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« », une petite histoire imaginée par chantal

1 Jeune étudiant de première année 10 chantal tvq@femmes.net 27-10-2004, 15:46 Chapitre 10
La journée se termina par les achats de lingerie.

Il était près de 7 heures lorsque nous arrivâmes devant le magasin où nous avions fait nos achats une éternité plus tôt, soit deux jours. Je le fis remarquer à Sophie en lui disant que nous n'allions quand même pas obliger la vendeuse à rester alors que, parti comme nous l'étions, nous pourrions en avoir pour longtemps. Elle me dit de ne pas m'en faire. A peine nous étions rentrés dans la boutique que la vendeuse alla fermer la porte et tirer le rideau. Elle vint vers nous, prit Sophie dans les bras et lui déposa un tendre baiser sur les lèvres, puis lâchant son amie se retourna vers moi.
- Alors voilà donc cette jolie Laurence, à mon que tu préfères que je t'appelle Laurent ?
- Bonjour, je ne sais pas. Laurent ne va pas avoir mon apparence, mais correspond quand à ce que je suis dans ma tête.
- Allez, ce sera Laurent, tu sembles le préférer, mais parfois je m'autoriserai de tendres exceptions, puis se tournant vers Sophie, alors ma belle, tu nous as trouvé l'homme de ta vie ?
- Pourquoi pas, c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de différence d'âge entre nous.
En disant cela, elle rougit légèrement. Très ému, je devais être cramoisi, je réalisai que de mon côté je m'étais laissé emporté par un amour sincère et véritable pour elle.
- Laurent, je te présente l'amie dont je t'ai parlé, Catherine.
Catherine était un grande femme blonde, de l'âge de Sophie, très élégante vu son métier.
- Je dois t'avouer autre chose, je ne te l'avais pas dit jusqu'à présent car je ne savais pas comment cela évoluerait et surtout je n'avais pas encore découvert ce qui m'attachait à toi. Et puis, je n'avais pas nécessairement besoin de raconter ma vie à mon locataire.
Je rougis de plus belle, incapable de bouger, je n'allais quand même pas la prendre dans mes bras, l'embrasser d'amour devant Catherine dont j'avais compris qu'elle était son amante. Celle-ci souriait de plus belle. Je ne pus que murmurer. - Oh ! Sophie, ma douce, ma chérie !
Catherine prit la parole.
- Ne t'en fait pas, tu as compris le lien entre nous, mais tu sais j'adore les hommes !
J'étais au septième ciel, deux superbes femmes ensemble et pour moi ! Sophie continua.
- Quand mon mari mourut, il n'avait plus de famille. Il avait hérité de ses parents notre appartement et cet immeuble dans lequel nous sommes qui me procurent mes revenus et qui est géré par un administrateur.

Le magasin nous appartenait, mais j'y venais rarement sauf pour m'habiller bien sur. Catherine y travaillait pour nous, je ne la connaissais que de loin. Dès le décès, elle se révéla d'un grand soutien, c'est vrai que je n'avais guère de famille et que j'étais bien seule.

Comme elle s'occupait parfaitement du magasin, je décidai d'en faire la gérante. De fil en aiguille, nos rencontres devinrent plus fréquentes, elle me tenait au courant de l'affaire et nous devînmes presque naturellement plus intimes. Nous nous sommes attachées l'une à l'autre au point de presque en oublier l'existence des hommes.

Puis, le hasard t'a amené à moi.

Jusqu'à présent, je n'avais jamais eu que des étudiantes pour me tenir une maigre compagnie. La plupart de ces idiotes n'en avait que pour leur petit physique et leurs mecs immatures, ils étaient tous incapables de parler de quoi que ce soit. Je m'enfonçai dans cette demi solitude et puis à cause de Catherine, je refusais les garçons. Et puis, quand tu t'es présenté, je dois t'avouer que je n'ai pas pu ne pas te proposer la chambre. Tu avais les mêmes goûts que moi, je me suis attachée à toi, refusant de te le faire comprendre, ce qui me rendait malheureuse. J'en ai parlé à Catherine, et puis voilà.
- Tout cela c'est bien gentil et tendre à souhait, mes chéries, intervint Catherine, mais on ne va tout de même pas laisser cette petite sans rien à se mettre. Nous aurons bien le temps de profiter des uns et des autres tout à l'heure.

L'autre jour nous t'avons offert deux parures mais cela ne suffira pas longtemps à une jeune fille ou un jeune homme qui aime les beautés féminines. Il va te falloir, plusieurs paires de bas et de collants, cela file vite ces petites choses, et d'autres lingeries qui vont faire de toi une femme accomplie.

Ce fut un tourbillon de lingeries les plus belles et les plus féminines possibles, d'essayages merveilleux orchestrés par ces deux beautés. Au bout de quelques temps, je me retrouvai en guêpière, avec des bas noirs et mes souliers, et un slip en dentelles. Ce dernier était tendu par mon excitation que je ne pouvais plus cacher. Je dois avouer que cela ne me gênait guère et que j'espérais que ces dames en profiteraient. Je ne fus pas déçu.
- Oh le coquin, s'exclama Catherine, j'avais presque oublié que cela existait !

Elle éclatèrent de rire, puis Catherine s'approcha de moi et commença à m'embrasser. Sophie se mit de la partie. S'approchant de son amie, elle commença à la caresser, déposant des bisous dans son cou, défaisant son chemisier et remontant doucement sa main sur ses jambes, me révélant que Catherine portait aussi des bas. Elle lui enleva sa jupe, la faisant glisser sur ses jambes. Nous étions toutes deux en sous-vêtements, seule Sophie était encore habillée.

Catherine s'agenouilla à mes pieds, me prenant dans sa bouche. Sophie, qui s'étant dévêtue arborait la même tenue que nous, vint s'allonger devant elle, lui entreprenant l'entrejambe. Ce fut un moment merveilleux, Sophie butinait Catherine qui criait de plaisir. De mon côté, je m'étais libéré de sa bouche pour pénétrer Sophie. Ce fut notre premier plaisir à trois. Ce ne fut pas le dernier.
Nous avons passé la soirée et la nuit ensemble. Le lendemain, je repris ma vie d'étudiant, Catherine reprit sa vie de gérante et Sophie continua à profiter de nous.

Rapidement, nous établîmes une règle de vie. Il m'était impossible de me transformer pour quelques heures, je réservai donc ces moments aux week-ends ou aux journées sans cours. Bien entendu, je limitai mes séjours à l'extérieur allant de plus en plus rarement chez mes amis le week-end.
Le soir, chez nous, je revêtais mes jolis dessous selon mon envie. Il était très rare que Sophie me le demande. Nous étions de plus en plus attachés l'un à l'autre. Je ne vis pas passer le temps et me retrouvai à la fin de l'année universitaire sans m'en rendre compte.

Compte tenu des relations que j'entretenais avec mes parents, je n'avais pas envie de repartir chez moi et m'éloigner de Sophie. Je m'en ouvris à elle, après tout notre vie était devenue une vrai vie de couple et ni l'un ni l'autre n'envisagions notre avenir sans l'autre. Et puis Catherine était là, toujours aussi indispensable. Il était impossible de ne pas l'avoir à nos côtés, il n'y avait aucun nuage entre nous trois. Je suis persuadé que c'est l'existence de Laurence qui régulait tout cela. Un trio " standard " aurait explosé depuis longtemps par jalousie.
Finalement, Sophie me fit une proposition incroyable qui détermina notre existence jusqu'à maintenant.


Responsable du site : Lucie Sobek


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