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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chrissy75

I: l'enlèvement chrissy75 29-11-2008, 23:25 Je venais d’avoir 17 ans. Mes parents étant décédés dans un accident de montagne, alors que j’avais 5 ans, je fus élevé par ma vielle grand-mère jusqu’à l’âge de 15 ans. Après sa disparition, mon tuteur m’avait permis de vivre seul dans le petit deux pièces qu’elle m’avait laissé rue de Tourlaque, derrière le cimetière Montmartre. Ma grand-mère m’avait légué en outre un petit capital suffisant pour couvrir mes frais modestes. J’étais en terminale littéraire au lycée Condorcet quand mon aventure commença. J’avais remarqué depuis quelques années que j’avais un certain succès auprès des filles et j’en profitais largement, d’autant plus que le lycée Jules Ferry, lycée très fréquenté par les filles, était sur mon chemin quand je rentrais à la maison. Depuis quelque temps, je m’étais laissé pousser un peu les cheveux que je rassemblais derrière en une petite queue de cheval que les filles avaient l’air de beaucoup apprécier. Elles me disaient souvent que j’étais « mignon ». Comme par ailleurs je disposais d’une liberté et d’un logement, exceptionnels à mon âge, j’en profitais pour avoir une activité sexuelle nettement plus importante que celle de mes copains du lycée. Mon machisme s'en trouvait renforcé Nous étions au printemps, il faisait beau sur Paris. Je venais de reconduire ma petite amie du moment chez elle. Une très jolie blonde un peu plus âgée que moi. La nuit tombait lentement et en descendant la rue de Tourlaque, mes pensées étaient encore tout accaparées par les délicieux moments que nous venions de passer ensemble. Je ne pris donc pas garde à une voiture qui me suivait lentement. La rue était déserte. Très discrètement, la voiture s’arrêta. Deux hommes en descendirent et se portèrent vers moi. Lorsqu’ils furent chacun à mes coté, l’un deux sortit très discrètement un révolver de sa poche et me dit « suis-nous ». Leur mine n’étais pas rassurante et leur air particulièrement décidé. Je compris que je n’avais pas le choix et devait suivre ces deux malabars. L’un d’eux, qui avait un type Nord-Africain, me poussa à l’arrière de la voiture tandis qu’ils s’installèrent de chaque coté de moi et la voiture démarra tout aussi discrètement qu’elle s’était arrêtée. La rue était déserte et mon enlèvement n’eut pas de témoin. Personne ne m’attendait et on ne se soucia donc pas de moi. Sous la menace de leur revolver, les deux hommes me passèrent des menottes au poignet et la voiture roula sur l’autoroute de l’Ouest pendant plus d’une heure avant d’arriver dans le parc d’un magnifique château que je ne connaissais bien évidemment pas. Je fus extrait de la voiture et conduit dans une aile latérale du château qui était disposé de façon très classique en fer à cheval. Les menottes au poignet je fus brutalement poussé dans un escalier dont je montais plusieurs étages avant d’être propulsé dans une pièce mansardée et sombre. La porte fut refermée et soigneusement verrouillée. Quand mes yeux se furent accoutumés à l’obscurité, je m’aperçus que je n’étais pas seul dans cette pièce. Il y avait plusieurs lits de camp et je vis trois autres formes allongées qui dormaient ; un autre garçon et deux filles. Encore assommé par ce qui venait de se passer, je mis un peu de temps à leur dire bonjour. Ils se réveillèrent peu à peu et la discussion démarra. C’est comme cela que j’appris qu’ils avaient tous les quatre à peu près le même âge que moi et qu’ils avaient été enlevés, comme moi, sans aucune raison évidente. Le garçon était là depuis la veille et les filles étaient arrivées dans la journée. L’une des filles, une magnifique blonde, au teint resplendissant et pleine de santé, parlait à peine le français. Tout ce que j’ai pu comprendre c’est qu’elle s’appelait Marina et qu’elle venait de Riga en Lettonie, par un circuit qu’elle était bien incapable d’expliquer. Depuis qu’ils étaient là, ils n’avaient vu personne en dehors qu’un homme rébarbatif qui leur apportait des plateaux repas à travers un passe-plat. Tout le monde était particulièrement angoissé, et personne ne souhaitait vraiment s’exprimer, chacun pensant sans doute, comme moi, que c’était un malentendu et que finalement il serait très vite relâché. Finalement, je réussis à m’endormir en fin de nuit avant d’être réveillé par le jour qui pointait au travers d’un vasistas, soigneusement verrouillé par une grille. Plusieurs serrures fermaient l’unique porte et nous dûmes constater qu’il nous était strictement impossible de nous échapper. Tout à coup, dans la matinée nous entendîmes des pas dehors, puis le bruit caractéristique des solides serrures que l’on ouvrait une à une. Quatre personnes entrèrent. D’abord les deux malfrats qui m’avaient enlevé la veille, suivis par une splendide créature brune de 40 ans environ. Elle était grande, probablement près d’un mètre soixante quinze, vêtue d’un tailleur de velours rouge de grand prix, largement échancré au niveau de la poitrine et dont la jupe s’arrêtait à mi-cuisses. Ses longues jambes, gainées de nylon noir, étaient chaussées de cuissarde de cuir assorties à la robe et dotées de long talons aiguilles qui la grandissaient encore plus. La quatrième personne était une femme à l’aspect hommasse, vêtue d’un tailleur austère qui ressemblait un peu à un uniforme de l’armée rouge à l’époque de la guerre froide. Il ne lui manquait que des galons. Contrairement à la grande brune elle était chaussée de chaussures d’homme sans talons. D’un ton autoritaire et sans réplique la grande femme nous donna l’ordre de nous déshabiller et de nous tenir debout, bien droits, au bout de notre lit. Nous étions trop traumatisés par la situation pour envisager de discuter et nous nous exécutâmes donc en silence. Après avoir tourné longtemps autour de chacun de nous, elle donna des ordres sibyllins à l’autre femme qui inclinait obséquieusement la tète en guise d’approbation. Pour la lettone elle dit : « Aile B». Pour l’autre, elle dit : « Porte de la Chapelle». Pour l’autre garçon, elle dit : « dans la nature ». Et pour moi : « parfait pour l'aile B ». Le tout n’avait pas duré plus de 15 minutes et tous les quatre ressortirent comme ils étaient venus. Les serrures furent soigneusement verrouillées et nous nous rhabillâmes en silence, chacun cherchant à interpréter les paroles prononcées qui avaient des airs de sentences. On nous laissa dans notre jus jusqu’au lendemain matin. Nous avons cependant remarqué que le soir on pouvait entendre dehors un mouvement important de voitures jusque à tard dans la nuit.

Le lendemain vers 10 heures, agitation sur le palier et entrée des deux malabars que je commençais à bien connaître maintenant. « Sébastien, suis nous ! ». J’en avais assez d’être enfermé dans ce grenier et c’est bien volontiers que je les ai suivis, bien que leur mine ne présageait rien de bon. Avant de sortir de la pièce ils me passèrent encore une fois les menottes. Je les suivis à travers un dédale de couloirs et d’escaliers, pour arriver finalement dans une zone de bureaux très richement décorés. Ils frappèrent à une porte et j’entendis la voix de la grande brune leur dire d’entrer. La pièce était agencée avec un gout raffiné. Elle se tenait derrière un bureau. Les deux malabars m’enlevèrent les menottes et me firent asseoir sur un fauteuil en face du bureau. La grande brune leur dit d’attendre à la porte mais que cela pourrait prendre un certain temps.

Et les explications commencèrent immédiatement. La grande brune m’expliqua d’emblée que le château où nous trouvions était le siège d’un club particulièrement sélect dont les membres appartenaient au Gotha de la finance, de la politique et du show bizz. Ils pouvaient y pratiquer des activités très diverses comme le poker et les jeux d’argent, le cheval ou le golf dans le parc de la propriété, mais en fait ce qu’ils venaient principalement y chercher c’était des jeunes et jolies femmes pas très farouches aptes à satisfaire leur libido. Leurs femmes quand elles venaient étaient aussi souvent à la recherche de partenaires mâles rémunérés qui venaient travailler en freelance, moyennant commission au club. Certains de ces prostitués males pouvaient aussi satisfaire les messieurs. Plusieurs salons, un restaurant et de nombreuses chambres avaient été luxueusement aménagés dans l’aile centrale. Le club était dirigé par un personnel classique. La grande brune était responsable du personnel prostitué et son rôle était d’organiser les plaisirs de ces messieurs et notamment de leur procurer la chair fraiche tant convoitée. Certaines des filles, en général les plus jeunes, étaient retenues contre leur gré, comme pensionnaires dans l’aile B du château où se trouvait notre mansarde et où nous étions actuellement. Les filles étaient cantonnées dans la journée au deuxième étage de cette aile qui n’était ni plus ni moins qu’une maison close. Les autres étaient des call-girls qui venaient « travailler » le soir à la demande. Elles travaillaient pour leur compte, mais reversaient néanmoins la moitié de leurs gains au club. Ceci expliquait que le château était devenu un centre international de la prostitution de luxe que la grande brune dirigeait avec l’aide de quelques truands corses et nord-africains dont j’avais déjà pu voir des échantillons. Bien évidemment, le club bénéficiait d’une certaine protection des pouvoirs publics qui, au minimum, fermaient les yeux sur ses activités les plus répréhensibles.
« C’est bien joli vos explications mais cela ne me dit pas ce que je viens faire ici, ni quand vous allez enfin me libérer. Parce que je commence à en avoir franchement marre de votre salade ».
« Un peu de patience, je vais y venir. Mais d’abord je tiens à te prévenir mon petit Sébastien que si tu ne te calmes pas, ça peut très mal aller pour toi. Tu apprendras très vite que je suis intraitable. Ce que je ne t’ai pas encore dit c’est que j’envisage une innovation qui devrait marcher très fort. Je voudrais adjoindre aux filles de l’aile B un travesti ou plus précisément un transsexuel. C’est précisément le rôle que je te destine. Je vais donc faire de toi une fille, un peu particulière certes mais une fille. Tu as des traits fins, de grandes jambes, une taille fine, tes cheveux sont souples bien fournis et déjà un peu longs. Je crois donc que tu es le candidat rêvé pour cette transformation. Voila pourquoi tu es ici et pourquoi tu n’es pas prêt d’en sortir».

Je restai le souffle coupé. Moi, une fille alors que je suis un adolescent à succès, un jeune coq macho? C’était quelque chose qu’il ne m’était absolument impossible d’envisager et je me disais que, de toute façon, je ne me laisserai jamais faire. A cette idée révoltante, que je vivais comme une insulte majeure, la rage m’a pris et je me suis brusquement levé pour lui fiche mon point dans la figure. Mais j’étais à peine penché au dessus du bureau que les malabars firent irruption dans la pièce. En un tour de main je fus maitrisé, attaché au bras du fauteuil par les menottes. Blême de rage la grande brune hurla « le fouet ; ce qu’il faut pour qu’il comprenne une bonne fois pour toutes qui fait la loi ici ! En attendant, laissez nous seuls encore deux ou trois minutes ». Quand ils furent sortis elle reprit ses explications comme si rien ne s’était passé. « D’abord, il faut que je te précise que l’on va te mettre, comme aux filles de l’aile B, une puce sous la peau du dos qui nous permettra de te localiser partout où tu seras. Nous pouvons la programmer pour qu’elle signale quand tu sortiras d’un périmètre précis qui te sera attribué et qui te sera indiqué par mademoiselle Schultze. (C’est la dame, d’aucun disent le dragon ou le sergent, que tu as vu hier avec moi et qui est en quelque sorte mon assistante). C’est à elle que tu auras le plus souvent à faire. Ne sois pas étonné si tu t’aperçois qu’on te filme. J’ai en effet demandé que toute ta transformation soit enregistrée car ça peut donner lieu à la fin un montage intéressant. A l’étage du dessus, il y a un studio où l’on tourne des films pornos. Si un des cinéastes vient te filmer à l’avenir, quelque soit l’endroit où tu seras, tu devras lui faire bonne figure si tu ne veux pas qu’il t’en cuise. C’est ainsi que, l’entretien que nous avons actuellement a été entièrement filmé. Enfin, pour ton information, sache que toutes les filles ici m’appellent avec beaucoup de respect « Madame ». C’est comme ça que dorénavant tu devras m’appeler. Omar et Dominique, appela t’elle, il est à vous pour la correction. Et surtout, qu’il s’en souvienne longtemps! ».


Responsable du site : Lucie Sobek


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