexe. Après quelques minutes, il s’est laissé aller. Il n’avait plus d’yeux que pour Martine. Il regardait, comme hypnotisé, le moindre des gestes de ma femme de chambre. Je l’observais avec Simone. Nous notions les tressaillements de ses mains et la direction de son regard qui nous indiquaient ses centres d’intérêt. Je ne savais pas que Martine était si coquine. Elle feignait d’ignorer les regards implorants de François, mais en fait la rouée l’aguichait sans vergogne.

François fut muet pendant longtemps, puis il fut intarissable. Il mena la conversation. Il me posait des questions sur les étoffes, les matières, les dentelles et les rubans, leur douceur, leur aspect doux et soyeux. Il commentait en termes élogieux la silhouette et la coiffure de Martine. Après un moment, Martine, abandonnant provisoirement son rôle de femme de chambre, vint s’asseoir élégamment à coté de lui, faisant longuement bruisser ses dessous. Elle lui fit valoir de près les attrayants détails de sa tenue.
Simone et moi nous nous sommes regardé. L’affaire était entendue.
Elle avait fort envie d’avoir le plus vite possible une femme de chambre comme la mienne.
J’ai passé à Simone quelques bonnes adresses. Elle s’est mise directement à la recherche d’une tenue appropriée pour Françoise. Pour aider cette excellente amie, je l’ai d’ailleurs accompagnée.

Et puis il y a autre chose. C’est plus délicat, c’est plus personnel. Mais comme tout ceci restera entre nous, n’est ce pas, ma chère madame Isabelle, je vais vous parler de notre situation sexuelle.
Auparavant, nos rapports ne méritaient le pluriel que de justesse. Je ne me plaignais pas trop, car leur qualité était médiocre. Par contre depuis que Martine a trouvé vos fameux récits classés « S « , tout a changé.
Simone elle aussi est enchantée de l’évolution de Françoise dans ce domaine.

Pourriez vous remercier tout spécialement mademoiselle Sidonie qui écrit de si beaux récits pleins de bonnes idées que Martine et Françoise s’empressent de mettre en pratique.
Nous avons bien eu un peu peur au début que ces exercices ne leur prennent trop d’énergie. Que du contraire ! Après les séances d’exercices, même longues, elles débordent d’énergie et se lancent avec ardeur dans leur nettoyage, toutes stimulées.

Maintenant que nos tâches ménagères sont allégées, Simone et moi pensons à partir en vacances à nous deux. Nous examinons les catalogues. Simone aimerait aller à Ténérife. Elle aimerait aller voir le beau volcan. Moi je penche pour l’Andalousie.
Ceci permettrait à Françoise et Martine d’effectuer à fond le grand nettoyage de printemps.

Je tiens, madame Isabelle à vous remercier pour votre merveilleux site et de tout ce que vous avez fait pour nous quatre.
Je tiens, madame Jeanne à vous remercier de bien vouloir continuer la lourde tâche de madame Isabelle.

Votre dévouée,

Nicole Duhache


Commentaires retranscris par Marie Thérèse KOEST


Responsable du site : Lucie Sobek


Avis de lecteurs - note moyenne : 0
Merci de donner une petite note sur ce texte :
j'ai aimé...

1 Pas du tout
2 Un peu
3 Beaucoup
4 Passionnément
5 A la folie
Accès via la version smartphone - Contacter le webmestre