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« », une petite histoire imaginée par chantal

1 Jeune étudiant de première année 6 chantal tvq@femmes.net 27-10-2004, 15:43 Chapitre 6
De retour à la maison, Sophie me proposa de franchir un premier pas.
- Je ne veux pas tout t'imposer tout de suite, il faut y aller doucement, je te propose de t'aider à revêtir ce que je t'ai acheté, je te prêterai un peignoir un peu plus féminin pour mettre avec et si possible, en admettant que la taille soit bonne, des chaussures de femme. Tout d'abord, nous allons préparer ce corps et le débarrasser de quelques attributs trop masculins pour porter élégamment ta lingerie. Nous allons utiliser une crème épilatoire pour enlever le superflu. Si cela te va, nous envisagerons ensuite une épilation plus efficace en allant chez mon esthéticienne. Déshabille-toi, je vais t'aider.

Me voilà dans la douche, avec Sophie qui répand doucement la crème sur tout mon corps, ne faisant même pas attention aux réactions qu'elle déclenche en moi. Après une bonne douche, le résultat n'est certes pas aussi réussi que si cela avait été fait en salon, mais enfin, pour un œil non exercé, je parais ne plus avoir de poils. Elle me tend alors mon peignoir en éponge.
- Maintenant, je vais commencer à t'habiller. Mets une culotte neuve, celle que tu veux, la noire ou la bleue, je t'aide pour le reste.
J'opte pour la noire. Sophie commence par me mettre le soutien-gorge en le bourrant avec du coton.
- Si tu en as envie, je t'offrirai des prothèses en silicone, cela te permettra de découvrir ce que ressent une femme lorsque ses seins tendent les bretelles sur ses épaules.
En suite elle attache le porte-jarretelles.
- Attention, tu dois toujours passer les jarretelles sous la culotte, pour pouvoir ensuite enlever celle-ci sans devoir enlever les bas. Je te laisse faire.
Je m'exécute, j'avoue qu'en me regardant alors dans la glace je me trouvais bien ridicule avec ces quatre jarretelles qui pendaient sur mes hanches, et pourtant je ressentais une émotion intense.
- Maintenant Laurence, j'aimerais t'appeler ainsi, es-tu d'accord ?
- Oui.
- Alors j'ai une question à te poser. Il paraît que beaucoup de petits garçons ont porté au moins une fois dans leur vie une paire de bas de leur maman. Est-ce ton cas ?
- Non, jamais.
- Et pourtant tu me laisses faire ?
- Oui, je n'arrive d'ailleurs pas à comprendre pourquoi, je me sens bien et voilà.
- Je vais donc t'apprendre à mettre des bas. Cette opération est fascinante pour les hommes qui nous regarde faire, je crois que tu l'as d'ailleurs éprouvé.
- C'est sans doute cela qui provoque mon état d'esprit. Lorsque je vous ai aperçu mettre et attacher vos bas, j'ai été fasciné au point de me demander s'il s'agissait pour vous d'une geste ordinaire ou s'il avait une autre signification.
- Bien sur, il s'agit d'un geste ordinaire. Tu apprendras que lorsque l'on porte des bas tous les jours, les attacher revient au même titre que de fermer une boutonnière. Ce qui, pour moi, n'a jamais été ordinaire, c'est le bas en tant que tel. Ce petit bout de nylon, lorsqu'il colle à la peau, provoque toujours, même à mon âge, des sensations parfois fulgurantes.

Je trouvai ce dialogue un peu surréaliste, j'avais l'impression que Sophie me parlait comme à une fille, et qu'elle oubliait ce que pouvait provoquer tout cela chez un homme. En même temps, il n'y avait aucune ambiguïté, pas d'envie de l'autre, nous étions comme deux amies, je me sentais un peu comme l'adolescente à qui sa copine un peu plus âgée apprend les secrets de la féminité.
- Je vais d'abord te montrer moi-même comment on enfile un bas, ensuite je t'en mettrai un et tu te chargeras de l'autre.
Sous mes yeux, Sophie enlève une de ses chaussures, remonte sa jupe et détache son bas pour l'enlever complètement, je suis fasciné, elle a des jambes superbes et c'est vrai qu'elles sont sublimées par cette fine gaine de nylon.
- Tout d'abord, tu dois le tenir par en haut avec tes deux mains, une de chaque coté, le pouce à l'intérieur. Ensuite, doucement afin de ne pas l'abîmer, tu utilises les autres doigts pour le faire remonter par glissements successifs jusqu'au bout du pied. Tu dois avoir dans les mains un petit paquet tout fin ouvert sur le dessus et les pouces calés à la pointe du bas de chaque côté. Ensuite, le reste de l'opération se passe soit debout en posant le pied sur une chaise ou sur le lit ou alors assise en se penchant vers ton pied.

Tu introduis ton pied dans ce petit espace et tu lâches doucement le tissu pour recouvrir entièrement le pied et bien bloquer le renfort du talon. Maintenant, il ne reste plus qu'à le dérouler sans l'abîmer. Tu sais un bas c'est très fragile, c'est pourquoi tu dois, tout en laissant le nylon recouvrir ta jambe, faire de légers mouvements avant-arrière comme cela pour que le tissu moule colle mieux à la peau. Mais je suis certaine que tu mets tes chaussettes de cette façon, non ?
- Rarement, en fait, c'est pour cela que je les abîme si rapidement en tirant dessus trop fort.
Et je la vois, fasciné à l'idée que dans quelques minutes c'est moi qui le ferai, faire ce geste si féminin qui consiste à dérouler le bas jusqu'en haut de la cuisse.
- Le plus difficile, la première fois en tout cas, reste à faire, il te faut l'attacher pour ne pas qu'il tombe ou qu'il tourne. Tu déroule le bas jusqu'en haut, jusqu'au bout du revers une peu plus foncé car le tissu est doublé pour ne pas être abîmé avec la jarretelle. Pour attacher la première jarretelle, celle de devant, tu dois absolument respecter le sens du bas, ce geste que tu trouves si féminin te permet en réalité de l'empêcher de le tourner en le déroulant. Les mailles sont donc bien alignés sur la jambe. Tu vas donc attacher le bas exactement dans cet alignement, la jarretelle bien au milieu de la cuisse. Là, tu as gagné, l'essentiel est fait. Ensuite, tu vas te mettre debout, par la suite, avec l'habitude, tu pourras rester assise, et tu vas attacher la deuxième jarretelle bien sur la côté des hanches. Elle ne doit pas être trop près de la première, sinon le bas va mal tenir. Il faut que debout les jarretelles soient bien verticales, comme lorsqu'elles le sont avant de mettre tes bas.

Et devant moi, je la vois saisir l'attache dans une main, positionner le bout caoutchouc sous le bas et l'introduire ainsi dans la parie métallique, elle recouvre le tout du ruban de tissu destiné à le cacher. Puis elle se lève, et se penchant sur le côté recommence la même opération avec la deuxième jarretelle. Je comprends alors ce qu'elle a voulu me dire car j'ai l'impression qu'il est plus difficile de respecter le sens vertical du bas et de la jambe sur cette deuxième partie.
- A toi maintenant ma petite ! Assieds-toi en face de moi, allonges ta jambe et mets ton pied ici à côté de moi. Alors Sophie me tend ma première pochette de bas. Je défais le rabat, les sors. Ils sont beaux, fins et noirs, délicatement je soulève le tissu, défait le carton. Elle prend un des bas et reprend son geste, l'enroule, et oui c'est incroyable mais dans quelques secondes je porterai un bas de femme, le pose sur mes orteils et reprend son geste pour le dérouler sur ma jambe.

Et là je ressens comme une immense chaleur, un picotement doux et intense à la fois qui provoque en moi sans faire aucun geste une jouissance extrême. Sans n'avoir fait aucun geste, je jouis violemment, en me répandant sur mon ventre. Heureusement, je ne tâche pas ma culotte. Un peu honteux je regarde Sophie qui me sourit et ne bouge pas. - Ce n'est pas grave, cela doit même être normal. J'espère que tu ne vas pas refaire cela à chaque fois parce que je ne suis pas sure d'oublier alors mon état de femme.
Je ne bouge toujours pas quand Sophie se rapproche de moi avec un gant de toilette pour effacer toute trace de ce qui vient de se produire.
- Oh ! Chérie, comme tu m'as émue, allons, essayons de ne plus y penser, et nous allons continuer.
Elle attache donc le bas puis me temps le deuxième pour que je l'enfile moi-même.

Lorsque j'ai fini et à peu près réussi mon ouvrage, Sophie me fait lever et marcher dans la pièce. Je comprends alors ce qu'elle a voulu me dire tout à l'heure. A chaque pas, j'ai l'impression que mes bas vont tomber tellement je sens la double tension du bas, vers le sol, et de la jarretelle, sur mes hanches, cela provoque un frottement continu du nylon sur la peau et une douce chaleur m'envahit à nouveau.
- Sophie, comment ai-je pu vivre si longtemps sans connaître ce bien-être que procure la lingerie féminine. Et puis, comment se fait-il que moi un homme, qui en plus ne suis attiré que par les femmes, puisse ressentir tout cela, que vais-je devenir maintenant ? J'en tellement envie de mieux connaître la féminité, d'aller au-delà.
- Oh ! si tu savais comme cela me fait plaisir de t'entendre, j'ai tellement rêvé de ce jour. Pour moi, là maintenant, je ne peux plus voir en toi le jeune étudiant timide mais presque une jeune fille en devenir. Tu as vraiment envie d'apprendre à être femme ?
- Oui, mais je veux pouvoir garder mon être masculin, je veux pouvoir profiter encore des femmes même si pour nous je deviens Laurence.
- Je vais t'apprendre tous mes secrets, et surtout, si tu le veux, je vais te constituer une garde robe complète mais pour cela, il va falloir accepter d'apparaître en public dans les magasins où nous irons. Si tu le veux, tu seras alors pour mes visiteurs ma jeune cousine que je loge.
- Oh ! Sophie !Sophie, et je ne pus m'empêcher de me blottir dans ses bras.


Responsable du site : Lucie Sobek


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