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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Eugénie eugenie tvq@femmes.net 11-12-2004, 16:24 J’eu le regard attiré par la jupe de la personne qui marchait devant moi sur le trottoir. La femme qui la portait était plutôt rondelette, ce qui n'était pas pour me déplaire, mais ce n'était pas cela qui m’intéressait tant que l'ondulation du tissus soyeux de sa jupe plissée, d’un camaïeux aux reflets chatoyants, avec des teintes automnales, qui venait se frotter sur les mollets de la jeune femme, glissant sur des collants en Nylon noir à la brillance discrète mais si sensuelle.


Je ressentit un picotement sur mes propres jambes en imaginant la délicate caresse du tissus de la jupe sur les jambes de la femme devant moi. Je connais intimement cette sensation pour avoir souvent porté à la maison, dans le secret de ma vie privée, une jupe plissée coupé dans un tissu semblable à celui de la jupe que portait la femme qui me précédait dans la rue, bien que la mienne soit noire.


Rien dans mon comportement ni dans mon allure ne pourrait trahir ma passion dévorante pour les vêtements féminins. C’est une passion datant de mon enfance. Elle est à certains moments extrêmement envahissante. En fait, à ces moments, il ne s’agit pas seulement de sensations agréables, ce sont, quand elles se manifestent, des pulsions fortes, accompagnées de sensations profondes qui ont une influence somatique sur tout mon corps. Ce que je veux dire par une influence somatique, c’est un effet physique direct sur toutes les parties de mon corps, contractions musculaires dans les jambes, picotements aux extrémités, sensations étranges dans mon ventre, au creux de mes reins et bien sûr au niveau du pelvis, accélération de mon rythme cardiaque, etc. Cette tension générale n’est apaisée que lorsque je peux enfin échanger mes vêtements masculins pour des vêtements féminins.


Il m’est très difficile de contrôler ces réactions quand elles se manifestent aussi fortement mais j’y arrive, au prix d’une grande frustration ou en me lançant à corps perdu dans une activité très prenante, qu’elle soir manuelle ou intellectuelle. Heureusement que j’arrive à me contrôler car autrement ces pulsions seraient bien sûr socialement inacceptables, si je les laissais prendre le dessus dans le cadre de ma vie publique, au travail ou lors de réunions. Dans la rue, au travail, ni mon physique ni mon attitude ne pourraient prêter à aucune équivoque.


Mes amis seraient, je pense, très surpris de savoir que j’ai en fait chez moi une collection de robes, de jupes, de chemisiers, de pulls et de tuniques en tissus délicats ainsi qu’un grand nombre de sous-vêtements féminins et de bas Nylon dont j’aime me vêtir en privé, n'ayant jamais eu le cran de le faire en public. A part ma femme, qui connaît mes préférences vestimentaires mais n’aime pas me voir habillé ainsi, seule mon amie américaine est aussi au courant. Elle comprend non seulement mon attirance pour les vêtements de femmes mais en parle librement avec moi. Elle m’a aidé à plusieurs reprises à acheter des habits féminins, me conseillant sur la qualité des tissus et le genre de coupe qui me convient. Elle m’a même offert plusieurs éléments de ma garde robe alternative.



Je me rappelle souvent un des meilleurs moments passés avec elle. Un week-end où j’étais resté seul à la maison, ma femme étant partie pour son travail à l'autre bout de la France, j’ai pu vivre avec elle deux soirées inoubliables.


Mon amie, de passage en France pour son travail, m’avait téléphoné pour me dire qu'elle viendrait passer le week-end avec moi. Elle m’avait dit qu'elle arriverait en voiture, directement d'une visite avec un client local et qu'elle pensait pouvoir être là vers 19 h pour dîner. Elle adore la cuisine française et je connais bien ses goûts et ses préférences en matière culinaire, toutes des spécialités assez difficiles à trouver aux USA. En faisant les courses pour le dîner je ne pouvait m'empêcher de penser au sourire de plaisir que mon amie aurait à partager ces fins produits français, cuisinés avec amour.


De retour à la maison, les achats pour le repas du soir ayant étés effectués, je déposais les sacs sur la table de la cuisine et j’allais m'habiller, ou plutôt me changer dans la chambre. Pour commencer, retirer ces détestables habits masculins qui m'ennuient mortellement, leurs tissus sont sans intérêt et ne sont vraiment pas agréables à porter par rapport aux tissus de la plupart des vêtements féminins. Afin d’éliminer au maximum ma barbe bien masculine, je repris une douche et me rasais pour la seconde fois de la journée… Je me rappelle avoir ensuite hésité quelques temps, réfléchissant à la manière dont j’allais m'habiller pour cette soirée avec mon amie. Elle et moi sommes très complices… Nous avons déjà passé plusieurs soirées ensembles en « bonnes copines », elle m’a appris à me maquiller sans exagération : j’avais la main un peu lourde au début…


J’aime assortir ce que je vais porter comme habits à mon humeur du moment. Je cherche, dans les nombreux vêtements et sous-vêtements que j'ai achetés dans des magasins ou par correspondance, ou encore récupérés parmi ceux que ma femme ne voulait plus mettre, ceux qui conviennent aux circonstances ou à mon état d’esprit. Choisir le tissu de la robe ou de la jupe, si c’est une jupe assortir le chemisier à la jupe choisie. Selon les moments, mon choix se porte vers une robe ou une jupe évasée dont j’aime sentir les mouvements sur mes jambes et mollets quand je marche, comme pour la jupe de la femme que j’ai vue dans la rue. Parfois au contraire c’est une jupe droite plus classique, assez longue ; d’autres fois c’est une minijupe... J’aimerais m’acheter un tailleur élégant, mais ils sont très chers…


Les sous-vêtements font aussi l’objet d’un choix méticuleux de ma part, dépendant de mon désir sentir mon corps fermement enserré par une gaine ou un combiné ou, au contraire, librement caressé par une combinaison ou un caraco en tissus soyeux. Parfois je combine les deux sensations : pression sur le corps et glissement soyeux d’une combinaison sur le plastron satiné du combiné. Cela peut être aussi en portant une gaine bien classique, accompagnée d’un soutien-gorge assorti, sous une de mes combinaisons. J’aime bien porter un soutien-gorge, ma taille actuelle est 105 D, je choisis toujours mes soutiens-gorge avec armature et si possible en forme corbeille, ce qui ramène ma poitrine en avant de manière agréable.


Pour cette soirée avec mon amie, j’avais choisi de m'habiller simplement mais d'une manière élégante, avec une jupe droite en velours pourpre, pas tout à fait mini mais assez courte cependant, et un chemisier blanc légèrement ajouré de dentelles fines, c'est elle qui me l’a offert lors d’un passage précédent en France.


Avec cette jupe en velours, un bon maintien est nécessaire. J’enfile donc une gaine blanche, assez ferme avec un plastron de maintien en satin brillant sur le devant. Je l’ai achetée lors d'un de mes voyages à N.Y. et l'ai légèrement modifiée pour l'adapter à mes mensurations masculines sans taille… Je passe une culotte en lycra gainant blanc et satiné, avec une petite dentelle sur les côtés du plastron, y confinant mon sexe au plus serré, afin de le rendre le moins visible possible sous mes autres vêtements. Choisi en fonction du chemisier blanc en tissus légèrement transparent, je prends dans mon tiroir un soutien-gorge blanc, avec des bonnets satinés sous les seins et une petite dentelle discrète au dessus de la ligne des tétons. Sa coupe à armatures, fait ressortir mes seins en les ramenant en avant de manière pigeonnante. Je me regarde dans le miroir, à demi vêtu, caressant mon ventre sur le plastron satiné de la culotte et de la gaine. De la pointe des doigts, je caresse sensuellement le dessous de mes seins, à travers la partie satinée de la base du soutien-gorge, puis, juste à la limite du tissus lisse et de la dentelle, mes doigts trouvent mes tétons qui se redressent soudainement sous cette caresse, provoquant en durcissant une sensation à la fois douloureuse et exquise. J’enfile enfin un jupon blanc mi-long en polyester fluide, garni d’une bordure de dentelle, avec une fente sur le côté, bien assortit à la gaine, au slip et au soutien-gorge.



Je revêts alors le chemisier et passe la jupe sur mes dessous en évitant de faire des plis.


Je fini de m'habiller en mettant des bas nylon que je préfère aux collants. J'aime les attacher aux portes jarretelles de ma gaine en relevant ma jupe vers le haut, en me regardant dans le miroir de la chambre à coucher. J’aime voir le mouvement des tissus de la jupe et du jupon remontant sur mes cuisses. J’ai dû voir, dans mes jeunes années, mes tantes ou même ma mère effectuer ce geste si élégant quand la mode était encore aux bas nylons, ou plutôt que les collants n’avaient pas encore étés inventés. Nombre de photographes ont immortalisé ces instants de féminité si sensuels. Le moment où je glisse mon pied dans le bas et le remonte jusqu’en haut de mes cuisses, est une sensation de pur plaisir. Une fois les bas fixés aux attaches de la gaine (celles de derrière sont parfois délicates à fixer…) je laisse retomber ma jupe et mon jupon sur mes jambes. Le glissement des tissus du jupon et de la jupe retombant sur mes cuisses gainés par les bas est extrêmement sensuel.


Je m'assieds devant la table de maquillage et me brosse les cheveux selon mon humeur. Quand j’avais les cheveux plus longs (ayant à peine 22 ans en 1968), je pouvait mieux les modeler à ma guise, quelques fois en en augmentant juste un peu le volume à la brosse ou les crêpant avec le peigne, les relevant par en dessous, parfois aussi faisant deux petites couettes de chaque côté de sa tête, retenues par deux pinces à cheveux ou une queue de cheval attachée avec un élastique. Maintenant avec moins de cheveux, ces derniers étant tombés avec l’âge, mon choix de coiffure est plus banal, "peut être devrais-je acheter une perruque" me dis-je… Juste une petite pointe de rouge à lèvres que j’étale en frottant mes lèvres l’une contre l’autre comme je l’ai vu faire par de nombreuses femmes. Je suis assez admiratif à ce sujet des femmes qui arrivent à se maquiller dans le train, dans l’avion ou même dans le métro… Un petit peu de fond de teint pour cacher le reste de barbe visible malgré un second rasage, une pointe de parfum féminin que je me suis acheté et me voilà presque prête.


J’aime porter un collier et des boucles d'oreilles, des clips pour être exact, afin de compléter mon apparence féminine. Enfin, je mets des chaussures à talons hauts pour finir de m'habiller. Depuis mes jeux enfantins avec les chaussures à talons de ma mère, j’adore ressentir la cambrure de ce type de chaussures sous la voûte plantaire, une partie du corps dont la sensualité est trop souvent négligée.


Je me regarde dans le miroir de la chambre une dernière fois, pour vérifier mon allure générale, redresse un peu ma jupe qui a légèrement tourné pendant que j’attachait mes bas et remonte aussi le jupon qui dépasse un tout petit peu, je vérifie que le chemisier est bien mis, devant et derrière, sans faire de plis disgracieux sous la jupe. Je vérifie dans le miroir que l’ensemble est aussi esthétique que possible. J’adore les transparences de ma blouse laissant deviner mon soutien gorge. Bon le miroir me dit que ça va comme ça. Me voici cette fois complètement prête pour la soirée.


Je retourne à la cuisine préparer le dîner. Il me faut mettre un tablier de cuisine, je le passe autour du cou et l'attache dans mon dos afin de ne pas salir mes vêtements. Je regarde l'heure et me dit que j'ai le temps de préparer un petit dîner gourmet pour mon amie américaine qui adore la cuisine française car elle va arriver assez tard...


Pendant ce temps j’allume la radio et écoute le programme. J’adore préparer la cuisine, surtout dans ces conditions. D’une manière générale, je savoure ces moments où, en habits féminins, je peux vaquer à mes occupations dans la maison. J’aime bien faire le ménage. Tous mes sens sont alors en alerte, je ne veux pas manquer une seule des secondes de ce plaisir raffiné lié au frottement d’un tissu sur un bas, du contact d’une chaise sur mes cuisses, de la pression de ma gaine sur mes fesses, de mes seins qui rebondissent quand je marche, du délicat frissonnement que me procure l’air frais sur mes jambes seulement recouvertes de bas…


La préparation des petits plats gourmets étant finie je les mets à cuire à feux doux. Tandis qu’ils mijotent tranquillement, je dispose le couvert à la salle à manger, non sans avoir redescendu auparavant les stores électriques de la salle de séjour afin d’éviter les regards indiscrets des habitants des immeubles voisins. Comme la cuisson réclame un temps relativement long, je peux maintenant enlever le tablier de cuisine qui est vraiment très laid.


Profitant de cette soirée de week-end pour prendre un apéritif au salon, je prépare quelques amuses gueule mais pas trop, vu les petits plats délicieux que j'ai prévu pour notre dîner et que je m'apprête à déguster tranquillement avec mon amie après ce "drink". Je m'assieds devant le poste de télé en attendant son arrivée, croisant les jambes, ressentant avec un plaisir intense le nylon des bas glisser l'un sur l'autre.


La sonnerie de l’interphone retentit, me sortant de ma rêverie sensuelle. Je me précipite pour répondre et déclencher l’ouverture de la porte d’entrée de l’immeuble ayant reconnu la voix de mon amie. Son arrivée me transporte dans une excitation intense, j’anticipe l'embrassade des retrouvailles que je vais échanger avec mon amie. Je l’entends monter dans l’escalier. J’ouvre la porte, me dissimulant derrière le battant afin de ne pas risquer d'être vu par les voisins du même pallier. Elle est là, ça faisait si longtemps qu'elle n'était pas venue. Nous nous entourons mutuellement dans les bras l’un de l’autre, à l’américaine, en se serrant très fort.



Nous passons dans le salon, nous buvons un petit apéritif, mais mon amie exprime le désir de prendre un bain rapidement pour se délasser après une journée de travail pénible.


Pendant ce temps, je vais voir où en est le dîner. Je soulève les couvercles des casseroles où mijotent mes petits plats. J’ouvre une bouteille de Chablis, son vin préféré, que j’avais mise au frigidaire en rentrant des courses. Le dîner est maintenant prêt j’appelle mon amie et l'invite à venir s’installer à table.


Elle s'est rhabillée en prenant soin de mettre sa robe à fleurs en viscose très fine, couleur gris bleu. J’adore la voir porter cette robe et elle le sait, j’apprécie cette attention. Elle me l’avait prêtée une fois à New York car je n’avais pas pu apporter mes vêtements féminins, j’apprécie la finesse et la douceur de la viscose dont cette robe est faite ainsi que sa coupe princesse que j’adore. Nous sommes tout deux très sensuels et nous nous délectons de toutes ces sensations, gustatives pour le dîner et tactiles pour les vêtements. Mon amie est aussi très sensible aux sensations provoquées par les vêtements sur son corps mais elle sait aussi à quel point je suis aux anges de pouvoir partager ces moments intimes, entre copines, avec elle. À la fin du dîner, je débarrasse les couverts dans le lave-vaisselle, nettoie la table, rapporte les restes dans le frigidaire puis je reviens de la cuisine au salon où j’ai allumé un feux dans la cheminée.


Je prends ma guitare, et joue quelques accords. A chacun de mes mouvements, je sens le tissu de ma jupe glisser sur mes bas nylons. Ce soir, j’ai expliqué à mon amie combien j’adorerais que soit organisée une soirée déguisée où je pourrais être habillé en femme sans pour autant attirer les sarcasmes des amis qui évidemment ne me connaissent pas ces préférences en matière d'habillement. Nous avons également parlé de notre travail et de nos enfants. Généralement à la fin d'une longue semaine bien chargée, la fatigue vient assez rapidement et le besoin d'aller se coucher arrive naturellement, malgré le plaisir de notre discussion, nous allons donc nous coucher.



Nous nous retirons chacun dans notre chambre, après nous être fait une bise très prude et innocente, bien que pleine d’une grande tendresse.



Je me déshabille, me démaquille et enfile la chemise de nuit bleue longue, en polyester satiné qu'elle m’a offerte il y a déjà quelques années. Je m’endors non sans avoir repensé intensément à cette soirée exceptionnelle.


Le lendemain matin je l’entends sortir de sa chambre et aller à la salle de bain. Je me lève et passe un négligé sur ma chemise de nuit. Je vais préparer le petit déjeuner. Elle arrive un peu plus tard dans la cuisine, portant un pyjamas en satin. Nous nous embrassons cordialement et vigoureusement, comme à son arrivée. Je ne peux m’empêcher de sentir sa lourde poitrine appuyée contre la mienne.



Nous continuons nos bavardages de la veille avec grand plaisir pendant le petit déjeuner (le déjeuner au Québec si je ne me trompe…). Elle me dit avoir envie d’aller se promener au bord de mer.



Nous allons nous habiller. Malheureusement comme je suis très connu dans mon village, je dois revêtir des vêtements masculins pour sortir. Mais je suis si content d’être avec ma copine que je suis malgré tout très heureux.



Son séjour a été de courte durée, car elle devait repartir pour les Etats-Unis et a repris un avion en début d’après-midi. Nous nous sommes quittés avec la promesse de nous revoir bientôt, en France ou aux USA…


Responsable du site : Lucie Sobek


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