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« », une petite histoire imaginée par francoise

1 Le miroir de ma chambre Françoise tvq@femmes.net 27-10-2004, 16:21 par Françoise

Chapitre 1
À cette époque je venais d'être nommé à un poste de responsabilité dans la société où je travaillais. Aussi, je ne mesurais guère mon temps et rentrais assez tard à la maison où ma femme commençait à trouver le temps long!

Fréquents étaient les reproches qu'elle m'adressait, reproches selon elle d'autant plus justifiés qu'à son titre de directrice du marketing dans une société étrangère, s'attachait un salaire qui aurait largement suffi à nous faire vivre tous les deux. Mais voilà, mon machisme faisait que je ne voulais pas dépendre de ma femme et c'est pour cette raison que pour progresser, je consacrais de plus en plus de temps à mon activité professionnelle.

Ce jour là, ma femme avait du partir à un congrès aux USA, et je m'étais retrouvé seul, je dînais rapidement et me couchais, assez fatigué par ma journée de travail. Je m'endormis aussitôt. On était un vendredi soir et ne travaillant pas le samedi, j'allais enfin pouvoir me détendre et faire la grasse matinée.

Quand je me suis réveillé, il était déjà plus de 9 heures du matin, et un rayon de soleil passant par les interstices de mes persiennes, m'annonçait qu'il faisait beau. Depuis mon mariage, nous avions ma femme et moi l'habitude de dormir nus, et je me réveillais ainsi.

Je m'étais assis dans le lit, au pied duquel nous avions un miroir qui tenait tout le panneau. Je jetais un machinal regard à ce miroir et je fus très surpris de voir dans celui-ci une superbe blonde aux longs cheveux épars, cette femme était nue et assise dans mon lit ! Je me retournais donc pour la voir à coté de moi, et là je m'aperçut que j'étais seul, personne à coté de moi. Je me retournais vers le miroir et revis la blonde, seule d'ailleurs dans le miroir. Je me pinçais la joue pour être sur de ne pas dormir, et je vis que le blonde se pinçait la joue en même temps que moi. Alors je me levais, et la blonde aussi!!! Je m'avançais à toucher le miroir avec mon front et je m'aperçut que j'étais toujours transparent puisque je touchais dans la glace le front de la jolie blonde, qui par ailleurs était exactement de ma taille. Alors je m'éloignais du miroir et me retournant vers celui-ci je vis que la blonde en faisait autant, et je pus admirer sa magnifique chute de reins cambrée et ses splendides fesses prolongées par des cuisses fuselées!

Soudain j'entendis qu'on sonnait à la porte d'entrée, je m'empressais de passer ma robe de chambre pour cacher ma nudité et allait ouvrir, c'était tout simplement le facteur.
- Bonjour Madame, j'ai un colis pour vous, il vient des USA, voulez-vous me signer ce reçus s'il vous plaît.

Je signais alors. Le facteur s'en alla non sans m'avoir jeté un regard qui me fit un drôle d'effet. C'est alors que je m'aperçut qu'il m'avait appelé Madame. Enfin, je finie par comprendre ce qui m'arrivait. Alors je me précipitais dans la salle de bains et constatais que la blonde superbe de mon réveil : c'était moi !

Je défis rapidement la ceinture de ma robe de chambre masculine devenue bien trop ample pour moi et put me contempler toute nue dans la glace : j'étais ébahie par tant de féminité, mon visage aux yeux de biche, mon petit nez retroussée, mes lèvres pulpeuses, un cou gracile, des épaules harmonieuses et surtout des seins magnifiques, puis une taille fine, avec des hanches élargies, un ventre plat et un mont de vénus laissant deviner un vagin aux lèvres délicates, et des jambes splendides. Tout cela c'était moi ! moi ! moi!

Je ne pouvais rester nue ainsi, et j'allais vers l'armoire de notre chambre. Quand je l'ouvris, je m'aperçut que la plupart de mes vêtements avaient disparus et étaient remplacés par des vêtements féminins. Quand aux étagères où devaient se trouver mes sous-vêtements elles étaient, elles aussi garnies de lingerie délicate de dentelles, string, soutien-gorge, étuis de dimup, et porte jarretelles avec des bas. Je sortis une nuisette que je passais, elle était exactement de ma taille et je pus passer le déshabillé assorti. Dans le bas de l'armoire, différentes paires d'escarpins avec des talons plus ou moins hauts et de jolies mules dorées à semelles compensées, que je m'empressais de mettre également.

Que m'arrivait-il ? Etait ce un rêve ? Pas du tout, tout cela était bien réel.
Alors le téléphone sonna.
- Allo qui est à l'appareil ?
( ma voix avait mué et j'avais un timbre tout à fait féminin !)
- C'est moi Claudie, la femme de François, qui êtes-vous ?
- Mais c'est moi François !
- Ah ok, je constate que le miroir enchantée a fait son œuvre de François.Tu es devenue Françoise, je suis ravie !
- Comment ça le miroir enchanté ?
- Eh oui, ma chérie, car je peux t'appeler comme ça maintenant : MA CHERIE, j'ai voulu te réserver la surprise !
- Explique-moi s'il te plaît.
- Tu te souviens de ma copine Wanda, la fille du Gabon ?
- Oui bien sur nous avons dîné ensemble la semaine dernière.
- Et bien elle m'a appris que son père était un sorcier réputé dans son village et que si je lui donnais une photo de notre miroir elle la lui enverrait et il pourrait enchanter ce miroir, et ainsi transformer une personne de mon choix en ce que je voulais qu'elle devienne! Donc il a du recevoir la photo et tu es devenue la femme que je souhaitais avoir, disponible pour moi, en lieu et place de ce mari qui faisait passer son ambition personnelle avant notre union.
- Tu voulais que je devienne femme ? Mais je vois bien que je le suis devenue, et je vais rester ainsi combien de temps ? Toute une journée, ou plus ?
- Mais ma chérie, si j'ai souhaité que tu deviennes femme, ce n'est pas pour un temps déterminé, c'est définitif, tu vas demeurer pour toute la vie, ma petite femme que je vais pouvoir choyer. D'abord as-tu vu que je t'avais préparé toute une garde robe, dans les tailles que je désirais que tu sois !
- J'ai vu, en effet que tu avais fait disparaître toutes mes affaires d'homme, et en ce moment je peux même te dire que je suis en nuisette et déshabillé rouges, transparents, avec des mules dorées. Et qu'en plus tout cela est parfaitement à ma taille.
- Oh ! Je voudrais te voir ? Tu es blonde n'est ce pas ?
- Oui, Platinée.
- C'est bien comme ça que je te voulais! As-tu reçu mon colis express ?
- Oui mais je ne l'ai pas encore ouvert !
- Ouvre le ma chérie, tu vas y trouver quelques bijoux fantaisie que je t'offre puisque c'est ton anniversaire, et une trousse de maquillage avec tout ce qui t'est désormais indispensable! Bon anniversaire, tiens tu devrais mettre une bouteille de champagne au frais, nous la boirons dès ce soir toutes les deux, je rentre par le concorde qui atterrit à Roissy à 18 heures.
- J'avais complètement oublié que c'était mon anniversaire, et j'étais loin de m'imaginer que tes cadeaux c'était avant tout d'avoir fait de moi une jeune femme!
- Tu m'en veux ?
- Non je ne dirais pas ça, mais il faut que je me fasse à cette idée, je suis très troublée pour l'instant! C'est tellement extraordinaire !
- Je te comprends, tu sais j'ai hâte de te voir, j'ai mis dans l'armoire une robe mini rouge à bretelles très sexy, j'aimerais bien que tu la mettes pour m'accueillir.
- Bien ma chérie, je vais déjà faire ma toilette, et puis après j'irais faire quelques achats, que dirais-tu d'un bon foie gras et d'un bon dessert, genre Charlotte Elysée ?
- Ce sera parfait, à tout à l'heure, bisous !

Ainsi se termina notre conversation au téléphone, pour l'instant je ne vous raconte pas ma première soirée d'anniversaire en Françoise, si vous avez envie d'en savoir plus, dites-le moi et je vous raconterai.

Chapitre 2

J'étais donc devenue Françoise, et chose curieuse j'étais bien une jolie blonde et je continuais encore un peu à raisonner en homme, enfin par intermittence, comme un véhicule dont on a arrêté le moteur et qui continue à avancer faiblement en côte, mu par l'énergie cinétique !

Je résolut de prendre une douche pour finir de me réveiller, et tandis que l'eau chaude ruisselait sur mon corps je me palpais un peu partout et éprouvais de nouvelles sensations. Les pointes de mes mamelons étaient devenues très sensibles et quand je passais la paume de mes mains pour les caresser, je ressentais une excitation toute nouvelle pour moi, j'osais même écarter les lèvres de mon sexe et y introduisant un doigt venait chatouiller mon clitoris et, sous la douche, je ne pus alors m'empêcher de me masturber ainsi, quel bonheur! J'éprouvais une jouissance que je n'avais jamais connu en tant qu'homme. Je sortis alors de la douche et m'essuyais puis m'enveloppais dans le peignoir de bains de ma femme, et je m'aperçut alors que mes longs cheveux blonds, trempés, tombaient un peu partout sur mes épaules et mes seins, il me fallu alors m'asseoir avec le séchoir, et je n'étais pas très habile à ce nouvel exercice. Enfin je me séchais les cheveux tant bien que mal, et m'apercevant que je ne pouvais pas vraiment me coiffer, je téléphonais au coiffeur de ma femme, qui me dit pouvoir me prendre dans la demie heure qui suivait.

Le salon possédant une esthéticienne, je ne maquillais pratiquement pas, juste un peu de rouge, et de poudre compacte, je passais rapidement un string et le soutien-gorge assorti, une paire de dimup, une légère combinette noire et une miniverte, tout cela m'allant à merveille. Décidément, Claudie avait admirablement bien choisi ma nouvelle garde robe. Je chaussais alors des escarpins noirs à talons de 5 cm, me promettant de passer des talons aiguilles dès que je serais un peu plus habituée. Malgré mon très léger maquillage, et mes cheveux coiffés à la diable, je me trouvais très jolie, et j'éprouvais déjà du plaisir à aller me montrer dans la rue. Comme on était en avril, je passais un manteau parme, ample fermé au col par un seul bouton, et me mis à descendre par l'ascenseur, c'est alors que je m'aperçut que j'avais oublié de prendre un sac à main! Pas étonnant pour une toute nouvelle jeune femme ! Il fallait que je m'habitue. J'allais en récupérer un dans mes affaires, je vis dedans un portefeuille avec de l'argent, une carte de crédit au nom de Françoise Muller, et des papiers d'identité au même nom, tout avait donc été prévu! Je n'en revenais pas.

Pour aller chez le coiffeur, je n'avais que la rue à traverser, donc pas de problème.
- Bonjour Madame, je vous ai téléphoné pour un rendez-vous.
- Parfaitement, voulez vous vous installer.

Elle me passa une blouse et me demanda quel genre de coiffure je désirais, j'hésitais un peu, puis lui demandais de me faire voir différentes coiffures, ce qu'elle fit avec bonne grâce. Je choisis alors une coiffure très moderne avec une frange légère et des longues mèches souples encadrant l'ovale de mon visage, et mes longs cheveux prenant un aspect de mèches mouillées. - Vous avez, très bon goût chère Madame, je n'aurais pas pu vous proposer mieux.
- Je voudrais aussi que votre esthéticienne me face un maquillage très sophistiquée, car je dois accueillir une personnalité ce soir.
- Bien, commençons par la coiffure

Alors elle entrepris le démêlage de mes cheveux avec un produit que je m'empressais de retenir, puis vinrent les rouleaux, et confection de la frange qui descendait jusqu'à mes sourcils. Quand la mise en plis fut terminée, elle inclina mon fauteuil et l'esthéticienne commença son travail, tandis que fatiguée par toutes ces émotions je ne tardais pas à m'endormir. Au bout d'un long moment je finis par me réveiller, j'étais sous le casque, et on me tendit un magasine féminin : Elle, que je me mis à lire pour la première fois de ma vie. Et je m'aperçut que je prenais un vif intérêt à tous ces articles féminins, la mode, les produits de beauté, les coiffures, la lingerie, je commençais vraiment à entrer totalement dans ma nouvelle peau, et contrairement à ce qui se passait une ou deux heures plus tôt je me sentais enfin totalement femme, au point même d'oublier que ma nouvelle apparence ne datait que de quelques heures. La coiffeuse vint alors enlever le casque sous lequel j'étais restée plus d'une demi heure, et je pus enfin me regarder dans la glace. Effet foudroyant, j'étais encore plus jolie, mes sourcils étaient réduits à une ligne très mince, le bleu de mes paupières, soulignée d'un trait net d'eyeliner bleu nuit, et les faux cils qui m'avaient été collés, me donnaient un regard envoûtant, mes yeux de biches me mangeaient le visage, mes pommettes ressortaient grâce au blush et mon teint de pêche me plut beaucoup. Quant à mes lèvres, je sentis en regardant ce rouge carmin qu'aucune personne ne pourrait rester indifférente à cette bouche pulpeuse. J'étais une magnifique créature, comme on n'en imagine que dans les rêves.
- Alors comment vous trouvez-vous chère madame ?
- C'est parfait, vous avez une esthéticienne qui a vraiment énormément de talent.
Je quittais ma blouse et repassais mon manteau, et pris mon sac pour payer.
- Voilà c'est 150 Euros.
A vrai dire je ne m'étais jamais imaginer que je dépenserai autant en soins de beauté, mais le résultat en valait la peine. Elle me vaporisa un nuage de femme de Rochas, et je sortis du salon enveloppée dans un délicieux nuage de parfum envoûtant.

Je décidais alors de faire les courses pour le repas du soir avec ma tendre épouse. Il y avait à deux pas un magasin Fauchon vers lequel je me dirigeais, et très près aussi un traiteur où je savais trouver tout ce que je désirais, je voulais un souper d'amoureuses !

C'était magique, de sentir le vent sous ma jupe, les regards des hommes sur mon passage, je me sentais admirée pour la première fois de ma vie, aussi je traînais volontairement en m'arrêtant devant les vitrines et en regardant dans la vitrine je pouvais voir les regards posés sur moi. C'est l'appétit qui me décida à rentrer chez moi, et je me fis rapidement des surgelés au micro ondes, une pizza, suivi d'une tartelette que j'avais prise chez le boulanger, j'avais conscience qu'il allait falloir que je fasse des sacrifices pour conserver la ligne, encore un sujet nouveau de préoccupation.

Je pensais alors qu'il allait falloir que je donne ma démission de la boite dans laquelle je travaillais, mais je résolus d'attendre le retour de ma femme, ayant là besoin de ses conseils, je ne savais vraiment pas comment faire.

Pour ne pas déranger ma coiffure et mon maquillage, je devais éviter de faire la sieste comme j'en avais l'habitude lorsque j'étais à la maison. Mais je n'en éprouvais d'ailleurs pas le désir. Je m'étais assise dans un fauteuil devant la télé qui diffusait justement des conseils de maquillage dans un magasine féminin sur la 2. J'étais très intéressée et il était de toute façon nécessaire que j'apprennes à me débrouiller de ces soins du visage, indispensables à la créature que j'étais maintenant.

J'avais envie d'avoir de la compagnie, aussi je ne tardais pas à me mettre devant notre ordinateur et à rechercher des salons pour chater et trouver ainsi de la compagnie. J'avais trouvé sur AOL un salon " entre elles " et j'avais a peine écrit "bonjour "que j'étais l'objet de messages instantanés très nombreux. ( à suivre )

Chapitre 3

J'étais sur Aol, et me présentais en tant que Françoise dans un salon de lesbiennes, mais je m'aperçus vite que j'avais affaire à des imposteurs presque uniquement. Tout le monde voulait des photos et surtout des photos déshabillées, alors j'exigeais de communiquer avec ma web cam. Beaucoup moins de monde, et cela me permit d'engager la conversation avec une jolie brune avec laquelle je ne tardais pas à me découvrir des affinités, elle me trouvait très à son goût et voulait un rendez vous. Mais comme j'attendais le retour de Claudie, je lui demandais de me rappeler le lendemain et lui donnaist mon numéro de portable en échange du sien. Bref le temps passait ainsi agréablement et je vis qu'il était près de 19 heures quand j'entendis des clefs dans la serrure, j'allais dans le couloir et je m'aperçus que c'était Claudie, mon épouse, enfin arrivée.
- Mon dieu ! C'est incroyable Françoise, ce que tu es jolie, vraiment ce miroir magique a fait des prouesses!
- Tout ça grâce à toi, sais tu que depuis ce matin je me suis habituée à mon nouveau corps ! Et que je me plais comme je suis.
- Si tu ne te plaisais pas tu serais difficile, ma chérie ! Je penss que nous allons vivre une aventure merveilleuse, maintenant je te tiens, tu n'iras plus essayer de gravir des échelons dans une société qui se fiche pas mal de toi. Nous allons d'ailleurs rédiger ensemble ta lettre de démission.
- Et que vais je faire désormais ?
- Eh bien dans un premier temps tu vas rester à la maison, je veux que tu sois totalement disponible pour moi. Tu sais avec la situation que j'ai, tu n'as absolument pas besoin de travailler.
- Je veux bien, mais j'ai peur d'être un peu désœuvrée
- Attend je ne t'ai pas tout dit
- Quelle nouvelle encore ma chérie ?
- Et bien voilà. Mais d'abord promet moi de me laisser aller jusqu'au bout
- D'accord.
- Tu sais que j'ai toujours voulu avoir des enfants, et qu'a cause de mon métier et de mes responsabilités, je n'ai pu mener à bien ce projet, et bien maintenant nous allons pouvoir en avoir.
- Comment ça, comment veux tu que je t'en fasses un maintenant que je suis femme !
- Mais il ne s'agit pas de moi, il s'agit de toi !
- Moi ?
- Oui tu peux parfaitement avoir des enfants.
- Et qui va me les faire ?
- Mais un donneur, ma chérie, insémination artificielle, tu veux bien ? Ttu vas avoir le temps et un bébé quoi de mieux pour s'occuper !
- Alors là !!!! Tu peux dire que tu m'annonces une sacrée nouvelle, moi une femme, et en plus enceinte! Ca alors!!!
- Et oui notre bébé aura deux mamans, dont une libre pour s'occuper de lui dans la journée! Alors qu'en penses tu ?
- Je suis troublée, mais en fait pourquoi pas, je voulais tant un enfant, le faire ce n'est pas mal non plus, j'espère que j'ai l'instinct maternel.
- J'étais certaine que tu accéderais à mon idée, tellement sure que j'ai pris rendez vous à la clinique à Neuilly, et que tu as une chambre réservée pour demain.

Et voilà comment je me suis trouvée enceinte, j'ai eu beaucoup de bonheur.

D'abord exhiber mon ventre qui prouvait ma fécondité. Comme je suis peureuse, j'ai accouché avec une péridurale, ma femme était là. Puis j'ai eu une petite fille, Laurine, et j'ai eu tant de plaisir à lui donner le sein! Maintenant elle a 2 ans, choyée par ses deux mamans qu'elle aime et qui le lui rendent bien.


Responsable du site : Lucie Sobek


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