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« », une petite histoire imaginée par divers

1 La bague merveilleuse Aurore tvq@femmes.net 27-10-2004, 11:17 par Aurore
Sur la route qui le ramenait vers sa région natale, Jacques se rappelait l'appel téléphonique de la veille, par lequel son oncle Jean lui demandait si cela lui était possible de venir le rejoindre assez rapidement.

Son oncle lui avait laisser entendre qu'il avait besoins de lui pour l'aider à gérer le domaine familial. Sans hésiter un seul instant, Jacques avait donné sa démission d'un emploi qui ne l'intéressait vraiment pas. Le soir même, les valises étaient bouclées et les clés du meublé qu'il occupait, rendues à l'agence de location, le matin avant son départ.

Cela faisait déjà, deux bonnes heures qu'il roulait et Jacques se remémorait les bons moments qu'il avait passer chez son oncle. Jean était le frère de son père, célibataire, il avait élevé Jacques suite au décès des parents de ce dernier dans un accident d'avion, accident survenu alors que le petit Jacques n'était âgé que de 7 ans.

Le domaine familial géré jusqu'à présent par Jean, était composé d'un magnifique manoir breton, d'une immense étendue boisée, et de cinq fermes réparties aux alentours. Ce domaine, Jean et Pierre le père de Jacques, l'avaient hérité de leurs parents, et par conséquent était pour moitié à Jacques.

La gestion des fermes et de l'exploitation du bois rapportait un bon bénéfice tous les ans.
Jacques avait dont été élevé au manoir par son oncle, et il se souvenait que gamin, il lui arrivait fréquemment de jouer avec Françoise, la fille du contremaître qui habitait dans une des dépendances du manoir.

Autant Jacques était timide et sensible, autant Françoise du même âge que lui était volontaire et avait l'air d'un garçon manqué. C'est vers cette époque, que Jacques avait découvert un plaisir qui depuis ne l'avait jamais quitté. Un jour par jeu, Françoise avait proposé à Jacques d'échanger leurs vêtements, et le reste des vacances se passa ainsi, Jacques était devenu Jacqueline quant à Françoise, elle se trouvait bien en François. L'oncle Jean ne trouva rien à redire à cette situation.

Lorsque Françoise se devint orpheline, suite au décès de ses parents dans un accident de voiture, l'oncle Jean qui était le parrain de la fillette, devin son tuteur légal et la gamine vint habiter le manoir.

Lorsque l'oncle Jean devait s'absenter pour une journée ou deux, il faisait venir une femme pour garder Jacques et Françoise. Cette femme, qui s'appelait Eléonore était d'une grande beauté et elle adorait les deux enfants.

Eléonore avait une vague ressemblance avec Jean, mais elle refusait toujours de donner le lien de parenté qui l'unissait à Jean. Parfois, il arrivait également que l'oncle s'enferme dans une pièce attenante à sa chambre, son laboratoire comme il l'appelait. Les enfants n'avaient pas le droit d'y pénétrer sous aucun prétexte. Qui faisait-il, personne ne le savait, à part peut-être Victor le vieux domestique du manoir. Celui-ci disait aux enfants : " Jean est un grand alchimiste et il fabrique d'étranges potions aux étranges pouvoirs ".

Durant plusieurs années, les vacances se passèrent ainsi et il était entré dans les usages que Jacques et Françoise deviennent Jacqueline et François sans que cela choque qui que se soit dans le manoir. Souvent Eléonore venait et profitait pour donner des cours de maquillage à Jacques. Elle lui apprenait aussi à se tenir, à marcher à faire différentes choses comme l'aurait fait une femme. L'oncle Jean faisait de même avec Françoise, ce qui fait qu'arrivé à l'âge de 18 ans Jacques et Françoise pouvaient se transformer en Jacqueline et François sans choquer le moins du monde.

Il arrivait également quand l'oncle Jean s'absentait, que nos trois compères se fassent une soirée dans la grande salle du manoir. Jacqueline enfilait une des belles robes d'Eléonore et François s'habillait avec un smoking de l'oncle Jean. A cette occasion, Eléonore qui avait de magnifiques bijoux, prêtait volontiers colliers, bagues, clips d'oreilles etc... à Jacqueline, mais jamais elle ne se séparait de la bague qu'elle portait à l'annuaire de sa main droite.

Cette bague, faite d'un rubis d'une grande beauté entouré de plusieurs diamants aux éclats chatoyants, était au dire de sa propriétaire, magique et avait un grand pouvoir, pouvoir que bien entendu, elle refusait de divulguer aux enfants.

Jacques était là dans ses pensées lorsqu'il arriva aux abords du domaine, allait-il revoir Françoise et Eléonore, cela faisait quand même presque dix ans qu'il était parti pour travailler dans la capitale, dix ans qu'il n'avait plus de nouvelles d'elles deux ou si peu. Lorsque Jacques franchit le porche du manoir, l'oncle Jean était là à l'attendre devant la grande porte vieille de plusieurs siècles. Après de grandes effusions, ils pénétrèrent tous deux dans la grande salle. Jacques regardait partout, respirait les odeurs du passé, non vraiment ici rien n'avait changé, à part l'oncle qui visiblement accusait le poids des ans.

Durant le repas qui suivi, l'oncle Jean mit Jacques au courant de la situation, sa santé ne lui permettait plus de gérer le domaine et il comptait beaucoup sur son aide ainsi que sur l'aide de Françoise qui devait arriver le lendemain dans la matinée.

En apprenant l'arrivée prévue de Françoise, le cœur de Jacques se rempli de joie, ainsi il allait revoir son amie d'enfance, sa complice de jeunesse, quel bonheur !
Aurait-elle changer ?
Jacques avait hâte au lendemain, pour retrouver Françoise/François.
Puis le repas touchant à sa fin, Jacques questionna son oncle sur Eléonore.
Jean lui expliqua :
- " Un jour, l'année dernière, elle a disparue sans laisser de trace. "
et il ajouta :
- " Depuis personne ne l'a revue, cela est peut-être mieux ainsi ! "
Puis tous deux montèrent dans leurs chambres.

Une fois dans sa chambre, Jacques entreprit de défaire ses bagages, une valise contenait ses affaires personnelles, l'autre, beaucoup plus grande, était remplie de vêtements et de sous-vêtements typiquement féminins ainsi que de différents produits de maquillage. Quand tout fut bien rangé dans l'armoire, Jacques pris une bonne douche, puis se mit à opérer une petite transformation avec des gestes adroits : Jacqueline faisait son apparition petit à petit.

Une heure plus tard, personne n'aurait reconnu Jacques, dans la jeune fille qui sortait de la chambre pour aller flâner dans les allées du jardin qui bordait le manoir. Tout dans sa démarche, dans ses gestes, faisait penser à une femme, une femme qui laissait dans son sillage, une traînée de parfum envoûtant.

Jacqueline se promena ainsi durant une petite heure au clair de lune puis regagna sa chambre silencieusement. Là, elle se dévêtit, se démaquilla avec des gestes très féminins, puis après avoir enfilée une chemise de nuit en soie très fine, elle se glissa sous la couette de son lit.

Jacqueline ne s'endormit pas de suite, elle pensait à son amie Françoise, et plus particulièrement à la journée qui précéda leur séparation quelques années auparavant.

Jacques/Jacqueline se rappelait cette fameuse journée qui précéda leur séparation, il y a dix ans déjà.

Ce jour là, Jacques et Françoise, conseillés par Eléonore, avaient souhaité faire une sortie dans la ville voisine. Eléonore avait organisé cette journée du matin au soir et, pour corser le tout, elle avait décidé que Jacques et Françoise s'y rendraient en tant que Jacqueline et François.

Donc depuis le matin, chacun de son côté, s'affairait dans la plus grande excitation. Jacqueline après s'être maquillée avec l'aide d'Eléonore, avait passé une heure à choisir la robe qu'elle allait mettre pour la journée. De son côté, François s'était décidé pour un costume de coupe sportive.

Il avait été convenu que le matin ils se promèneraient en ville puis iraient déjeuner dans un petit restaurant. L'après-midi étant consacré à faire des emplettes dans les différents magasins du centre ville. Eléonore accompagnerait les jeunes gens toute la journée puis tout le monde rentrerait au manoir vers les 18HOO pour se préparer pour la soirée. Ensuite, François et Jacqueline, après s'être changés, sortiraient au restaurant puis se rendraient dans un dancing jusqu'au petit matin.

La matinée se passa comme prévue, le temps étant de la partie, la flânerie dans les vieilles rues de la ville fût des plus agréables. François et Jacqueline, par jeux, marchaient bras dessus bras dessous comme deux amoureux sous l'œil satisfait d'Eléonore. Le repas de midi dans le petit restaurant se déroula le mieux du monde. François en profitait pour taquiner Jacqueline qui riait de ces plaisanteries. Eléonore encourageait les jeunes dans cette voie.

L'après-midi, comme convenu, fût consacré aux emplettes. Jacqueline encouragée par Eléonore, essaya une multitude de robes, de jupes, de chemisiers, et finissait toujours par acheter un ou deux articles dans chaque magasin. Elle acheta également des sous-vêtements de dentelles et de soie, un soutien-gorge et une petite culotte par ci, un porte-jarretelles par là, une guêpière et des bas Nylon dans un autre magasin.

En fin d'après-midi, Eléonore, poussa les jeunes gens dans une bijouterie, et réussi à décider Jacqueline à se faire percer les oreilles. Puis elle lui offrit une magnifique paire de boucles d'oreilles en or ainsi qu'un collier assorti. Jacqueline sortie du magasin toute excitée. Ses oreilles lui faisaient un peu mal mais elle se sentait plus femme que jamais. Puis tout ce petit monde rentra au manoir.

Après une rapide toilette, les jeunes se changèrent, puis François et Jacqueline prirent la voiture pour se rendre de nouveau en ville. François avait réservé une table dans un restaurant du centre. L'ambiance était romantique et le repas excellent. François et Jacqueline étaient installés confortablement dans un petit recoin, de sorte qu'ils pouvaient parlés sans être gênés par qui que ce soit. Mais ce qui leur avait semblé un jeu en début de journée, n'en était plus un à cet instant. François prenait régulièrement la main de Jacqueline dans la sienne et Jacqueline se rapprochait de plus en plus de François. L'Amour remplaçait l'amitié petit à petit. Après avoir payé, les deux jeunes gens partirent pour un dancing tout proche, mais ils ne se décidaient pas à danser. Ils préféraient rester assis à une table se regarder droit dans les yeux. Lorsqu'une série de slows commença, François et Jacqueline se levèrent d'un commun accord et se dirigèrent vers la piste de danse. Et ce qui devait arriver arriva, les lèvres des deux jeunes gens se réunirent dans un langoureux baiser. La soirée se poursuivi ainsi jusqu'au alentour de minuit, jusqu'au moment où François décida de rentrer au manoir.

Arrivés à destination, sans se poser de question, ils entrèrent tous les deux dans la chambre de François, ils se déshabillèrent puis se mirent au lit. Jacqueline et François échangèrent un long baiser, puis blottis l'un contre l'autre, ils s'endormirent.

Ce fut la dernière fois qu'ils se virent, le lendemain Jacqueline redevenait Jacques et partait pour la capitale.

De bonne heure, le lendemain matin, Jacques se réveilla la tête pleine des souvenirs vieux de dix ans. Très rapidement, il se leva, fit sa toilette et après avoir enfiler une chemise et un jean descendit à la salle à manger. Son oncle Jean était déjà là, il terminait son petit déjeuner.
- " Bonjour mon oncle ! "
- " Bonjour Jacques, as-tu bien dormi ? "
- " Très bien et toi Oncle Jean ? "
- " Oh ! tu sais, à mon âge, on a le sommeil léger "
- " Le temps à l'air magnifique aujourd'hui ? "
- " Oui, hier soir aussi il faisait bon, je prenais l'air à la fenêtre de ma chambre, et il m'a semblé apercevoir une vieille connaissance "
- " Ah bon ! Et qui donc mon oncle ? "
- " Si mes souvenirs sont bons, cette jeune personne se prénommait Jacqueline ! "
- " Tu ne t 'es pas trompé, Oncle Jean, c'était bien elle "
- " Cela me ferait très plaisir si elle venait passer la journée, qu'en penses-tu ? "
- " Ma foi, je crois aussi qu'elle en serait ravie mon oncle ".
Jacques avait compris, il se retira dans sa chambre, et entrepris aussitôt la transformation. Une heure plus tard, Jacqueline rejoignait l'oncle Jean dans le jardin.
Vers 10H00, une voiture entrait dans la cour du manoir, à son volant un jeune homme qui avait l'air de connaître les lieux. Il gara son véhicule devant l'entrée principale de la grande demeure et après en être sorti, se dirigea d'une allure fière vers l'oncle Jean et Jacqueline.

Jacqueline se demandait qui pouvait bien être cet homme qui la dévisageait maintenant avec un sourire. Il lui semblait qu'elle le connaissait mais elle n'arrivait pas à mettre un nom sur ce visage.
L'oncle Jean voyait bien que Jacqueline était intriguée par le nouvel arrivant, et il rigolait bien en son fort intérieur. Après quelques minutes, il décida de mettre fin au mystère et présenta le visiteur :
- " Jacqueline, te rappelles-tu Françoise ? "
- " Oui, bien sûr mon oncle "
- " Et bien tu as devant toi Françoise ou plutôt, devrais-je dire François. "
- " Est-ce possible, c'est bien toi François ?
- " Et oui, ma Jacqueline chérie, Françoise est devenue François pour toujours et ce, grâce à la science de ton oncle ici présent. "
- " Je n'arrive pas à le croire, tu es devenue un homme, un vrai ? "
- " Oui, je t'assure, je suis un homme, un vrai, avec tous les attributs d'un homme, si tu vois ce que je veux dire. "
- " Comment cela est-il possible ? " " IL faut me le dire mon oncle ! "
- " Et bien, allons au salon mes enfants, nous serons mieux pour en parler. "
Ils se dirigèrent tous les trois vers la demeure. Après s'être installé confortablement dans les fauteuils de cuirs du salon, l'oncle Jean entrepris d'expliquer à Jacqueline la surprenante métamorphose de Françoise.
- " Te souviens-tu les heures que je passais dans mon laboratoire Jacqueline ? "
- " Oui bien sûr, tu t'enfermais, et nous autres nous n'avions pas le droit d'entrer dans cette pièce mystérieuse. "v - " Et bien, mes recherches visaient principalement, la transformation d'un être de sexe femelle en un être de sexe mâle ".
- " Seulement dans le sens femelle vers mâle, mon oncle, pourquoi pas dans l'autre sens ? "
- " Pourquoi ? Et bien, je n'avais, et je n'ai toujours pas l'utilité de la transformation dans le sens mâle vers femelle. "
- " Et moi, tu m'oublies, oncle Jean ! "
- " Mais non bien sûr, soit patient j'y viens ! "
" Donc, comme je te le disais à l'instant, mes recherches visaient la transformation d'un individu femelle, vers un individu de sexe mâle, et c'est seulement il y a deux mois aujourd'hui que j'y suis parvenu. "
" Dès que j'ai été sûr de ma réussite, après plusieurs essais très concluants sur des souris, puis enfin sur ma petite chatte qui est devenu le beau chat que tu es en train de caresser en ce moment, j'ai fais une proposition à Françoise, et cette dernière n'a pas hésité une seconde "
- " Fantastique, quand passes-tu à l'opération inverse ? "
- " J'ai donc, le soir même procédé à la première d'une série de 10 injections sur ton amie Françoise, qui en quinze jours est devenue le beau jeune homme que tu as devant toi en ce moment. "
- " Et depuis tout est merveilleux pour moi " confirma François.
- " Bon, et moi quand puis-je devenir enfin celle que j'ai toujours voulu être ? demanda Jacques.
- " Dès ce soir tu seras une vraie femme ! " répondit son oncle.
- " Tu es donc parvenu à trouver un produit plus rapide que le produit qui à servi pour François pour transformer un homme en femme ? "
- " Non, mais depuis longtemps j'ai le pouvoir de faire une femme d'un homme en cinq petites minutes ! "
- " Et peut-on en connaître le secret, mon oncle ? "
- " Et bien je crois que le moment est venu de vous révéler mon secret les enfants. Il y a une quarantaine d'année mon père ma confier un secret que lui-même détenait de son père. Ce secret, se présente sous la forme d'une bague, une bague que vous avez déjà vu les enfants. "
- " La bague d'Eléonore ? "
- " Exact, comment as-tu deviné Jacques ? "
- " Elle était si magnifique, que j'y pense souvent encore "
- " Oh tu peux dire, elle est magnifique, car la voici ! " dit l'oncle Jean en sortant l'objet de sa poche.
- " Ainsi cette bague a le pouvoir de faire une femme d'un homme ? " demande Jacques.
- " Oui mon garçon, cette bague a appartenu au chevalier d'Eon, et elle lui permettait de se transformer à volonté en femme, il lui restait ensuite à l'enlever pour redevenir un homme. "
- " Pas possible, mais alors Eléonore …. "
- " C'était moi " dit l'oncle Jean.
- " Ce qui explique que tu n'étais jamais là quand Eléonore y était, et moi qui croyais qu'elle était ta maîtresse. "
- " Comment cette bague est-elle parvenu dans notre famille ? "
- " Oh ! Un de mes ancêtres a hériter du chevalier cette bague et depuis elle est transmise de père en fils ou d'oncle à neveux. "
- " Alors, si je comprends bien c'est à mon tour de la posséder ? "
- " Oui Jacques, mais avant de te la confier, il faut que je t 'avertisse d'une petite chose, cette bague ne peut être portée plus de sept jours d'affiler sinon… "
- " Oui, sinon ? "
- " Sinon la personne qui l'a au doigt, ne pourra plus redevenir un homme ".
- " C'est déjà arrivé, mon oncle ? "
- " Oui, un de mes ancêtres la gardé au doigt huit jours d'affilé, et est resté femme le reste de sa vie. "
- " Magnifique ! "v - " Voilà, à présent je te confie cette bague, prends en bien soins ".
- " Merci mon oncle, puis-je l'enfiler de suite sur mon doigt ? "
- " A ta place j'irai quand même enlever tes faux seins, ils risquent de te comprimer la poitrine, quand tes vrais seins pousseront. "

Jacques s'empressa d'enlever sa fausse poitrine et enfila la bague merveilleuse sur son doigt. Aussitôt, une impression étrange le gagna, il sentait son corps se transformer de partout. Il avait envie de hurler car par moment des douleurs lui tiraillaient le corps, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Cela dura deux à trois minutes puis plus rien, ou, plutôt un grand soulagement. Jacques était devenu femme, complètement femme autant qu'il pouvait le sentir. Pour vérifier, il se précipita dans sa chambre et enleva tous les vêtements qu'il avait sur lui.

Oui, il était devenu complètement femme, avec une poitrine de rêve, un sexe tout ce qu'il y avait de féminin, et à en juger au touché, rien n'y manquait. Jacqueline se rhabilla, et descendit rejoindre l'oncle Jean et François. Elle était vraiment heureuse maintenant.
- " Mon oncle je ne sais comment te remercier pour ce que tu as fais pour moi ! ".
- " Ce n'est rien Jacqueline, Je suis encore plus heureux de vous voir tous les deux réunis, et dans l'état où vous vous sentez le mieux ".

Ce soir là, Jacqueline rejoignit François dans sa chambre et tous les deux se retrouvèrent pour finir un entretien qu'ils avaient laissés en suspend quelques années auparavant.

____________
EPILOGUE

Deux ans ont passé, Jacqueline n'a pas quitté sa bague, et ne peu plus redevenir un homme, elle l'a fait volontairement. Elle et François en avaient décidé ainsi le soir de leurs retrouvailles. Jacqueline a épousé François dans la vieille chapelle du manoir et donnera bientôt naissance à un petit garçon, car la transformation de l'un comme de l'autre a été un succès sans limite. L'oncle Jean est heureux, il va pouvoir passer une retraite paisible auprès de ses deux enfants qui ont décidé de rester vivres sur le domaine.

Fin.

* jeanne le 27/10/2004


Responsable du site : Lucie Sobek


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