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« », une petite histoire imaginée par francoise

1 Mon service militaire Françoise tvq@femmes.net 27-10-2004, 16:29 par Françoise

Au conseil de révision, pour moi ça n'avait pas été une partie de plaisir. A cette époque en effet les mecs étaient alignés à poil, les uns derrière les autres, presque à s'encastrer l'un dans l'autre. Et pour moi qui était un peu androgyne, ça avait été très difficile. En effet pratiquement imberbe à part une petite touffe au-dessus de mon petit zizi, je ne passais pas inaperçu, et je dus subir les regards moqueurs de mes compagnons de ce conseil de révision.

J'étais vierge, et je dois avouer que même au collège où j'avais été pensionnaire, je m'étais toujours gardé de me montrer nu devant les autres. De sorte que de mon coté, j'ignorais évidemment comment ils étaient faits. Et là, soudain je découvrais que je n'étais pas comme eux! J'avais et de loin les attributs masculins les plus minuscules de tout le groupe. Et j'en étais rouge de honte.

Malgré ça, le médecin me déclara bon pour le service. Bénéficiant d'un sursis pendant que j'étais étudiant, je ne fus convoqué que 4 ans après, l'ayant résilié en ayant fini ma licence en droit.

Ce jour là, nous étions une vingtaine venant de la Creuse, département où j'habitais, et je m'aperçu que bien que paraissant le plus jeune, j'étais de loin le plus âgé, car seul sursitaire. On nous dirigea vers le magasin d'habillement, pour nous distribuer notre paquetage, puis ce fut le dortoir où nous nous installâmes.

Au fond de ce dortoir était une chambre occupée par le sergent responsable des jeunes recrues dont je faisais partie. Après nous être dévêtus, et revêtus nos uniformes, nous eûmes droit au réfectoire pour déjeuner. Je ne me sentais pas du tout à mon aise au milieu de ce groupe composé surtout de robustes campagnards, mon aspect gracile, quelque peu filiforme détonnait totalement. Et je sentais les regards des autres, mes 1m63 ne me conféraient guère le prestige de l'uniforme et mes 55 kgs la forme physique de mes congénères. Le capitaine qui commandait la compagnie nous reçut individuellement dans son bureau après le déjeuner. Quand ce fut mon tour, je vis qu'il me regardait d'un air surpris avec une espèce de lueur dans le regard.
- Soldat Muller, je vois que vous avez fait une licence.
- Oui mon capitaine
- Par ailleurs, je vois que vous n'êtes pas très costaud, même si vous me paraissez en bonne santé, et je me demande si ce serait bien sage de vous faire suivre le peloton et de faire vos classes. Aussi, si toutefois vous êtes intéressé, j'ai quelque chose de mieux à vous proposer.
- Très bien mon capitaine
- Voilà je viens de me séparer de ma secrétaire, voulez-vous la remplacer, vous avez l'instruction nécessaire pour cela.
- Mais bien sur que oui, mon Capitaine.

Et c'est ainsi que dès le début de mon service militaire, je devins secrétaire du capitaine. J'étais très contant, le capitaine Leroy était très gentil avec moi, de plus je logeais seul dans une petite chambre attenante au bureau, ce qui m'évitait d'avoir à subir les railleries éventuelles de mes collègues de la classe, devant mon absence de pilosité, ma voix fluette ( en effet je n'avais pas mué ) et mes petits attributs sexuels.

En quelques jours j'étais parfaitement au courant du travail que j'avais à faire, et je n'étais vraiment pas surchargé. Un après midi, j'étais en train de taper un état des effectifs de la compagnie, et je sentis derrière moi, tout près le capitaine, qui se penchait pour regarder ma page de texte. Il était si près que je sentais son souffle, et là je me suis senti très troublé par cette proximité. Non seulement, j'étais troublé, mais j'éprouvais comme un désir que je n'avais jamais ressenti auparavant.
- Alors mon petit François, habitué à ce nouveau travail ?
- Oh oui mon capitaine, et enchanté.
- À la bonheur, venez avec moi au mess des officiers, je vais vous offrir un café.

Et nous sortîmes pour nous rendre au mess où un soldat qui faisait office de barman, nous porta en effet un café, à une table un peu à l'écart. Puis chaque jour, vers 14 heures, mon beau capitaine était derrière moi et pris l'habitude de m'offrir un café. Il me troublait vraiment et j'avais envie de me réfugier dans ses bras.

Le temps passait, un matin je me suis réveillé avec des sortes de piquées dans le ventre, et je me présentais à la visite du médecin major. Quand il me vit nu, je remarquais qu'il semblait très étonne, mon absence de pilosité et mon petit sexe sans doute.
- Je suis en train de me demander quelles sortes de douleurs vous avez, jeune homme.
- Depuis ce matin, des sortes de piquées dans le bas du ventre, et en allant faire pipi j'ai remarqué un peu de sang dans mon urine.
- Bien, nous allons analyser ça et vous reviendrez me voir demain.

Le lendemain, toujours les mêmes douleurs, et le médecin major m'annonça qu'il m'envoyait en ville consulter un hormono thérapeute. J'étais très étonné, mais me rendis dès le lendemain chez ce spécialiste qui en fait était un gynécologue. Là, il me demanda de me déshabiller, et palpa mes testicules et mon pénis.
- Je n'en reviens pas, me dit-il, comment se fait il que vous n'ayez pas été réformé ?
- Comment ça docteur ?
- J'ai fais faire un examen chromosomique de vos urines et nous avons décelé que vous n'aviez pas de chromosomes y.
- Ah, et cela signifie quoi Docteur ?
- Bien tout simplement que vous n'êtes pas un homme!
- Comment ça, je suis quoi ?
- Sous réserve d'examens plus approfondis et d'analyses supplémentaires, je crois que vous êtes une femme avec des attributs males qu'il conviendrait de supprimer. Avez-vous encore mal dans le bas ventre?
- Oui Docteur, un peu moins mais ça fait 4 jours que ça dure. Et j'ai encore des saignements.
- Eh bien je vous annonce que vous venez d'avoir vos règles. Je vais vous faire une prise de sang, examiner également votre écoulement au niveau du pénis, et je vous donne un rendez- vous avec un endocrinologue, et moi même, mardi de la semaine prochaine. En attendant, vous me téléphonerez demain, je suis certain que vos douleurs auront disparu avec la fin de vos règles.
Le lendemain je m'éveillais en effet, toute douleur avait disparu, je téléphonais au gynéco qui me dit qu'il n'était pas étonné le moins du monde.

Le médecin major me convoqua, il venait de téléphoner au gynéco et m'annonça que j'allais certainement être réformé et dégagé de mes obligations militaires. Il allait falloir que je subisse une opération pour retrouver un sexe conforme à mon état féminin, et que très certainement allait commencer très vite pour moi une hormonothérapie, ayant pour but de développer mes caractères féminins secondaires.

Mon beau capitaine vint me voir, je ressentais toujours le même trouble en face de lui, mais maintenant je savais pourquoi, c'était les premiers émois d'une chrysalide entrain de devenir papillon.

Ce qui se passa par la suite est très banal aussi qu'il vous suffise de savoir chers lecteurs, que bien sur je fus opérée devint la belle jeune femme que j'aurais du être depuis toujours, ah oui j'oubliais, j'ai épousé mon capitaine.
Bisous de Françoise qui fut pendant une partie de sa vie François.


Responsable du site : Lucie Sobek


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