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« », une petite histoire imaginée par anne-sophie

Sophie 1 anne-sophie 14-03-2009, 4:20 SOPHIE, chapitre I

J'avais 12 ans lorsque mes parents divorcèrent. Fils unique, j'étais alors un garçon timide n'ayant aucun ami, tant j'étais effrayé par les autres.
Suite au divorce, ma mère et moi déménageâmes dans une autre ville là où ma mère avait trouvé un emploi. Je changeais donc de collège en cour d'année scolaire et me retrouvais de fait au sein d'un groupe où je ne connaissais personne.

Par coïncidence, dans ma classe se trouvait Françoise, qui habitait dans la même rue que moi., Elle était plus âgée que mois de 18 mois, étant donné que j'avais un an d'avance au niveau scolaire, et autant j'étais renfermé, autant elle était épanouie, comme peuvent l'être ces filles de 13 ans en avance sur leur âge.

Dès lors, nos mères ayant sympathisées, nous nous vîmes régulièrement. Chaque matin, nous partions au collège ensemble. Cependant, à peine y étions nous arrivés, elle m'ignorait totalement pour rejoindre quelques copines de son âge et surtout toute une bande de garçons un peu plus vieux, de ceux que la puberté démangeait déjà et sur les joues desquels les traces d'acné concurrençaient la pousse des poils.
Je me retrouvais donc seul dans la cour, ne parvenant pas à me faire d'ami. Je passais ainsi de longs moments à contempler Françoise, admirant son assurance au milieu de cette perpétuelle meute de jeunes mâles qui guettaient ses faveurs.
En classe, mes résultats étaient excellents, ce qui était un nouveau motif d'hostilité de la part de mes compagnons. Seule Françoise, assise à côté de moi prenait alors ma défense.

Hors du collège, elle se montrait très gentille avec moi, jouant le rôle d'une grande sœur protectrice.
Je pris d'ailleurs bientôt l'habitude de passer mes mercredi après-midi chez elle, afin de l'aider dans ses devoirs. Je tentais vainement de lui expliquer les cours, mais la seule chose qui lui importait était de recopier le résultat des evercices que nous avions à rédiger.

Ses notes s'améliorèrent rapidement et j'acquis ainsi la confiance et le respect de sa mère. Celle-ci travaillant en semaine, nous passions nos après midi chez Françoise seuls, sans risque d'être dérangés. Cependant, ces après-midi, au lieu de n'être que des moments studieux, se déroulaient d'une toute autre manière. Nous expédions rapidement la partie scolaire puis Françoise me faisait son numéro. Cela commençait en général par l'exhibition de ses nouvelles tenues. Elle se déshabillait alors sans pudeur devant moi pour changer de vêtements. Même si elle faisait mine de ne pas s'apercevoir de mon émoi, je voyais bien qu'elle en rajoutait à la manière provocatrice dont elle s'offrait à ma vue. Elle me demandait alors mon avis sur la façon dont lui allaient ses tenues, me questionnait sur ce que je pensais de sa plastique puis enchainait invariablement sur des confidences sur ses amours. J'étais ainsi au courant de bien de secrets intimes.
Physiquement, Françoise était alors un peu plus grande que moi de quelques centimètres, mais j'avais vraiment l'impression qu'elle me dépassait largement tant elle débordait d'assurance. De plus la puberté, chez elle, avait déjà fait apparaitre les formes typiquement féminines.

Un mercredi de printemps, alors que nous en étions à nos occupations favorites, Françoise essaya une de ses robes de l'été passé. Il s'avéra alors que celle-ci était trop juste pour elle. L'enlevant, elle eu un sourire malicieux et me dis soudainement :
- Elle est trop petite pour moi, mais je suis sûre qu'elle est juste à ta taille.
Je ne relevais pas, mais elle insista alors pour que je la passe. Après quelques tentatives de résistance, je cédais pour avoir la paix. Je me sentais très honteux de me déshabiller devant elle, mais elle se montra prévenante, m'aidant à passer la robe et me la boutonnant dans le dos.
C'était pourtant vrai qu'elle était juste à ma taille. Je sentais le tissu soyeux sur ma peau et ce contact me troublait, tout comme me troublait le parfum de Françoise que je sentais sur moi.
Elle m'ébouriffa ensuite les cheveux que je portais mi long, comme c'était la mode à l'époque et elle me dit alors qu'elle me trouvait très belle.

Elle s'approcha soudain de moi, me prit dans ses bras et m'embrassa sur la bouche. J'étais pétrifié car c'était là mon premier baiser. Je me sentais si faible dans cette tenue, alors qu'au contraire je sentais toute la fermeté de l'étreinte de ses bras. Et ce fut un moment de bonheur intense. Lorsqu'elle me relâcha, nous restâmes un moment sans voix.
Puis, comme je ne pouvais déboutonner moi-même la robe, je lui demandais de me l'ôter, ce qu'elle refusa catégoriquement.
Je passais donc ainsi le reste de l'après-midi, alors qu'elle me faisait ses confidences sur ses amours adolescentes. Au soir, juste avant mon départ, elle me libéra enfin et je pus reprendre ma tenue habituelle pour rentrer chez moi.

Durant, les jours qui suivirent, rien ne traduisit dans son attitude le souvenir de cet après-midi. Elle n'était ni plus attentionnée ni plus distante qu'à l'accoutumée.

Cependant, le mercredi suivant, à peine j'arrivais chez elle qu'elle m'entraina dans sa chambre, elle me dit qu'elle m'avait préparé une tenue. Je constatais, en effet, que sur son lit m'attendait une jolie robe à fleur. Je restais interdit mais elle me brusqua me disant de ne pas perdre de temps. J'obtempérais donc et je passai le vêtement. Elle me montra ensuite une paire de ballerines de toile noire qu'elle avait, disait-elle, achetée spécialement pour moi.

Je passais donc une deuxième après-midi ainsi vêtu. De nouveau, j'eu droit à un long baiser de sa part. Dès lors, cela devint une habitude, et chaque mercredi, une nouvelle tenue m'attendait. Peu à peu, aussi les choses se firent plus raffinées. J'eu peu à peu droit aux bas, au soutien-gorge rembourré, aux chaussures à talons et même à un léger maquillage. Une fois dans ces tenues, nous flirtions allègrement et ces mercredi étaient devenus les meilleurs moments de mes semaines. Mais je ne saurais dire si le plaisir que j'en tirais était en fait dû à mes changements de tenue ou à nos baisers.

Un jour de mai, alors que Françoise m'avait fait revêtir une jupe plissée écossaise et un pull moulant noir et qu'elle m'avait fait chausser de fin escarpins à talons hauts, nous étions installés sur la table de sa salle à manger. Nous finissions les devoirs lorsque j'entendis sonner le carillon de la porte d'entrée. Je restais saisi, mais Françoise se leva d'un bond m'annonçant avec joie que c'était sa cousine Laurence qui venait lui rendre visite. Elle se précipita pour lui ouvrir la porte et je me retrouvais pris au piège n'ayant nulle part où me cacher, et ne pouvant rejoindre la chambre où se trouvaient mes vêtements de garçon puisqu'il m'aurait alors fallu passer par le hall d'entrée.

Françoise revint donc avec Laurence, alors que j'étais demeuré pétrifié sur ma chaise et me présenta comme Sophie, sa meilleure amie. Ne sachant que faire, je décidai de jouer le jeu et accueillis Laurence en lui faisant la bise comme si de rien n'était. Nous passâmes ainsi deux bonnes heures à papoter entre filles, heureusement que grâce aux confidences de Françoise, j'étais au courant de bien des choses…
En repartant, Laurence invita Françoise à lui rendre la visite prochainement et insista pour que l'accompagne. Evidemment, Françoise accepta avec un grand sourire et je ne pus que balbutier un faible oui.
Dès que la porte fut refermée, je m'apprêtais à accabler Françoise de reproches pour m'avoir fait ce coup là, mais elle ne me laissa pas le temps de parler, elle me saisit par la taille et me donna un vigoureux et long baiser. Lorsqu'elle relâcha mon étreinte, elle me chuchota :
Tu as été formidable, je t'adore………..Sophie.


Responsable du site : Lucie Sobek


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