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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chrissy

1 La cérémonie chrissy 28-07-2007, 0:42 Nous avions rendez vous à 6h30 à l'institut de beauté! Le temps était splendide et aucun nuage n'était visible. Sur mon soutien gorge et ma petite culotte, Nadja, l'esthéticienne, me passa un peignoir rose et me fit asseoir dans un fauteuil réglable qu'elle ajusta pour être le plus possible à son aise. Après les crèmes hydratantes elle s'attaqua aux yeux en commençant par la pose de longs faux cils qui changeaient considérablement le regard et le dessin des cils. Puis ce fut les joues et le décolleté et elle termina par les lèvres. Cela lui prit un peu plus de deux heures. De mon coté j'étais très attentive à ce qu'elle faisait, aux conseils qu'elle me donnait et aux produits qu'elle employait et dont elle m'expliquait la fonction. Pour me rassurer, il était prévu qu'elle viendrait ainsi que Teddy pour réaliser mon maquillage et me donner un coup de peigne le lendemain de la nuit de noce. Elle avait en plus préparé une grosse mallette de maquillage pour mon futur usage personnel, comme cela le relais se fera très bien. Elle ne tâtonna pas beaucoup dans ses choix car, comme pour la perruque, elle avait bénéficié d'un programme informatique de l'institut qui lui avait permis de choisir le maquillage qui me convenait le mieux en utilisant la reconstitution de mon visage en trois D faite à partir de photos de moi. Ensuite, ce fut Teddy, le coiffeur qui prit le relais. Son objectif était de rouler mes cheveux pour en faire un premier chignon derrière la nuque avec les cheveux les plus longs et en aménageant les cheveux plus courts de devant en une frange qui se fondait sur le coté avec les cheveux qui avaient été tirés en arrière. Il attira mon attention sur l'endroit où se trouvaient les épingles qui fixaient le chignon et que j'aurai à défaire le soir. Tout était prêt pour qu'il puisse ensuite fixer sur le sommet de ma tête un volumineux postiche dans lequel avaient été fixé le voile et le diadème. Il ne le fera qu'une fois la mariée habillée. De toute façon, il était convenu que Teddy et Nadja resteraient toute la journée à proximité pour effectuer d'éventuelles retouches de maquillage ou me donner un coup de peigne. Quand Nadja et Teddy eurent fini leur travail ce fut le retour à la maison où devait s'effectuer mon habillage. Myriam commença par me demander de me déshabiller complètement. Ensuite elle m'emmena dans les toilettes pour procéder au lavement que j'avais complètement oublié! Comme je devais rester propre jusqu'au soir elle avait prévu une grande quantité d'eau salée et je dois dire que je ne trouvai pas cela particulièrement agréable; pendant un certain temps je sentis mon estomac et mon intestin animés de mouvements parfois douloureux mais je savais que c'était nécessaire. La corvée terminée et mon ultime toilette intime faite, Myriam m'emmena dans le salon et me remis entre les mains d'Annie et de la couturière pour l'habillage, le grand moment! Myriam qui devait aussi se préparer venait très régulièrement jeter un œil, prodiguer ses conseils et apporter son aide. Elle commencèrent par m'appliquer un déodorant sous les aisselles puis me vaporisèrent tout le corps avec de l'eau de parfum n°5 pour finalement m'appliquer quelques gouttes de parfum derrière les oreilles et dans la région de mon anus. Ce parfum qui m'enivrait.

Voila, j'étais maintenant nue au milieu de la pièce avec cinq personnes dont tous les regards convergeaient sur moi. A cet instant ma pensée allait vers toutes ces jeunes filles vierges que, dans un temps pas si ancien, on parait ainsi pour les conduire sur l'hôtel. Il s'agissait de les envelopper dans des atours les plus beaux possibles, destinés à mettre en valeur leur corps afin de les rendre plus désirables encore pour le riche barbon à qui leurs parents les destinaient contre leur gré. Pour moi, la robe de mariée, que je n'avais pas spécialement souhaité endosser, était le symbole de ce sacrifice auquel étaient condamnées les femmes pour la plus grande jouissance de l'homme. Moi non plus je n'avais pas encore connu l'homme. Je connaissais à peine Paul et à la fin de cette journée, dans cette tenue éminemment symbolique, j'allais pour la première fois être l'objet de cette possession. Vous imaginez sans peine le trouble et l'émotion qui était les miens à cet instant. D'un autre coté, moi qui avait toujours aimé vêtir des habits féminins, j'allais porter aujourd'hui ces habits de lumière qui symbolisent le plus peut être la féminité. Ce n'était pas non plus pour me déplaire. Pour le moment j'étais totalement passive entre leurs mains comme une poupée qu'elles allaient habiller. Elles commencèrent par me faire enfiler le string. Je n'avais jamais porté de string et je trouvai plutôt désagréable ce truc qui vous passait dans la raie des fesses. D'un autre coté Myriam et les autres soulignèrent aussitôt que ce string faisait très bien ressortir mes fesses qu'il mettait parfaitement en valeur. Elle ajouta que Paul aimait beaucoup que les femmes portent un string et j'allais donc devoir m'y habituer. Ensuite Myriam apporta le corset guêpière en satin blanc, brodé de motifs roses et bordé en bas d'une petite bande de dentelle blanche qui se prolongeait sur les deux bords de chaque jarretelle. Elles mêmes par ailleurs en satin blanc. La vendeuse m'expliqua que ce corset guêpière avait été dessiné pour réduire ma taille et élargir un peu mes hanches grâce à des coussinets inclus dans l'épaisseur. Pour le laçage elles se mirent à deux. Je me tenais à la poignée de la porte et elles tirèrent chacune sur un lacet. Pour être plus efficace, Myriam à la fin appuyait sur mon dos avec son pied nu. Bien entendu, je devais rentrer mon ventre au maximum et bloquer ma respiration en expiration. Quelle aventure! Jamais je n'avais été serrée à ce point. Pendant un moment j'ai eu du mal à retrouver ma respiration qui était un peu superficielle, mais quelle taille ça me faisait! Et puis en dehors de la gène respiratoire, c'était une sensation très agréable que de se sentir le corps enserré dans le satin. Ensuite vint le moment béni d'enfiler mes bas. C'étaient des bas blancs en soie légèrement opaques mais qui paraissaient particulièrement chatoyants avec de magnifiques reflets. Les bas mis, ce fut le tour des chaussures et ma taille gagna aussitôt 12 cm ! J'en terminai avec mes dessous, par le soutien gorge, parfaitement apparié au corset. Il était de forme balconnet très dégagé et avait un effet push up qui me faisait une poitrine incroyable. Elles avaient choisi que je porte un soutien gorge car la robe avait des bretelles brodées relativement larges si bien que les bretelles du soutien gorge pouvaient se clipser sous les bretelles de la robe. Ainsi parée, j'allais pouvoir enfiler la robe et son épaisseur de jupons de tulle. Elle avait été étalée par terre et je m'installai donc au milieu. Il n'y avait plus alors qu'à remonter l'ensemble autour de mon corps et fermer la fermeture éclair dans le dos. Quand ce fut fini, Teddy intervint à son tour. Myriam glissa un tabouret sous la robe pour que je puisse m'asseoir et Teddy commença alors à fixer sur le sommet de ma tête l'énorme postiche qu'il avait apporté. C'était une véritable pièce montée avec des boucles fixées en hauteur alors que d'autres retombaient sur les cotés. Au milieu émergeait un bout de diadème enchâssé de brillants et, fixé à la face inférieure du postiche, il y avait le voile de tulle d'une soixantaine de centimètres de longueur qui m'enveloppait complètement la tête et le cou. Quand tout fut fini Myriam apporta les gants, qui étaient en fait des mitaines en satin élastique qui remontaient haut sur les bras et qui laissaient dégagés une partie des doigts. Myriam m'expliqua qu'elle avait choisi cette solution de préférence à de véritables gants pour que Paul puisse me glisser une bague au doigt. L'habillage se termina par la pose d'un large collier fait de quatre rangées de grosses perles et qui venait sur la partie inférieure du cou et par la fixation de deux boucles d'oreilles pendantes en perles d'une longueur de près de 10 cm chacune et dont je sentais les oscillations dès le moindre mouvement de la tête qui les faisait aussi s'entre choquer. C'était la première fois que je portais des boucles d'oreille pour oreilles percées et elles eurent quelques difficultés à les poser. L'essayeuse avait apporté une aumônière qu'elle me passa sur l'avant bras gauche et le magnifique bouquet de fleurs blanches que je devrais garder dans la main droite une bonne partie de la journée. Encore une fois je me trouvais maladroite avec cette aumônière que je ne savais pas comment tenir. L'aumônière et le bouquet me mettaient dans l'obligation de garder pratiquement en permanence mes bras repliés, ce dont je n'avais pas du tout l'habitude. Myriam me déplaça devant une grande glace dans laquelle je pus enfin me voir. Le résultat dépassait tout ce que j'avais pu imaginer et j'avais beaucoup de mal à penser que cette femme un peu irréelle reflétée par le miroir était moi. La robe avait un décolleté que l'on peut qualifier de très généreux laissant voir les deux globes de ma poitrine séparés par une fente profonde et encadrés en bas par la dentelle du soutien gorge que l'on apercevait nettement pour peu que je me penche un peu en avant. En me voyant ainsi je pensai aussitôt aux sublimes photos de Coccinelle le jour de son mariage qui m'avaient tant troublé et fait rêver quand j'étais jeune..

Le moment de rejoindre la villa de Paul était venu. La largeur de ma robe était telle que je devais passer chaque porte en plusieurs fois. Myriam m'avait aussi indiqué comment ramener la traîne de la robe sur mon bras droit pour me déplacer; comment effacer le bas de la robe pour passer dans des zones étroites. Elle m'avait montré que pour descendre un escalier la robe longue pouvait être assez gênante parce que je ne voyais plus où je mettais les pieds. En revanche il était indispensable que pour éviter de marcher sur la robe quand je montais des marches, je soulève avec mes deux mains l'avant de la robe de ce geste gracieux et typiquement féminin. Paul avait envoyé une Rolls avec chauffeur qui nous attendait dehors depuis un certain temps. Quand il me vit arriver, le chauffeur se précipita pour ouvrir la porte arrière droite. Je dû m'y prendre en plusieurs fois pour laisser entrer toute la robe à l'intérieur de la voiture. Pas moins de trois personnes m'aidaient pour cette manœuvre. Je dus aussi baisser la tête en avant pour ne pas accrocher le haut de ma coiffure à l'encadrement de la porte et bien me tasser sur mon siège pour ne pas qu'il ne frotte sur le toit pendant le trajet. Que de contraintes devait subir une mariée somptueusement parée comme je l'étais ce jour là! Bien évidemment, je fus l'objet de la curiosité des voisins. Il eut même quelques "vive la mariée!". Myriam monta à coté de moi. Et je partis vers mon destin.

Nous avions un peu de retard et nous savions que tous nos invités étaient là qui nous attendaient dans le jardin. Une fois dans la maison, et après avoir vérifié un dernière fois que tout était parfait, Myriam me pris par le bras pour me conduire à mon futur maître qui se trouvait devant une table non loin de la piscine. Nos invités se tenaient debout de l'autre coté de la table, éparpillés dans le jardin. Un tapis rouge menait de la maison à la table qui allait servir d'hôtel. "On y va" "OK". Au moment ou nous avons débouché à l'extérieur de la maison dans la lumière du soleil je fus en proie à une émotion considérable au point que je sentis mon cœur qui tapait très fort se ralentir et battre la chamade. Le trajet sur ce tapis rouge qui nous menait jusqu'à Paul me paru interminable. J'avais beaucoup de mal à soutenir tous ces regards qui convergeaient vers moi, accompagnés d'un petit oh! d'admiration. Myriam me laissa aux cotés de Paul et après avoir écouté un passage de la Messe du Couronnement, un ami de Paul qui se trouvait en face de nous de l'autre coté de la table procéda à la "cérémonie". Après un petit speech sur les joies de la vie conjugale, il en vint à nous poser des questions assez inattendues sur notre engagement:
" Carole êtes vous prête à devenir une femme, discrète, fidèle, et dévouée? ". J'émis un OUI à peine audible.
" Carole, êtes vous prête à devenir une maîtresse, attentive, disponible et soumise?". OUI
" Carole êtes vous prête à être une amante passionnée, chaleureuse et toujours prête à recevoir votre maître?". OUI
Puis se fut au tour de Paul.
" Paul es tu prêt à devenir le maître solide, protecteur et généreux de Carole ". OUI
" Paul es tu prêt à devenir son amant assidu et exigeant ? ". OUI
" Paul es tu prêt à lui manifester plein de fougue et de force virile ". OUI

Il devenait clair que ce qui nous était demandé à chacun n'était pas du tout symétrique et que le statut qui m'était réservé impliquait une soumission qui semblait dater du d'une autre époque. Il était non moins clair que ce qui m'était demandé n'est pas acceptable de nos jour par une femme et c'est probablement pour cela que Paul s'était tourné vers un TV. Maintenant j'étais prévenue de la vie qui allait être dorénavant la mienne et je n'avais plus le choix.
"Puisque vous avez répondu positivement à mes questions, Paul je te donne pour amant à Carole. Carole, je te donne pour maîtresse à Paul. Je vous demande maintenant de sceller votre engagement public par l'échange de ces deux bagues." Paul passa alors à mon annulaire gauche un somptueux anneau serti de diamants et je passai à l'annulaire de Paul un discret anneau en or blanc. "Vous êtes maintenant unis".

Applaudissements, musique. Paul souleva mon voile pour déposer sur mes lèvres un léger baiser. Ce baiser qu'il ne m'avait pas fait à Londres. Jusque là, je ne savais pas ce que c'était d'être embrassé par un homme. J'en éprouvai aussitôt un plaisir trouble. "Carole, on se tutoie maintenant. Je tiens à te féliciter car tu es encore plus belle que je ne l'avais espéré. J'ai hâte d'être à ce soir." Je n'osais pas lui répondre "moi aussi" car j'appréhendais quand même beaucoup ce moment là, que je savais pourtant inéluctable. Aumônière au bras et bouquet à la main, Paul entrepris de me présenter à chacun de ses invités. Il y avait trois ou quatre de ses amis intimes mais près de la moitié des invités était constituée de mannequins de l'agence de Myriam, hommes et femmes. Dans tout cela, manifestement pas d'époux ni d'épouses légitimes, ce qui se comprenait très bien par le caractère assez particulier de cette cérémonie. Parmi les invitées j'eus le grand plaisir de voir Lise, ce travesti dont j'avais fait la connaissance à Londres et dont j'avais beaucoup apprécié la compagnie. C'était sans doute une idée de Myriam dont je lui fus très reconnaissante car avec elle présente, je me sentais beaucoup moins seule. Elle m'embrassa très tendrement et me souhaita beaucoup de bonheur dans ma nouvelle vie. Avec Myriam, elle allait devenir ma principale amie. Nous passâmes ensuite à table. J'eus bien évidemment pas mal de difficultés pour m'asseoir mais Myriam et Lyse étaient là pour m'aider. Comme je ne pouvais manifestement pas m'asseoir sur une chaise sans écraser ma robe, Myriam avait prévu un tabouret qu'elle glissa discrètement sous mes jupons. Ma taille était tellement serrée que je mangeai à peine, me contentant de goûter un petit peu de chaque plat. Après le repas, dont le traiteur fit disparaître les restes en un tour de main, certains ont dansé tandis que d'autres s'égayaient dans les jardins. Il nous revint donc, à Paul et à moi, d'ouvrir la danse. Il avait demandé une valse mais comme je m'étais entraînée, je ne m'en sortis pas trop mal. J'avais la tête qui tournait un peu mais c'était grisant de me sentir fermement guidée, enlacée dans les bras d'un homme et de voir les mouvements amples et élégants de ma robe. C'est parcourue d'une griserie intime et inénarrable que je me serrai et m'abandonnai dans les bras de Paul. Mais, comme je l'appris par la suite, Paul n'aimait pas particulièrement danser et ce jour là, j'en fus très contente car je n'étais vraiment pas à l'aise dans ma vaste robe. Le reste de l'après midi se passa pour moi en parlant avec les uns et les autres. Paul était très aimable et plein d'attention avec moi, me demandant à plusieurs reprises si tout allait bien et si je n'étais pas trop fatiguée. Il me prit par la main et nous allâmes bavarder de l'un à l'autre.

Les conversations avaient toutes quelque chose d'artificiel car je sentais bien que beaucoup auraient voulu m'interroger sur ma nouvelle condition et sur la façon dont je vivais cette transformation qui était connue de tous. Je fus très rapidement entourée par les femmes dont on sentait poindre la curiosité. Je dois reconnaître qu'elles furent toutes charmantes avec moi. Elles me firent plein de compliment sur mon maquillage et sur ma robe, me parlèrent couturier, coiffeur, institut de beauté, sorties, invitations et certaines me proposèrent de me guider dans mes futurs shoppings. Je découvris ce jour là que les conversations entre femmes étaient très différentes des conversations entre hommes, orientées sur les problèmes d'apparence et de loisir, pour tout dire, nettement superficielles et futiles. J'eus ce jour là quelques difficultés à m'y adapter car je ne savais bien évidemment pas "parler chiffons", mais comprenant que cela ferait dorénavant partie de ma vie, je fis tout ce que je pouvais pour me hisser à ce niveau de futilité. Le comportement des hommes vis-à-vis de moi avait aussi quelque chose de très nouveau. Beaucoup de compliments et de flatteries et des regards que je ne connaissais pas. Beaucoup avaient du mal à détourner les yeux de mon décolleté. La plupart paraissaient curieux, certains se montrèrent entreprenants, me plongeant dans un très grand gène. Tous se montrèrent galants et empressés. Pendant que je passais comme cela de l'une à l'autre et de l'un à l'autre, je m'aperçu que Myriam avait un cavalier servant très assidu. C'était un jeune et magnifique mannequin homme bien connu qui posait notamment pour Hugo Boss. C'est avec beaucoup de tristesse que je constatais ainsi que j'allais être bientôt remplacé.


Responsable du site : Lucie Sobek


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