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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par divers

1 Surprise Aurore tvq@femmes.net 27-10-2004, 16:41 par Aurore
Depuis peu mon emploi du temps, suite à un rachat de la société dans laquelle je travaillais, avait été bouleversé, et commençant mon travail à cinq heures du matin, j’avais toutes mes après-midi de libre.

Après un temps d’adaptation, je m’y étais fait et même je trouvais cela très à ma convenance, étant donné que je pouvais faire tous ce que je voulais étant seul à la maison tous les après-midi, Catherine, ma femme travaillant de son côté et ne rejoignant le domicile conjugal que vers 18h 30.

Or, depuis l’âge de 10 ans, j’adorais me travestir en femme, en cachette de mon épouse bien entendu, car si par malheur elle l’apprenait, je crois bien qu’elle le prenne très mal, et je passerais sûrement un sale quart heure.

Donc à peine rentré du travail, je me précipitais dans le grenier de la maison, et dans un endroit bien caché de ce grenier, un endroit où je savais que ma femme ne mettait jamais les pieds, je prenais une valise fermant à clé de surcroît, et je la descendais dans notre chambre.

Cette valise, contenait, tous les vêtements et sous- vêtements féminins que j’avais accumulé depuis des années, ainsi qu’une perruque, des accessoires tels que bijoux et colifichets, et un nécessaire de maquillage. Je ne voulais surtout ne rien emprunter à mon épouse, le risque était trop important.

Ensuite de quoi, je me mettais nu comme un ver, puis j’entreprenais une lente et patiente transformation. Au bout de trois quarts d’heure, je voyais enfin Patricia dans le miroir. Patricia était le prénom que je m’étais choisi pour mon moi féminin, mon vrai prénom étant Patrick. Puis durant l’après-midi, je faisais le ménage, je repassais, je bricolais, je vaquais à différentes occupations, toujours sous les traits de Patricia évidemment.

Quand 17HOO sonnait, il était temps pour moi de redevenir un homme. Vite, je me déshabillais, puis, je rangeais toutes mes affaires de femme dans ma valise que je fermais à clé. Ensuite, je filais dans la salle de bain, pour me démaquiller du mieux que je pouvais en essayant de faire disparaître toutes traces qui auraient pu me trahir.

Cela faisait bien six mois que je procédais ainsi toutes les après-midi, lorsqu’un jour, alors que je passais l’aspirateur dans le salon, je n’entendis pas une voiture entrer et se garer dans la cour de la maison.

Ce jour là, je ne m’attendais pas à ce qui devait m’arriver !
Tout à coups, je sentis une présence derrière moi, je me retournais, vivement, et je crus que j’allais défaillir. Ma femme était tranquillement installée dans un fauteuil et me regardait en riant. Oui je dis bien en riant.
- Alors ! Comme ça on aime s’habiller en femme !
- Attend Catherine je vais t’expliquer !
- Mais je n’ai pas besoins d’explications, je constate de visu !
- Catherine, ne le prend pas mal, s’il te plaît, je vais t’expliquer.
- Je suis bien curieuse, d’entendre ta plaidoirie Patrick !
- Depuis tout petit, j’ai ce défaut, je n’ai jamais pu m’en débarrasser, j’ai essayé des centaines de fois, mais c’est plus fort que moi, je dois absolument me mettre dans des vêtements féminins. J'ai le sentiment d'être femme.
- Et bien, figure-toi que je croyais que tu avais une maîtresse !
- Comment ça ?
- L’autre jour, j’ai trouvé sous le lit, un bas, que voici, qui ne m’appartenait pas, je suppose maintenant que c’est toi qui l’as perdu ?
- En effet, ce bas m’appartient, je ne savais pas l’avoir perdu.
- Mercredi, quand je suis rentrée à la maison, tu avais du rouge, d’une couleur que je n’utilise pas, au coin des lèvres. Cela n’a fait que me confirmer que tu avais une maîtresse.
- Te voilà rassurée, maintenant, je n’ai pas de maîtresse ?
- Rassurée, c’est vite dis, je ne m’attendais sûrement pas à te trouver dans des vêtements féminins, remarque cela te va à ravir ! Je t’assure, tu es vraiment «mignonne » si j’ose m’exprimer ainsi.
- Moi non plus, je ne m’attendais pas à te voir ici cet après-midi !
- Je m’en doute ! Figure-toi.
- Bon je suppose que tu m’en veux à mort ?
- Pas du tout, au contraire ! Maintenant je connais ton petit secret.
- Tu ne m’en veux pas ?
- Je te dis que non ! Cela t’épates n’est ce pas ?
- Je dois dire que j’en suis surpris.
- Non ! Surprise ! On dit «surprise » quand on est une femme. Au fait comment se prénomme cette jeune personne que j’ai le plaisir d’avoir devant moi actuellement ?
- Ne te moque pas de moi Chérie ! Elle se prénomme Patricia.
- J’aurais du m’en douter ! Et bien ! Patricia, puisque Patricia il y a, ta vie vas changer à partir d’aujourd’hui.
- Comment cela ? Ma vie va changer ?
- Et oui mon cœur, dorénavant, tu deviendras plus souvent Patricia. Désormais, qu’en je rentrerais le soir, je veux que ce soit Patricia qui m’accueille ! D’accord ?
- Oui je veux bien.
- Et puis nous irons de temps en temps faire du shopping, nous acheter des sous-vêtements et des robes, enfin tout ce que femme désire.
- En femme !
- Mais bien sûr mon cœur, en femme !
- Mais je ne suis jamais sortie en femme !
- Il faut un commencement à tout, ma petite Patricia !

C’est ainsi que ma vie fût bouleversée du jour au lendemain. Non seulement mon épouse ne fût pas choquée par mon obsession à devenir femme, bien au contraire elle fit tout pour m’aider à paraître de plus en plus féminine. Quand je dis qu’elle fit tout, elle fit vraiment tout et même au-delà de ce que j’aurais pu imaginer.

Tous les jours, désormais, à peine rentré du travail, je me transformais en Patricia, comme par le passé, ce qui était nouveau, c’était le soir venu, au lieu de me précipiter dans la salle de bain pour redevenir un homme, j’arrangeais mon maquillage, de manière à ce que mon apparence soit vraiment la plus féminine possible.

Catherine était ravie de me voir ainsi, plus les jours passaient plus je me féminisais sans m’en rendre vraiment compte. D’abord, Catherine avait exigé que je me laisse pousser les cheveux, puis elle décida de m’épiler le corps de la tête au pied. Je dois dire que si j’appréciais le fait de voir disparaître tous ces vilains poils, je n’aimais pas la douleur qui l’accompagnait. Mais comme disait Catherine : « il faut souffrir pour être belle ma jolie ! »

Au bout de quelques mois, je dus me rendre à l’évidence, ma poitrine prenait de l’ampleur et même devenait sensible au niveau des tétons. De même, je constatais que mes hanches semblaient s’élargir. J’en parlais à mon épouse, et celle-ci me répondit le plus naturellement du monde :
- Tu sais ma chérie, c’est normal que ton corps réagisse avec les hormones que tu prends !
- Avec les hormones que je prends ?
- Eh bien oui ! Tu veux devenir une femme oui ou non ?
- Je ne pensais pas aller jusque là quand même !
- Allons ma petite chérie, ne fait pas la surprise ! Tu vas même aller encore plus loin !
- Encore plus loin ! Qu’entends-tu par la ?
- Voyons Patricia ! Je veux que tu deviennes une vraie femme ! Comprends-tu ?
- C’est-à-dire ?
- Eh bien une vraie femme avec un sexe tout ce qu’il y a de féminin !
- Tu veux rire ?
- Pas le moins du monde, tu seras une vraie femme, d’ailleurs tu as rendez-vous avec un ami chirurgien dès demain.
- Je n’en reviens pas !
- Allons ne t’inquiète donc pas, cela se passera très bien tu verras, tu ne le regretteras pas !

Le lendemain, effectivement j’allais avec Catherine à mon rendez-vous avec Jean-Claude, le chirurgien que ma femme connaissait bien et même très bien à ce que je vis. Il n’alla pas par quatre chemins, tout de suite il entra dans le vif du sujet.
- Catherine m’a fait par de votre obsession à être femme depuis votre plus tendre enfance.
- Oui, mais jamais je n’aurais osé imaginer que cela était possible réellement.
- Si ! Vous savez vous n’êtes pas la première que je vois et que j’opère, vous êtes très nombreuses dans votre cas.
- Mais !
- Laisse parler Jean-Claude voyons chérie !
- Bon je vois que les hormones que je vous ai prescrites ont fait leur effets.
- Mais, vous ne m’avez jamais examiné docteur ?
- Oh que si ! Et même plus d’une fois, il est vrai que cela c’est passé sans que vous soyez au courant.
- Comment cela a put être possible ?
- Oh! vous savez, il existe maintenant de très bon somnifères.
- Quoi ! Catherine ?
- Oui ma chérie, j’avoue mais c’était pour ton bien !
- Bon je te pardonne, après tout je me sens très bien dans ma nouvelle peau.
- Bon si nous passions aux choses sérieuses maintenant ! dit Jean-Claude.
- Bien, puisqu’il le faut.
- Bien, vous entrez en clinique dès demain matin.
- Dès demain ! Mais et mon travail ?
- Ton travail ma chérie, mais tu ne crois pas que tu vas continuer à travailler dans cette boite qui t’exploite. Et d’ailleurs, ils ont du s’apercevoir que ton corps évoluait. Je ne pense pas qu’ils comptent te garder bien longtemps tu sais !
- C’est vrai, depuis plusieurs jours, tous les employés et même mon patron me regardent de biais. J’en ai même surpris qui rigolait en louchant dans ma direction.
- Alors ! Tu vois bien !
- Bien ! Reprenons, donc dès demain matin vous entrez dans ma clinique et nous faisons différents examens. Dans trois jours je pense pouvoir vous opérer, et si tout va bien vous serez chez vous, disons dans une huitaine de jours. Quand dites-vous ?
- Je n’ai qu’à approuver, je crois que vous avez déjà tout prévu avec Catherine, n’est ce pas ?
- Oui ma chérie ! Tu vas voir, tu seras totalement transformée, tu seras une femme heureuse !
- Je l’espère, après tout, c’est ce que je voulais depuis toujours.
- Au revoir docteur !
- Au revoir mesdames !

C’est ainsi que tout se passa, l’opération fut une réussite totale et croyez-moi, le jour où je pus me regarder, la première fois toute nue dans un miroir, j’étais la plus heureuse des femmes. Oui je dis bien des femmes, car je me considère comme telle à présent. Ce jour là, je suis née une nouvelle fois et je crois que je ne remercierai jamais assez Catherine et Jean-Claude pour tout ce bonheur qui m’est arrivée, je dois dire que je suis très heureuse maintenant.

Comme Catherine le disait, je n’ai pas tardé à perdre mon emploi, mais je ne le regrette pas, je travaille désormais à la clinique de Jean-Claude où je m’occupe de l’accueil de toutes les futures femmes qui viennent se faire opérer. Ce job me plaît énormément.

Catherine et moi sommes toujours ensembles, je crois qu’elle aime autant les femmes que les hommes. Nos nuits d’amour en sont la preuve. Depuis peu, Jean-Claude est venu habiter avec nous, il était l’amant de ma femme et cela je m’en doutais un peu. Naturellement, il est devenu mon amant également. J’appréhendais la première fois qu’il me fit l’amour mais très vite j’ai trouvé cela très à mon goût. Depuis, avec Catherine et Jean-Claude, nous passons des nuits torrides et je dois dire que j’adore ça.

FIN


Responsable du site : Lucie Sobek


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