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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chrissy75

II : premiers contacts chrissy75 07-12-2008, 3:44 C’est comme cela que je fus emmené au sous-sol dans une sorte de cave voutée. Les deux malabars m’ordonnèrent de façon menaçante de me déshabiller. Ils m’attachèrent face au mur par les poignets et les chevilles à des cordes scellées dans le mur. L’un deux s’arma ensuite d’un long fouet de cuir et m’asséna sur le haut du dos un premier coup violent. La douleur fut épouvantable comme jamais j’aurais pu l’imaginer. J’étais encore tout étourdit par ce premier coup que le deuxième tomba. A partir du dixième coup je ne pouvais plus me tenir debout. Mon bourreau silencieux s’arrangeait pour que les coups tombent les uns au dessous des autres. Il cingla de toutes se forces le quinzième et dernier coup au niveau du sommet des fesses. Je me suis alors évanoui. Quelques temps plus tard, je repris conscience dans une petite chambre ensoleillée, très féminine et joliment décorée. J’étais à plat ventre et un « infirmier » nettoyait mon dos des quelques filets de sang qui avaient coulé. J’appris plus tard qu’il s’appelait André et que sa fonction principale était le suivi gynécologique et médical des filles. On disait Qu’André était un vicieux et son contrat stipulait qu’il pouvait se faire payer en nature par les filles. Il m’étala avec des précautions dont je lui sus gré, une pommade apaisante. La douleur était encore horrible et je n’étais pas près de l’oublier. Apres m’avoir prévenu, il me fit ensuite une petite anesthésie locale au dessus de l’omoplate puis, avec un trocart spécial, il introduisit la fameuse puce sous ma peau. Il m’expliqua qu’à cet endroit là, il m’était impossible de pouvoir l’enlever moi-même. Quand elle fut en place et la peau refermée par un strip, Il prit son téléphone portable et demanda à un complice si la puce fonctionnait correctement. « Tout est OK me dit il, maintenant tu ne peux plus sortir de l’aile B sans qu’aussitôt la sécurité soit alertée ». Comme ça tu n’as plus besoin d’entraves ni d’être enfermé dans ta chambre ». Comme si dans l’état où j’étais je pouvais essayer de fuir ce lieu de malheur ! Toujours assommé par la douleur et les calmants qu’André m’avait donnés, je m’endormis d’un sommeil qui dura près de 24 heures. Quand je me suis réveillé, la douleur s’était un peu atténuée et devenait plus supportable. Je pus me lever pour aller aux toilettes qui se trouvaient dans la salle de bain. J’étais nu, en train de chercher partout, mais en vain, mes vêtements dans la chambre quand « Madame » frappa et entra avant que je l’y autorise. « Bonjour Sébastien, … Tu ne me dis rien ? ». Je n’avais plus la force de me rebeller et n’étais pas prêt à affronter une nouvelle séance comme hier. C’est donc à mon corps défendant que je lui dis « Bonjour Madame ! ». « Ah la bonheur, je vois que tu es revenu à de meilleurs sentiments. Quand je te regarde nu comme cela, je te trouve vraiment mignon. C’est dommage que je sois gouine ! mais tu ne perds rien pour attendre ! Puisque je te sens plus réceptif qu’hier, je vais t’indiquer la suite du programme. Demain tu descendras voir André qui te fera un examen « gynécologique » complet et une prise de sang pour des dosages hormonaux. Aussitôt après il t’administrera ton traitement hormonal. En gros, ce traitement comporte deux types de produit : un produit qui bloque l’effet de tes hormones males et des hormones femelles à très haute dose pour réaliser ta féminisation. Tes seins vont pousser à partir de deux ou trois mois. S’ils ne sont pas assez gros nous te ferons poser des prothèses internes. Ton corps va progressivement changer : ta taille s’affinera et tes fesses s’arrondiront. Tes poils se feront de plus en plus rares. Au besoin nous complèterons çà par une épilation par électrolyse. D’autre part, tu recevras un produit qui te fera pousser les cheveux et les rendra plus abondants. Tu va vivre à cet étage où sont rassemblée une dizaine de filles. Il y a au bout une petite cafétéria, une laverie où les filles lavent et repassent leur linge. Il y a aussi l’infirmerie sur laquelle règne André. Une pièce est équipée en salon de coiffure et de soins de beauté que tu apprécieras plus tard, j’en suis certaine. Mademoiselle Schultze va t’apporter les vêtements que tu porteras dorénavant. Ah ! Encore une précision : la première fois tu as reçu 15 coups de fouet. Je te promets qu’à la prochaine incartade ce sera le double. A bientôt Sébastien ». A peine était elle sortie que le « sergent » Schultze entra avec une pile de vêtements. Elle me dit qu’à partir de maintenant je ne porterai plus que des vètement de" transition", à commencer par des culottes-gaine, afin d’effacer le relief de mes attributs masculins qui n’était pas compatible avec les pantalons. En fait de pantalons, il n’y avait que des pantalons féminins, presque tous pantacourts, en satin de couleur pastel, certains à fleurs ; Ils étaient très ajustés au point que j’allais m’apercevoir que je devrai m’allonger sur le lit pour pouvoir les fermer. Aucun n’avait de braguette et leur fermeture éclair se trouvait sur le coté. Pour le haut, plusieurs brassières, des caracos, et un pull rose tendre, typiquement féminin, à col roulé « dégueulant ». Comme chaussures il n’y avait que des ballerines de diverses couleurs pastel et comme chaussettes des mi-bas en nylon. « C’est avec çà que je vais m’habiller ? Mais je vais avoir l’air d’un PD ! ». « Je crains que tu n’aies pas le choix, Sébastien, puisque c’est la décision de Madame ».

J’étais effondré. Du plus profond de moi-même, le petit coq que j’étais ne pouvais absolument pas admettre de s’habiller en fille, de devenir une fille. J’aimais les filles pour ce qu’elles pouvaient me procurer mais dans le fond, je méprisais passablement la condition féminine. La perspective d’être obligé de porter ces vêtements « de pédale » me rendait fou de rage. Je me disais malgré tout que je trouverai bien un moyen d’éviter le destin que « Madame » me promettait avec délice. Mais comment m’échapper avec ces vêtements qui me marquaient aussi surement qu’un prisonnier de Sing-Sing et surtout avec cette puce infernale ? En attendant, j’étais bien virtuellement enfermé dans le gynécée du deuxième étage de l’aile B. Mon dos me faisait encore mal et je me maintins allongé le reste de la journée à ruminer mes pensées sombres. En tournant la tête vers le plafond, je m’aperçu qu’il y avait deux caméras.

Le lendemain matin, le doucereux André vint me chercher. Je dus m’habiller devant lui, pendant que rien n’échappait à son regard salace. Et pour bien enfoncer le clou, il eut le culot de me dire que j’étais très mignon comme cela !! Les couloirs étaient déserts. André me fit signe de ne pas faire de bruit car à cette heure là, les filles qui ont passé une partie de la nuit avec ces messieurs, étaient en train de récupérer. En passant devant la cafétéria, je vis une jolie brune qui me regarda avec curiosité. Me sachant habillé comme je l’étais, je piquai un fard et n’osai pas soutenir son regard vraiment insistant. « Oui, lui dit cette ordure d’André, c’est la petite nouvelle très particulière dont vous a parlé hier mademoiselle Schultze ». J’ai eu l’impression qu’elle pouffait de rire dans mon dos. J’étais mort de honte. Et encore, ça ne faisait que commencer. J’eus le droit à une prise de sang, pour doser mes hormones males et suivre le traitement. Il me fit déshabiller et pour soi-disant mieux m’examiner il me fit monter sur la table gynécologique et me fit mettre les pieds dans les étriers, ce qui avait pour effet d’écarter largement mes jambes. Il en profita, bien sur, pour m’introduire un doigt vaseliné dans l’anus sous le prétexte de voir comment était ma prostate. C’était la première fois que ça m’arrivait et ça me fit mal, mais le souvenir du fouet était trop présent dans mon esprit pour que j’envisage sérieusement de me rebeller. Ensuite il me pesa : 68 kg pour 1m75. « Sébastien tu vas devoir perdre 8 kg. Au régime dès maintenant ». J’eus ensuite droit à ma première prise d'hormones. Quand je retournai dans ma chambre, il y avait cette fois deux filles dans la cafète et j’eus, encore une fois, le droit à ce regard étonné et insistant que j’avais subi à l’aller. A midi, il me fallu manger et c’est mademoiselle Schultze qui vint me chercher. Cette fois-ci, elles étaient bien une dizaine de filles dont Marina la lettone qui était arrivée au château en même temps que moi. Elle qui m’avais vu à mon arrivée était totalement étonnée de me revoir dans cette tenue. La plupart étaient encore en robe de chambre et à peine maquillées. Elles paraissaient toutes jeunes, dans les vingt ans ou moins, toutes étaient jolies et appétissantes, certaines plus que d’autres. Je fus présenté à leurs sourires goguenards. Je décidai finalement d’affronter leurs regards qui paraissaient peut être plus amusés que méchant. Encore que j’appris par la suite que ce milieu est très dur et qu’on ne s’y fait pas beaucoup de cadeaux. Il vaut mieux y être en position de force que de faiblesse. J'appris plus tard que dans le milieu, les filles qui se prostituent sont des « femmes » alors que les autres ne sont que des « cavettes ». Ca veut tout dire. J’allai me servir et comme je revenais vers la table commune avec mon plateau, l’une des filles qui avait des allures de dominante me fit asseoir à coté d’elle. « Mon nom de femme c’est Claudia. Ici me dit elle, c’est moi qui décide. C’est la première fois qu’un garçon se trouve parmi nous. Nous savons toutes ce que Madame veux faire de toi, alors je dois te prévenir que nous n’aimons pas beaucoup les tantes ni les travelos et que ça va être dur pour toi. Tu n'as vraiment pas intérêt à la ramener. Pour une fois que nous avons un homme sous notre coupe, nous ne laisserons pas passer l’occasion de lui faire payer ce que les autres nous ont fait. Pour commencer, comme tu ne travailles pas la nuit, j’ai décidé que c’est toi qui t’occuperas désormais de notre linge. Tu le laveras, tu le repasseras et le déposeras dans nos chambres. Tous nos dessous sont marqués. Et encore tu as de la chance car toutes nos robes et nos chemisiers sont pris en charge par une laverie extérieure. Tu n’auras donc à t’occuper que de notre lingerie. Il faut aussi que tu te mettes bien dans la tête qu’à partir de maintenant, tu es ma petite bonne particulière! ». « Sébastien, tu va commencer par aller me chercher un supplément de frites. Sébastien, il n’y a plus d’eau sur la table, Sébastien ci, Sébastien çà… ». C’était encore pire que je ne l’avais imaginé. J’étais écrasé et décidait de m’exécuter en silence en espérant qu’elle se calmerait un peu. Bien m’en a pris, car un peu plus tard, j’appris que Claudia était la maitresse de Madame. C’est ce qui lui donnait automatiquement une supériorité sur les autres et notamment le droit d’avoir « une petite bonne » parmi les filles.

Quinze jours se passèrent ainsi. Il y avait beaucoup de lavage et de repassage à faire et au début j’étais troublé quand je repassais toutes ces petites culottes. Heureusement qu’il y avait beaucoup de strings, ça allait plus vite! Certaines portaient des petites combinaisons que j’avais beaucoup de plaisir à repasser. Et les nuisettes en satin ! Je devais faire le ménage dans deux chambres, la mienne et celle de Claudia qui ne se gênait pas pour tout y laisser en désordre. Par ailleurs je devais la servir à table. Pendant une dizaine de jour je pu voir dans leur regard, de l’amusement pour certaines et pour les autres un mépris que je n’étais pas près d’oublier. Comme Claudia me l’avait annoncé, elles me faisaient payer les humiliations que les hommes leur faisaient subir. Et puis l’habitude aidant, les choses s’arrangèrent un peu et nos rapports devinrent moins agressifs. Le fait de vivre avec toutes ces jolies filles et dans l’intimité de leur lingerie, m’excitait terriblement. Je me rendais bien compte que j’en laissais une ou deux pas du tout indifférentes. Malheureusement le sergent Schultze m’a tout de suite indiqué que pour Madame, il n’était pas question de quoi que ce soit entre les filles et moi. Sinon, les représailles seraient terribles pour moi comme pour elles. La nuit, j’avais du mal à oublier toutes ces filles et leur lingerie et mes érections étaient tenaces. Cela se terminait généralement par des pollutions nocturnes qui me laissaient honteux et déprimé.

Un soir, je rapportai du linge dans la chambre de Carole, croyant qu’elle était descendue travailler au salon et j’ai eu la surprise de tomber sur elle. Sans que je lui demande, elle m’expliqua qu’elle était indisposée et que dans ces conditions Madame préféraient qu’elle ne travaille pas pendant 2-3 jours. Elle me prit par la main et m’entraina dans la salle de bain où elle fit couler la douche. Elle pensait en effet que madame avait fait mettre des micros dans sa chambre et ne voulait pas prendre le risque que nous soyons entendus. Carole était très différente des autres filles. Elle me confia qu’elle était effectivement issue d’une famille aisée à qui elle avait été arrachée à 16 ans. Au début elle s’était rebellée contre nos bourreaux et avait insulté Madame. Mal lui en avait pris. Elle eut, bien sur, droit au fouet, mais devant sa volonté persistante de résistance elle fut emmenée à Amsterdam pour y être prostituée dans une vitrine. Comme un jour elle y avait insulté un riche client, la mère matrone de l’hôtel de passes l’a condamnée à huit jours « d’abattage ». « L’abattage, c’est vraiment l’horreur absolue, tu es montée par plus de 30 hommes par jour dans une espèce d’Algéco crasseux situé sur le port. Le soir tu es complètement épuisée. Tu te sens sale et dégradée. Tu ne sens plus ton périnée. Toutes la journée, ils ont tripoté tes seins qui sont complètement endoloris. Comme tu as passé ta journée offerte, les cuisses écartées, tu as un mal de dos terrible. Et puis psychologiquement c’est une expérience épouvantable qui te marque à jamais. Tu sais, quand je suis rentrée ici après trois mois d’Amsterdam, j’ai eu l’impression d’être au paradis. Malgré ma situation, ici, à coté d’Amsterdam, c’était le bonheur, alors je suis rentrée dans le rang. Tu vois Sébastien, je suis souvent triste quand je pense à toi et à tout ce qu’ils te font subir. Je ne voudrais vraiment pas être à ta place. Tu as l’air tellement gentil. Si j’ai un conseil avisé à te donner, c’est malgré tout de supporter ce qui se passe ici en espérant patiemment que la chance tourne et soit un jour avec toi. Si tu révoltes trop visiblement, ils ont la capacité de te rendre la vie épouvantable et de t’écraser ». Le fait de savoir que j’avais une alliée dans la place me fit chaud au cœur. Nous nous quittâmes rapidement en nous promettant de tout faire pour que personne ne devine notre complicité débutante.


Responsable du site : Lucie Sobek


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