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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Le nouveau travail d’Alex Aline tvq@femmes.net 27-10-2004, 16:43 par Aline

La lettre de l’assedic

A la sortie de mon école de beaux arts et de quelques jobs occasionnels, je subis une longue période de chômage. Mes ressources commençent à s’épuiser et mes investigations sont souvent vaines. Un matin je reçois un courrier m’ordonnant de me rendre à un entretien d’embauche au plus tôt pour un poste pas très bien payé. Mais je n’ai pas le choix car l’organisme de chômage me menaçe d’arrêter le paiement des indemnités...

L’annonce est libellée ainsi : « recherchons dessinateur (de préférence homme) spécialisé dans le prêt-à porter féminin. Aucune expérience dans ce secteur exigée car formation en interne à nos méthodes. Rémunération 3 kopecks par jour » L’annonce me parait étrange, mais, bon,je n’ai pas le choix...

L’entretien d’embauche

J’appelle au numéro inscrit.
- Bonjour je suis dessinateur et je réponds à votre annonce
- Oui bonjour je vous passe Madame Namido
Une voix suave de femme mûre me répond doucement
- Bonjour, comment vous appelez vous ?
- Alexandre Trivesta Madame
- Alexandre quel est votre cursus ,
- J’ai fait l’école Estienne et j’ai travaillé pour quelques agences...
- C’est parfait, mais présentez vous physiquement: comment êtes vous ?
- Heu
Un peu interloqué d’une telle réponse
- J’ai vingt ans, je suis pas très grand 1m70, plutôt maigre, assez jeune avec des cheveux châtain et plutôt longs
- Longs comment exactement
- Heu, jusqu’aux épaules
- Vous avez une barbe ou un bouc ?
- Non je suis encore imberbe
- Très bien Alexandre rendez-vous en nos locaux demain à dix heures.
Cela vous convient ?
- C’est parfait, à demain madame.
- Ah Oui amenez moi une photo et votre Book
- Et surtout n’allez pas chez le coiffeur ! A bientôt !

Décidément tout cela est bien étrange. Enfin, si cela me permet de manger... En une après midi je passe à la bibliothèque où j’emprunte des ouvrages spécialisés et j’achète quelques revues. Après un bon entraînement je choisis quelques belles esquisses pour les présenter lors de l’entretien.

Le grand jour est arrivé: après quelque recherches infructueuses dans ce quartier de Paris que je ne connaît pas bien (Il faut dire que Pigalle n’est pas mon quartier de prédilection), Je rentre dans un immeuble bourgeois et je demande à la concierge.
- Bonjour Madame, la société Wendy s’il vous plaît.
- Elle me détaille d’abord de pied en cap
- C’est au fond de la cour à gauche.
Je continue dans l’immeuble et arrive devant un jolie pancarte rose avec le prénom Wendy inscrit en cursive.
Je sonne et une belle et grande femme très apprêtée m’ouvre la porte.
- Bonjour, vous êtes Alexandre sans doute ? suivez moi...
Je la suis, elle a une ligne parfaite et fait déhancher son bassin à chaque pas avec grâce.
J’arrive dans une coquette pièce de repos.
- Asseyez vous dans ce sofa, Madame Namido ne vas pas tardez.
Je suis ses recommandations et je feuillette les revues sur la table. Ce sont des revues en anglais que je ne connais pas et qui parlent d’une mode que je ne connaissait pas non plus !

Madame Namido entre, C’est une belle femme, très belle malgré l'âge mur que trahissent de petites ridules autour des yeux. Elle me regarde aussi de pied en cap et me sourit.
- Bonjour Alex... je peux vous appeler Alex ?
- Bien sûr Madame !
- Bon, montrez moi votre Book ...
- Je lui montre mes travaux d’école.
- Vous savez représenter la femme, c’est très intéressant
- J’ai aussi quelque esquisse de type prêt à porter
- M’oui...
- excusez moi c’est un début
- Ce n’est pas grave de toute façon nous vous enseignerons nos méthodes. Vous avez de très beaux cheveux, vous les laissez pousser depuis longtemps ?
- Merci, je peux les couper si cela vous dérange
- Non surtout pas, vous savez dans la mode c’est plutôt bien vu, un peu d’androgynie
- D’Andro…
- D’androgynie, la faculté d’avoir l’apparence des deux sexes...
- Ah...
- Levez vous !
- …
- Oui très bien vous pouvez vous asseoir
- Vous avez une belle silhouette fine
- Oui...
- Montrez moi vos mains
- …
- Bravo vous soignez vos ongles, c’est rare de nos jours !
- Bon... vous pouvez commencer demain !
- Euh, au sujet du salaire
- Ah oui bien sûr, vous savez, sur l’annonce nous voulions des gens très motivés
Mais au vue de votre… potentiel je pense que 30 kopecks par jour sont justifiés !
cela vous va ?
- Très bien !
- Eh bien A demain Alex...
- Au revoir madame !
Je reviens rempli de joie et le cœur à l’ouvrage.

Le nouveau travail

Le travail est passionnant, je dessine les vêtements suivant les directives de madame Namido, qui les livre à l’atelier. Parfois même je donne des idées qui sont souvent prises en compte. Mais, souvent, madame Namido me donne des directives sur mon apparence, alors que mon travail lui convient parfaitement.
-Bonjour Alex ... Votre tenue n’est pas très appropriée pour la maison... Tenez ! Mettez cela, je vous l’ai préparé. C’est très jeune vous verrez. Mais souriez, c’est un beau cadeau vous savez !

Je passe dans les toilettes, la tenue se compose d’un pantalon moulant noir, retenu par une ceinture jaune, avec un petit polo noir très près du corps et échancré sur le devant. Il est visiblement trop petit car malgré mes efforts il ne rentre pas dans le pantalon. Il y a un petit jour entre les deux pièces qui laisse entrevoir mon nombril. Je mets ensuite ces drôles de baskets noires avec une semelle très épaisse.
En sortant l’atelier de dessin tout le monde m’applaudit.
- C’est très joli ! me dit Madame Namido.
Mes progrès dans la création sont manifestes, je fais maintenant à moi seul près de la moitié de la collection. Toutefois, j’ai de nouveau droit à une remarque.
- Bonjour Alex, votre travail est parfait, mais attachez donc vos cheveux, il ne vous gêneront pas les yeux et cela fait plus soigné. Tenez, je vous passe un foulard; regardez: je le passe sous la nuque, je fais un tour avec le tissu et je fais un noeud au-dessus en laissant bien deux parties de même longueur de chaque coté.
- Voilà c’est très bien.
Je rougis. …Bon si cela lui fait plaisir...
- Dorénavant, je veux vous voir toujours ainsi. Mathilda, vous lui donnerez quelques uns de mes foulards. Prenez un thé, cela vous détendra !
Je vais aux toilettes et je me regarde devant la glace en tournant la tête de chaque coté. C’est vrai que ce n’est pas mal. Le travail est vraiment cool et passionnant, alors si cela peut la satisfaire...

En plein après midi, Madame Namido passe me voir. Pour me donner un conseil dont elle à le secret...
- Bonjour Alex, c’est très bien vos dernières esquisses. Vos yeux m’ont l’air fatigués, venez avec moi . J’ai un ami opticien, je vous offre une nouvelle paire, venez.

Après un petit bilan, l’opticien me propose trois paires. Elle sont toutes avec des verres en amande ; une toute simple avec le montant en écaille, une autre argentée avec des motifs sur les cotés et une troisième bleue translucide avec des petits brillants incrustés. J’essaye la première.
- Oui c’est pas mal mais cela ne met pas en valeur votre regard. Essayez plutôt la paire bleue.
Je suis ce conseil.
- Vous ne pensez pas qu’elle me font un visage très féminin ?
- C’est parfait, on la prend répondit Madame Namido.
- Mais... ?
- Vous savez bien ce que je vous ai dit sur ce sujet dans le milieu de la mode... de toute façon vous ne les portez qu’au travail, et de plus elles mettent vos yeux en valeur, regardez.
Je me regarde dans la grande glace et je souris.
- A la bonne heure !, venez Alex.

Alors que je travaille tard, madame Namido vient encore me voir.
- Alex vos mains sont très belles, vous devriez les arranger... Tenez voici un nécessaire de manucure avec un pot de verni transparent. Vous l’appliquez régulièrement et vous limez légèrement comme ceci (elle me fait une petite démonstration sur ma main droite). Voilà, il ne faut plus que vous les coupiez chaque semaine, c’est si joli des ongles un peu long. Je compte sur vous Alex... Tenez prenez du thé au fleurs.

- Bonjour Alex ! Ca Va ?
- Oui madame
- Cela ne vous dérange pas votre queue de cheval qui balance
- Non c’est très agréable, mais je doit souvent resserrer le nœud.
- Eh bien, je vais vous apprendre à faire un chignon ! Venez avec moi devant la glace, j’ai ramené des épingle à cheveux.

Elle retire le foulard, prend ma queue de cheval et l’enroule sur elle même en tendant fermement, plaçant ensuite précisément les épingles. Tous mes cheveux sont tendus en arrière et je sens une masse à l’arrière de mon crâne. Cette nouvelle coiffure me féminise encore plus et met mon visage en valeur. L’ensemble est encore plus élégant que je ne l'aurais pensé.

-C’est splendide Alex, tu seras bientôt prête...
Elle me fait alors un bisou sur le front. Venez vous montrer à toute l’entreprise.
L’opportunité

Déjà un an de boite... alors que je pose mon petit sac de cuir bleu (offert par Madame Namido) sur la table de travail, le téléphone sonne...
-Alex, tu es convoqué par Madame Namido, me dit Mathilda à l'accueil.
Je vais d’un pas ferme vers son bureau.
- Bonjour Alex, Je voudrais que tu me rendes un grand service.
- Bien sûr, mais que puis-je faire pour vous ?
- Eh bien c’est un peu spécial... bien sûr tu seras très bien rémunéré pour ce petit supplément. C’est un travail de représentation, pour lequel je devrai te préparer car tu devras être impeccable. Passe demain matin à cette adresse après un bon bain. Je t’assure que cela en vaut la peine.

La transformation

Je me rends le lendemain matin à l’adresse indiquée... Sur la façade est inscrit « Salon de beauté mixte » Une belle hôtesse à son comptoir me demande:
- Bonjour mademoi…, vous avez rendez vous ?
- Euh, monsieur, s’il vous plaît, Oui je suis Alex...
J’ai maintenant l’habitude de ce genre de confusion !
- Alex... Alex, oui, très bien, allez dans le couloir de droite jusqu’à la porte blanche. Vous allez être préparé par Sophia
Je suis les instructions et, en ouvrant la porte, je vois une jolie brune avec un tablier rose.
- Bonjour, je suis Sophia détendez vous, déshabillez-vous et allongez-vous sur la table de travail. Mettez vous à l’aise, je reviens dans quelques minutes pour vous préparer.
Je m’allonge et me recouvre du drap tout simple qui est à ma disposition.
- Très bien, détendez vous, je dois d'abord adoucir votre épiderme. Ne vous inquiétez pas cette serviette chaude, elle contient une lotion apaisante.
Elle me place délicatement le linge sur le visage. Il embaume d'odeurs florale et d'une odeur plus tenace que je n’arrive pas à identi… Je tombe alors dans un sommeil profond.
- Alex, réveillez vous, j’ai fini, me dit la jeune fille.
La peau de mes bras et de mes jambes me picote un peu, me semblent plus fraîche qu’à l’accoutumée.
- Bonjour Alex ! Tout se passe bien ?
Je reconnais la voix de Madame Namido, bien que je me remette à peine de mon petit somme.
- J’ai terminé ce que vous m’aviez demandé madame !
- C’est très bien ma petite.
- Mon cher Alex, je vous remercie de votre courage. Voilà ce que je vais vous demander. Vous savez que Samantha notre mannequin vedette est souffrante ce mois-ci, alors que nous sortons notre nouvelle collection...
- Oui, elle fait son SRS m’a t'elle dit... mais je ne sais pas ce que c’est ?
- Je t’expliquerai... et bien je vais te demander de la remplacer.
- Comment ?
- Ne t’affole pas: avec ce que je vois maintenant tu le feras très bien.
Elle me tends un miroir à main.
- Tiens, regarde toi-même...
J’ai du mal à reconnaître le visage dans ce reflet. Mes sourcils sont maintenant réduits à un simple trait et forment une jolie arche qui affine le regard.
- Mais ?
- Ce n’est pas tout, regarde...

Elle déplace le miroir vers mon profil Je vois alors le lobe de mon oreille droite: en premier lieu, une fine boucle d’or semble continuer son arche dans ma chair; plus haut, une jolie perle est comme collée sur ma peau, et, juste au dessus du lobe, au bout du petit ravin formé par le bord de l’oreille, est blotti un petit brillant étincelant sertie dans une petite machoire en or.
- Et c’est pareil de l’autre coté ! proclame t'elle fièrement.
En effet la boucle, la perle et le brillant ont leur clone sur l’autre oreille, avec en plus une petite boucle dorée sur le haut de l’oreille qui, celle-là, me perçe le cartilage.
Je lève ma main pour toucher ces nouveaux artifices, mais Madame Namido la retient à temps.
- Ne touche pas, il faut respecter l’asepsie. Mademoiselle, montrez lui...

Avec ses gants de chirugien elle retourne délicatement mon oreille pour me montrer le reste de la petite boucle qui continue sa course et les petites tiges qui sortent de ma chair, retenues par de petite attaches en forme de deux petits rouleaux de chaque côté de la tige dorée que je sens presser ma peau. De petites douleurs vives me confirment que ces tiges me traversent la peau et me sortent de ma torpeur. Elle me montre l’autre oreille en souriant, comme pour me donner la preuve que mes oreilles sont bel et bien transpercées sept fois par de jolis bijoux féminins, brillants et précieux.
- Tu vois, je ne me suis pas moquée de toi. C'est de l'or et de vrais diamants. Regarde maintenant ton corps splendide...

Elle m’aide à relever la tête et je regarde par dessus . Mes bras ont perdu leur petit duvet familier, ma poitrine est maintenant délivrée du moindre poil et ce qui semble de petit seins pointent fièrement. J’avais déjà remarqué une légère augmentation de leur volume, mais je l’avais attribuée à une prise de poids...
- Ne t’inquiète pas, c’est à cause du thé aux fleurs que tu bois tous les jours depuis un an, il contient des herbes qui en favorisent la pousse et bien d’autres choses.

Mes jambes ont aussi perdu tout poil superflu et paraissent ainsi plus fines et plus longues. Mais, surtout, mes "bijoux de famille" semblent avoir disparu et être remplacés par une touffe de poils taillée .
- Hein ? Quoi ?
- Ne t’affole pas ! c’est juste une postiche.
Elle met sa main sur le petit triangle de poils et la secoue légèrement.
- Tu sens ? tout y est, rien n’y manque... C’est fait pour mieux te sentir femme tout entière. Repose toi quelques minutes, après nous allons chez le coiffeur.

La finition

Après ce bref repos, je me relève en titubant un peu.
- Regarde toi dans le miroir, Alexandra... je peux t’appeler Alexandra?
- Euh... Oui Madame !
- Appelle moi donc Christiane !
Le reflet est incontestablement féminin, certes plus garçon manqué que blonde plantureuse, mais en tout cas très fashion victim vu ma maigreur.
J'allais me rhabiller.
- Laisse, je t’ai amené de nouveaux vêtements plus appropriés à ton nouveau look...

Il y a une jolie petite culotte rouge et un joli soutien gorge à balconnets brodés assortie, et surtout une très belle robe à volants jaunes avec de la mousseline. Mais aussi de petits escarpin blancs à bretelles et à talons hauts. Christiane m’aide à mettre ma nouvelle tenue. Et je quitte l’institut avec ces nouveaux vêtements.
- Au revoir madame Namido, au revoir Alexandra ! Nous dit l’hôtesse d’accueil.
- Tu vois, tu es connue maintenant...

Nous allons ensuite dans un grand coiffeur parisien. Enivré par le vent et le frôlement de l’étoffe sur mes jambe nue, la vision de mes pieds avec ces escarpins ainsi que ma petite poitrine rehaussée par les balconnets, je continue le traitement comme si j’étais dans un wagon de montagne russe en pleine descente.
- Bonjour Céline, voilà mon nouveau mannequin.
- Elle est splendide
- Tu me fais un R350 et une belle mini-vague.
- Très bien Christiane

Je laisse les artistes œuvrer... Elles me mouillent et me rincent les cheveux plusieurs fois, puis me placent une multitude de rouleaux sur la tête. Pendant un long séjour sous le séchoir, une jeune fille me fait ma manucure, pendant qu’une autre s’attelle à mon visage avec de grandes précautions. (Sans doute un nouveau traitement). Elle lève ensuite le séchoir, retire le filet et les rouleaux et après quelques coups de brosse retourne le fauteuil vers le miroir.

La coiffeuse place mes cheveux devant les yeux et les coupe en une frange avec de petites mèches qui couvrent mon front juste au-dessus des fines petites arches que sont devenus mes sourcils. Ma (maintenant longue) chevelure a triplé de volume; elle est formée de dizaines de boucles et descendent en cascade sur mes épaules et ma petite poitrine, les reflets rouge et auburn mettent en relief le bleu de mes yeux faits, mes paupières sont irisées de vert et de pêche, mes pommettes sont saillantes et rosées et mes lèvres brillantes rouges et pulpeuse. Les deux boucles dorées traversent ma chevelure. Christiane remarque mon regard, prend mes cheveux et les dégage derrière les oreilles en un geste très féminin. Ces multiples parures d’oreille font maintenant comme le décor final de cet envoutant visage de femme.

- Comment te trouves-tu, Alexandra ? Et tu n’as pas encore vu tes mains...
Mes ongles si savamment entretenus, et qui ont atteint une longueur respectable, sont devenus de splendides écailles rouges et nacrées.
- C’est magnifique...
Mes yeux humides reflètent mon émotion. Je porte alors le regard vers ma petite poitrine.
- On va changer ça dès la semaine prochaine je te le promets...

La nouvelle vie

Deux ans ont passé.
Je descends une à une les grandes marches de l’Opéra où j’ai fait le défilé. En bas une longue limousine m’attend. Mes bas en lycra frottent sur mes cuisses. Mes ongles vernis semblent comme des bijoux et je passe le doux et froid velours du nacre sur le bout de mes doigts.

Les boucles de ma longue chevelure dont je vois les reflets rougeoyants des mèches frottent doucement sur mon dos dénudé par la robe échancrée. Les deux grandes créoles tapotent sur mon cou parfumé et tirent par petits coups dans mes lobes parés. Les quatre autres boucles cliquettent et se balancent en un délicieux frottement dans leurs petits orifices percés à travers ma chair. Je tourne avec mes doigts un petit brillant dans la membrane de mon nouveau petit nez en trompette. Je sens le velouté du rouge sur mes lèvres gonflées de silicone. À chaque pas, ma poitrine opulente tressaute dans mon soutien gorge qui trône fièrement devant moi et m’empêche de voir mes escarpins. Le délicieux contact de mes mamelons et mes grandes aréoles qui s’agitent sur la dentelle du soutien-gorge m’excite. Je m’enivre du contact chaud de ma petite culotte sur l’intégralité ma peau maintenant dénuée d’aspérité disgracieuse. Je savoure le frottement de la dentelle sur ma peau sans poils de chaque coté de ma fine fourrure épilée en ticket de métro.

Maintenant je SAIS ce qu’est une SRS... et je remercie chaque jour (et chaque nuit) ma Christiane d’être devenue Alexandra pour la vie.

Aline
aline75@rocketmail.com
www.geocities.com/westhollywood/height/1926


Responsable du site : Lucie Sobek


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