1 Soubrette pour une semaine (1) jeanne 29-11-2007, 12:59 Traduit par Jeanne

PROLOGUE

A la fin de l'année dernière, j’ai eu la chance de travailler comme femme de ménage pendant une semaine dans une maison victorienne proche de Londres, appartenant à des amis de la famille qui connaissent et acceptent mon style de vie « domestique ».

Quelques mots tout d’abord pour expliquer ma situation de « domestique ». Depuis très longtemps maintenant, je passe une bonne partie de mon temps comme bonne/femme de ménage dans ma propre maison ! C’est un commun accord entre ma femme / employeur et moi, et nous en profitons tous les deux. Chaque matin, elle va travailler et je reste à la maison pour faire les travaux ménagers, habillé de mon uniforme de soubrette, avec mon tablier fermement noué autour de la taille !

Professionnellement, je travaille en free-lance, et je m’arrange pour avoir assez de temps afin de rester à la maison, et pouvoir faire toutes les autres activités d’une femme de ménage ordinaire : les courses, la cuisine etc…

Sur le continent européen, la majorité des gens mariés, la société conservatrice de la ville où nous habitons, n’acceptent pas notre style de vie. Mais quand on visite l'Angleterre, généralement une fois par an pour passer Noël chez des parents et amis, les choses sont plus faciles, et je m’arrange toujours pour travailler comme femme de ménage un jour ou deux chez nos amis, les seuls au courant de ma situation de domestique.

Mais cette fois, j’ai été à la fois désappointé et agréablement surpris en même temps. Nous sommes arrivés à Londres deux semaines avant Noël. Le deuxième jour de notre arrivée, à peine remis du décalage horaire, ma femme Patricia, ou Pat comme elle aime qu’on l’appelle, m’annonce qu’elle doit se rendre à une convention internationale pour son travail, du coté du nord de l’Angleterre. J’étais très déçu parce que nous avions prévu de faire ce voyage ensemble et je pensais visiter cette partie du pays. Je lui faire part de ma déception, mais elle me coupe vivement me disant que les frais ne sont pris en charge que pour les participants, et pas pour les épouses, et que l’on a pas les moyens de faire cette dépense.

Et la deuxième surprise arriva avant que je n’ai pu me remettre de la première. Très à l’aise, elle me dit, « Mais ne t’inquiètes pas petite Monique, j’ai prévu quelque chose d’également très excitant pour toi. »

Elle a pu voir que je mourrais d'envie de savoir ce qu'elle avait dans la tête, aussi elle continua, "J’ai prévu pour toi de passer une semaine avec ma meilleure amie Mathilde et son mari Patrick. Tu les connais bien tous les deux et Mathilde a besoin de quelqu’un à la maison, Noël arrive et sa femme de ménage est à l’hôpital pour une opération urgente. Elle semblait très désespérée au téléphone, car son réveillon va être important et tout est à faire à la maison. Et tu sais comment est cette maison !"
C’est vrai, je connaissais très bien la maison de Mathilde. Plusieurs fois par le passé, nous avons été invités à différentes occasions, et j’ai quelquefois aidé au ménage.

Mais cette fois c’est différent : devenir la femme de ménage de Mathilde pour une semaine entière ! Mon estomac commençait à se nouer, chose qui m’est assez familière quand quelque chose d’excitant risque de m’arriver. Mais comment faire avec Patrick , lequel est mon ami, bien que durant leur récente visite chez nous, il m’a vu à l’œuvre habillé en femme de ménage. Je dois admettre que je ne me sentais pas très à l’aise en la présence d’un homme, même si « je sais qu’il sait ».

Continuant à lire dans mes pensées, ma femme me dit, « Mathilde m’a dit que tu ne devez pas t’inquiéter de la présence de Patrick, car il est en train de préparer une exposition qui aura lieu juste après Noël, et il passe actuellement tout son temps dans son atelier. »
Je dois ajouter ici que Patrick est un peintre très connu en Angleterre et que ses peintures sont très demandées. Son atelier est séparé de la maison par un joli jardin. Je sais que quand il travaille, il est dans son monde et il dort même souvent dans son atelier.

Ma femme poursuivit, « Tu dois donc te rendre chez Mathilde demain à neuf heures. Ne prend pas de costume pour sortir, à l’exception de ce que tu porteras pour y aller, short, tee-shirt et baskets. Bien sûr, tu emportes les affaires féminines dont tu as besoin et que tu aimes tant. »

Elle s’interrompt alors et me regarde en réfléchissant. A la maison, nous savons tous les deux que depuis des années, je ne porte plus que des culottes, bas et porte-jarretelles, et à l’occasion un soutien-gorge sous mon uniforme de soubrette. Le message est donc très clair : pas de vêtements masculins chez Mathilde ! Mon estomac se noue pour une seconde fois sous l’excitation!

Notre conversation s’arrête là. Ma femme me lance ces derniers mots sur un ton ironique, « Amuses-toi bien mon chéri, je suis sûre que Mathilde fera un bon usage de toi, et par la même occasion, tu apprendras ce que c’est que d’être une vraie femme de ménage dans une autre maison que la nôtre ! »

A suivre...