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« », une petite histoire imaginée par divers

1 De cousin à cousine un couple mixte de Bretagne tvq@femmes.net 27-10-2004, 11:30 par un couple mixte de Bretagne

Je m'appelle Anthony et je tiens à vous parler de ma cousine Christine. C'est une personne charmante, gentille, brune, 1m80, très féminine et très envoûtante. Bref, c'est la femme parfaite. Au début je ne la voyais qu'une fois par an car elle habitait très loin.

Il y a quelques années son père est mort d'un cancer, de ce fait elle et sa mère se sont rapprochées de chez moi. Sa mère est chef d'entreprise, elle démarche auprès des revendeurs et dirige une fabrique de tissus. Et donc souvent en déplacement. Ma cousine tout comme moi, étions des enfants uniques. Nous passions beaucoup de temps ensemble, nous aimions parler de tout et de rien. Elle n'avait pas d'amis sur la Bretagne et étant donnée qu'elle avait arrêté l'école pour travailler avec sa mère, elle disposait de peu de temps pour sortir et rencontrer du monde

Un jour pour lui changer les idées, je l'inscrivit à un concours de miss régionale, qu'elle remporta avec succès.
" Christine : si je l'ai fait, c'est pour toi Anthony, mais je dois t'avouer qu'aujourd'hui je suis vraiment heureuse. "
Ensuite, elle fut admise pour participer à l'élection de miss France (et attendais sa lettre avec impatience). Sa mère était partagée entre le bonheur de l'expérience de sa fille et la tristesse de n'avoir pu partager ses moments de bonheur avec elle. (trop de travail)

Christine ne lui en voulait pas une seule seconde, elle était si gentille et elle savait que depuis la mort de son père, sa mère travaillait très dur pour que toutes les deux ne manquent de rien. Et puis, elle n'arrêtait pas de me remercier, elle savait que de toute façon elle pouvait compter sur moi. Pourtant, je n'arrêtais pas de lui dire que je l'avais juste inscrite et que tout le mérite lui revenait.

Puis les grandes vacances commencèrent pour moi, quant à mes parents, ils partaient tous les deux pour trois semaines en Tunisie, moi je préférais rester là.

Ma mère était très inquiète à l'idée de me laisser seul, je n'avais que 16 ans, mais je pouvais me débrouiller tout seul.

Ma mère me proposa alors d'aller passer ses quelques semaines chez ma tante avec Christine, ce qui me convenait tout à fait. Avant de partir, ma mère me fit promettre devant ma cousine de lui obéir et de faire tout ce qu'elle me dirait, je le promis.

Pendant la première semaine de vacance

Un matin, alors que je dormais dans la chambre d'amis, j'entendis des cris provenant de l'escalier. Christine venait de recevoir une lettre et elle tenait par-dessus tout à la lire devant moi ( elle était tout excitée, tout comme moi ). Car il s'agissait de l'élection de miss France. Le contenu de cette lettre était le suivant ; " Chère Mademoiselle THEBAULT, c'est avec le plus grand plaisir que je vous annonce que vous êtes conviée à passer une semaine sur le paquebot NORMANDIE pour l'entraînement de miss … vous pouvez venir accompagner d'un membre de votre famille ? "
Elle sautait au plafond de joie.

Je ne l'avais jamais vu comme ça. Je pris la lettre et fini de la lire, celle-ci disait qu'elle pouvait venir accompagnée d'un membre de sa famille ( exclusivement féminin ). Elle s'arrêta nette et me pris la lettre des mains tout en me disant : " tu plaisantes là ". La déception se lisait sur son visage, il n'y avait plus aucune trace d'enthousiasme.

J'essayais de la réconforter en lui disant que sa mère l'accompagnerait. Christine savait que sa mère avait beaucoup de travail et toute façon elle me dit que c'est avec moi qu'elle voulait y aller. Je ne savais pas quoi dire. Sachant que c'était impossible.

Pour lui remonter le moral, il était écrit qu'il fallait faire des photos avec sa robe de Miss. Il faisait beau, je lui proposai d'y aller tout de suite. Christine alla enfiler celle-ci, mais sans réelle motivation. Elle commença à se déshabiller devant moi, elle était en sous-vêtements quant elle me demanda si cela ne me gênait. Je lui répondis que non, tellement j'étais sous l'effet de la surprise et après tout ce n'était jamais que ma cousine.

Elle finit de se préparer et de se maquiller, et moi je l'aidais comme je pouvais. Une fois prête, elle me demanda de lui donner le gilet qui était sur la chaise derrière moi car nous étions en hiver, l'élection étant au mois de décembre. Enfin, nous pouvions y aller.
Nous avions pris un drap pour faire les photos afin que Christine ne se salisse pas trop. Elle me demanda de prendre son gilet pendant les photos, ce qui n'était pas facile car c'était un long gilet en laine angora de couleur noir.(et donc très salissant).
Christine : (voyant que j'étais embarrassé) tu n'as cas l'enfiler pendant les photos, en plus il sera tout chaux quand tu vas me le rendre.
Anthony : Tu n'y pense pas sérieusement. C'est un gilet de fille.
Elle me taquinait, me traitant de macho et insista de nouveau pour que je le mette. Mon refus la fit sourire et je finissais par le mettre et pris le reste des photos en vitesse pour le lui rendre le plus vite possible. Une fois les photos terminées nous remontions dans sa chambre.

Christine avait de nouveau perdu le moral et pensait que tout cela ne servait à rien car elle n'ira pas, pas seule en tous les cas. De plus elle voulait que ça soit moi et personne d'autre. Puis tout à coup elle me demanda:
Christine : qu'as-tu pensé du gilet et l'as-tu trouvé agréable !
Anthony : où veux-tu en venir ?
Christine : " Nulle part " . C'est juste une question !
Attendent ma réponse, je lui répondit que " oui " Mais sans conviction.

Puis elle se dirigea vers son armoire et pris un pull angora, me le tendit.
Christine : Essaye ça ! . (J'étais surpris)
Anthony : il n'en est pas question.
Elle me supplia en me disant que cela la distrairait et lui remontait un peu le moral. Pour lui faire plaisir, je finis par céder . Après tout ce n'est qu'un pull. Je devais bien admettre au fond de moi, que je trouvais cette matière plutôt agréable, mais trop féminine.
A peine avais-je dit oui, que ma cousine m'enleva mon pull et me mit le sien.
Christine : Tu n'es pas mieux comme ça, en plus je trouve qu'il te va vraiment bien. Tout en riant.
Anthony : Oui, oui ( en ronchonnant ). Mais ma récompense fut de voir ma cousine sourire.

Je le gardais toute la journée. Quant arriva le soir, je mis le couvert pour dîner (pour deux car ma tante rentrait tard ce soir là ) quand je vis la porte s'ouvrir. C'était ma tante qui rentrait plutôt que prévu. Je me sentis horriblement gêné.
Ma Tante : Bonsoir Anthony, dis moi tu en as un beau pull, je l'avais prêté à Christine et je comprends maintenant pourquoi elle ne me l'a pas rendu.
Anthony : Non, non ma tante ce n'est pas ce que tu crois ! ( je l'enleva aussitôt)
Ma tante (me prennent les mains) Mais non ne l'enlève pas, il te va très bien, tu es très beau avec !
Puis Christine arriva en courant du bureau où elle était en train de finir les commandes.
Christine : Bonsoir maman.
Ma tante : Bonsoir ma chérie.
Christine : Dis-moi que penses-tu- d'Anthony comme cela.
Ma tante : Il est vraiment très mignonne, dit-elle en riant accompagné de Christine

Nous passions le reste de la soirée parlant de chose et d'autre me moquant même de moi. Là soirée se termina et nous allions tous nous coucher.

Le lendemain matin

Christine se leva de bonne heure comme d'habitude pour aider sa mère pour le petit déjeuner. Après le départ de sa mère, Christine monta dans ma chambre ouvrant les rideaux prit quelque chose dans ma chambre et sortie aussitôt. J'ouvrais à peine les yeux pour suivre son manège après tout c'est les vacances. Moins de deux minutes après ça, elle passa le seuil de la porte se dirigea vers la chaise au fond de la chambre et me dit en se dirigent vers la sortie
Christine : Peux-tu mettre les vêtements qui sont sur la chaise ?
Anthony : (regardent les yeux à peine ouvert la chaise sur là qu'elle était posé les vêtements et voyant le pull de la veille je répondit ) :oui
Christine : super ! Je t'attends dans ma chambre.
Je commençais à me poser des questions là voyant si enthousiaste. Me dirigent vers la chaise je pris le pull et vis en dessous la jupe assortie. S'en était trop.
Anthony : Tu n'es pas bien Christine, il est hors de question que je mette ça, demain se sera quoi, tes sous-vêtements peut-être ? C'est non, non et non !!!
Christine :(en revenant vers ma chambre) où est le problème Anthony ?
Pendant ce temps là, je cherchais partout ma valise.
Anthony : Le problème est que refuse de m'habiller en fille un point c'est tout !!!
Christine : Je ne te demande pas de t'habiller en fille ; mais juste d'essayer ses vêtements rien de plus. Tu as déjà mis le pull hier et pour la jupe, tu verras que c'est plus confortable que tes jeans.
Je cherchait désespérément ma valise partout<

Anthony : Mais où est ma valise !!!(Je finis par comprendre que c'est ce qu'avait prit Christine dans ma chambre ) Rend-moi valise tout de suite Christine !

Christine me prit les mains et me fit m'assoire sur mon lit ; elle s'asseilla juste à côté de moi tout en gardent mes mains dans les siennes.
Christine : Tu sais, tu es le seul membre de ma famille et je tiens énormément à toi. Je ne vais pas te forcer à faire ce que tu ne veux pas faire . Mais écoute-moi, je n'ai que trois choses à te dire et après tu décideras " d'accord " ?
Anthony : oui !
Christine : Tout d'abord tu te souviens quand je me suis fait passer pour ta petite amie auprès de tes amis, tu t'en souviens n'est-ce pas ?
Anthony : Oui mais … ( Christine repris aussitôt la parole ne me laissent pas finir )

Christine : Ensuite je te rappelle que c'est toi qui m'a inscrite à ce concours et pour la première fois de ma vie je fais quelque chose de réellement important. Et pour finir, tu as promis à ta mère que tu ferais tout ce que je te dirais de faire. (en disant cette dernière chose en riant)
Christine se leva et me donna ma valise. Je ne savais pas quoi dire.

Christine : Tiens, c'était stupide excuse-moi pour tout. Je ne veux pas qu'on se fâche pour ça. Je tiens trop à toi pour ce concours en plus, je suis stupide de pouvoir penser que je puisse le remporter, c'est toi qui a raison laissons tomber ça ! Je vais en bas te préparer ton petit déjeuner et on ne parle plus de tout ça !

J'étais perdu. Je ne savais plus quoi faire. Elle est si gentil, ne pas lui donner ça chance aurait été pour moi la pire des choses qui puisse lui arriver. Car dans le passer, elle a été toujours là pour moi. Je pris donc la jupe et le pull. La jupe était très étroite. Je faisait donc très attention de ne pas chuter dans l'escalier. Arrivé en bas, je vis mes chaussons et ceux de ma tante. Nous chaussions la même pointure et je pris donc ceux de ma tante. Christine me vit arriver dans cette tenue elle coura, me prit dans ses bras et me remercia chaleureusement.

Anthony : ne t'emballe pas trop vite car temps je ne ressemble pas à une fille je n'accepte pas.
Christine : Pas de problème ! Je fais faire de toi là plus jolie des petites cousines que l'on puisse rêver d'avoir.
Anthony : c'est pas gagné !
Christine était tellement pressé que j'eus à peine le temps de déjeuner.
Christine : Pour commencer, tu vas retirer tous tes vêtements et enfiler le peignoir qui est dans la salle de bain.
Ce que je fis aussitôt.
Christine : prend un fauteil et un tabouret.
Pendant ce temps, Christine sortait différents appareils qui ressemblaient plus à des appareils de torture qu'à des appareils de bien-être.

Christine : assie toi ici. Je vais commencer par te faire un masque au kiwi et à la banane. Elle inclina le fauteuil et trouvant que j'avais des sourcils trop fournis, elle décida de commencer par cela.
Elle prit un appareil qui ressemblait à un crayon munit d'un fils électrique qui était relié avec un gros boîtier, elle le posa sur mon sourcil gauche et je reçus des petites décharges électriques dans le front.
Anthony : Ouille, ça fait mal ton truc là, je préfère que tu arrêtes là tout de suite.
Christine : Je ne peux pas j'ai commencé un sourcil, il faut bien que je termine l'autre maintenant et puis tu connais le proverbe, il faut souffrir pour être belle.
Pour la 1ère fois, je souriais malgré la douleur. Elle me fit aussi la moustache et me fis ensuite le masque.
Puis elle m'épila les jambes à la cire ( ce qui fait très mal ). Puis elle me mit une crème de soin sur les jambes. Je ne voyais rien car j'avais 2 rondelles de concombre sur les yeux.
Christine : Met tes mains sur les accoudoirs, je vais m'en occuper.
Elle me mit de la crème sur les mains et elle me mit sur les ongles ce qu'au départ je pensais être du vernis mais qui en réalité était de la colle pour poser des faux ongles qu'elle vernirait par la suite.
Christine : Bon reste comme cela, je vais préparer le repas pour ce midi.
Anthony : Mais !
Christine : Il n'y a pas de " mais ".
Ma cousine revint environ une heure après, elle me retira le masque car il commençait à me tirer sur la peau.
Christine : Ne t'en fais pas, je te l'enlève.

Christine ne voulait pas que je vois le résultat, alors elle me sortit de la salle de bain sur mon siège à roulette. Quant je vis mes ongles si longs et plein de vernis, je n'en revenais pas. Mes jambes quant à elles étaient d'une grande douceur. Ensuite nous mangeâmes très vite car nous étions très existés l'un comme l'autre, je finissais par me prendre au jeu. On ne fit même pas la vaisselle.

Christine : Vient-on va dans la chambre. (elle prit le pull et le jupe) Une fois dans la chambre, elle ouvrit les portes miroir de son armoire et cacha tout ce qui aurait pu refléter mon image.
Christine s'approcha de moi et enleva mon peignoir.
Christine : Bon, il te faut des sous-vêtements un peu plus féminin maintenant, en me regardant de la tête au pied.
Je commençais à me poser des questions, elle sortit de son armoire une guêpière blanche qu'elle présenta devant moi me la collant sur le torse.
Christine : Ah oui ! Ça c'est pas mal du tout. Tient la comme ça s'il te plait.
Elle retourna voir dans son armoire et sortit une petite culotte blanche en lycra assortit à la guêpière et une paire de bas.

Christine : Bon, enfile tout cela maintenant.
Je la regardais la bouche ouverte ne sachant quoi dire et ne sachant pas par quoi commencer.
Christine : Allez. Je vais t'aider. Commence par le slip, je me tourne pendant ce temps là.
J'étais rempli de honte, mais le fit comme même.
Christine : Tourne-toi maintenant, met tes bras dans les bretelles, je vais fermer les agrafes.
J'étais très serré.
Je vais t'enfiler les bas car avec tes faux ongles, tu risque de les effiler.
Elle finit par les attacher aux élastiques de la guêpière et recula face à moi.
Tu es superbe là-dedans, c'est un bon début, mais il te faut de la poitrine ( elle sortie une paire de chaussette qu'elle roula dans ses mains et qu'elle mit dans les bonnets de la guêpière.
Elle me demanda alors ce que je ressentais.
Anthony : C'est serré mais autrement ça va et je dois bien avouer que ce n'est pas désagréable du tout.
Christine : C'est que tu commences à y prendre goût ( en riant et retournant vers son armoire ).
Elle me donna ensuite un tee-shirt en dentelle et me redonna le pull et la jupe angora noire que j'avais mis le matin même.
Christine : Je veux que tu remettes cet ensemble car il te va bien et ça te permettra de faire la différence avant et après.

Elle me prit par la main et me fit retourner dans la salle de bain. Puis elle m'arrêta devant la porte de celle-ci. Elle demande de me tourner car elle ne voulait toujours pas que je vois. Elle me fit rentrer en arrière dans la pièce et elle prit différents produits de maquillage ( fond de teint, mascara, fard à paupière, rouge à lèvre…).

Christine : Pour aujourd'hui c'est tout, car il faut voir si tu n'es pas allergique. Puis elle me demanda si j'étais prêt pour voir le résultat.
Anthony : Oui dépêche-toi, j'ai hâte de voir ce que ça donne.
La surprise fut énorme quant je me vis devant la glace, j'étais méconnaissable.
Christine : Alors " cousine ", bleufer.
Le seul défaut était mes cheveux courts.
Christine : Il faut que j'aille travailler maintenant, peux-tu m'aider à passer les commandes ? Anthony : Oui bien sûr, je me change et j'arrive.
Christine : Sûrement pas, il faut t'habituer à tes nouveaux vêtements, nous partons dans deux jours alors il faut que tu sois prête.
Je commençais à m'habituer à l'utilisation du féminin. Plus tard dans l'après-midi, je passais des coups de téléphone et je n'entendis pas la voiture de ma tante arrivr. Elle entra dans le bureau un paquet à la main.
Ma tante : Bonsoir tous les deux (puis en me regardant), ou plutôt devrais-je dire toutes les deux.
J'étais rouge de honte, je ne savais plus où me mettre.
Christine : Bonsoir maman.
Anthony : Bonsoir mais je croyais que tu ne revenais pas ce soir.
Ma tante s'approcha de moi, ne soit pas gêné et lève-toi pour voir comment tu es belle.

Ma tante : Tu es superbe avec mon ensemble. Il te manque malgré tout quelque chose. Elle retira ses chaussures à talons.
Ma tante : donne-moi mes chaussons (que j'avais conservé toute la journée) et met mes chaussures à la place. Je regardais ma cousine.
Christine : Assis toi et mets-les vite.

Ce que je fis tellement j'étais surpris, puis ma tante retira ses boucles d'oreilles qui étaient des clips et son collier assorti, puis elle me les mit. J'étais de plus en plus gêné. Puis elle me tendit un paquet que Christine lui avait demandé d'acheter mais que ma tante avait choisit. J'ouvris le paquet, il s'agissait d'une perruque de couleur châtain clair et au fond du carton une paire de prothèse mammaire. Je faillis m'évanouir.

Christine savait que j'aurais accepté avec ses arguments dans ma chambre.
Ma tante : Je vais te mettre la perruque avec Christine, pour les faux seins on verra demain avec ta formation.
Anthony : Formation ! Mais quelle formation ?
Christine : Et bien oui, il faut revoir ta démarche, tes manières…
Elles finissaient de m'installer.
Ma tante : montre-moi ton visage maintenant.
Christine et ma tante : Superbe! C'est à ci méprendre, tu es très belle, elle pourrait même te remplacer comme miss.
Christine : Bonne idée maman, demain je vais lui mettre ma robe de miss et faire des photos souvenir.
Je me leva de ma chaise, et faillit tomber avec la hauteur de mes nouvelles chaussures.
Ma tante et ma cousine me prirent les mains pour m'aider à faire les 1ers pas qui furent laborieux.
Ma tante me regardait en me déplaçant avec du mal et me dit :
Ma tante : Anthony, il faut de donner un prénom féminin, que penses-tu de SEVERINE.
Je n'eus le temps de répondre.
Christine : Oui c'est très joli et cela lui va bien. C'est décidé ce sera ton prénom sera SEVERINE et cela jusqu'au retour de tes parents.
Résigné-je répondis oui.

Ma tante : Christine, Séverine, mettez la table toutes les deux pendant que je fais à manger.
Christine : Bien maman, tu viens Séverine ( se tournant vers sa mère complice ).

J'avais beaucoup de mal avec les chaussures et la perruque qui me tombait un peu dans les yeux. J'avais envie de tout retirer, mais les risques étaient de taille : ma tante et ma cousine c'est vous dire. Christine vit que j'étais embêté. Elle me dirigea alors dans la salle de bain pour me mettre un serre-tête ou un chouchou. J'opta pour le serre-tête, plus facile à mettre. En le plaçant, je vis mon visage avec les cheveux longs, je ne me reconnaissais pas du tout.

Pendant le repas nous discutions toutes les trois, car pour ma cousine comme pour ma tante, j'étais devenu Séverine et j'allais l'être pour plus de deux semaines. Après la vaisselle, nous allions nous coucher. J'enleva les chaussures avec un réel plaisir.
Ma tante : Tu sais Séverine, je te les prêtes pendant les vacances ainsi que les autres paires qui sont dans le placard. Tu peux toutes les essayer, il n'y a aucun problème et pour les bijoux c'est pareil ainsi que ma garde robe, tout est à toi.
Anthony : Merci ma tante.
Ma tante : De rien cela me fait énormément plaisir et n'hésite surtout pas. D'ailleurs viens avec moi (une fois dans sa chambre elle ouvra les portes de son armoire et me redit :
Serre toi prends-toi des vêtements pour demain.
Elle me conseilla une robe tailleur noire très féminin avec des nœuds de chaque côté.
Anthony : merci ma tante.
Ma tante : de rien Séverine !
Je montais l'escalier et Christine me suivait.
Christine : Bonne nuit Maman.
Anthony : Bonne nuit ma tante.
Ma tante : Bonne nuit les filles nous dit-elle en souriant, et pas trop de " papotage " cette nuit.

Je commençai par aller dans la salle de bain avec ma cousine pour me démaquiller. Après je me déshabillai dans sa chambre ayant besoin de son aide pour tout retirer. J'enlevai tout sauf le slip et je commençai à me diriger vers ma chambre pour aller enfiler mon pyjama.
Christine : Mais Séverine où vas-tu.
Anthony : Et bien je vais mettre mon pyjama et dormir.
Christine : Attends, je vais te préparer quelque chose pour dormir.

J'étais tellement fatigué que je ne résistais même plus ( trop d'émotion pour la journée ).
Christine : Tout d'abord , je vais te coller tes faux seins. (drôle de sensation)
Après, elle sortit de son armoire un soutien-gorge me disant que c'était pour maintenir ma poitrine cette nuit. Cela faisait une drôle d'impression car ils semblaient si vrais. Puis elle me fit mettre une nuisette longue en satin.
Christine : Tu dors avec moi cette nuit, si toutefois tu es d'accord.

Cela me faisait réellement plaisir de dormir avec ma grande cousine, c'était la 1ère bonne nouvelle de la journée. Nous discutions de chose et d'autres avant de dormir. Finalement, j'acceptais plutôt bien mon changement d'identité. J'étais partagé entre la honte et l'excitation et cela me plaisait énormément.

La suite plus tard peut être !!!
Ecrit par un couple mixte


Responsable du site : Lucie Sobek


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