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HOMMEFLEUR, le site pour les hommes qui aiment les femmes, au point de vouloir leur ressembler !

« », une petite histoire imaginée par chantaltrav

1 Tu as maintenant 18 ans chantaltrav jeanne@femmes.net 27-09-2006, 10:10 Tu as maintenant 18 ans ….


Ce soir là j’attendais Julie. C’était assez rare car généralement nous fermions le magasin ensemble, mais elle était à une réunion de l’association des commerçants. Comme je n’y allais jamais, je passais mon temps en écoutant un peu de musique et en lisant le dernier livre de Gérard M.

Dans le passage que je lisais, il décrit le soulagement de Carole après l’enterrement de sa mère. Elle raccompagne ses invités puis prise d’un besoin subit, enlève sa robe noire en montant l’escalier sur ses hauts talons fins révélant ses superbes dessous en soie noire, porte-jarretelles et bas, soutien-gorge et culotte. Elle est tellement submergé par le désir qu’elle se retient pour aller dans sa cachette chercher ce qui remplace l’homme qu’elle n’a pas et enfin s’adonne au plaisir sans, pour la première fois, entendre sa mère qui lui dit depuis le rez-de-chaussée « Que fais-tu encore là-haut ! ».

A la lecture de ce passage, seule exception érotique notoire d’un roman qui ne l’est absolument pas, j’ai commencé à sentir les mêmes élans. Il faut dire que le hasard a fait que, non seulement je m’appelle Carole, mais que je portais la même tenue qu’elle. Moi aussi, je montai l’escalier en enlevant ma robe. Moi aussi, je m’emparai d’un bel instrument, à la différence près que celui-ci n’est pas caché car Julie et moi en faisons un grand usage. N’y tenant plus, je l’introduisis en moi tout en recueillant sur mes doigts le fruit de mon plaisir que je portai goulûment à mes lèvres.

C’est à ce doux moment que me revins en mémoire ce rêve que je faisais plus jeune.

C’est mon anniversaire, je vais avoir 18 ans et Maman viens me voir dans ma chambre. Elle tient à la main un petit paquet plat.

« Tu as 18 ans, tu a donc l’âge de t’habiller comme une vraie femme, ouvre si tu veux »

Les mains tremblantes, je m’empare du paquet, enlève doucement le papier cadeau et découvre une paire de bas chair comme j’en ai toujours rêvé.

« Cela te plaît ? Tu verras c’est autre chose que des collants, tu vas te sentir femme avec. Si tu veux va dans ma chambre tu trouveras de quoi t’habiller »

Je m’y précipite et découvre sur le lit de Maman de splendides dessous blanc dont une gaine de maintien avec des jarretelles, des talons hauts et une robe bleue froufroutante. Je commence par enfiler la gaine, puis défais doucement la pochette de mes bas. Je les sors délicatement, et remonte le premier le long de mes doigts. Je le positionne délicatement sur mes orteils et l’enfile doucement sur ma jambe afin de les attacher aux jarretelles, je fais de même avec le second. Je ne peux plus attendre. Tiraillée par le désir, je me donne du plaisir et comme je viens de le faire recueille mon fluide sur mes doigts, je me dépêche de l’avaler car j’entends Maman qui arrive, je m’essuie et finis de mettre mes sous-vêtements.

Maman me trouve ainsi, m’aide ensuite à mettre ma robe qui balance sur mes jambes et crisse sur mes bas. Elle sort de son placard une paire de talons aiguilles, là aussi c’est une première fois. Puis elle me coiffe et me maquille. Nous terminons la soirée ensemble au restaurant. Je profite pleinement de ma tenue, je sens l’air sous ma robe, les bas qui se tendent à chaque mouvement. C’est effectivement bien autre chose que mes collant habituels.

Un bruit me ramena à la réalité. Julie garait la voiture, je me rhabillai et me précipita dans ses bras.

Tout de suite, elle devina le plaisir que je venais de me donner « Coquine, tu ne pouvais pas m’attendre ? » me dit-elle en m’embrassant tendrement.



Ah Maman ! Si cela avait pu être vrai ! Si tu avais pu m’accorder un tout petit peu d’attention alors que rien ne comptait en dehors de ton travail et de tes amants. Si tu avais regardé ton enfant, tu aurais vu son adoration pour toi, pour ta silhouette si belle. Tu te serais aperçu que tes dessous étaient régulièrement fouillés. Tu aurais pu alors te poser des questions, voire me les poser. Si tu avais compris plus tôt la fascination qu’avait ton fils pour ta féminité. Son envie de s’habiller à ton image.

Non, rien de tout cela ne t’avait jamais intéressé. Pire, pour mes 18 ans tu m’avais annoncé que tu partais à l’étranger pour près d’un an ou plus et que j’irais désormais vivre chez Julie, une vague petite cousine de quelqu’un d’éloigné que tu connaissais un peu, qui tenait un commerce dans la ville voisine et qui avait accepté de me prendre en charge. De toute façon, tu me tiendrais au courant de ton retour. Merci bien ! Ca c’est de l’affection !

Qui pouvait bien être cette Julie au prénom de grand-mère ? Une dame d’âge respectable ? Un bonnet de nuit acariâtre ? Je n’allais pas tarder à le savoir car elle venait me chercher en voiture demain.




J’eus tout juste le temps de faire mes valises car le dimanche suivant, la fameuse Julie devait arriver. En début d’après midi une voiture se gare devant la maison. Première surprise, la conductrice a l’air à peine plus âgée que moi. Seulement, elle a un aspect « copine », c’est à dire jeune fille dans le vent en jean et tennis, pas du tout femme comme Maman que j’ai toujours connue en jupe et chaussures à talons. Maman dont je sais qu’elle ne porte que des bas puisque j’ai fouillé à loisir sa garde-robe et enfilé de multiples fois ses doux voiles sur mes jambes.

Je gardai le silence pendant le trajet, me contentant de répondre aux questions de Julie et d’écouter ce qu’elle me disait. J’appris ainsi qu’elle n’était pas du tout une vague cousine mais la fille d'une amie de Maman qui avait autrefois un magasin de vêtements. Elle avait pris la suite en modernisant un peu l’enseigne. Elle devait me le faire visiter plus tard à notre arrivée.

Ce fut la révélation de trop. Encore une fois, Maman ne m’avait pas dit la vérité. Sans pouvoir me retenir, j’éclatai en sanglots. Julie gara la voiture et me prit dans ses bras, je continuai à pleurer sur son épaule en lui expliquant tout. A ce moment, je prix conscience du fait que Julie n’était pour rien dans cette situation, je sentais sa poitrine contre la mienne et réalisai qu’elle avait fait preuve d’une gentillesse infinie à mon égard en m’accueillant. Je réalisais que j’avais à côté de moi une jeune femme à peine plus âgée que moi, jolie comme une cœur avec ses chevaux bouclés tombant en cascade sur la nuque. Je la regardai un peu mieux, elle était presque aussi grande que moi, ce qui n’était pas pour me déplaire.

Je ne résistai pas à l’idée de lui demander pourquoi elle avait accepté de m’accueillir. Elle me répondit qu’elle connaissait un peu Maman grâce à la sienne, qu’elle était seule depuis son décès et qu’elle avait besoin de compagnie. En plus, me dit-elle, je pourrais parfois lui apporter mon aide au magasin. C’est ainsi que je ne tardai pas à succomber à son charme et développer un doux attachement vis à vis de Julie.

Arrivé chez elle, je pénétrai dans la maison par le jardin, je ne vis donc pas l’enseigne du magasin. La maison comportait deux étages, le magasin, la réserve avec un petit bureau se situait au rez de chaussée, les deux étages étaient réunis en un duplex formant comme une maison à l’intérieur de la maison. Deux chambres et une salle de bain étaient à l’étage. Julie me montra la mienne en m’indiquant que puisque nous devions vivre à deux nous partagerions la salle de bains. Après tout cela ne devait pas poser de problème puisque je faisais de même avec Maman.

Après un rapide dîner, j’allais me coucher. La visite du magasin était prévue pour le lendemain lundi, jour de fermeture.

Pour les mois à venir, je m’étais inscrit à l’université pour une formation courte sur un an dans le para-médical qui devait débuter le mois suivant. La décision de la suite à donner dépendrait de l’avenir. Après tout je ne voulais pas être une charge pour Julie, je savais simplement que Maman lui avait donné de quoi compenser une année complète chez elle. J’avais donc un mois pour apprendre à vivre avec elle et découvrir la ville de N.

Le lendemain matin, arrivé à la cuisine, je crus rêver. J’avais devant moi une beauté en jupe rouge à mi-cuisse, chemisier vieux rose assorti, collants noir et escarpins à hauts talon dans le ton des vêtements.

« Qu’y a-t-il ?
- Que tu es belle !
- Flatteur !
- Hier, je, enfin tu n’étais pas habillé comme cela ?
- Non, tout d’abord parce que je devais prendre la voiture, ensuite le dimanche je ne m’habille pas systématiquement, mais maintenant avec un beau garçon chez moi … En fait, je suis plutôt du style que tu vois aujourd’hui, ça te plaît ?

Je bredouillai comme je pus, tellement j’eus envie de lui répondre « Si tu savais comme j’aimerais être à ta place ».

« Bon, on fait le tout de la propriétaire ? Va vite t’habiller, ensuite on va faire un tour de ville »

Je sentais mon pantalon de pyjama allait se tendre dangereusement si je ne bougeais pas rapidement. Je montai vite m’habiller.

J’étais un peu plus présentable en redescendant rejoindre Julie au rez-de -chaussée devant la porte de la réserve.

Il y avait là des boites partout et au sol des affiches publicitaires cartonnées. Elles concernaient toutes des articles de lingerie, les fameuses photos Aubade, les collants et bas Philippe Matignon. Je regardai alors autour de moi, mais rien ne transparaissait des cartons, je me demandais s’il s’agissait bien d’un magasin de lingerie féminine. La confirmation vint avec bonheur lorsque Julie ouvrit la porte arrière du magasin. Il y avait là profusion de mannequins en lingerie ou de jambes présentant des bas, un rayon de vêtements de ville visiblement un peu sexy figurait sur un côté. Comme dans les magasins de luxe, de nombreux tiroirs contenaient tout ce dont je rêvais. Je tentai de rester calme alors que Julie les ouvrait tous, me demandant mon avis ; comme si ma présence à ses côtés était naturelle.

Non seulement en la regardant si attirante, je l’imaginais portant les articles qu’elle me montrait, mais en plus je m’imaginais les portant moi-même avec elle. Ma confusion était extrême, je réussi à bafouiller quelques mots « c’est joli, tes clientes en ont de la chance … » toutes ces banalités qui arrachèrent un sourire à Julie.

« Tu aimes, n’est-ce-pas ? Il va falloir que tu t’habitues tu sais. Au fond tout cela n’est rien de plus que tes slips ou tes chaussettes en coton !
- Pas, pas, pas tout à fait quand même, bégaieai-je
- Ca mon cher, c’est un point de vue de garçon.




Finalement, nous nous installâmes tous les deux dans notre vie de cohabitation, je commençai mon année d’études et Julie tenait le magasin. Sur le plan privé, je gardai mes sentiments cachés. Julie changea rapidement elle aussi. Elle fit preuve à mon égard d’une spontanéité qui me donnait l’impression parfois que je n’existais pas autrement qu’en tant que copain,. Moi, j’étais de plus en plus amoureux et je me le cachai de plus en plus.

Un dimanche, Julie était magnifique dans une jupe blanche, des collants chair avec des bottes à talons aiguille et bouts pointus qui lui galbaient ses si jolis mollets, avec en haut un cache-cœur blanc et un gilet noir. Elle me demanda de venir l’aider à ranger en bas et à refaire la vitrine.

« Toutes les semaines je refais la vitrine et parfois je rhabille les mannequins. Il faut ensuite tout remettre dans les boites et décider de ce que je vais remettre en vente. Par exemple, les bas et les collants ne sont jamais remis en vente.
- Ah bon, pourquoi ?
- Parce qu’ils ont été déformés sur les mannequins, pardi
- Bien sur. Et tu en fais quoi ?
- Je les mets dans une boite et je les garde pour les réutiliser dans d’autres vitrines ou pour mon usage personnel.

Je me mis donc à sa disposition, elle m’expliqua comment plier chaque merveille (soutien-gorge, culotte combinaison, porte-jarretelles et j’en passe), dans quelle boite les ranger. Pour les bas et les collants, je devais lui donner ceux qui étaient tendus ou posés et lui remettre les jambes sur lesquelles les autres étaient enfilés. Je ne pus m’empêcher de caresser ces douces matières, elle le remarqua aussitôt.

J’étais alors perdu dans mes souvenirs d’essayage des bas et collants de Maman, de ma vision d’elle se promenant en guêpière ou en porte-jarretelles et bas devant moi comme si j’étais transparent.




Le dimanche suivant, je me levai impatient de cette journée. Au petit déjeuner, je regardai discrètement les jolies jambes de Julie, elles étaient gainées de noir. Si j’en avais eu le courage, je lui aurais demandé si elle portait des bas ou des collants, mais j’avais trop peur de briser notre équilibre.

Nous sommes descendus assez rapidement, curieusement Julie semblait plus excitée que moi. Nous commençâmes par tout ranger, Julie s’occupait de la lingerie. Je défis tous les bas et les collants qui s’entassèrent dans leur petit sac.

Ce fut ensuite le tour de la nouvelle vitrine. Je n’en revenais pas de pouvoir discuter aussi naturellement de toutes ces pièces étalées devant nous avec une jeune femme « Que penses-tu de cette guêpière ? Et si je l’accompagnais de ce string ? Tu préfère le noir, le blanc ou une autre couleur ? » etc.

J’en profitai pour demander à Julie comment elle décidait de l’organisation de sa vitrine et pourquoi certains mannequins ou jambes étaient vêtus d’un collant d’autre de bas.

« En fait j’improvise et j’essaie de conserver une certaine harmonie entre les pièces, les motifs et les couleurs. Par exemple si j’habille un mannequin en pied, je vais assortir les parures, me dit-elle en agrafant un soutien-gorge. Les mannequins en pied ou ceux qui ont un bassin et les jambes portent un collant si je veux présenter celui-ci en entier ou si il me sert à présenter une jupe ou un jupon. Pour les jambes, cela dépend de la pièce, la plupart du temps j’essaie de mettre un collant car je vais pouvoir mettre une jambe à l’intérieur, pour bien le finir, qu’il soit bien tendu, mais parfois, faute de collant pour un motif que je veux mettre en valeur, je mets un bas »

Julie me proposa de l’aider pour la vitrine, aussi avions-nous réservé des pièces pour la fin de la vitrine. Pour la première pièce, il s’agissait d’enfiler un simple collant noir sur une jambe. Je le mis en boule dans mes doigts et déroulai délicatement le voile sur la jambe. Ensuite cela fut au tour d’un bas qui devait être attaché à un porte-jarretelles, je n’eus évidemment guère de difficulté.

« Dis donc, on dirait que tu as fais cela toute ta vie »

Et à ce moment, je fus incapable de me retenir, les larmes coulèrent à flot pendant que je serrai cette ridicule jambe en cire avec son bas tout en caressant celui-ci sans m’arrêter.

« Allons, que t’arrive-t-il ? qu’as-tu ?
- Rien, Julie, excuses-moi
- Mais si, on ne pleure pas pour rien. Pourquoi ? tu me fais fondre là

Et par pure gentillesse, elle ajouta « mon bébé ».

Ce fut à ce moment que je renonçai à toute honte, c’est ainsi que m’appelais Maman avant de me délaisser. Julie me prit dans ses bras.

« Racontes-moi tout, laisses toi aller
- C’est Maman
- Pourquoi Maman
- Elle m’a abandonné, et tout d’un coup, ce bas, cela m’a rappelé Maman, ses jambes, si jolies, toujours en bas
- Tu l’aimes, n’est-ce-pas ?
- Oh, oui !
- Cela te rappelle quoi les bas de ta maman ?
- Je ne veux pas te choquer
- Tu sais, je peux entendre beaucoup de choses. Si tu savais ce que l’on voit ou entend ici.

C’est à ce moment que je lui dis tout.

« Quand je les enfilais sur mes jambes, c’était si doux, cela remplaçait les câlins qu’elle ne me donnait plus.
- Tu aimes porter de bas, tu en a déjà porté ?
- Oui, des collants aussi
- Tu aimerais recommencer ?
- … Oui, oh oui !
- Tu veux que je t’aide ?
- Non, Julie, je n’aurais jamais du te dire tout cela, tu vas te moquer de moi, tu ne vas plus m’aimer. Moi je t’aime tellement

C’est alors qu’elle mis sa main sur ma joue pour sécher mes larmes, puis qu’elle approcha son visage du mien et posant ses lèvres sur les miennes m’embrassa comme on embrasse celui ou celle que l’on aime.

« Ne t’en fais pas, moi aussi je t’aime. Tu sais, il y a énormément d’hommes qui viennent ici acheter de la lingerie ou des bas. Je sais bien que pour beaucoup achètent pour eux. Il y en a quelques uns qui me le disent. Au début, cela me choquait vraiment, et puis j’ai appris à les connaître, à les respecter. Il y en a même un ou deux qui viennent ici en femme. Je te jure que ceux-là, on ne peux rien deviner. J’ai appris avec eux que chacun est digne, qu’ils ne sont ni malades, ni pervers. La plupart sont beaucoup plus gentils et sensibles que les femmes qui viennent ici. Si tu as envie de mettre des vêtements féminins, voire même de te transformer, je t’aiderai. Depuis que tu es ici, je me suis attaché à toi, j’ai appris à t’aimer comme un ami puis comme une femme aime un homme. J’ai deviné qu’au fond de toi, tu étais comme ces clients si gentils. Je veux tout faire pour te faire plaisir, tu sais.
- Que tu es gentille, je ne le mérite pas, je me sens si ridicule. De quoi aurais-je l’air devant toi habillé ainsi ?
- Tu auras l’air de ce que tu veux être tout simplement. Cela te rendra heureux, ou devrais-je dire heureuse ? Alors, tu veux bien ?
- Oh oui, je veux bien !
- Allez, tu sais ce que l’on va faire, on va te mettre ta lingerie ici. Là-haut, je n’ai que la mienne, elle n’est pas à ta taille, par contre j’ai une ou deux jupes ou robes qui devraient t’aller. Tu veux mettre des chaussures ?
- Oui, j’aimerais tellement, mais la taille ?
- Tu as un petit pied, et moi plutôt un grand pied pour une femme. Je chausse du 40 et toi ?
- Moi aussi
- Tu vois bien ! Par contre, si tu veux vraiment te transformer ou en tout cas apparaître féminin, il va falloir accepter une épilation. Je peux te passer une crème aujourd’hui, mais plus tard il faudra aller dans un salon pour une véritable épilation, il nous suffira de dire que c’est pour la natation.
- D’accord.
- Alors on monte à la douche et on redescend commencer ta transformation.





Je me retrouvai bientôt dans la douche enduit de crème par des doigts de fée.

« Je t’ai laissé juste ce que l’on appelle le maillot. Je ne peux pas imaginer te voir en femme s’il y a le moindre poil visible »

Les caresses involontaires qu’elle me prodigua à cette occasion provoquèrent chez une tension visible.

« Excuse-moi Julie, je …
- Tu ne … rien du tout, je ne peux pas t’en vouloir avec ce que je te fais, mais tu devras attendre, je veux t’aimer quand tu seras heureuse, quand tu sauras quelle femme tu es, quelle femme je peux aimer »

Lorsque je me douchai, les poils tapissèrent le sol de la douche. Je m’essuyai et Julie me tendit une de ses si jolis peignoirs et me proposa de descendre ainsi. Pour cela, elle me tendit de jolis chaussons à talons.

« Mais, je n’ai jamais marché ainsi !
- Tu n’as jamais mis les chaussures de ta mère ?
- Si, mais …
- Et bien, c’est pareil ! tu veux te voir femme, tu dois tout assumer ! Allez viens ma belle !

Nous nous sommes donc retrouvés dans le magasin et Julie me proposa de choisir pour moi. Elle me présenta un ensemble gris avec de la dentelle noire comprenant un soutien-gorge, un large serre-taille (« ta taille sera ainsi affinée ») et une culotte suffisamment couvrante pour y cacher ma virilité mais découvrant largement le bassin. Elle me fit enlever le peignoir et commença à m’habiller. Là encore, j’eus beaucoup de mal à résister à mon désir.

« Maintenant, tu vas retrouver tes émotions de jeune fille »

Elle sortit alors une superbe paire de bas gris du tiroir à bas et entrepris de les sortir de leur pochette.

« Pour cette première fois, je te les enfile moi-même »

Quelle délicieuse sensation que celui du bas qui se déroule sur la jambe, du toucher de ce voile si doux, de la tension ressentie au moment où l’attache du serre-taille le tire vers le haut de la cuisse.

Enfin elle me fit la surprise de me mettre des seins en silicone (« tu sais je suis obligé d’en vendre, beaucoup de femme qui ont eu de graves soucis de santé en ont besoin »). Elle termina l’habillage de la poupée, c’est ainsi qu’elle appelait notre séance, en m’enfilant une superbe combinaison de satin de même couleur que l’ensemble que je portais.

Nous remontâmes à l’appartement où elle me proposa de me maquiller. La sensation des produits sur la peau de mon visage m’électrisa, plus elle avançait plus j’avais l’impression de me sentir féminin, pas vraiment une femme, mais plus véritablement un garçon en tous cas. Elle fixa ensuite une perruque qu’elle avait remontée du magasin - il faut bien que les mannequins, même en cire, aient parfois des cheveux.

C’est alors qu’elle m’amena devant la glace. Je crus défaillir, ce n’était pas moi mais une jeune femme qui me faisait face. Elle me prit tendrement la main, je la serrai dans mes bras. Les sentiments et l’envie de l’autre nous débordèrent. Nous nous aimâmes en lingerie. Je découvris avec ravissement qu’elle était habillée presque comme moi. La sensation de nos parures les unes contre les autres, le crissement des nos bas frottant les uns sur les autres nous amenèrent à une jouissance extrême.

« Comment te remercier ma chérie ?
- En restant ainsi, je te trouve si belle
- Mais, tu n’as pas, enfin tu ne me trouves pas …
- Non, tu n’est pas ridicule. Oui, je te considère là comme une femme. Je suis tombé amoureuse d’un jeune homme fragile alors que je croyais n’aimer que les femmes, alors s’il me permet d’aimer une femme tout en étant lui-même, comment lui résister. J’aimerais que tu restes habillée ainsi dans la maison toute la journée
- Mais, je ne pourrai pas sortir ainsi !
- Qui te parle de sortir ? Aujourd’hui, je n’ai qu’une envie, de t’aimer, de profiter de toi. Il sera temps que demain tu redeviennes garçon, dont j’aimerais aussi profiter d’ailleurs.

C’est ainsi que je passai la journée en jupe noire, chemisier ivoire et escarpins noir à talons suffisamment haut pour me faire oublier le masculin en moi.

Julie m’appris à marcher, à me comporter, à m’apprêter, à me maquiller (nous fûmes bien obligés de retoucher nos maquillages au vu des ravages que produisaient sur ceux-ci nos étreintes successives).

Le lundi, je repris ma vie d’étudiant, laissant à regret Julie seule toute la journée. Lorsque je revins le soir, ma chambre était vide. Mes affaires avaient disparu.

« Je t’ai installé dans ma chambre, dans notre chambre. Tu veux bien ? »

Je serrai Julie dans mes bras. Elle me prit par la main pour me mener à notre chambre. Le lit débordait de paquets, je me tournai vers Julie.

« Il faut bien t’habiller, non ?
- Mais …
- Une jeune fille a besoin d’une vraie garde-robe, de vraie lingerie, ce qui n’est pas trop difficile à trouver pour moi et de chaussures. Comme mon copain n’a pas non plus une garde-robe fournie j’en ai profité pour lui acheter quelques vêtements, trois fois rien, juste des sweats, des pantalons et des chemises.
- Mais …
- Pas de mais. Je t’aime, je t’offre ce qui me fait plaisir en pensant à toi. Cela te plait.
- C’est magnifique, je ne sais pas comment te remercier
- En étant toi-même, en m’aimant tout simplement.
- J’ai tellement envie de mettre ces vêtements féminins
- Attendons dimanche, s’il te plait. Pour moi, c’est le jour de Carole. Tu veux bien que je t’appelle Carole ?
- C’est magnifique.
- Je préfère attendre un peu que l’on se découvre tous les deux, que l’on s’habitue l’un à l’autre puis l’une à l’autre





La semaine passa comme un rêve.

Le samedi soir, Julie ferma le magasin un peu plus tôt et m’emmena au salon d’esthétique voisin dont elle était cliente. Elle me présenta comme son ami qui avait besoin, pour des raisons sportives, d’une épilation complète plus efficace que celle pratiquée à la maison. Pendant qu’elle allait elle aussi en cabine pour des soins, je souffris le martyr mais quel plaisir ensuite d’avoir la peau enfin lisse.

Le dimanche matin, je me précipitai dans la salle de bain et Carole revint maquillée, pomponnée en peignoir et lingerie, prête à passer la journée en femme. Je dus bien évidemment refaire un peu plus tard tout mon maquillage car Julie ne put résister lorsqu’elle me vit ainsi en bas et mules à talons.

Pendant que nous prenions le petit déjeuner, elle me dis soudain :

« Carole, j’aimerais sortir avec toi aujourd’hui
- Pas de souci, je vais me changer
- Non, c’est avec Carole que j’ai envie de sortir, je te veux femme dehors avec moi
- Julie, réalise ce que tu me demandes. Jamais, je ne pourrai sortir ainsi, tout le monde va voir que je sui un homme
- Personne ne verra quoi que ce soit pour la bonne raison que moi-même j’ai l’impression que nous sommes deux filles. Quand je te vois à côté de moi, tu es si féminine. Je ne vois qu’une femme, je t’assure
- Sauf que tu n’es pas objective
- Si parce que je t’aime tellement que je ne veux pas te ridiculiser. Si tu étais soupçonnable de quoi que ce soit, je ne t’aurais jamais fait cette proposition
- Mais, ma voix …
- Tu ne parleras pas aux autres quand nous serons dehors. Tu me laisseras parler. Il sera temps que nous t’entraînions plus tard à placer ta voix. J’ai une cliente orthophoniste, je pourrais même lui demander de t’apprendre
- Ben voyons, on va clamer au monde entier ce que je suis
- Non, parce que cette cliente a été très proche de moi avant que tu n’entres dans ma vie. Elle est la seule avec toi à tout connaître ou presque de moi et nous sommes restés suffisamment amies pour que je lui fasse entièrement confiance
- Je sens que je vais être jaloux, ou plutôt jalouse
- Il ne faut pas. Nous nous sommes séparées bien avant ton arrivée. Il n’y a eu personne dans ma vie pendant longtemps avant toi.

C’est ainsi que je passai la journée dehors avec Julie. Ce fut pour moi une journée inoubliable. Je découvrais des sensations physiques nouvelles, comme celle du vent sur mes jambes.

Lorsque j’en parlai à Julie, elle me chambra gentiment.

« Tu sais, ce que tu me dis est pour moi naturel. J’ai été élevée comme une petite fille. Je ne me suis jamais posée la question des sensations que je pouvais ressentir avec mes vêtements. Il n’y a que lorsque nous faisons l’amour que je ressens autre chose »

Cette conversation m’avait tellement excité que je ne pus même pas attendre d’être dans l’appartement pour lui faire l’amour, nous nous sommes aimés debout dans l’escalier en retroussant nos jupes.





Les mois passèrent. Je pris bientôt l’habitude de vivre tous les week-end ainsi et je m’enhardis suffisamment pour sortir seule le samedi.

Aux vacances de Pâques, je décidai d’aller plus en avant dans mon cheminement. Avec l’accord de Julie, je passai tous les jours en femme.

C’est ainsi qu’un soir, elle me demanda de venir l’aider quelques minutes avant la fermeture.

« Je remonte deux minutes à la maison et je reviens. Si quelqu’un rentre, tu lui dis que j’arrive
- Mais …
- Ne t’en fais pas, depuis le temps que tu vis ainsi
- Mais les clientes ! Et si un homme rentre ?
- J’en ai pour deux minutes. En attendant, tu peux m’aider en commençant à ranger ce qui traîne

Occupé à remettre en ordre des articles dans les rayonnages, j’avais le dos tourné quand la sonnette du magasin retentit à l’ouverture de la porte. Je me retournai pour annoncer que Julie allait revenir quand je vis la personne qui rentrais. J’en fus si surpris que je lâchai ce que je tenais en poussant un cri. Maman était devant moi, telle qu’en elle-même, toujours resplendissante de beauté.

« Ma petite fille, tu es si belle ! Je suis si heureuse de ce que tu es devenue »

Je fondis en larmes et elle aussi. Je me précipitai dans ses bras, elle me couvrit de baisers et de câlins.

« Mon bébé, ma petite fille, tu m’as tant manquée »

C’est ce moment que Julie choisit pour revenir.

« Merci Julie de ce que vos avez fait pour ma fille. Il faut que je vous embrasse »

Julie avait l’air sincèrement surprise.

« J’ai tant d’explications à vous donner à toutes les deux. Je n’ai pas été gentille avec toi mon bébé et toi Julie, je n’ai pas été assez honnête avec toi. Pardonnez-moi, je vous en prie. Je serais si contente que vous soyez heureuse ensemble »

Julie aussi se mit à pleurer. Nous montâmes toutes les trois à l’appartement et Maman nous raconta tout.





« Il y a longtemps que j’ai compris tes envies, ma petite fille. Je n’étais pas dupe des lingeries déplacées dans mes tiroirs, du rouge à lèvres qui s’usait plus vite que l’utilisation que j’en faisais. J’avais bien compris que lorsque je n’étais pas là, tu portais mes bas. Cependant je ne savais pas si c’était normal, comme pour tout garçon qui découvre la féminité et la sexualité à travers sa maman, d’autant qu’il a été élevé seul par elle, ou s’il s’agissait de quelque chose de plus profond, si tu allais évolué vers une féminité reconnue.

J’aurais du te parler, je n’ai pas pu. Je ne savais pas moi-même si je devais refuser ce que tu faisais et te le dire ou essayer de t’aider, voire de t’accompagner vers une nouvelle vie. Bref, tant qu’il en était temps, tant que je pouvais t’expliquer quelle évolution pourrait être la tienne. Je ne l’ai pas fait, pire j’ai nié ce que je soupçonnais.

En plus, si j’avais au fond de moi peur de te décourager, de te faire du mal, tu sais il est difficile pour une maman de voir son garçon se transformer en fille, j’ai continué à agir comme avant, comme une mère pourrait le faire avec sa fille. J’ai continué à me promener en lingerie devant toi, j’ai continué à t’emmener avec toi quand j’achetais mes vêtements, à te demander ton avis sur mes tenues. Au fond, j’espérais que les aroles viennent de toi, que tu me demandes de t’aider.

C’est ainsi que tu es arrivé à un âge d’homme alors que je continuais à t’associer à ma vie comme si tu étais ma fille sans même m’en rendre compte. Pour moi, tu étais mon fils.

Et puis, un jour, tu venais d’avoir 17 ans, j’ai appris que j’étais malade, très malade …

- Malade ? Mais quoi, Maman ? Que se passe-t-il ? Pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
- Parce que là aussi je me suis trompée. Pour ne pas te faire de mal, je t’ai fait croire à des voyages, des déplacements, des rendez-vous alors que j’allais me faire soigner. Cela jusqu’au jour où il a fallu que l’on m’hospitalise.
- Tu es allée à l’hôpital ?
- Oui. C’est pour cela que je dois te demander pardon à toi aussi Julie. Je connais Julie depuis longtemps tu sais. J’étais déjà cliente de sa mère, puis quand elle a repris le magasin je suis naturellement resté cliente. Je l’avais souvent vue ici quand elle venait donner un coup de main puis quand elle a travaillée avec sa maman avant que celle-ci ne lui cède le magasin. Julie connaît mon amour des belles lingeries et je l’ai toujours beaucoup aimée.

« A cette époque, sans penser du tout à ton goût pour la lingerie féminine, je lui ai simplement demandé si elle connaissait quelqu’un susceptible de m’aider et de t’accueillir. A elle aussi j’ai parlé de déplacements. Comme tu l’as appris, Julie a le cœur sur la main, elle m’a tout de suite proposée de te prendre ici avec elle.

Secrètement, je me suis réjoui, j’espérais vous voir tomber amoureux l’un de l’autre. Je vois que je ne me suis pas trompée. Je lui ai simplement fait promettre de ne pas te dire que j’étais cliente du magasin. C’est alors que j’ai réalisé, mais il était peut-être trop tard, que tu allais vivre au milieu des dentelles dont je pressentais que tu les appréciais toujours autant. Ce n’est qu’à ce moment là que j’ai réalisé que mon garçon deviendrait peut-être ma fille au cours de ce séjour.

Tu sais, j’ai eu le temps de réfléchir pendant tous ces longs mois. J’ai compris que je devais te laisser vivre ta vie.

En arrivant ici, je n’avais pas prévenu Julie de mon arrivée, j’étais angoissée à l’idée que peut-être je verrais ma fille. Je ne savais même pas si tu étais encore ici. La seule chose que j’espérais en fait, c’était que vous vous soyez rencontrés. Et puis, je t’ai vu, là mon cœur a basculé.

Ma petite fille, Julie, si vous saviez comme je suis heureuse de vous voir ici, ensemble. Vous êtes belles toutes les deux. Je suis si contente. »

Je me mis à pleurer sur mes erreurs, sur ma méchanceté à l’égard de Maman.

« Oh Maman, si tu savais, je n’ai rien compris, que j’ai du être méchant avec toi quand je t’ai imaginé sans amour, si loin de moi.
- Non ma chérie, c’est de ma faute, entièrement. J’aurais du tout te dire sur ma santé, j’aurais du te parler sur ton devenir, tes envies de féminité.
- Tu vas mieux ? Tu es guérie, n’est-ce-pas ?
- Non
- Ce n’est pas possible, tu es toujours aussi belle !
- Cela ne va pas durer, ou plutôt, je ne sais pas comment je vais évoluer, ce que je sais c’est que je suis rongée de l’intérieur et que les médecins ne peuvent plus rien. C’est pour cela que je suis revenue me faire pardonner de toi.
- Mais, enfin, ce n’est pas possible !
- Si mon bébé, je n’en ai plus que pour quelques mois. J’aimerais que tu me pardonnes pour tout.

Je me blottis dans ses bras.

« Tu n’as pas à te faire pardonner, je t’aime tellement »

Julie intervint alors.

« Vous allez venir vivre ici, nous allons nous occuper de vous »

Maman ne put alors retenir ses larmes.





Post Scriptum

Maman nous a quitté quelques mois plus tard.

Aujourd’hui, le temps a passé et moi, Carole, je vais bientôt partir aussi sur la pointe des pieds.

Je garde deux souvenirs forts de cette période. Le premier pour le jour de mes 20 ans. Maman est venue vers moi avec un petit paquet plat à la main.

« Je n’étais pas là pour tes 18 ans, toi non plus, du moins pas comme Carole. Aussi je n’ai pas pu respecter la tradition familiale pour les 18 ans des filles. Je n’aurais pas pu le faire pour mon garçon, mais je suis heureuse de le faire pour ma fille. Alors, avec un peu de retard, je le fais aujourd’hui »

Elle me donna son paquet en me disant :

« Tu as 20 ans, tu as donc l’âge de t’habiller comme une vraie femme, ouvres si tu veux »

Les mains tremblantes, je m’empare du paquet, enlève doucement le papier cadeau et découvre une paire de bas noir à couture. Tout se réalise comme je l’avais toujours rêvé.

« Cela te plaît ? Ce n’est pas une découverte pour toi, mais saches que le jour où ma mère m’a offert mes premiers vrais bas à 18 ans fut un des plus beaux jours de ma vie »

Le deuxième souvenir date de la veille de son départ, elle était très fatiguée et passait ses journées allongée. Elle nous demanda à toutes les deux d’approcher de son lit.

« Je vais vous quitter. Je n’aurai qu’un regret, c’est de ne pas avoir vécu assez longtemps pour voir mon rêve se réaliser pleinement. Profitez longtemps l’une de l’autre, vivez votre amour. Je vais partir heureuse de cela. Vous êtes jeunes, profitez-en. Mon seul chagrin, ce sera de ne pas avoir été grand-mère »

Elle partit, sans douleur, le lendemain en nous tenant la main

Nous avons vécu heureuses toutes ces années, mais maintenant je dois m’effacer. Aujourd’hui est le dernier jour de Carole dans cette maison. Je vais aller me démaquiller, ôter ma robe, défaire mon soutien-gorge et mon porte-jarretelles. Surtout, je vais devoir quitter ces bas à couture que Maman m’a offert et qui tant d’années après sont toujours en si bel état, je ne sentirai plus cette douce caresse sur mes jambes, cette sensation si agréable de marcher sur des talons.

Pourquoi ? Non, je ne quitte pas ma Julie, bien au contraire, je cours la rejoindre. Je vais la chercher avec Sophie, notre bébé, à la maternité. Une nouvelle page de notre histoire s’ouvre !

Un jour peut-être, Carole reviendra au grand jour. Mais elle ne nous quittera pas totalement, c’est tellement agréable de faire l’amour en portant tous les deux des bas et des talons hauts !


Responsable du site : Lucie Sobek


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