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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chrissy75

IV: Préparée pour les enchères chrissy75 20-12-2008, 4:56 Ca faisait maintenant près d’un an que je vivais cloitré au château quand Madame estima que ma transformation était suffisamment avancée pour que je puisse enfin « travailler ». J’étais maintenant « une fille », tout au moins en ce qui concerne l’apparence, et désormais, pour tout le monde, je n’existerai plus qu’au féminin. Il n’y a que moi qui ne pouvais encore me résoudre à me penser au féminin. Un matin, Madame me confirma que que je commencerai à « travailler » dans 48 heures. Elle m’emmena donc dans notre salon de beauté et s’adressant à Nadia et à Nicole, elle leur dit : « Mesdemoiselles je vous confie feu Sébastien. Vous avez deux jours pour le coiffer, le maquiller et m’en faire une beauté de magazine. Je compte beaucoup sur vous pour qu’entre vos mains il devienne la plus désirable des femelles ». C’est ainsi que chaussé de mules à talons effilés, vêtu d’une petite culotte et d’un mini peignoir rose, j’ai passé les deux jours dans le salon de beauté. Je me suis d’abord retrouvé avec des faux ongles aux mains, d’une longueur incroyable, au point que je ne pouvais plus rien faire de mes dix doigts. Ils furent recouverts de plusieurs couches de nacre. Tandis que mes ongles de pieds furent peints de vernis rouge. Ensuite, je passai plusieurs heures dans les mains de Nadia. Mes cheveux qui descendaient maintenant un peu au dessous de mes épaules, eurent le droit à une savante coupe droite, à la lionne, avec les extrémités légèrement frisées. Devant, elle me fit une coupe dégradée avec raie au milieu. En ce qui concerne la couleur, Nadia commença par me faire de nombreuses mèches allant du blond cendré au blond vénitien et qui contrastaient avec le châtain foncé des racines. Le tout était mis en valeur par un balayage platine du plus bel effet. J’eus le droit ensuite à une savante mise en plis puis au brushing qui conférèrent à ma coiffure un volume inattendu. L’ensemble avait à la fois un aspect sophistiqué et à la fois un petit caractère sauvage. Je dois dire que le reste de garçon qui était en moi trouva cette coiffure, particulièrement sexy. Quand je tournais la tête un peu rapidement, je voyais ma coiffure passer d’un coté sur l’autre, comme dans les publicités de la télévision.

Après ma séance de coiffure, Madame vint me chercher pour m’emmener chez André. Je dus me déshabiller et monter une nouvelle fois sur cette table d’examen gynécologique que j’avais en horreur. Qu’est ce qui allait encore m’arriver ? Quand mes pieds furent calés dans les étriers, Madame m’annonça qu’elle avait constaté sur la vidéo de ma chambre que j’avais des érections encore trop importantes qui risquaient de gêner certains de mes futurs clients. D’autre part, elle s’était aperçue que je continuais à faire pipi debout comme un homme, malgré ses recommandations répétées. Elle avait donc demandé à André de coller provisoirement ma verge en arrière contre mon périnée. Comme je pensais que ça ne tiendrait pas très longtemps je décidai de les laisser faire sans trop rouspéter. André enduisit rapidement la peau de mon périnée et de ma verge d’une colle liquide et aidé de madame, appliqua bien ma verge tendue en arrière sur le périnée. Ce que je ne savais pas, c’est que la colle était une espèce de super glue, extrêmement résistante et susceptible de tenir plusieurs semaines et que, faute de solvant adéquat, je ne pourrai absolument pas libérer ma verge pendant ce temps là. Avec une glace Madame me montra complaisamment mon membre bien replié en arrière et dont seul le gland était totalement libre. Elle m’expliqua qu’à partir de maintenant, il me serait impossible d’avoir une érection verticale et que je ne pourrai plus faire pipi debout. Dorénavant, je devrai m’asseoir, comme les femmes. On verrait plus tard à libérer ma verge quand j’aurai pris de « bonne habitudes ». Elle me ramena aussitôt dans ma chambre pour faire un essai de miction. Devant elle, je dus baisser ma petite culotte et m’asseoir sur la cuvette pendant qu’elle me regardait faire. Qu’elle humiliation ! Je restai encore une fois complètement effondré à cette idée que je devrai systématiquement m’asseoir pour uriner et que je ne pourrai absolument plus diriger mon jet. Décidément, rien ne me serait épargné dans cette aventure ! Contente d’elle, Madame me dit qu’une journée marquante m’attendait demain et me fit prendre un comprimer pour bien dormir car elle tenait à ce que j’ai des traits détendus pour faire honneur à mon premier client. Quand je me réveillai le matin, j’avais oublié ce qui s’était passé la veille et au moment d’uriner je fus brutalement replongé dans la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais aucun autre moyen que de soulever ma chemise de nuit et m’asseoir sur le siège. Quelle humiliation !

Ce jour là était donc le jour J. Je commençai par passer plus de trois heures entre les mains de Nicole, l’esthéticienne qui s’était déjà beaucoup occupée de moi depuis quelques mois. Elle en profita pour me donner des tas de conseils. Comment poser des faux cils, quelle base choisir avant le fond de teint, etc... Sous ses doigts magiques, mon visage fut complètement transformé, au point que je ne me reconnaissais plus du tout. Quand tout fut fini et que je pu enfin me contempler tranquillement dans la glace, j’en eu le souffle coupé. Sans en être vraiment certain, je me dis que du point de vue de Sébastien, c’était véritablement une femme magnifique que je voyais dans cette glace. Je dois reconnaitre que j’étais subjugué par cette fille que j’étais devenu. Il me serait dorénavant impossible de m’affranchir de cette sensation nouvelle et enivrante à chaque fois que je me verrai dans une glace.

Vint ensuite un moment encore plus troublant et qui allait faire de moi une authentique femme : c’était l’habillage. Il se passa dans ma chambre et c’est Madame qui s’en chargea elle-même, comme si elle n’attendait que ce moment là. Pour ajouter à ma confusion elle avait demandé à Nadia et à Nicole d’être présentes pour donner leur avis. « Mon petit Sébastien, aujourd’hui est un jour marquant pour toi, mais pour moi aussi. Quand je t’aurais habillé, je vais enfin pouvoir contempler la femme que j’ai faite de toi et je pourrai ensuite te livrer à l’appétit des hommes. Féminiser un garçon et le prostituer, tu ne peux imaginer qu’elle revanche cela représente pour moi sur tous les hommes qui m’ont maltraitée et méprisée dans la vie. Enlève ton peignoir et ta petite culotte et viens devant moi ». C’est ainsi que je me retrouvai à nouveau complètement nu devant ces trois femmes qui me contemplaient avec curiosité. Dans la glace je ne voyais presque plus ma verge, repliée entre mes cuisses. On en apercevait juste une petite partie à la pointe de mon triangle pubien, presque complètement épilé à la brésilienne. « Maintenant approche toi mon petit Sébastien nous en arrivons à la dernière étape de ta transformation». Je fus pris de tremblements tant mon émotion était vraiment grande à l’idée que pour la première fois de ma vie, j’allais me retrouver complètement coiffé, maquillé et habillé comme une véritable femme. Madame commença par me faire essayer plusieurs soutiens gorge en demandant leur avis à Nadia et Nicole, pour finalement m’agrafer un très joli soutien-gorge pigeonnant, blanc rehaussé de quelques dessins et d’un petit nœud rose et dont les bonnets étaient bordés d’une fine dentelle blanche. Après m’avoir demandé de glisser mes mains à l’intérieur de chaque bonnet pour bien mettre mes gros seins bien en place, Madame gonfla légèrement les ballonnets qui étaient inclus dans les bonnets, ce qui eut pour effet de faire ressortir encore un peu plus ma poitrine déjà volumineuse. C’était incroyablement provocant, surtout lorsque je me penchais en avant. Lorsque je me déplaçais, je pouvais voir mes seins qui sautaient dans leur cocon de dentelle. Madame s’empara ensuite d’un serre taille à jarretelles, assorti au soutien gorge et à la culotte, qu’elle me laça dans le dos en tirant sur les lacets en se faisant aider par Nadia, tandis que Nicole me retenait en avant et que je devais rentrer mon ventre au maximum. En fait de serre-taille, c’était un véritable corset. Ensuite, je dus enfiler la petite culotte assortie qui avait l’aspect d’une culotte par devant mais qui était un string par derrière. Madame ajusta minutieusement la bande du string au plus profond de la raie de mes fesses, ce qui en faisait joliment ressortir les deux globes. Tout était fait pour affiner ma taille et mettre en valeur mes rondeurs mais c’était vraiment gênant cette bande de tissu dans ma raie culière. Par la suite j'ai toujours été gênée quand je portais un string. Le moment le plus troublant fut sans doute quand Madame décida de m’enfiler les bas. Bien que nous fussions au printemps, madame m’expliqua qu’elle tenait à ce que je porte des bas, elle voulait me voir toujours avec des bas car, disait elle ça accentuerait la féminité et cela plairait beaucoup à la plupart des membres du club. Elle avait choisi des bas plutôt clairs à cause de la saison, avec des reflets nacrés dans lesquels la lumière jouait magiquement. Elle me fit asseoir sur le bord du lit et, à genoux devant moi, elle les fit glisser lentement, l’un après l’autre, sur mes jambes, finissant par les attacher elle-même aux jarretelles en se mettant debout à mon coté. J’avais l’impression qu’elle était en train de jouer à la poupée avec moi. Entre ses mains j’étais une Barbie qu’elle habillait. C’était la première fois que je me retrouvais devant plusieurs personnes en tenue légère et avec des bas gainant mes jambes. Quand j’étais un vrai garçon, quand une fille se retrouvait dans la même tenue que celle qui était maintenant la mienne, je l’interprétais comme une acceptation et l'éminence d'une possession. J‘en fus donc très intimement troublé. D’un autre coté, quelle sensation exquise je ressentis au moment où, devant les deux autres, Madame caressa lentement ma jambe gainée de nylon, d’une façon tout à fait équivoque, puis remonta la main jusqu’au bord supérieur du bas pour jouer avec une jarretelle, cet objet si caractéristique de l’arsenal érotique des femmes. Je trouvais que la bande de chair claire au dessus des bas, barrée par la dentelle des jarretelles avait quelque chose de profondément troublant et je sentais ma verge, repliée en arrière qui se gonflait irrésistiblement, et se tendait, faute de pouvoir se redresser. Ensuite Madame me fit enfiler un jupon blanc très court à volants qui devait donner une belle ampleur à la robe. La robe était une robe légère à bretelles, avec un très large décolleté bordé d’un ruban de dentelle blanche qui donnait l’impression que mes seins généreusement exposés se trouvaient dans un écrin. Au niveau du thorax, la robe se trouvait parfaitement moulée quand la fermeture éclair sur le coté était fermée. En revanche, la partie jupe, très ample, était constituée de panneaux reliés par des plis, si bien qu’avec le jupon, elle s’évasait très joliment vers le bas. Elle s’arrêtait 10 cm au dessus du genou, ce qui dégageait bien les jambes. Elle était faite d’un tissu à l’aspect légèrement satiné, imprimé de motifs géométriques d’allure floraux, en dégradés à dominante beige. Les chaussures étaient faites de fines lanières beiges, marron et blanches qui laissaient voir mes ongles vernis de rouge vif. Les talons d’une dizaine de cm étaient fins et élancés. Se tenant derrière moi et posant ses mains sur mes hanches, Madame me fit lentement tourner sur moi-même, devant la glace, comme pour inspecter son travail puis elle me demanda plusieurs fois de marcher et de me retourner devant elle. Elle paraissait particulièrement satisfaite du résultat et les deux autres n’en perdaient pas une miette. Il ne me manquait plus que des bijoux. Elle avait apporté une boite de bijoux fantaisie. Aux oreilles de grandes créoles constituées de plusieurs anneaux de taille différente. Un large collier de chien en velours rose incrusté de strass pour masquer ma pomme d’Adam un tout petit peu saillante. Une grosse bague en forme de cabochon sur l’annulaire de la main droite et plusieurs bagues plus petites sur les autres doigts. Enfin, un très large bracelet au poignet droit, constitué d’innombrables anneaux de métal qui bruissaient à chacun de mes mouvements. Pour parachever son œuvre, madame déposa derrière mes oreilles et entre mes deux seins quelques gouttes de Cinq de Chanel qui aussitôt m’enivra. Un dernier coup d’œil devant la glace et mon Pygmalion qui ne quittait pas du regard, paraissait très contente d’elle. Pour ma part, je restais submergé d’une indicible émotion en apercevant cette nouvelle image de Sébastien. J’oscillais entre l’émerveillement et la honte de me voir avec toutes ces dentelles et ces bijoux sur moi. Je me sentais perdu au milieu de toutes ces sensations nouvelles, ne sachant plus s’il fallait me plaindre ou me réjouir en découvrant maintenant ce qui allait désormais être ma nouvelle identité. Mais madame me fit vite reprendre pieds sur terre en disant : « Finalement j'ai décidé que ton nom de femme serai Dahlia. Nom masculin pour désigner une fleur. Je trouve que ça colle très bien à ta situation ambigüe. Je dois avant tout te rappeler qu’à partir de maintenant ta féminité et ta beauté vont être au service exclusif du plaisir des hommes. Avec les cassettes que tu as pu visionner, tu sais absolument tout de ce qu’ils sont susceptibles d’exiger de toi. Il te faudra simplement essayer de te rappeler ce que toi, quand tu étais encore un homme, tu attendais d’une femme et ne pas oublier que tu es parée et payée pour procurer du plaisir. Toute ton attention doit être mobilisée sur ce seul objectif : procurer du plaisir. Pour le moment, j’ai quelque chose à faire. Je te laisse seule à tes pensées et je reviens te chercher pour te conduire en bas dans dix minutes». Et toutes les trois sortirent de ma chambre et me laissèrent seul face à moi même. En entendant ce discours, j’avais l’impression de me trouver sur une autre planète. J’avais beaucoup de mal à comprendre qu’il m’était adressé, à moi Sébastien. Je n’oublierai jamais l’état second dans lequel j’étais plongé. D’un autre coté, je ne pouvais toujours pas détacher mes yeux de la glace. Cette femme au parfum si envoutant, si belle, si magnifiquement maquillée ; ces cils incroyablement longs et recourbés, ces pommettes discrètement fardées de rose et ces lèvres pulpeuses finement dessinée par le crayon et rendues brillantes par le gloss ; cette coiffure blonde longue et sophistiquée, c’était moi ? Cette robe cintrée à la taille qui s’élargissait comme une corolle et dont émergeaient impudiquement deux magnifiques globes laiteux, c’était moi ? Ces jambes rendues élancées par ces élégants escarpins à lanières aux talons effilés et finement gainées de nylon chatoyant, c’était bien moi ? Ces créoles qui teintaient à chaque mouvement de ma tête ; ce collier scintillant dans la lumière ; ce bracelet et ces bagues, C’était moi ? Tout à la découverte de ma nouvelle image, je ne pensais plus à la soirée qui m’attendait et restais subjugué par le miracle de ma transformation. D'un autre coté, je me rendais bien compte que cette robe très courte et largement évasée et dont le décolleté ne cachait rien de mes seins, faisait de moi une Barbie particulièrement provocante. En un mot, une véritable pute. Je fus vite ramené à la réalité par le retour de madame qui venait me chercher pour me conduire en bas.

Et c’est le cœur plein d’inquiétude et battant la chamade que j’ai quitté mon étage des filles, qui me paraissait maintenant si rassurant, pour l’aile principale du château ouverte aux membres du club. Tout à coup, je me suis retrouvé dans un grand salon où une majorité d’homme était réunis. Mon premier souvenir de ce moment fut le regard curieux de tous ces hommes et femmes que nous croisions. Sur mon passage, découvrant une petite nouvelle dans une tenue plutôt suggestive, les hommes stoppaient leurs conversations et tournaient ostensiblement les yeux pour me dévisager sans vergogne, de haut en bas et de bas en haut. C’était un peu comme s’ils me déshabillaient du regard. Les quelques femmes présentes n'étaient pas en reste. J’en étais rouge de confusion et je baissais les yeux. Finalement nous arrivâmes dans un petit salon ou se trouvaient une dizaine d’hommes. Le silence se fit tout de suite et Madame prit la parole. « Mes chers amis, comme je vous l’avais promis, je vous présente notre nouvelle pensionnaire, Dahlia que j’ai minutieusement préparée pour votre plaisir pendant un an. Comme je vous l’avais annoncé, Dahlia, cette belle femme que vous avez devant vous, est une femme peu particulière puisqu’elle était un jeune homme très viril il y a encore un an et aujourd’hui il ne lui reste encore la verge de l’homme qu’elle était à cette époque. Mais je sais que si vous êtes dans ce salon ce soir, c’est précisément parce que vous appréciez beaucoup cette particularité anatomique. Comme je vous l’avais promis, Dahlia est complètement vierge et n’a jamais été touchée par aucun homme. C’est une autre particularité sans prix. C’est la raison pour laquelle nous avons pensé que le mieux était de vous la proposer en la mettant aux enchères. Celui qui l’emportera pourra disposer de Dahlia pendant toute la nuit dans la chambre 12 où j’ai fait préparer un petit souper pour deux. Êtes-vous d’accord ? ». Murmure d’approbation. Je ne savais pas ou me cacher. « Dahlia, tu vas commencer par servir une coupe de champagne à chacun de nos amis, comme cela ils auront tout le loisir de te contempler de près. Tout est sur la petite table dans le coin. Pendant que tu passeras dans les rangs, j’enregistrerai les enchères ». Quand je tendais à chacun sa coupe de champagne, je pouvais le voir me dévisager avec une insistance non dissimulée. C’étaient un peu comme des maquignons évaluant une bête sur un champ de foire. Je pouvais voir dans leurs yeux un regard concupiscent très particulier que j’étais en train de découvrir et que bien vite j’appris à attribuer au désir et à la soif de possession. Je me trouvais dans une telle situation d’infériorité que de mon coté, je ne pouvais que baisser les yeux. J’étais tellement troublé d’être l’objet de cet enjeu que j’entendais à peine l’évolution des enchères. Madame commença en disant : « Je mets donc aux enchères cette nuit avec Dahlia pour 2000 euros ». Comme je présentais à chacun sa coupe, j’entendais: « 6000, 7000 euros… ». A partir de 9.000 euros ils n’étaient plus que deux à avoir suivi les enchères et je commençai à porter plus d’attention à ce qui se passait car il s’agissait quand même de moi ! Il y avait un petit gros à l’allure pas vraiment engageante et un grand et beau noir de plus d’un mètre quatre vingt dix bâti comme une armoire à glace. En passant dans les rangs, je m’étais dit que celui-ci ou celui-là, à la rigueur, mais l’un de ces deux là !! Le grand noir était beau mais me faisait très peur à cause de ce vieux fantasme concernant la taille des verges noires! Finalement c’est le grand noir qui l’a emporté avec un peu plus de 11.500 euros. Les autres applaudirent et Madame me présenta à lui. Il s’appelait Antoine Bokara et était un personnage important d’une république africaine francophone. Quand il eut terminé sa coupe de champagne, Madame nous guida tous les deux vers cette fameuse chambre douze, réputée la plus grande et la plus belle du château et qui était généralement attribuée aux clients qui réservaient une fille pour toute la soirée, voire même toute la nuit. Avant de partir, Madame tint à me rappeler que dans la salle d’eau il y avait tout ce qui serait nécessaire à mes toilettes intimes, ainsi qu’à des raccords de maquillage inévitables. J’y trouverai aussi un déshabillé et une petite nuisette en satin pour la nuit. Madame pris congé de monsieur Bokara, m’embrassa et nous laissa partir vers la chambre.


Responsable du site : Lucie Sobek


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