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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Le hasard fait bien les choses 1 jeanne tvq@femmes.net 31-12-2004, 8:23 Partie I

Comme l'été tirait à sa fin, mes amis et moi cherchions une façon de bien terminer l'été en s'amusant. Alors Sophie décida d'organiser une de ses fêtes dont elle avait le secret. Cette fois ci, ce serait une fête costumée. Mais pour corser l'affaire, tous les invités devaient tirer un papier d'un panier. Ce qu'il y avait sur le papier était le costume que vous devriez porter pour la fête. Les gens tirèrent leur papier, certains sourirent d'autres froncèrent les sourcils. Quand ce fut mon tour, je tirais un papier et lu ce qu'il y avait dessus. Il y avait écrit 'La mariée' sur le papier !
" Écoutez tous, j'ai choisi des costumes qui vont par paires. Comme Superman et Lois Lane, le prince et la princesse ex... "

Elle commença alors à lire la liste des costumes. Quand elle arriva à 'La mariée', je me levai. Jusque là j'étais le seul garçon à avoir un costume de fille. Elle demanda alors le marié et Charles se leva. Il était plus grand que moi d'au moins 15 cm et pesait au moins 20 kg de plus. A coté de lui, en mariée je pourrai passer pour une fille. Le reste de la liste fut lu. J'allais être le seul garçon habillé en fille! On s'est moqué de moi, surtout quand Charles passa ses bras autour de moi.

Quand je suis rentré à la maison, j'ai dis à ma mère ce que j'avais tiré. Ca la fait rire un bon moment, mais elle repris son sérieux.
" J'ai bien ma rode de mariée, mais bien sur elle n'est plus à la mode, je ne te demanderai pas de porter ca. Mais ta tante Marie travaille dans un grand magasin. Elle pourra peut-être nous aider "

Maman appela tante Marie, lui expliqua l'aide qu'on attendait d'elle. Je vis maman faire des signes de la tête puis elle raccrocha et me dis que nous irions au magasin le lendemain matin. Je n'y prêtai pas d'importance, après tout c'est juste une perruque et une robe. Qu'est ce que cela pourrait être d'autre ? Je ne me rendais pas compte à quel point j'avais été stupide d'accepter.

Le lendemain matin, maman et moi sommes allés voir tante Marie. Je ne me rendais pas compte de ce que devenir une mariée impliquait. Je fut conduis dans la section rode de mariée. Là, je rencontrais la plus effrayante des femmes. Comme Attila en rode, la femme était énorme, les cheveux poivre et sel tirés en arrière pour accentuer son air sévère. Sans être trop dure avec elle, je pense qu'elle avait plus de barbe que moi. Marie me présenta et lui expliqua pourquoi je devais devenir une belle mariée.
" Alors vous voulez devenir une mariée…ummm "
Même sa voix était roque. La femme me montra une petite pièce et me dit de me déshabiller ! Je regardai maman et elle me fit signe d'y aller. J'allai dans la cabine et commença à me déshabiller, alors maman arriva avec un mètre ruban.
" Margaret dit que tu feras une très jolie mariée "
" Comment peut-elle le savoir ? Elle ressemble à un camionneur ! "
" Tais-toi et fais ce que je dis. Enfile ce peignoir pour le moment, je reviens dans quelques instants "

Quand maman revint, elle me tendit une culotte et posa d'autres affaires sur le banc. Maman me dit de mettre la culotte. Puis elle me mit un corset autour de la taille et me regarda mettre les attaches une à une. Alors, elle lassa le corset si fort que j'avais l'impression d'étouffer ! Elle en sourit. Pendant que je cherchais mon souffle, elle mit quelque chose dans les ballonnets. Puis, je du m'asseoir et mettre une paire de ces chaussettes en nylon qu'on donne aux femmes dans les magasins pour essayer les chaussures. Je remis le peignoir et suivis ma mère en dehors de la cabine.
" Attend ici "
Margaret me montra une petite estrade et je montai dessus. Alors pendant que maman et tante Marie me regardaient, elle mesura mes hanches, ma taille, ma poitrine.
" Taille 10 je pense. Je vais chercher une robe pour elle. C'est une robe qui nous a été rapportée, vous pourrez l'avoir pour un très bon prix "

Elle ? Margaret me laissa la pendant dix minutes avant de revenir avec un grand sac en plastique. Maman l'aida à retirer la robe, la passer au-dessus de ma tête et l'enfiler, puis elle remonta la fermeture éclair. J'étais dans un océan de dentelles et de satin. En regardant vers le bas, je pouvais voir que la robe avait un large décolleté qui laissait apparaître mes maigres et disgracieux faux seins. La robe partait de mes épaules, laissant mes bras dénudés, était très serrée à la taille puis s'évasait. Le bas de la robe traînait parterre mais personne ne s'en inquiétait. Tante Marie avait une paire de chaussure blanche dans ses mains et m'aida à les mettre. J'arrivais à me tenir droit avec ces talons mais marcher était une autre affaire.
" Elle a besoin d'une taille plus fine et bien sur de plus de poitrine, mais je pense que la robe fera l'affaire. Elle sera merveilleuse quand vous aurez l'aurai maquillée, épilée les poils de ses jambes et coiffée. "
" Je suis d'accord Marie. Je m'en occupe "
" La petite a besoin d'une plus grosse poitrine et aussi de plus belles hanches. Et j'ai justement ce qu'il lui faut. Je vais vous le chercher "

Les choses ne s'arrangeaient pas. Maman avait un regard étrange et tante Marie un petit sourire pendant qu'Attila cherchait quelque chose pour me donner plus de poitrine et de hanche ! Margaret revint tenant dans ses mains une boite puis elle m'aida à retirer ma robe. Je retournais me changer, mais maman refusa que je retire mon corset disant que je devais le porter un peu pour le 'casser'. Le mieux que je puisse faire fut de retirer le rembourrage de mes ballonnets mais on les voyait clairement sous mon tee-shirt. Maman et tante Marie prirent bien soin de tout payer pendant que je courus jusqu'à la voiture de peur que l'on ne me voie. Maman ne dit rien avant d'arriver à la maison. Alors elle me dit d'aller dans ma chambre et de me déshabiller. Je courus dans ma chambre et me déshabilla rapidement. J'avais encore la culotte féminine quand maman de délassa le corset. Je l'enlevai, je pus à peine reprendre mon souffle quand je vis ce que maman avait dans ses mains. Des faux seins plus vrais que nature !
" La fête est dans à cinq jours, c'est à peine le temps nécessaire pour s'habituer à marcher avec une robe et des hauts talons. Je pense que tu va devoir passer un peu de temps habillé en fille. C'est pourquoi tante Marie a rapporté avec elle quelques affaires à essayer "
" Combien de temps dois-je passer habillé en fille ? "
" Pourquoi pas à partir de maintenant jusqu'à la fête ? "
" Mais pourquoi, tout ce que j'ai à faire c'est porter cette robe et me montrer un peu "
" Parce qu'être une mariée c'est une chose très importante dans la vie d'une fille, tu dois respecter cela en le faisant du mieux que tu peux et ca signifie devenir une fille pour la semaine. De toutes façons, je veux voir tes cheveux coiffés et tes ongles manucurés samedi pour être présentable à cette fête. Je suis sure que tu ne veux pas arriver au salon de beauté en garçon et ressortir en garçon mais avec les ongles vernis et une coiffure de mariée, n'est-ce pas ? "
" Bien sure mais mes cheveux ne sont pas assez long ! "
" Si, ils le sont, mais tu n'es pas habitué à les coiffer comme cela "
Essayer de discuter avec ma mère, c'est comme parler à un mur. Elle semble entendre ce que vous dites mais elle n'y porte aucune attention.
" Je dois vraiment faire cela ? "
" Oui, je pense que tu dois le faire "

Il n'y avait aucun moyen de lui sortir cette idée de la tête, surtout quand elle a cet air décidé. Je haussais les épaules et laissais maman continuer. Elle me mit de la crème sur tout le corps. Après quelques instants je me rinçais sous la douche et ce qui fit partir tous mes poils laissant ma peau douce et soyeuse. Une fois sec, maman sans même avoir lu la notice, recouvrit les faux seins d'une abondante couche de colle et me les appliqua sur la poitrine. Quand ce fut fait, je vis dans le miroir que j'avais maintenant planté sur ma poitrine des seins presque réels. Je ne voyais même pas la bordure ! Les fausses hanches était en fait une sorte de collant rembourrée que je devais enfiler. Une fois fait, on ne voyait plus rien de mes attributs masculins et à la place il n'y avait plus qu'un triangle de poils que ressemblait à ce qu'une fille aurait pu avoir. Maman me dit de remettre ma culotte qui maintenant m'allait très bien.
" Mets cela maintenant "

Maman me tendait un soutien-gorge ! Je me regardais dans le miroir tenant mes deux seins dans chaques mains et je fus surpris de voir comme il était facile de faire disparaître toutes traces de mon coté masculin et de me transformer en fille! Maman sourit et mis le soutien-gorge en place, ma poitrine remplissait bien les balconnets et en débordait presque ! Sous sa direction, je me suis assis sur le lit, j'enfilais une paire de collant, je prenais une petite robe et l'enfilais par-dessus la tête. Dès qu'elle avait remonté la fermeture éclair, je mis les chaussures à talons et me regardais dans le miroir, je crus m'évanouir. Même sans maquillage, mes cheveux en bataille et en me tenant n'importe comment, je ressemblai déjà à une fille et le pire c'est qu'il apparaissait évident, même à moi, qu'il ne faudrait pas grand chose pour terminer cette transformation!

Maman me fit retirer la robe et nous nous dirigeâmes vers sa chambre où elle me maquilla, coiffa mes cheveux en utilisant le sèche cheveux, son fer à friser et une bonne dose de gel et de laque. Quand elle eut fini, je pus voir que j'avais raison. De retour dans ma chambre, je renfilai la robe et me regardais dans le miroir.
" Maintenant, nous avons besoin d'un nouveau nom pour la nouvelle fille que nous avons ici "
Je me tu plutôt que de lui donner des idées, mais il ne lui fallut pas beaucoup de temps avant de dire que mon nouveau nom serait Claire.
" Bon maintenant que nous en avons fini, tu peux vaquer à tes occupations habituelles, mais souviens-toi que tu es une fille maintenant, je veux que tu essayes de te conduire de la sorte "

Vous pouvez imaginer ce que je ressentais quand maman quitta la chambre. J'étais là, habillé en fille, très mignonne, en pensant que je devrais passer la semaine complète habillé comme cela ! Je regardais ma chambre me demandant comment se serait de passer toute la semaine là. Je n'ai pas eu beaucoup le temps d'y penser car maman m'appela en utilisant mon nouveau nom. Pensant que nous n'étions que deux, je descendais comme je pouvais avec ces talons inhabituels pour moi. A la minute où mon pied touchait le sol, je me tournais et vis Sophie posée là. J'étais coincé là, incapable de bouger et sans moyen de m'échapper.
" J'étais venu te dire que tu n'étais pas obligé de t'habiller en mariée mais… "
" Um, Claire ? "
Je regardai maman qui était en train de lire la notice des prothèses mammaires ses yeux grands ouverts.
" Quand je t'ai collé ces faux seins, je n'avais pas lu les instructions…mais maintenant c'est fait. Ils disent que toutes tentatives pour les enlever pourrait entraîner de graves dommages, causant des cicatrices et des lésions cutanées. Le temps minimum avant d'essayer de les retirer est de dix jours. "
" Quoi, dix jours maman ? "
" Je sais mon chéri, je suis désolé ; mais regarde le bon coté des choses. La fête est dans six jours, tu n'auras qu'à attendre quelques jours de plus avant de les retirer "
" Et que faire s'ils ne se détachent pas ? "
" Tu n'auras qu'à attendre quelques jours de plus "
" Super ! "
Sophie avait tout entendu, mais n'avait pas encore réalisé. Alors maman lui expliqua. Sophie me regardait de haut en bas tout le temps que maman lui parlait.
" Vous dites qu'il devra être Claire pour dix jours ? "
" Oui, mais je ne veux pas que vous vous moquiez de lui, c'est ma faute "
" Me moquer quand on la voit comme cela ? Elle aura de la chance si tous les hommes qu'elle croisse ne la drague pas ! "

Maman et Sophie me regardèrent un bon moment, puis Sophie demanda à maman si j'avais assez d'habits pour tenir dix jours. Quand maman lui dit que tante Marie ne m'avait prêté que quelques affaires, elle me demanda si je voulais venir avec elle faire les boutiques et alors je pourrais avoir quelques affaires qui seraient à ma taille. Ma réponse immédiate et ferme fut non bien sur. Je pouvais porter mes habits de garçon, avec un soutien-gorge peut-être, mais il n'y avait aucune raison pour que j'agrandisse ma garde robe féminine.
" Bien, elle a certainement besoins de culottes à elle, et un autre soutien-gorge. Probablement de chaussures classiques et d'un chemisier. Pourquoi n'y allons nous pas toutes ensemble ? Comme cela je pourrais m'assurer qu'elle a tout ce qu'il lui faut ! "
" Mais, maman… "
" Bon les filles, attendez ici. Je vais chercher nos sacs à main et nous y allons "
" Je n'aurais jamais pensé que tu aurais été aussi… "
" Bien ? "
" Oui, mais mieux qu'une fille ordinaire, tu es ravissante ! "
" Je le fais seulement pour la fête. Je ne suis pas intéressé par le fait de m'habiller en fille, tu le sais ! "
" On verra "

Maman arriva juste alors, me tendis un sac noir, qui contenait mon porte-monnaie, un brush, un rouge à lèvre et quelques mouchoirs à fleurs. Une fois encore, elle ne portait aucune importance à ce que je pouvais bien dire. J'hésitais, ne voulant pas quitter la maison quand Sophie pris ma main et me poussa en dehors de la maison, alors je la suivis sans grande conviction. Avec la peur au ventre, un mauvais sentiment sur tout cela, je fut emmené à la voiture. Sophie était à l'arrière, je ne pouvais pas voir son petit sourire, et son excitation dans ses yeux. Dans un premier temps nous allâmes au rayon lingerie du même magasin où j'avais acheté la robe de mariée. Mon nez fut assaillit par des senteurs de parfums ou d'autres choses. Sophie et maman allèrent immédiatement vers les présentoirs à la recherche des bons vêtements, pendant que je cherchais désespérément à me cacher derrière le rayon des slips.

" Puisque tu es du coté des culottes, Claire, prend en quelques unes à ton goût, mais fais attention quelles soient bien en coton "

Maman parlait si fort que tout le monde pouvait l'entendre. Je commençais à regarder sans vraiment savoir quoi prendre. Mais la plupart avait une photo sur la pochette, et je saisis une boite de slips blancs. Sophie et maman revinrent avec un soutien-gorge. Je leur tendis la boite, restant là sans bouger, Sophie essayant de retenir un fou rire, pendant que maman payait.
" Allons-y les filles, nous devons encore acheter pour Claire quelques jupes, des chemisiers et des chaussures "

Les détails importent peu, il suffit de dire que je quittai le magasin avec deux nouvelles jupes, deux chemisiers deux paires de chaussures et complètement angoissé. Nous ramenons Sophie chez elle nous dit qu'elle ne sera pas là les jours suivants. Maman nous ramena à la maison, puis insista pour me montrer comment on met un soutien-gorge. Puisque je devais en porter pendant dix jours, je n'avais pas d'autre choix que de la laisser faire. Ce n'est pas vraiment cela que je détestais mais le fait de devoir être habillé en fille pour dix jours et pire que tout s'avérer en plus être très mignonne. Quand ce fut fait, je mis ma nouvelle jupe verte, mon pull blanc, mes nouvelles chaussures noires à talons et mes nouveaux collants. Il ne me suffit que d'un regard pour comprendre que personne ne croirait que je suis un garçon à moins que je ne leur dise. Mon soutien-gorge poussait mes seins en avant, les mettant largement en valeur. Ma jupe s'arrêtant à mi-cuisse mettait en avant de jolies jambes galbées. Maman ne me dit pas grand chose, seulement qu'elle aimait la façon dont j'étais habillé. Un peu gêné, je m'assois devant la télé pendant une bonne heure, quand la porte s'ouvrit et laissa entrer tante Marie.
" J'ai réservé le salon de beauté pour samedi matin. Comme cela nous aurons tout le temps de te préparer pour la soirée ! "
" Génial, merci "
" Je t'en prie mon chéri "

Tante Marie ignora mes sarcasmes et rejoint maman dans la cuisine. Je mourrais d'envie de les rejoindre pour voir quel plan elles pouvaient encore manigancer, mais si elles parlaient d 'autre chose cela pourrait orienter la conversation sur moi. Je revins alors plutôt devant la télé. A chaque fois que je passais devant un miroir je me demandais qui était cette fille. Quand ma main passait sur mes jambes, le Nylon soyeux sur mes jambes douces était très agréable à toucher, mais je n'autoriserai personne à y toucher à par moi !

A peine une heure après, le téléphone sonna, maman répondit, j'entendais à peine la conversation. Ignorant cela, je continuais à regarder la télévision. Tante Marie rentra à la maison et je commençais à mettre la table quand on sonna à la porte et maman fit entrer Charles. Il porta ses yeux sur moi et eut l'air très surpris.
" Sophie m'avait dit que tu étais canon, elle avait raison. Tu es fantastique ! "
" Que..que fais tu ici ? "
" Je viens voir ma fiancée bien sur !"
" Bon et bien maintenant tu l'as vue "
" Et tu es vraiment ravissante, je suis impatient d'arriver à la fête avec toi…Claire "
" Moi aussi, je suis pressé d'en finir "
" Super ! Je pense que nous devrions passer un peu de temps ensemble, après tout nous allons bientôt nous marier ! "
Maman regardait clairement Charles avec assentiment, et j'avais le mauvais pressentiment qu'elle allait être d'accord avec lui. Juste à-côté de lui, même avec mes talons, j'avais les yeux à la hauteur de son menton et pouvais voir un petit sourire couvrir son visage.
" Pourquoi ne viendrais-tu pas dîner ce soir avec moi ? "
Avant même que je puisse ouvrir la bouche, maman dit qu'elle était d'accord.
" Claire tu dois t'entraîner à paraître en public, en fille bien sûr un diner est un bon début, n'est ce pas Claire ? "

J'aurais voulu la tuer, mais je ne l'ai pas fait bien sur. Je pouvais refuser et décevoir tout le monde ou acquiescer mais en m'assurant qu'il ne me toucherait pas. Maman me redonna le même sac à main et me dit de retoucher mon maquillage, ce que je fis dans le but de retarder l'échéance.


Responsable du site : Lucie Sobek


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