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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Colette divers jeanne@femmes.net 15-06-2006, 13:18 Représentant pour un laboratoire, j'avais pris l'habitude de concentrer mes tournées du lundi au jeudi midi, de prendre mon après midi et ma soirée, et de finir mon travail le vendredi.

Fidèle à mes habitudes, la semaine dernière, j'étais rentré à mon hôtel à 14h et après m'être soigneusement rasé, je me suis changé et, c'est transformée en jeune femme sexy et court vêtue, que je suis descendue prendre ma voiture au parking ; les hôtels 1° CLASSE sont très pratiques pour cela car toutes les chambres donnent directement sur l'extérieur sans avoir à passer par la réception.

Et c'est là que la catastrophe s'est produite. Dés que j'ai ouvert ma portière, d'une voiture un peu plus loin est sorti mon directeur commercial!

Dans la panique, j'ai manqué d'à propos, et au lieu de tenter de le séduire, j'ai bredouillé et offert ma démission s'il acceptait de ne rien dire à ma femme. Grand seigneur, après m'avoir fait écrire ma lettre sur le champ, il m'a autorisée à conserver la voiture jusqu'au lendemain, pour aller faire « la pute ». Inutile de dire que je n'ai pas eu le coeur à en profiter ! Rentrée le lendemain, j'ai annoncé Anne Marie, mon épouse que j'étais licencié pour cause économique. En réponse, elle m'annonça une bonne nouvelle : l'agence de voyage dans laquelle elle travaillait lui avait offert un week-end pour deux personnes à Deauville pour récompenser ses résultats !

Nous sommes donc partis samedi dernier avec sa voiture, et, arrivés à l'hôtel, elle prit une douche et commença à se changer, en me disant d'en faire autant. Quand j'ai quitté la salle de bains, elle était déjà partie, en emportant tous mes vêtements et en laissant sur le lit la valise dans laquelle j'enfermais toutes mes affaires de fille et que je croyais bien cachée au grenier! N'ayant pas le choix je commençais à m'habiller quand elle réapparut avec un paquet à la main. Elle venait d'acheter deux petites jupes lambada noires en crêpe de soie et me dit que nous serions ainsi toutes deux vêtues de la même façon, car deux collègues masculins devaient nous rejoindre à 18 heures ! Affolée, je lui dis que c'était impossible, mais elle me répondit que je n'avais pas le choix et que mon ex directeur à qui elle avait téléphoné pour se faire expliquer mon licenciement lui avait dit qu'il m'avait trouvé ravissante et que je devais pouvoir draguer sans problèmes !

Abasourdie, paniquée, et très excitée en même temps, je décidais donc de me faire très belle avec son aide ( chose dont je n'avais jamais osé rêver ).

A 18 heures, nous étions prêtes et aguichantes avec nos minijupes qui virevoltaient au moindre mouvement. Ses collègues sont arrivés juste à l'heure" elle a fait les présentations :

Paul et Roger (qu'elle se réservait visiblement ) et moi, de Patrick, j'étais devenue Patricia"

ce que je préférais de beaucoup!

Nous avons fait un petit tour en voiture " j'étais derrière avec Paul, et c'est tout naturellement qu'il a passé son bras autour de ma taille et qu'il m'a serrée contre lui.

Après avoir pris l'apéritif au casino, personne n'ayant faim, il fût décidé que nous irions danser. Nous avons trouvé une petite boite très sympathique où il y avait déjà pas mal de monde. Bien sûr j'ai dansé presque tout le temps avec Paul qui devenait de plus en plus câlin. Anne Marie et moi étions un peu l'attraction, car s'il y avait beaucoup de minijupes, les filles portaient toutes des collants et nous étions les seules à porter des bas et porte-jarretelles avec un string symbolique ! Et chaque fois que nos cavaliers nous faisaient tournoyer, personne ne pouvait l'ignorer. La première fois que je me suis aperçue dans une glace les fesses à l'air, j'ai tenté de rabattre ma jupe, mais c'était pratiquement impossible et Paul s'en amusait en disant que de toutes façons personne ne nous connaissait et que les autres filles étaient sûrement jalouses. En avançant dans la soirée, le rythme de la musique se calmait et les slows devenaient plus fréquents et je ne pouvais rien ignorer du désir de mon cavalier qui, après m'avoir embrassée dans le cou, s'empara de mes lèvres juste au moment ou nous croisions Anne Marie qui en faisait autant avec Roger. Je me sentais tellement bien que j'avais la sensation d'être une vraie fille et je participai pleinement à ce baiser.

La fatigue commençait à se faire sentir et Anne Marie décida qu'il était temps de rentrer.

Arrivés à l'hôtel, je m'apprêtais à rentrer dans la chambre avec ma femme, mais elle me barra le passage. Pas question, me dit-elle, je rentre avec Roger, et toi avec Paul.

Je n'avais jamais été aussi loin dans mes moments de travestissement et je me contentais de caresses avec mes partenaires de rencontre.
Mais je n'avais pas le choix et dans la chambre Paul me laissa passer la première dans la salle de bains où je trouvais une nuisette coquine et je décidai de conserver mon string.

Quand il vint me rejoindre dans le lit, j'attendais avidement ses caresses, mais il était très excité, et après avoir fait passer mes jambes sur ses épaules, il me prit brutalement et me fit assez mal, car je n'avais été pénétrée jusque là que par des godes de dimension raisonnable et après lubrification. Il s'aperçut de mon trouble, et je lui avouais que c'était la première fois et que je n'en avais pas eu de satisfaction. Il s'excusa et s'occupa de tout mon corps avec une telle délicatesse que je le suppliai moi-même de me prendre et là, ce fut véritablement l'extase ! Après nous être endormis dans les bras l'un de l'autre, nous recommençâmes nos ébats le matin et quand Anne Marie entra dans la chambre je gémissais de plaisir sous ses assauts !

La journée passa comme un rêve et en fin d'après-midi il fallut rentrer. Paul et Roger nous ont fait leurs adieux, car s'ils avaient tous deux apprécié notre compagnie, ils étaient mariés et ne voulaient pas prendre des risques pour leur foyer.

Comme j'étais triste, Anne Marie mit les points sur les i.

La récréation est finie; tu as le choix entre deux options.

Ou tu pars et tu te débrouilles toute seule.

Ou tu restes aux conditions suivantes :

Tu resteras toujours en fille " tu recevras un traitement hormonal pour développer tes seins, mais pas d'opération. A la maison tu feras le ménage, la cuisine etc.. mais comme nous avons des goûts de luxe, de temps en temps je te présenterai des clients qui useront de toi à leur convenance, moyennant finance - j'en ferai d'ailleurs autant de mon côté. Je mènerai ma vie sexuelle comme je l'entends et ramènerai mes amants à la maison et tu seras à leur disposition s'ils le désirent, mais nous continuerons à coucher ensemble quand nous serons seules. Mais en tous cas tu m'obéiras aveuglément. Es-tu d'accord ?

Bien sûr j'étais d'accord, car c'est le statut auquel j'avais toujours aspiré au fond de moi-même !

Pour me mettre en condition, elle arrêta la voiture sur une aire de repos et m'ordonna de déambuler un peu plus loin et de racoler des automobilistes ou camionneurs. Le tarif à demander était de 30 euros pour une fellation ou 75 euros pour une passe. Elle me mit quelques préservatifs dans mon sac et je m'éloignai pas trop traumatisée, car c'est ainsi que je procédai quand je draguais en travesti mais gratuitement !

Au bout de deux heures, j'avais fait 4 fellations et une passe mais je n'avais plus de préservatifs. Anne Marie qui avait tout surveillé de loin avoua que j'étais vraiment très douée pour ce métier et qu'il aurait été dommage de ne pas en profiter. Curieusement, cela m'excitait d'exercer mes talents sous ses yeux. C'est mon côté exhibitionniste certainement.

Nous sommes rentrées à la maison et avons fait l'amour avec une jouissance beaucoup plus intense que d'habitude. J'espère que l'avenir ne nous décevra pas !

Colette


Responsable du site : Lucie Sobek


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