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« », une petite histoire imaginée par chantal

1 Jeune étudiant de première année 13 chantal tvq@femmes.net 27-10-2004, 15:49 Chapitre 13

Le soir même, je regardais sur internet et finis par trouver deux instituts spécialisés. L'institut anglais était tenu par une femme superbe, une vraie femme, les modèles photographiés étaient pour certains incroyables ! Situé à Londres, il proposait toute une gamme de prestations allant de la transformation temporaire avec photos, jusqu'à l'accompagnement (" Escort ") pour le shopping ou les soirées, et bien sur toute une gamme de vêtements, lingerie et chaussures. L'institut américain était tenu par deux " femmes " incroyablement séduisantes il était situé à Austin. Par contre, elles ne fournissaient pas l'escorte.
Cela me fit réfléchir, peut-être en parlerai-je à Sophie.

Le lendemain marquait le retour de Catherine, j'allai bientôt la remplacer en vacances auprès de Sophie. Je lui fis part de ce qui s'était passé au magasin, n'abordant pas avec elle ma conversation avec Valérie, si ce n'est pour lui dire que j'avais fait sa connaissance et qu'elle se proposait de nous indiquer comme magasin de référence autour d'elle. Catherine m'en remercia. " Après tout, dit-elle, elles ont elles aussi le droit de s'habiller sans complexe, tant que cela reste correct, ce sont des clientes comme les autres. Il en vient fréquemment tu sais. "

En rentrant à la maison, je me dis que j'allai enfin retrouver mes vêtements d'homme. Et puis, je mis pour dormir une légère nuisette et lorsque je m'habillai après le départ de Catherine, je mis, sans même y penser, une jolie robe à fleurs. Valérie avait donc raison, c'était devenu naturel !
C'est ainsi que je débarquai du train après un voyage paisible. Je n'en revenais toujours pas de ne pas attirer l'attention autour de moi, mais je restais mauvais juge puisque je ne voyais que mes défauts.
Sophie m'attendait.
- Tu vois, ma chérie, je savais que tu serais femme à ton arrivée.
- Je ne me suis même pas rendu compte en me préparant que je me maquillais alors que j'aurais justement pu ne pas le faire.
- Nous reparlerons de tout cela ma belle ! C'est incroyable de te voir ainsi, je te jure, tu es une femme ! Elle me prit la main, direction la voiture puis la maison. Inutile de vous dire, qu'à peine arrivées, nous nous sommes rattrapés du temps perdu, nous n'avons même pas attendu d'être à l'intérieur pour nous sauter dessus. Pendant ces deux semaines, je continuai à être une femme comblée. Je pensais cependant à l'avenir et abordai le sujet avec Sophie.
- Tu avais raison, je l'avoue, je ne peux plus revenir en arrière. Je ne veux pas être opérée et perdre ma virilité, j'aime trop faire l'amour avec toi ! Mais, je ne veux plus continuer à me raser, et me maquiller comme cela tous les matins, j'en ai plus qu'assez des séances d'épilation, je ne veux plus de cela.
- Tu sais ce que cela veut dire, tu es prêt à assumer les conséquences, une poitrine alors que tu resteras un homme.
- Oui, c'est ce que je veux, je veux pouvoir sentir tes seins contre les miens quand je te pénètre !
- Attention, c'est très dur à vivre, regarde ce qui arrive à de nombreux transsexuels.
- Mais ce n'est pas cela que je veux, je veux pouvoir emplir un soutien-gorge, oui ! Mais pas un 95 E. Je veux juste un peu de poitrine qui puisse ne pas se deviner sous un vêtement d'homme ! Je ne veux plus de poils disgracieux, je ne veux plus de barbe tous les matins, je veux adoucir les traits de mon visage, je ne veux plus porter de perruques mais avoir une chevelure naturelle. Tu sais j'ai beaucoup réfléchi, et je sais ce que je veux, je suis prête.
- Cela ne me dérange pas, bien au contraire, tu sais comme j'apprécie un corps de femme, particulièrement de sentir sous mes mains ou dans ma bouche un joli sein. Mais il faut contrôler tout cela avec un médecin, je refuse d'avoir un monstre de foire (excuses-moi !) dans mon lit, Je veux continuer à aimer Laurent, à te sentir en moi, je veux que tu " fonctionnes " normalement. Je n'accepterai pas de te voir transformer avec des seins gigantesques, pourquoi pas marquer un peu ta poitrine mais jamais plus.
- Moi aussi, c'est ce que je veux !
- Bon, ma belle, nous irons voir mon gynéco à la rentrée.
- Sophie, il y a un autre sujet dont je veux te parler. Il s'agit d'une évolution pour le magasin.
- Eh bien dis-donc, ces deux mois ont été profitables ! Non, c'est vrai, blague à part, j'aimerais bien te voir continuer à nous aider. Tu sais, Laurent, c'est bien à mon homme que je parle, je t'aime plus que tout, tu m'as apportée un bonheur que je croyais inaccessible. Je ne peux plus me passer de ta présence, mon amour. De quoi veux-tu me parler ?
- Voilà, il y a quelques jours j'ai fait la connaissance d'une femme comme moi qui s'appelle Valérie. Elle est venue en tant que cliente, et si elle ne m'avait identifié tout de suite, je ne me serais jamais douté de quelle type de femme elle était.
Nous avons sympathisé et elle m'a parlé de la difficulté de beaucoup de personnes qui n'osent pas franchir le pas que nous avons franchi, ou en tout cas qui n'ont pas la chance d'avoir un physique qui peut permettre une transformation réussie.

Elle m'a suggéré d'aller sur internet visiter des sites d'instituts anglais et américains. Je me suis rappelé que Monique m'avait parlé du même sujet avant que je commence au magasin. J'ai été ahuri de ce que j'ai vu. En Angleterre, il y a plusieurs instituts avec pignon sur rue qui proposent des séances de transformation complète allant même jusqu'à proposer une " escort " pour du shopping ou des sorties avec des mannequins eux-mêmes " femmes ". Ils vendent des vêtements, de la lingerie, ont un studio photo. Tu peux y aller pour une simple séance ou pour ensuite sortir après ta transformation. Tout cela est payant et semble rapporter beaucoup d'argent.
Je me demandais si nous ne pouvions pas faire la même chose. Je suis sure que par Valérie et Monique, le bouche à oreille se fera vite autour de nous. J'aimerais bien que nous allions en Angleterre visiter Edwina DeSledge, leur demander des conseils.

Il en fut fait ainsi. Quelques semaines plus tard, habillé en homme pour prendre l'avion, je partis à Londres avec Sophie. Arrivés à l'hôtel, je repris mon aspect maintenant habituel en tant que Laurence et nous nous rendîmes chez Edwina. C'était une véritable caverne d'Ali-Baba. Dès l'entrée, des dizaines de portraits de jeune femmes allant du glamour au sexy en passant par quelques-unes malheureusement pour elles trop masculines, nous accueillait. Il y avait deux parties distinctes, l'institut proprement avec un salon d'accueil et le magasin. N'ayant pas franchement besoin des services immédiats du premier, mous pénétrâmes dans le second accueilli par une charmante jeune femme qui se révéla ne pas ne être une. Ni l'une, ni l'autre ne nous en étions douté, alors que de son côté son œil professionnel m'avait identifié, avec cependant un regard et un compliment bien appuyé.
Nous fîmes un tour. Il y avait là des centaines d'articles, que ce soit des vêtements et de la lingerie, mais aussi des produits de beauté et toute sortes d'accessoires de féminisation allant des seins aux coussinet pour élargir les hanches et aux articles érotiques divers.

Finalement, nous nous présentâmes à notre vendeuse en lui indiquant l'objet de notre venue, et le souhait que nous avions de rencontrer Edwina. Celle-ci se présenta quelques minutes plus tard, disponible, souriante. Elle nous fit visiter son établissement. Il y avait plusieurs cabines de préparation, deux studios photos, deux salons où des femmes de tout gabarit profitaient de leur moment de plaisir. Il n'y avait là aucune vulgarité, et rien d'ambiguë.

Puis elle nous reçut dans son bureau et nous pûmes lui présenter notre projet. Nous voulions donc créer chez nous un institut du même type que le sien en commençant petit et en s'appuyant sur notre expérience dans la lingerie. Notre idée était de s'appuyer sur un magasin de lingerie classique en lui adossant un institut spécialisé. Le magasin de lingerie serait tenu par Sophie, en association comme toujours avec Catherine, et l'institut par Valérie, avec qui Sophie avait également sympathisé. Quant à moi, j'assurerai la gestion au quotidien et superviserai le tout.
Notre idée suscita l'intérêt de Edwina et un point d'accord fut très vite trouvé.


Responsable du site : Lucie Sobek


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