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« », une petite histoire imaginée par divers

1 Ma sœur m'a surpris avec sa culotte ! Valérie Mitchell tvq@femmes.net 24-10-2004, 8:58
Traduction de 'my-sister-caught-me-in-her-panties'
de Valerie Lynn Mitchell
par Isabelle May

J'étais tranquillement dans ma chambre quand ma sœur fit irruption m'accusant d'utiliser ses affaires. Elle me dit qu'elle avait remarqué que ses affaires n'étaient plus tout à fait à leur place et qu'il y avait des taches sur ses culottes. Je niai. C'était vrai, mais je n'allais pas lui dire.
"Tu vas me le payer cher petit frère si tu continues à utiliser mes culottes pour faire tes petites affaires perverses. Je te surprendrai et je le prouverai. Et tu verras ! ".

J'avais commencé à mettre ses culottes depuis une semaine. J'aimais la douceur et la fantaisie de m'imaginer être une fille. Je pensais avoir bien fait attention en remettant ses affaires exactement là où je les avais trouvées. Je savais que mon comportement était un peu anormal mais j'avais vraiment aimé cela et je ne voulais pas arrêter. Je pensais juste que je devrais faire plus attention les prochaines fois. J'utiliserais ses affaires que lorsque je serai seul à la maison et que j'aurai tout le temps pour explorer ce nouveau monde.

Quelques jours plus tard, je me risquais à nouveau dans sa chambre. Maman et elle étaient parties faire des courses pour la journée. Papa était au travail, j'étais enfin seul. Je pris un bain moussant et entrai dans sa chambre pour enfiler ses dessous de dentelles. Je m'imaginais être elle, se préparant pour un rendez-vous galant. J'avais à peine enfilée une culotte et un soutien-gorge quand la porte s'ouvrit brusquement. Elles étaient rentrées sans avertir. Ma sœur avait parlé à maman de ses doutes, elle avait garé la voiture dans la rue d'à-coté et étaient revenues à pied pour me surprendre discrètement. Elles étaient sures que je profiterais de l'occasion pour assouvir mes désirs malgré les avertissements de ma sœur. Elle avait dit qu'elle me surprendrait et elle l'avait fait!

"Regarde maman, je te l'avais dis qu'il mettait mes culottes, alors que dis-tu maintenant ?".
"Je vois bien mais je n'arrive pas à y croire. Bien mon garçon qu'as-tu à dire pour ta défense? Peux-tu m'expliquer pourquoi je te trouve ici à fouiller dans la chambre de ta sœur en train de porter son soutien gorge et sa culotte?".
J'étais sous le choc, je ne pouvais pas répondre. Finalement, je lui parlais de mes désirs secrets et de ma curiosité. Ma sœur se contenta de rire et dit:

"S'il veut être une fille, pourquoi ne pas l'habiller complètement et l'emmener faire les courses avec nous, comme ca il verra ce que c'est vraiment d'être une fille.".
"Ca semble une bonne idée, mais d'abord je veux appeler ton père pour lui dire ce qui se passe et savoir ce qu'il en pense."

Elle l'appela pendant que ma sœur et moi attendions en silence. Maman lui dit ce qu'elles avaient fait et comment elles m'avaient trouvé. Elle lui raconta ce que je lui avais dit. Nous l'avons entendu parler de différentes formes de punitions et de lectures, mais elle insista sur ce que ma sœur avait proposé. Elle dit que se serait une bonne punition de m'humilier de la sorte mais que je méritais plus que ca. Il semblait être d'accord avec elle. Elle raccrocha et nous informa que j'allais devoir vivre toute la semaine prochaine en fille. Maman dit que j'avais besoin d'une poitrine pour remplir les balconets de mon soutien-gorge. Elle alla dans sa chambre et revint avec une boite contenant les faux seins, très réalistes, que ma sœur avait utilisés il y a quelques années à Halloween pour se déguiser en Marilyn Monroe. La boite contenait aussi un adhésif spécial pour les fixer à mon buste. Ces faux siens possédaient un système électronique qui me transféraient les sensations de touché. C'est à dire que dès qu'on les touchait, je le ressentais. Ma mère me fit une démonstration en me pinçant le bout des faux siens, je le sentais si bien que je fit un bond en arrière en poussant un petit cri. Maman et ma sœur en rirent. Maman m'informa que l'adhésif était permanent et que les seins ne pouvaient être retirés qu'avec un solvant spécial, j'aurai cette grosse poitrine jusqu'à la fin de ma punition.

Maman demanda à ma sœur de me trouver quelque chose à mettre pendant qu'elle me fit asseoir pour me faire un maquillage complet, incluant le vernissage en rose vif de mes ongles de mains et de pieds. Linda rapporta une chemise rose et une mini jupe blanche. On me donna aussi une paire de collant pour couvrir les poils de mes jambes. Elles parlèrent de me raser les jambes et décidèrent d'attendre qu'on revienne des courses. Maman me fit aussi savoir qu'on s'arrêterait au salon de beauté où elle me ferait faire une teinture blonde et une permanente. Ce fut notre premier arrêt. Les filles du salon de beauté pensaient que c'était une très bonne idée d'être punit de la sorte. Elles prirent grand plaisir à me couvrir la tête de produits puis à m'asseoir sous les séchoirs devant tout le monde. Je suis rentré dans le salon avec des cheveux châtain et raide, je le quittai avec une coiffure blonde bouclée!

Elles avaient aussi épilé mes jambes à la cire. Je ne vous parle pas de la douleur, c'était atroce. Le seul bon coté c'était la douce sensation des collants sur mes jambes épilées. C'était très agréable, cela me donnait des frissons dans tout le corps. La boutique suivante fut magasin de bijoux où elles m'achetèrent plusieurs bijoux, y compris des boucles d'oreilles. C'était des boucles pour oreilles percées. Comme les miennes ne l'étaient pas, ils me proposèrent de me les percer.

Maman demanda qu'on me les perce deux fois de chaque coté car c'était la mode. Ils le firent avec plaisir et je ressortis avec un petit diamant dans les trous du haut et deux grands anneaux dorés dans ceux du bas. Puis nous sommes entrés dans un magasin de lingerie Frederick's of Hollywood. Là, j'essayais plusieurs choses pour trouver ma taille et elles m'achetèrent des dessous et des chemises de nuits.

Je demandai alors à maman pourquoi tant de dépenses et de temps passé pour seulement une semaine en fille.
"J'ai deux raisons ma chère Valérie. Premièrement, tu dois voir ce que c'est de faire du shopping pour une fille et pourquoi elles aiment cela. Regarde tout ce qu'on a essayé et le peu qu'on a acheté. Tu as encore tant de chose à essayer. Deuxièmement, la semaine est seulement un essai, nous déciderons de ta punition définitive quand ton père sera de retour ce soir et qu'il jettera un œil à sa nouvelle fille et verra à quel point tu peux être féminine. Je pense que maintenant nous comprenons pourquoi tu ne te battais jamais avec les autres garçons et que tu ne faisais pas de sport. Tu es plutôt faite pour devenir une 'cheerleader' plutôt qu'on joueur. Aller viens Valérie, nous avons encore beaucoup de boutiques à faire.".

Ma sœur était hilare à entendre ma mère m'appeler Valérie et me parler au féminin. Elle nous dit que si j'avais été une fille, ils m'auraient appelé Valérie et que comme j'en étais une maintenant je devrais répondre au nom de Valérie et non plus à Richard, ce qui ne convient pas à une fille. Maman me dit que je n'étais plus assez un homme pour porter un prénom de garçon. Je devrai mériter le droit de porter un prénom masculin même après la fin de ma punition. "En mettant les dessous de ta sœur, tu as perdu tous tes droits à être traité comme un homme ou d'avoir un nom d'homme. Dans le futur, tu auras peut-être le droit de remettre tes affaires de garçon, mais je continuerai à t'appeler Valérie jusqu'à ce que tu me prouves que tu es un homme et je peux te dire qu'il me sera difficile de te rendre ton statuts de fils. Tu es ma fille maintenant".

Cela me mis en larmes, alors elles s'accordèrent à dire que ces larmes montraient bien à quel point je pouvais être féminine, les hommes ne pleurent pas, je pleurais bien pour un rien. Pour elles ce n'était rien. Pour moi c'était tout! Maman me sécha les larmes, retoucha mon maquillage puis me conduisit dans une boutique de robes. Elles me firent essayer presque tout le magasin. Nous firent nos achats et elles m'emmenèrent dans le magasin de chaussures. Maman m'acheta des chaussures plates, des chaussures de sport roses et quelques paires de chaussures à talons assorties aux tenues qu'elle m'avait achetées. Dans un autre magasin, elle me choisit deux maillots de bain dont un bikini, un jogging et une tenue d'aérobic.

Il était bientôt midi, maman décida qu'on irait manger au Burger King qui était dans cette galerie marchande. Le désastre arriva quand ma sœur rencontra deux de ses amies. Elles étaient venues à notre rencontre pour voir qui était cette nouvelle fille. Elles rigolèrent un bon coup quand elle présenta sa nouvelle sœur Valérie. Elles savaient qu'elle n'avait qu'un frère et furent vite informées des raisons pour lesquelles j'étais maintenant une fille. Elles s'assaillirent avec nous et elles me demandaient exprès ce que je pensais des garçons de l'école et voulaient m'arranger un rendez-vous avec leur jeune frère. Maman les encouragea, elle pensait que ce serait une bonne expérience pour moi. J'étais tellement bouleversé que je ne pouvais rien manger. Je me sentais si embarrassé et humilié. Leur frère arriva alors à la table pour leur dirent que leur mère allait partir. Elles me présentèrent et lui demandèrent s'il voulait bien m'emmener voir un film ce soir. Il n'avait eu qu'un rendez-vous galant dans sa vie et sauta sur l'occasion pour sortir avec une fille, pensait-il, si bien faite. En d'autres termes, il ne quittait pas ma poitrine des yeux et voulait bien une chance d'y toucher.

Elles ne me laissèrent pas le choix de refuser. Je n'étais jamais sortie avec une fille, maman le savait bien quand elle lui dit à quelle heure il devrait venir me chercher et où l'on habitait. Il pensait que j'étais vraiment une fille et je me demandais si quelqu'un allait lui dire la vérité ou ce qu'il avait à attendre. Je me demandai ce que papa allait penser de tout cela. J'avais peur de le voir. Il se passait tellement de chose dans ma tête que j'en avais le tournis. Maman demanda aux filles si elles voulaient terminer les courses avec nous. Elles demandèrent alors à leur frère de prévenir leur mère qu'elles la rejoindraient plus tard. Leur mère arriva un peu après pour parler à la mienne. Elles se connaissaient bien et elle avait été surprise de savoir que son fils avait un rendez-vous avec la plus jeune des sœurs. Elle savait que le plus jeune était un garçon. Ma mère me présenta et lui expliqua pourquoi j'étais comme ça et pourquoi les filles avaient organisé ce rendez-vous avec son fils.

Maintenant, il n'y avait plus de secret, je pensais que le rendez-vous serait annulé. On lui demanda ce qu'il en pensait maintenant qu'il connaissait la vérité. Je crus mourir quand il confirma qu'il souhaitait toujours sortir avec moi. Il dit que j'étais une très jolie fille et qu'il rendrait tous les autres garçons jaloux de la voir avec une si jolie fille qui a de si gros seins. Il disait qu'il avait l'opportunité d'accroître sa popularité et que si je ne voulais pas que mon secret soit connu de toute la ville, je devrais faire tout ce qu'il me dirait. Il dit qu'il aimerait narguer ses copains en m'embrassant devant eux, une main sur ma poitrine. Tout le monde rigolait et l'approuva. Ce serait son premier rendez-vous facile. Le rendez-vous était fixé et j'étais encore plus humilié de savoir qu'il pourrait me faire faire ce qu'il veut sinon il me dénoncerait à tout le monde. Il partit avec sa mère et les filles me tirèrent dans bien d'autres boutiques avant qu'on rentre à la maison.

On porta tous les paquets dans ma chambre. Les amies de ma sœur dirent que j'avais une chambre trop masculine pour une fille. Maman était d'accord et elle les aida à redécorer ma chambre. On me força à les aider. Mon poster de Cindy Crawford fut mis à la poubelle. Puis mes posters d'astronomie. Elles mirent des rideaux et des draps roses. Maman m'envoya chercher des sacs poubelles à la cuisine pendant qu'elles refaisaient mon lit et changeaient les rideaux. Je du tenir les sacs grand ouvert pendant que ma mère y mettait tous mes habits de garçon. Elle me dit que je devrais mériter le droit de les revoir. Ma sœur l'aida à vider toute mon armoire puis à la remplir des achats de la journée. Les sacs furent enfermés dans le grenier, dans une grosse malle dont seule maman avait la clé. Elle demanda aussi à maman de bien regarder dans le linge sale pour être sure de ne rien oublier. Pendant ce temps, les filles continuaient à redécorer ma chambre. Elles remplacèrent mes posters par des photos des héros de séries TV et mirent des revues de fille sur ma table de nuit. Mes maquettes furent remplacées par des animaux en peluche de ma sœur. Mon bureau fut changé en table de maquillage après qu'elles aient retiré toutes mes affaires, mis un miroir au centre et des produits de maquillage tout autour. La touche finale fut quand elles remplacèrent ma lampe de clown par la lampe de ma sœur avec une ballerine. Ma mère dit alors aux filles que maintenant je devais me préparer pour sortir ce soir et pour être présenté à mon père.

Elle les remercia pour leur aide et elle les ramena à chez elles. Elle me fit retirer toutes les affaires qu'elle m'avait prêtés et me conduisit à la salle de bain. Elle dit qu'elle allait finir ce qu'ils avaient commencé au salon de beauté. Elle prit un flacon de crème épilatoire et me l'appliqua sur les bras, les aisselles et sur mon torse. Après à peine quelques minutes ça commençait à piquer sérieusement. Elle me mit un bonnet de bain pour protéger ma permanente et me mis sous la douche pour faire partir tous ces poils. Elle me sécha avec une serviette et me recouvrit de talc parfumé. Puis, je fut ramené dans ma chambre. Elle me fit mettre un soutien gorge noir avec la culotte assortie, une combinaison de satin, une paire de collant chair, une robe courte noire et des hauts talons noirs de 7 cm. Elle me fit asseoir à ma table de maquillage et m'expliquait comment me maquiller. Il me fallut plusieurs essais avant d'arriver à un résultat correct. Elle me prodigua alors les derniers accessoires compléter le tableau.

On alla ensuite dans le salon pour regarder la télé en attendant papa et maman. Après être allée déposer les filles, maman était allée chercher papa à la gare. Quand ils arrivèrent, papa me regarda longuement en me demandant de tourner plusieurs fois comme pour un défilé. Il était stupéfait de voir à quel point je pouvais ressembler à une fille. Il dit que je pourrais passer pour une vraie fille sans aucun problème. Il dit aussi que je pourrais m'inscrire à un concours de beauté. Pour lui, j'étais belle à ce point. Maman en rit. Elle voyait bien qu'il admettait aussi que j'étais vraiment devenue sa fille maintenant. Papa me demanda alors de lui donner ma version de l'histoire. Je lui racontai la même chose que j'avais dit à maman. Il me demanda ce que selon moi, il devait faire de moi. Mais à mon tour je lui posais une question. Qu'y avait-il de si grave de s'être habillé en fille par curiosité et en privé? Il me répondit que j'avais trahi leur confiance et que j'avais sorti de la normalité. La première insurrection fut de violer la vie privée de ma sœur en m'introduisant dans sa chambre en cachette pour fouiller ses affaires. C'était la principale raison de ma punition.

Ils me dirent que les garçons qui sont des garçons et les filles des filles et que j'étais sorti des limites. Mais à lumière de la sexualité d'aujourd'hui, ils pensaient que c'était une infraction mineure et qu'ils espéraient qu'un peu d'humiliation à me forcer à être une fille pour une semaine m'aiderait à mieux comprendre mes problèmes de sexualité. Comme il ne restait qu'un jour d'école avant les grandes vacances, ils dirent que je pourrais m'en dispenser et rester à la maison, mais que je devais le mériter. Ma sœur dit qu'ils devraient m'envoyer à l'école sans me donner le choix. Elle me dit que cela ne serait pas grave dans la mesure où c'était un jour où l'on se déguisait traditionnellement.
" On se moquera simplement d'elle, parce qu'elle est vraiment trop mignonne".

Mes parents réfléchirent, mais la seule chose qui changea fut qu'il devinrent plus exigeant pour m'accorder le droit de rester à la maison. Je devrais faire tout le travail de maison pour tout le week-end et me comporter comme une gentille petite fille. Ils dirent qu'ils décideraient à la fin du week-end, en fonction du travail, si je peux rester à la maison ou non. Ils me dirent que pour l'instant je me comportais bien.

Mon père ajouta que cette idée de rendez-vous était excellente et que je devrais me comporter comme une fille bien élevée, être aimable avec ce garçon mais faire attention à ma réputation. Il souhaitait que je le laisse m'embrasser et me serrer dans ses bras. Il dit qu'on lui avait dit que je devrais l'embrasser et le laisser me caresser la poitrine en public, mais qu'il souhaitait que je fasse attention à rester digne afin de ne pas salir l'honneur de la famille. Pendant qu'il me faisait la leçon, on sonna à la porte. C'était Tommy qui venait me chercher.

Il me salua en m'embrassant, ce qui fit dirent à tout le monde "ne sont-ils pas mignons?". Il informa mes parents qu'il allait m'emmener dans un charmant petit restaurant italien, puis nous irons au cinéma et enfin nous prendrons le dessert chez un glacier du coin. Ce glacier est le point de rendez-vous de tous les ados de la région. Ce sera, pour moi, le moment le plus difficile de la soirée. Le repas fut délicieux et Tommy fut étonnamment compréhensif et la conversation très plaisante. J'avoue avoir apprécié sa compagnie. En sortant, il ouvrit la porte, prit ma main et nous sommes allés au cinéma main dans la main. Je commençai à accepter mon état de fille. On a regardé "La belle et la bête" puis nous somme allé chez le glacier. Sur le chemin, il me fit traverser le parc. Nous avons trouvé un endroit calme et un peu éclairé, là Tommy décida de m'embrasser. Je ne l'ai pas seulement laissé faire, mais je suis entré dans le jeu. Cela me semblai naturel et je me suis aperçu que j'aimais ça. Je commençai à ne plus savoir où j'en étais. Et c'est à ce moment qu'il commença à toucher ma poitrine.

L'électronique fit bien son travail et je ressenti la sensation. Je ne savais pas comment réagir à ces sensations qui traversaient mon corps. En plus cela me provoqua une érection. Heureusement qu'il ne le remarqua pas et qu'il ne continua pas à provoquer en moi de tels désirs. Je n'étais pas sure de pouvoir résister à cela.

Nous rencontrâmes, comme prévu, plusieurs de ses amis chez le glacier. Il me présenta en tant que Valérie et dit que je venais juste d'arriver en ville. Plusieurs d'entre-eux me proposèrent de me faire visiter la ville. Je refusai, mais j'avais presque des regrets à le faire. Tommy s'assit à coté de moi à une table. Il passa sa main par dessus mon épaule, puis, quand il fut sur qu'on nous regardait, il commença à me caresser la poitrine. Je regardais sa main et fut surpris de voir que mes seins avaient grossis et qu'ils étaient visibles à travers la chemise que ma sœur m'avait fait mettre. Je ne pouvais plus les cacher. La gène me fit rougir. Je savais que les autres garçons seraient jaloux de Tommy, non seulement parce que j'étais jolie mais aussi parce que j'étais une fille facile. J'étais content lorsqu'il fut temps de rentrer à la maison. Tommy me repris la main et nous avons marché main dans la main. Il refit un détour par le parc. Nous nous sommes arrêtés pour nous embrasser quelques minutes de plus, et on se mit à discuter.

"J'ai pris plaisir à ce rendez-vous Valérie, je sais que c'était seulement pour rire, mais j'ai aimé être avec toi comme un garçon avec une fille. Tu es agréable et tu as une conversation agréable. J'ai aimé ton humour et j'ai même aimé ta façon d'embrasser. Pourrons nous ressortir ensemble encore une fois? J'aimerai vraiment."
"J'ai aimé moi aussi, Tommy. Je ne peux pas l'exprimer mieux que toi. J'ai aimé pouvoir parler si librement. J'aime qu'on m'ouvre les portes et me sentir fille à coté de toi. J'aimerai pouvoir dire oui à un prochain rendez-vous mais je ne pense pas que tu veilles encore après que je sois allée à l'école lundi à le vue de tout le monde. Ils veulent m'y faire aller habiller en fille. Tout le monde va savoir et j'ai peur qu'ils se moquent de toi aussi si tu continus à me voir. J'espère seulement que nous resterons amis."
"Je serais prêt à devenir homo s'il le fallait et je me fiche de ce que les autres diront. Nous resterons amis et nous sortirons ensemble si on en a l'opportunité."

Puis il me serra des ses bras et m'embrassa passionnément. Sa langue trouva le chemin de ma bouche. Il continua à m'embrasser quelques minutes. Nous savions tous les deux qu'il était temps de rentrer et nous nous y dirigions vers la maison tristement. Il m'embrassa une dernière fois à l'entrée du jardin, au moment de me dire au revoir. Il resta là jusqu'à ce que je sois en sécurité dans la maison.

Mon père, ma mère et ma sœur m'avaient attendu afin d'avoir tous les détails de mon premier rendez-vous. Personne ne fut surpris quand je leur ai dit que j'avais apprécié la soirée. Ils me dirent que pendant que j'étais sortie, ils avaient réfléchi à ma punition et à ce que je devais encore expérimenter. Ils n'avaient aucune merci. Mon agenda était bien rempli :
1) Faire le ménage
2) Essaillage de lingerie
3) Eglise
4) Visite chez mes grands-parents
5) Baby sitting pour tante Mary et oncle Robert.
6) Ecole?
7) Galerie marchande
8) Dance
9) Parc d'attraction
10) Sortie à la plage
11) Leçons de couture
12) Cours d'Aerobic
13) bains de soleil
14) Shopping
15) Autres rendez-vous
16) Leçons de cuisine
17) Faux mariage
18) Simulation d'accouchement avec la grossesse.

Ils avaient pensé à tout pour la semaine prochaine et envisageaient encore plus. Ma mère me dit comment enlever mon maquillage et quoi mettre pour la nuit. Puis elle vint me souhaiter bonne nuit et me dire ce que je devais mettre pour faire le ménage demain matin.
"Bonne nuit Valérie".
Mon premier jour en fille se terminait. Je ne savais pas ce que le futur me réservait, mais je vous en dirais plus si je trouve le temps.
Cordialement
Valérie Mitchell


Responsable du site : Lucie Sobek


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